La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1352)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1343) -

Le rythme de ses va-et-vient augmentait ainsi que l’intensité de ce moment. J’étais comme suspendue dans le temps ainsi que dans l’espace, je me focalisais encore et encore pour ne pas jouir et donc ne pas désobéir à l’exigence (de jouir uniquement si Monsieur le Préfet m’en donne l’ordre) du Maître absolu et ne surtout pas le décevoir... Puis au bout d’un moment, qui me parut une éternité, alors qu’il me besognait avec fougue et énergie, accélérant à grands coups de reins, des va-et-vient de sa noble et imposante verge dans ma chatte bien trempée, j’entendis la voix libératrice de Monsieur le Préfet qui m’autorisa d’une voix libératrice :

- Tu as mon autorisation, chienne Maera MDE, pour jouir dès que j’aurais fini de parler … Hummmm … Nous jouirons ensemble, de concert, au même moment... Hummmm … Continue à bien te comporter et à te retenir un peu encore un peu car il serait très dommage qu’une chiennes MDE vienne à fauter à l’une des soirées emblématiques de Notre cercle, ici au Château… Hummmm … Attention, salope … Haaaaaaa ! … C’est bon, maintenant, tu peux jouir, chienne Maera MDE ! Haaaaaaa !, ordonna Monsieur le Préfet, en poussant des râles de jouissance de plaisirs avec sa voix résonnant dans la salle de réception du Château multi-centenaire et chargé d’Histoire…

C'est alors que nous jouissons ensemble dans un concert de râles bestiaux, de rauques orgasmiques pendant un long moment, dans des plaisirs à faire vibrer tout mon corps de décharges électriques. Je ressentais une telle intensité, un salvateur bien-être ainsi que de la reconnaissance d’avoir été autorisée à laisser exploser mon orgasme trop longtemps retenu. Cette soirée était des plus sensuelle, remplie de moments orgasmiques et de moments érotiques mais aussi par de bons instants de complicité de Notre monde BDSM et de plaisirs tant sucrés. Après cette jouissance autorisée par Monsieur le Préfet en personne, je me remettais tout doucement de mes jouissances puissante et animale ressentie comme la chienne en chaleurs que j’étais… Je sentis alors la verge de Monsieur le Préfet qui se retirait de ma chatte ouverte et trempée d’un mélange de Sa semence et de ma cyprine.

Je ne bougeais pas, reprenant mes esprits, attendant les sens en émoi, la prochaine exigence, immobile comme une statue silencieuse. Après un petit moment, Monsieur le Préfet, claqua des doigts et me dit d’un ton sec et autoritaire :

- Bien, chienne Maera MDE, tu peux te relever. Mets-toi à genoux, mains derrière le dos, fesses qui ne touchent pas tes chevilles, buste droit et tête baissée, Tu nettoieras dans cette position ma noble verge avec ta bouche et ta langue de salope. Et je veux qu’il ne reste plus aucune trace de souillure et donc je l’ordonne de t'appliquer… Fais le de manière sensuelle, exquise et divine pour me contenter conclut-il…

Je m’appliquais donc à la tâche et nettoyais avec vigueur, envie, plaisir et gourmandise sa verge pour enlever toutes traces restées sur sa bite, repassant ma langue de salope sur son gland, sa hampe de bas en haut et de haut en bas, ses couilles avec lubricité et bien être. Je continuais à lui nettoyer m'appliquant ainsi à la tâche et ne m’arrêtant surtout pas, n’ayant pas reçu l’autorisation de m’arrêter. Et ne voulant surtout pas désobéir et le décevoir et endurer son courroux et surtout celui surtout du Maître Vénéré et Seigneur auquel j'avais l’immense chance et le bonheur d’appartenir et dont mon seul et unique but est de Le satisfaire. Je me sentais de plus en plus lubrique, salope, chienne de vide couilles. Ressentir mes plus bas instincts primitifs au sexe, à la luxure m’excitait encore et encore... Après un long moment j’entendu un claquement de doigts ainsi que la voix de Monsieur le Préfet :

- Ça ira comme ça, chienne Maera MDE, tu peux arrêter de me nettoyer ma verge. Je suis satisfait de toi, la chienne et je n'ai plus besoin de toi, salope... Tu peux retourner aux pieds du Grand Maître qui te soumet et à quatre pattes, en attendant que l'on te sollicite de nouveau pendant cette soirée, m’ordonna alors Monsieur le Préfet d’un geste du doigt tendu à l’horizontal, me montrant la direction à prendre.


Alors je m’empressais de m’exécuter avec rapidité et bien-être et je me dirigeais donc à quatre pattes de manière féline et séduisante pour rejoindre les pieds de Monsieur le Marquis d’Evans. Je ressentais un plaisir évident à progresser avec félicité et je me sentais à ma place avec mon entrejambes s'humidifier par ma cyprine coulant le long de mes cuisses, étant sans contexte tellement trempée de ma mouille de salope de chienne en chaleurs. Une fois arrivée aux pieds du Maître, Monsieur le Marquis d’Evans, qui dominait, assis sur un haut trône cossu, de toute Sa splendeur, de tout Son charisme légendaire, la grande salle de réception, observant de son œil inquisiteur et sévère tout ce qui se passait. Guettant ainsi les moindre faux pas éventuels des dominés et regardant aussi avec bonheur tout ce qui se passait. Le Maître Vénéré tout en continuant à observer l’assemblée me caressa avec douceur et délicatesse mes cheveux. Il se rapprocha de moi et me murmura à mi-voix à l’oreille sur un ton mélodieux et satisfait :

- Bien, Ma chienne, je suis très fière et satisfait de toi avec ton altitude et comportement de chienne soumise MDE de Mon cheptel. Oui, je tiens vraiment à te le dire, ton comportement est vraiment parfait. Alors continue à Me satisfaire pleinement pendant cette soirée de Notre cercle… Bien, assez parlé, pour Ma part, j'ai envie de profiter de Ma chienne salope, alors mets-toi en levrette et écarte vite tes jambes, Ma salope car j'ai envie de profiter de ton cul avec mon Noble Joyau. Tu n’auras le droit de jouir uniquement quand je t'en donnerai l'autorisation et ne me fais surtout pas attendre Ma chienne, m’exigea Monsieur le Marquis de Sa voix grave, autoritaire et si suave aussi…

Immédiatement, je changeais de position et continuais de mouiller encore plus intensément à la perspective de me faire prendre par le Maître en personne. Ainsi en levrette et en attente de me faire posséder, besogner par le Maître tant Vénéré et Seigneur, j’attendais cette saillie certainement bestiale, animale, ce qui m’excitait amplement.
Je mesurais l’immense chance et l’honneur qu’Il m’accordait de prendre possession de Sa chienne pendant cette soirée… Je me préparais aussi psychologiquement à me faire pénétrer par le Noble Joyau du Maître et à contrôler mon excitation ainsi que ma forte envie de jouir. Au bout de quelques secondes, je sentis le gland violacé, gorgé de sang se frotter contre mon anus. Puis d’une poussée de reins, d’un coup puissant, la Noble Verge du Maître entrant alors pleinement et totalement en contact avec la rondelle de mon anus. Je me détendis alors comme instantanément comme pour faciliter la pénétration. Je sentis alors l'imposante Noble et vigoureuse Verge de Monsieur le Marquis pénétrant mon cul de chienne en chaleurs. Au départ, il commença doucement durant de longues minutes alternant les va-et-vient sur la profondeur. Je me sentais bien remplie, bien encombré du plus délicieux des plaisirs charnels...

Quand tout d’un coup, le Maître augmenta la cadence et le rythme des va-et-vient avec son Noble Joyau devenant beaucoup plus intenses, la saillie d’un mâle en rut sur une femelle en chaleurs battait on plein. Je me sentais alors de plus en plus excitée, ultra mouillée par cette sodomie et saillie bestiale et j’avais toutes les peines du monde à contrôler mon excitation grandissante et surtout ma forte envie de jouir grandissant de minutes en minutes. Plus le temps passait, plus je me retenais de ne pas exploser par un violent orgasme. Je me sentais de nouveau à ma place, étant utilisée juste pour le plaisir du Dominant, servant juste de trou à plaisirs, sans qu’on se préoccupe de mon plaisir, juste pour se vider les couilles dans mes entrailles, je me sentais cette salope, cette chienne, cette putain, cette marionnette manipulée, je me sentais être une poupée gonflable utilisée juste pour se soulager en moi et tous mes ressentis décuplaient grandement mon excitation. J’étais pleinement besognée par le Seigneur et me concentrais donc pour faire abstraction du monde qui nous entourait.
Mais aussi continuer à tout faire pour satisfaire le Maître Vénéré en contrôlant mon envie de jouissance de plus en plus présent au sein de mon esprit, de mon corps bouillant, surexcitée prêt à lâcher un orgasme atomique... Je sentis Ses va-et-vient de plus en plus puissants et virils dans mon cul et ce ressenti amplifié monta encore d’un cran d’être ainsi possédée comme Sa chose, Son objet… Bien que la soirée et le temps défilaient, j'avais impression que cet instant était comme suspendu dans le temps…

(A suivre…)

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