Fouilles Paléontologiques

Salut ! c’est Bob. Souvenez-vous je vous ai raconté la dernière fois la confidence de ma chérie prise chez elle par les trois seuls types de sa classe. Je vous rappelle qu’elle est en BTS Accueil Vente et que nous avons respectivement 22 et 23 ans. Bref, je vous disais la dernière fois qu’elle n’en était pas à son coup d’essai et que cela fait cinq ans que nous sommes en couple bien que ne vivant pas encore ensemble.

Le récit d’aujourd’hui que je souhaite vous faire partager s’est déroulé il y a deux ans et bientôt trois car cette histoire est arrivée en pleine été alors que nous étions en vacances dans le sud de la France.

Nous nous étions inscrits à un chantier de fouilles paléontologiques bénévoles, un truc assez sympa à faire quand on est jeune car on y rencontre pas mal de monde et c’est assez cool. Bref, ma copine et moi y avions passé quinze jours. Chaque jour nous grattions la terre à la découverte de quelques fossiles de dinosaures ou de quelques coquilles d’œufs, mais très vite, ma chérie a fait une allergie à la terre qu’elle grattait si bien qu’elle a dû se rendre en pharmacie pour acheter une paire de gants hypoallergéniques. Jules s’est chargé de l’accompagner car il fallait y aller en voiture et nous nous n’avions pas de voiture. Moi je restais sur le chantier à fouiller. Cela se passait le matin vers dix onze heures.

Il faut que je vous parle un peu de Jules. Jules est un passionné de paléontologie et un spécialiste des oiseaux. Il a une trentaine d’années et prépare actuellement une thèse sur le sujet. Cela fait déjà plusieurs années qu’il travaille sur le chantier. Il revient tous les étés et fait partie des anciens maintenant. Il est comme le numéro deux ou le numéro trois du chantier. Au-dessus de lui, il a juste le responsable de chantier, Rémy, dix ou quinze ans de plus que Jules. Nous reparlerons de lui juste après.

Je disais donc Jules accompagne ma chérie que je vous disais s’appeler Annie dans mon premier récit mais qui s’appelle Virginie en réalité.

Eh oui, j’avais changé le prénom. Bref, je devrais dire plutôt Jules emmena Virginie, ma chérie, dans le bourg voisin situé à une dizaine de kilomètres. Ce gars, il avait la tchatte facile aussi car la belle souriait, s’amusait et s’entendait bien avec lui. Le courant passait vraiment bien entre eux. Je sais même que c’est Jules lui-même qui lui a offert les gants. Ce n’est pas grand-chose mais je crois que ça en disait déjà long sur ses intentions.

Le midi, nous mangions tous ensemble à une grande table dressée dehors sur le chantier. Nous étions une vingtaine de bénévoles en tout, autant filles que garçons, une équipe jeune et dynamique. Chaque jour, c’était nous les bénévoles qui a tour de rôles préparions à manger, toujours par équipe de deux. Ce jour-là, c’était le tour d’Audrey et d’une autre fille dont j’ai oublié le nom, de s’atteler à la tâche. Bref, c’était cool, on a passé un bon moment. Mais sitôt après le repas ma chérie ne se sentait pas retourner sur le chantier à gratter la terre, même avec ses gants hypoallergéniques. Il faisait déjà bien chaud. Pensez-vous on était en plein mois d’aout, dans le sud près de Carcassonne. Une chaleur presque étouffante. Bref, Jules lui proposa de passer du temps avec lui à l’Algeco.

L’Algeco, c’est le lieu où on stocke le matériel de fouille et surtout nos découvertes (ossements fossiles, artefacts…). Le but était d’étudier, nettoyer, ranger les découvertes faites la veille et les jours précédents. Ma chérie acquiesça sans aucune hésitation. Moi je ne pouvais pas m’opposer à son choix et continua à fouiller toute l’après-midi avec l’équipe de bénévoles. Nous étions deux ou trois par secteurs de fouilles. Cette après-midi-là je fouillais avec une fille (Audrey) et un garçon, étudiant lui aussi dont j’ai aussi oublié le nom.

Bref, il était quatorze heures environ et nous commencions le chantier de l’après-midi. Ma chérie s’en alla avec Jules dans l’Algeco. Je la regardais s’éloigner de moi avec un peu de tristesse dans l’âme car j’aurais préféré qu’elle reste avec moi sur le chantier, à fouiller.


Dans l’Algeco, tout fut différent. Dans un angle, il y avait un évier avec des brosses de différentes tailles pour nettoyer les ossements, des étagères avec des boites sur un autre côté et une grande table tout en longueur au milieu pour trier le matériel. On pouvait croire l’espace assez réduit de l’extérieur mais tout paraissait assez confortable finalement. Il y avait même un espace détente avec machine à café, expressos et petits gâteaux. Un vrai palais !

Concernant ma chérie, je ne sais pas ce que Jules lui disait mais la belle buvait ses paroles et se sentait bien avec lui. Bien sûr, je n’ai rien su de tout cela à l’époque et ne l’ai appris que bien plus tard mais toujours est-il, ils étaient assis tous les deux devant la table, chacun sur une chaise à trier laver les échantillons de la veille puis peu après je ne sais pas trop comment cela est arrivé, mais ma belle chérie était en train de tailler une pipe phénoménale à l’illustre bonhomme qui la baratinait depuis une heure au moins. Le gars avait déplacé sa chaise pour l’éloigner un peu de la table et avoir de l’aisance. Il avait les cuisses ouvertes, le sexe à l’air et les bourses, pas plus ; et ma belle assise sur une chaise devant lui à lui pomper le dard avidement. Aujourd’hui encore, je ne sais pas comment elle a pu faire ça, céder à ses avances à lui car je la connais ma chérie, jamais elle n’aurait osé de faire cela comme ça à un illustre inconnu car trois jours à peine avant, ils ne se connaissaient pas plus que ça. Nous étions arrivés le dimanche soir sur le chantier et c’est histoire s’est passé le mardi ou mercredi de la première semaine.

Etrange sensation tout de même de savoir et d’imaginer ma belle dulciné à sucer déjà un autre que moi. Bref, cela aurait pu s’arrêter là mais Jules, le gars, ensuite s’est levé et à demander à ma chérie de se pencher en avant vers la table. Ma chérie portait une jupe. Etrange me direz-vous pour un chantier de fouilles mais c’est comme ça.
Elle portait vraiment une jupe, une jupe longue tombant sur les chevilles, amples, légères avec de beaux motifs floraux. Sur le haut, elle avait un débardeur et un petit gilet d’été à manche courte, d’un beau blanc cassé, en mousseline qu’elle posa à l’entrée de l’Algeco sur un porte-manteaux.

Bref, Jules la fit se pencher en avant vers la table et il s’accroupit devant les fesses de la belle pour les embrasser, sucer, lécher. Il venait de retrousser la jupe juste à la taille de ma dulciné et embrassait et caressait les fesses de ma chérie encore et encore. Soudain, il la dévêtit de sa petite culotte, une petite culotte blanche aussi avec un petit nœud très discret sur le devant, au niveau du pubis. Jules la doigtait. Il la caressait. Il sentait et entendait ma chérie gémir tout doucement, prenant un plaisir certain à recevoir ces caresses impromptues. Son doigt entra entièrement dans la chatte, il en ressortait luisant de mouille. N’en pouvant plus, il vint se placer derrière ma chérie, debout, elle appuyée sur la table, lui derrière elle. Son chibre tendu était à la hauteur de ses fesses à elle. Il prit sa queue bien dure bien tendue dans la main droite et lui dit juste avant de l’enfoncer en elle :

« Tu es prête chéri ? »
Qu’elle répondit du tac-au-tac par un « Oui » gémissant.

Il entra son sexe d’un seul coup dans la chatte de ma dulciné qui à ce moment précis pensa et dit à l’homme qui la baisait :

- Tu as pensé à fermer la porte à clé ?
- T’inquiètes, chéri, de toute façon, il n’y a jamais personne qui vient ici l’après-midi ! rétorque-t-il.

Jules commença à besogner ma femme l’attrapant de la main droite par la hanche et de l’autre par les cheveux mais sans lui faire mal. Il souleva les fesses de ma dulciné pour mieux la pénétrer et peut-être aussi pour mieux la regarder jouir et mieux voir son sexe entrer dans la chatte de ma chérie car à mon avis le gars était un peu voyeur. Il n’avait gardé que ses bourses et sa queue à l’extérieur.
Il restait tout habillé de son futal. Il s’était juste mis torse-nu. Ma chérie, elle, non plus n’était pas trop dévêtue. Elle n’avait perdu que sa petite culotte que Jules lui retira.

Jules s’activa en elle et la secoua tellement que ses seins à elle s’écrasèrent contre la table. Puis elle se releva en vain, s’appuyant du mieux qu’elle pouvait sur ses avant-bras. Quel beau spectacle que cela devait être. Soudain, quelqu’un entra. C’était Rémy le chef du chantier. Il se trouvait nez-à-nez avec Jules en train de baiser ma chérie. Il était surpris, un peu choqué comme l’inattendu qui venait d’arriver. Alors, il ne dit rien d’autre que :

« Désolé, j’ai cru qu’il n’y avait personne. Je ne croyais pas que… »

Rémy ne pouvait finir sa phrase, gêné, vraiment gênée par la situation. Jules sortit de la chatte de ma femme aussitôt Remy entré dans l’Algeco et Virginie ma chérie tenta en vain de se rhabiller, toute rouge, presque honteuse, du moins très gênée elle aussi par la situation.

Remy était venu chercher un outil qu’un bénévole avait perdu ou cassé. Il a pris l’objet et est reparti aussitôt, confus en disant :

« Encore une fois, je suis désolé. »

Ma chérie ne disait rien, gênée, confuse, et Jules lui, ajouta :

« Ce n’est rien. C’est moi. J’aurais dû verrouiller la porte. ». Virginie le regarda honteuse et presque mécontente de lui.

« J’espère qu’il ne va rien dire à Bob. » lança-t-elle à Jules.
« Non t’inquiètes pas. Je connais Rémy. C’est une tombe. Il ne dira rien ».

Jules perdit sa vigueur aussi vite qu’il s’était mis à bander en compagnie de ma dulciné.

« - Qu’est-ce qu’on fait maintenant » dit-il à ma chérie.
« - On ferme l’Algeco ! »

Je ne pouvais pas croire que la seule réponse de ma chérie à « qu’est-ce qu’on fait maintenant » lancé par Jules était : « on ferme l’Algeco ! ». Comme si elle voulait que rien ne s’arrête et que tout continue. Jules ne bandait plus mais sitôt l’Algeco fermé, il se remit à caresser son sexe, le sortir comme il l’était avant l’arrivée de Rémy sur les lieux. Virginie s’accroupit devant lui, le dos appuyé à un petit caisson qui juxtaposait une tablette de travail. Jules se branla ainsi devant elle disant : « tu veux que je vienne chérie ? ».

Il s’activa frénétiquement de la main droite. Virginie était accroupie devant lui, le visage juste à hauteur de son sexe à lui. Elle ouvrit la bouche. Lui gémissait : « je vais venir chérie ! ». Elle mit ses deux mains accolées l’une contre l’autre comme pour faire un réceptacle et lui dit :

« Viens dans mes mains si tu veux ! »
Jules s’exécuta et déversa non sans en mettre à côté sa semence dans le creux des mains de ma belle qui pour la première fois recueillait entre ses doigts le sperme d’un autre que moi, du moins, c’est ce que je croyais jusque-là.

Jules ayant jouit, Virginie était satisfaite et heureuse de lui avoir donné ce plaisir. Elle m’avoua cependant ne pas avoir eu d’orgasme ce jour-là mais que cela n’était pas grave pour elle car elle avait pris beaucoup de plaisir à vivre la situation et à voir Jules jouir dans ses mains.

Sitôt le sperme retrouvé dans le creux de ses mains, elle y avait porté d’ailleurs sa langue pour gouter la semence, non qu’elle voulût tout avaler, n’exagérons pas, mais juste gouter me dit-elle, et à sa surprise et à la mienne quand elle me raconta cela, le sperme de son inconnu était sucré apparemment et non salé comme on peut s’y attendre.

Voilà ce qui est un bon souvenir de vacances, le seul du genre à ma connaissance. Peut-être en aura-t-il d’autres. Qui sait. En tout cas, j’aime ma chérie plus que tout au monde, pour le plaisir qu’elle me donne et le plaisir qu’elle procure aux autres, quand elle veut. A bientôt, je l’espère.

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