Le Balcon

Il fait très beau en ce soir d’été. Nous avons décidé de passer un week-end de détente et de plaisir. Je voulais revivre une soirée similaire à celle que nous avions vécue dans cette ville il y a deux ans.
J’ai envie de prendre un pied d’enfer et donc pour cela de faire monter la pression pendant toute la soirée pour finir en apothéose. Pour aller souper ce soir, j’ai mis une courte jupe blanche taille basse très moulante puis qui s’évase en un grand volant à partir du milieu des fesses et un peu transparente laissant entrevoir mon string d’un beau vert. Elle met bien en valeur mon merveilleux cul. Mon chemisier est blanc également et encore plus léger, voilant à peine mes seins. Une paire d’élégantes chaussures à haut talon complète ma tenue et amplifie la cambrure de mes reins.
Nous sommes dans un restaurant assez sélect en train de siroter notre apéro et d’examiner la carte. Après avoir passé commande, je me lève et me rends aux toilettes situées à l’autre bout de la salle. Quelques regards me suivent. J’en reviens très vite et en approchant, je vois l’air intrigué de mon mari : j’ai une main grande ouverte et l’autre fermée et semblant contenir quelque chose. Arrivée près de lui, je tends la main :
• — Mets cela dans ta poche, lui dis-je en déposant mon string dans sa main tendue.
Je me rassois en prenant soin de relever l’arrière de ma jupe pour que mes fesses soient en contact direct avec la chaise. Je me sens déjà excitée alors que la soirée ne fait que commencer.
Après avoir mangé l’entrée, je me penche pour prendre une boîte dans mon sac. Au passage, cela donne l’occasion à mon mari de plonger son regard dans mon décolleté et il ne s’en prive pas.
• — Ouvre-la.
Deux boules de geisha apparaissent.
• — Tu sais ce qu’il te reste à faire, me dit mon mari.
Je me lève à nouveau, prends les boules en main sans vraiment les cacher et me rends à nouveau aux toilettes. Lorsque j’en reviens, j’ai cette fois les mains grandes ouvertes, ne laissant aucun doute aux convives attentifs quant à l’endroit où se trouvent maintenant les deux boules.

Ma démarche s’en trouve d’ailleurs modifiée car je roule plus les hanches pour profiter mieux des sensations que me procurent ces petites boules.
Pour le dessert, je décide de terminer l’adaptation de ma tenue. Une nouvelle boîte tendue à mon mari contient cette fois un collier à fixer autour du cou et qui se prolonge par quatre petites chaînes terminées chacune par une petite pince.
Aux toilettes, je me caresse un peu puis pose une pince sur chaque téton. Cela fait un peu mal mais la sensation sera bien plus grande quand Jean me les enlèvera. C’est maintenant au tour de mes petites lèvres de recevoir leurs pinces. Je rajuste ma jupe et laisse les trois boutons supérieurs de mon chemisier ouverts. La chaîne qui plongejusqu’entre mes jambes est ainsi bien visible et mes seins seront découverts chaque fois que je me pencherai.
Lors de mon retour dans la salle, j’avance sans me presser pour apprécier les regards qui se coulent dans mon décolleté ou collent à mes fesses. Une fois assise, je pose un pied nu sur l’entrejambe de mon mari pour vérifier que mon scénario lui fait bien de l’effet. C’est le cas.
Le souper se termine.
• — Allons danser un peu. Je connais une boîte où l’on peut s’exercer à la Samba.
L’ambiance est bien lancée quand nous arrivons. Très vite, un homme m’invite à danser et je ne décollerai quasi plus de la piste. La chaleur aidant, mon chemisier épouse encore plus fidèlement ma poitrine, mettant en évidence aussi les pinces qui la décorent. Lors de certains mouvements, ma jupe virevolte dévoilant le bas de mes fesses.
À un moment, mon cavalier me plaque contre lui et m’entraîne dans une série de mouvements de hanches très appuyés. Heureusement que la musique couvre mes gémissements que j’étouffe aussi en me mordant les lèvres car mon sexe n’a pas résisté à l’effet ravageur des boules de geisha et un violent orgasme m’oblige à m’accrocher à mon cavalier pour ne pas tomber.
Lorsque je m’arrête pour reprendre mon souffle, je constate que mon mari est aussi très excité car son pantalon léger ne cache pas sa superbe érection.

• — Avant de rentrer si nous allions prendre un dernier verre dans un café un peu particulier dont j’ai entendu parler ?
Nous entrons et prenons place sur une banquette. Tout est peint en noir et quelques couples portent des tenues fétichistes, d’autres sont habillés plus classiquement bien que généralement relativement sexy tout de même. Nous commandons à boire et sirotons notre verre en observant les autres personnes présentes. Lorsque nos verres sont vides, je me penche vers Jean et lui glisse discrètement dans l’oreille.
• — Demande-moi d’enlever mon chemisier et d’aller commander deux autres verres au bar.
Il prend la carte, l’examine un moment puis à voix bien haute pour être sûr d’attirer l’attention des gens autour de nous, m’ordonne d’abandonner mon chemisier puis d’aller commander deux cocktails sans me demander mon avis sur ce que je veux boire. Je m’exécute bien volontiers. Je tire une véritable jouissance devant le regard étonné des gens sur ma façon d’afficher aussi ouvertement ma soumission et mes seins en public. L’effet est encore plus grand quand ils découvrent les pinces qui ornent les tétons et la chaîne qui plonge entre mes jambes, suggérant qu’elle se termine elle aussi par des pinces attachées à un endroit encore plus sensible.
Nous buvons alors notre verre tranquillement. Certains nous regardent ouvertement, d’autres à la dérobée uniquement. Une fois ou deux, je me rends aux toilettes, juste pour avoir le plaisir de déambuler torse nu dans la salle.
• — J’ai envie de rentrer, appelle un taxi.

Jean m’annonce qu’il arrive dans deux minutes.
• — Sortons déjà, nous l’attendrons sur le trottoir.
Mon mari me tend mon chemisier.
• — Non garde-le !
Et c’est donc torse nu que je sors. Il n’y a personne dans la rue. Le taxi arrive et c’est dans la même tenue que je monte à bord sous le regard ébahi du chauffeur qui ne décolle quasi pas ses yeux du rétroviseur pendant tout le trajet.
L’un ou l’autre piéton profite également du spectacle lors de ralentissements ou d’arrêts à des feux rouges. Tout cela entretient mon niveau d’excitation. Je frotte mes fesses nues sur le tissu râpeux des sièges et mes cuisses l’une contre l’autre pour mieux sentir les boules dans mon sexe. Je dois me faire violence pour ne pas me caresser tant j’ai envie de jouir.
Arrivé devant l’hôtel, nous descendons et je fais le tour du taxi pour venir me mettre devant la porte du chauffeur et je prends tout mon temps pour chercher dans mon sac la monnaie pour le payer. Jean en profite pour passer une main sur mes fesses, remontant au passage ma jupe pour montrer mes fesses au chauffeur.
Pour rentrer dans l’hôtel, je remets mon chemisier mais sans le boutonner, me contentant de le passer dans ma jupe. L’homme à la réception a du mal à articuler un bonsoir audible. Une fois dans l’ascenseur, mon chemisier se retrouve à nouveau sur le bras de mon mari. Nous ne croisons malheureusement personne jusqu’à la porte de notre chambre.
En entrant dans la chambre, j’abandonne mes chaussures et j’allume une grande bougie que j’avais apportée. J’ouvre la porte du balcon et vais m’accouder à la balustrade en fer forgé qui ne me cache donc pas du tout. J’admire un moment le paysage. Notre chambre est au troisième étage. L’hôtel en comporte cinq. Dans l’immeuble en face quasi aucune lumière ne brille derrière les fenêtres dont certaines sont ouvertes. Il est tard mais il fait encore chaud. Je me retourne :
• — Jean, j’ai envie d’être nue. Viens me déshabiller !
Il s’approche, fait glisser ses mains sur mon corps et dégrafe ma jupe qui tombe à mes pieds.
• Intégralement nue !
Il pose un baiser sur mes lèvres, empoigne une des pinces de mes seins et l’enlève. Elles sont assez douces, mais vu le temps depuis lequel je les porte, le retour dans mon téton m’arrache un premier gémissement. La seconde suit peu de temps après. Lorsque sa main descend vers mon sexe:
• — Enlève-les toutes les deux d’un coup…
Il comprend mon désir et commence par tirer un peu sur les deux pinces de mes petites lèvres pour finir par les arracher d’un geste brusque.
Un long feulement s’échappe de ma gorge. Ah que j’aime cette douleur brusque qui m’envahit d’un coup. Je meurs d’envie qu’il me caresse le sexe pour atténuer cette douleur mais cela me ferait jouir tout de suite et je veux attendre encore.
J’entends un petit bruit au-dessus de nous et un visage de femme apparaît brièvement.
• — Va chercher la bougie que j’ai allumée. Tu vas faire couler la cire sur mon corps. Lorsque la bougie sera complètement fondue, je serai à ton entière disposition pour le reste du week-end pour autant qu’il n’y ait pas de cire répandue sur le sol. Mais avant, enlève-moi mes boules de geisha, je veux que rien ne puisse me distraire de la cruelle caresse de la bougie sur tout mon corps.
Jean se rapproche et tend la main.
• — Non pas comme cela, avec la bouche.
Je m’adosse au balcon. Jean se met à genou entre mes cuises grandes ouvertes et avec la bouche att le cordon des boules de geisha qu’il fait sortir une à une de mon vagin, me créant un sentiment de vide que la bougie va vite combler. Lorsque je lève la tête, je constate que c’est un homme et une femme qui m’observent cette fois sans plus trop se cacher.
Jean disparaît dans la chambre et quand il revient la bougie en main, il est torse nu et pieds nus. Moi, je me suis mise à genou, les épaules plaquées au sol et les fesses bien relevées, les cuisses légèrement écartées.
La cire commence à courir le long de ma colonne vertébrale, me créant un délicieux frisson.
Huummm, Jean verse maintenant de la cire entre mes fesses et elle coule dans ma raie. La bougie descend un peu et la cire plus chaude encore vient napper mon anus pour mon plus grand plaisir.
Jean pose la bougie sur le sol un moment pour enlever son pantalon. À la vue de ses belles fesses mises en valeur par le string, dernier vêtement qu’il porte encore, mon excitation croit encore un peu plus. Je me retourne et me couche sur le dos. Appuyée sur les coudes, je cambre ma poitrine pour faire comprendre à Jean que cela doit être sa prochaine cible.
Il comprend et en me regardant droit dans les yeux, il verse d’un coup une grande quantité de cire sur le mamelon d’un de mes seins, m’arrachant un cri de plaisir et de souffrance mélangés. Petit à petit, ma poitrine disparaît sous la bougie. Je me contorsionne pour exposer tour à tour chacun de mes seins pour qu’aucun n’échappe à son tourment. Le couple de l’étage supérieur s’est appuyé à la balustrade de leur balcon et je peux voir qu’ils ne sont pas insensibles à ce qui m’arrive car ils se caressent un peu.
Lorsque mon mari retire son string et que son sexe se dresse fièrement, je suis quasi en transe. Je ne peux empêcher mon corps de trembler. Je n’ai plus qu’une seule envie: qu’il me pénètre de partout, que son sperme emplisse ma bouche. Cherchant à me pousser à bout, à me provoquer, il passe sa queue à proximité de mes lèvres mais sans me laisser l’atteindre.
Je résiste et ne lui saute pas dessus mais je pose mes épaules par terre et lève le plus haut possible mon pubis en écartant largement les jambes. Je me mets à faire littéralement l’amour à la bougie en une série de mouvements langoureux ; mon sexe complètement lisse allant à la rencontre de la bougie pratiquement jusqu’à la toucher puis se recule lors qu’il ne peut plus résister à la chaleur de la cire pour revenir ensuite de plus belle s’offrir à la langue de feu qui le dévore sans relâche.
Ma voisine est maintenant nue, elle aussi, et son mari la masturbe ouvertement. Lorsque la bougie arrête de couler, je suis prête à descendre dans la rue faire l’amour au premier passant venu ou encore au couple au-dessus de nous.
• — Tu n’as pas renversé de cire par terre. Bien ! Très bien ! Comme promis, pour le reste du week-end, tu peux me demander ce que tu veux, m’habiller comme tu le souhaites… bref, je suis à toi totalement. Si tu juges que je ne respecte pas tes ordres, il y a une cravache dans ma valise pour me punir.
Jean approche sa queue de ma bouche et je l’enfourne sans me faire prier car j’adore cela. Il ne tarde pas à jouir. Je n’avale pas tout de suite, me délectant de son nectar.
Après quelques instants de répit, je le caresse pour qu’il reprenne forme , Je veux l’attirer en moi pour qu’il me fasse jouir à mon tour mais il se recule un peu et me dit :
• — Retourne-toi !
Et c’est dans mon cul qu’il entre me faisant très rapidement crier de jouissance.
Lorsque nous reprenons nos esprits, il me dit :
• — Tu es à mes ordres pour le week-end ! Alors prends le téléphone et commande une bouteille de champagne. Tu ouvriras la porte dans cette tenue et sans enlever la cire qui couvre ton corps ! Tu demanderas au groom de le faire.
Ah, quel plaisir d’être soumise et de s’exhiber sans remord car demandé par son Maître !
Mais suis-je vraiment soumise ?

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