La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1355)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1352) -

Bien que la soirée et le temps défilaient, j'avais impression que cet instant était comme suspendu dans le temps… Cette possession physique de mon cul était à la fois si bonne, si intense et si excitante avec toute la splendeur, le prestige et la Dominance du Maître que je pouvais ressentir pendant Sa saillie bestiale à être Sa chose et Son objet prenant pleinement possession de mon cul de chienne MDE. Je me sentais totalement soumise à Son bon vouloir et besognée par Les assauts de Son membre dressé et viril et si bien planté dans mon anus, avant et venant dans mes entrailles.

Je savourais ainsi ce moment où Monsieur le Marquis daignait s’occuper de Sa chienne MDE. J’essayais de contrôler, tant bien que mal, mon envie de jouissance de plus en plus intense dans mon esprit et mon corps de salope pour ne surtout pas fauter ou, bien pire encore pour moi, décevoir Monsieur le Marquis d’Evans, Maître absolu auquel j’avais l’immense chance et le bonheur d’appartenir. Je ressentais les assauts du Joyau du Maître des lieux s’accélérant dans mon cul bien élargi par cette sodomie divine de par Sa verge bien membrée et Sa vigueur ainsi que le rythme et la cadence qu'il imposait à cette profonde pénétration anale. Il était ainsi le Maître qui, tel un virtuose, imposait Son rythme à Sa marionnette que j’étais, genre poupée gonflable dont on utilise juste le trou pour se vider les couilles, comme s’Il jouait sur une partition durant cette saillie des plus lubrique. Au bout d’un moment, j’entendis alors enfin la voix libératrice du Maître :

- Ahhhhhh ! C’est très bien Ma chienne Maera MDE, je suis fier de toi, tu as bien su retenir ton orgasme… Hummmmmm ! Tu peux maintenant jouir, je t’en donne l’autorisation et lâcher ton orgasme … Ahhhhhh ! … au même moment que je lâche le mien, m’ordonna Monsieur le Marquis tout en m'embrassant avec Dominance et en éjaculant dans mon cul.

Ahhhhhh ! … Maintenant, salope … Ouiiiiiiiiii ! Jouit Ma chienne …. Ahhhhhh !

Je laissais alors exploser ma jouissance dans un concert de cris d’orgasmes comme en totale communion et osmose, tandis que je sentais Sa semence chaude s’écouler entre mes entrailles. Tout mon corps tremblait de spasmes, je me sentais remplie, bien pénétrée, souillée mais tellement heureuse alors que mon corps décollait au septième ciel orgasmique… J’entendis le Maître Vénéré :

- Ahhh oui, Ma chienne MDE, c’est trop bon de jouir dans ton cul de salope en chaleurs.

Son sperme chaud et épais coulant à l’intérieur dans mon anus de chienne fut ressenti comme un véritable et immense honneur pour moi, dans mon orifice anal appartenant pleinement au Maître Vénéré et Seigneur… Le Noble resta longuement immobile, profondément planté en mon cul, sans bouger en un coït anal des plus charnels, m’enlaçant le tour de taille en maintenant fermés, de Ses doigts épais, mes tétons enserrés. Après quelques minutes, alors que je me remettais doucement de mon violent orgasme, je sentis alors le Joyau de Monsieur le Marquis d’Evans se retirer de mon cul. Dans la seconde, j'entendis Son claquement de doigts, et immédiatement je me mis en position d’attente à genoux, les mains derrière le dos, les fesses relevées, le buste droit, les bras derrière le dos et la tête baissée. J’entendis alors le Maître :

- Nettoie Mon Joyau, Ma chienne, je ne veux plus qu'il reste une seule trace de Ma noble semence sur Ma verge.

Je m'activais à nettoyer avec entrain, appétit et gourmandise, léchant de manière lubrique Son noble Joyau appréciant cet honneur de pouvoir l’avoir en bouche, m'appliquant avec rigueur. Je m’appliquais sans les mains passant de haut en bas verticalement, puis horizontalement n’oubliant aucune parcelle de Son intimité. Au bout d’un moment, j’entendis le Maître Vénéré claquer des doigts et immédiatement je m’arrêtais et attendit immobile la prochaine Exigence.
.. Monsieur le Marquis domina, de tout Son charisme, l’assemblée et la scruta sur ce qui se passait d'un œil inquisiteur. Puis, Il observa d’un regard l'heure sur Sa montre Rolex de collection. Il observa de nouveau la grande pièce de réception très animée durant cette soirée de notre cercle. Je vis le Maître se rapprocher de son ami Monsieur le Commandant et lui murmurer quelque chose à l'oreille en souriant puis se diriger vers son Majordome en lui donnant quelques-unes de Ses précieuses directives concernant la fin de la soirée.

Le Majordome se dirigea vers moi puis se saisit de ma laisse et tira d’un coup sec pour m'imposer à changer de position et à me mettre à quatre pattes comme la chienne que j’étais. Je sentis une petite pression sur ma laisse et je le suivis en quadrupédie me déplaçant de manière féline et séduisante, remuant mon cul de femelle. Je le suivis en m’adaptant à l’allure imposée tout en quittant la pièce et en progressant dans les luxueux couloirs capitonnés puis me fit monter à l’étage par un des escaliers de ce vaste ancestral et multi-centenaire Château. Nous traversâmes de nouveau d'innombrables couloirs richement décorés de tapis, de tentures ainsi que de riches décorations comme de très beaux tableaux tous plus somptueux les uns que les autres.

Tout d'un coup, le Majordome ralentit le pas et s’arrêta, ouvrit une massive double-porte richement décorée de bordures liserées en or et j’entrais donc dans une très grande qui devait être je pense d’après la description que j'avais pu lire dans les écrits de Monsieur le Marquis, Sa chambre privée. Le Majordome me fit avancer jusqu'au centre de la pièce et me passa un bandeau sur mes yeux et me privant ainsi de la vue. Il s’adressa à moi d'un ton sec, froid :

- La chienne, tu es ici dans la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans. Tu vas l’attendre ici, immobile et en silence, ainsi dans cette position agenouillée, les yeux bandés et sans bouger, sans rien voir. Le Maître viendra quand Il le voudra et s’Il daigne te rejoindre.
Sache que Sa chambre est équipée de caméras pour que nous puissions savoir à tout moment ce qu’il s’y passe et que nous puissions surveiller à distance la bonne exécution des ordres que nous donnons aux chiennes et chiens de Monsieur le Marquis… Tu dois donc attendre sans plier tes genoux, c’est-à-dire que tes fesses ne doivent pas toucher tes talons. Tu gardes le buste droit, la tête baissée et les mains derrière le dos, les cuisses le plus écartées possibles. Et si par malheur, le Maître tardait à venir ou pire, s’Il ne venait pas, il te faudra rester en cette position, même si tu fatigues sur les cuisses, jusqu’à que je vienne te chercher dans le cas où Monsieur le Marquis ait décidé de ne pas venir ici. Alors tu as intérêt de ne pas poser tes fesses sur tes talons, car tu serais punie sans ménagement…

Walter marqua un silence autoritaire alors qu’il me scrutait sous toutes les coutures, en profitant de ma position pour me peloter les seins avec perversité. Puis il reprit avec le même ton glacial.

- Bien, je te laisse, j’ai fort encore à faire pendant cette soirée et à vérifier que les tâches ont bien été bien exécutées et rapidement sans quoi certains de tes frères et sœurs de soumissions se prendront quelques coups de cravache, me dit le Majordome d'un ton pervers, très vicieux en refermant la porte après qu’il eut quitté la chambre.

Je restais ainsi agenouillée dans la chambre de Monsieur le Marquis d’Evans, aussi immobile qu'une statue et très silencieuse. J’attendis pendant un long moment et ayant les yeux bandés et j’eus vite perdu la notion du temps, ne savant pas quelle heure il n’était, ni depuis combien de temps j’étais là dans cette position imposée. J’évaluais, mais sans en être certaine du temps écoulé, qu’une grosse demi-heure après environ, je commençais à avoir très mal aux cuisses et je n’avais qu’une envie, celle de reposer mes muscles cruraux sur mes fesses. Mais je devais tenir coûte que coûte… Je suppose qu’une bonne heure s’était écoulée quand j’allais plier mes cuisses, ayant trop mal à celles-ci, quand tout d’un coup, j’entendis enfin des bruits de pas dans le couloir qui se rapprochaient.
Après quelques instants, j’entendis la porte qui s'ouvrit puis se referma. Ouf ! Cette présence me donna la force de tenir sur mes cuisses encore un peu quand je sentis la présence du Maître Vénéré juste derrière moi…

Le Châtelain resta un instant me regardant en silence puis se rapprocha de moi et m'enleva le bandeau des yeux. Je retrouvais alors la vue.

- Ma chienne, je te félicite vraiment, je suis très fier de toi, tu as tenu la position plus d’1 heure 30. Je t’autorise à te reposer sur tes fesses. Ensuite, quand j’en donnerai l’ordre, tu iras en quadrupédie sur mon lit …

Je ne me fis pas prier et enfin, je pus me reprendre sur mes fesses, un long moment. C’était un grand soulagement pour mes muscles et une grande fierté pour moi d’avoir tenue la position. Monsieur le Marquis attendit au moins 5 minutes que je puisse me reposer puis Il claqua des doigts en me montrant du doigt Son lit. C'est alors que je le rejoignis à quatre pattes et me mis en position prosternée, le cul bien relevé et exhibé puis j’attendis Sa prochain Exigence en silence. Il partit et revint quelques instants plus tard avec un martinet le tenant de Sa main droite :

- Ma chienne, ne bouge pas et reste dans cette position, je vais faire rougir tes fesses avec ce martinet mais attention ceci n'est pas une punition, c’est juste pour mon plaisir de voir tes fessées rougir… salop de chienne en chaleurs…

Ces mots m’excitaient et me faisaient tant mouiller... J’entendis les pas du Maître Vénéré sur le parquet, il se recula puis le premier coup de martinet tomba et vint rougir mon fessier ...

(A suivre …)

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