Jeanne Se Libère

- Où tu étais, tu aurais dû rentrer il y a 1 heure ?
- Ça tombe très bien que tu aborde le sujet.
- Mon chéri, il ne faut jamais laisser ton portable déverrouillé à ma vue, surtout quand tu as quelque chose à cacher.
- Je n’ai rien à cacher
- Sauf le message de Martine
- Mais qu’est-ce que tu imagines
- Tais-toi, ne cherche pas à te déculpabiliser, je suis allé la voir, d’où mon retard. Pas très jolie le tableau que tu as dressé de notre couple, mais passons si ça t’a permis de la baiser. Tu m’as trompé et pas qu’une fois en plus. Alors, saches que je me suis vengée.
- Quoi ! Avec qui ?
- Ça mon bonhomme, tu ne le sauras pas. Mais je peux te dire qu’il m’a bien fait jouir. Je me contenterais d’une fois car je te quitte. Je n’ai plus confiance en toi et tu m’as poussé à aller voir ailleurs alors je reprends ma liberté. Ah au fait, tu vas avoir un bel accueil demain au bureau. Je pense que tu l’as perdu aussi. T’as joué et t’as perdu. Et maintenant je vais rattr mon retard, tu peux compter sur moi.

Jeanne à 24 ans, c’est une jeune femme pulpeuse avec de belles formes proportionnées et forcement une belle poitrine. Elle est bien loin de sa taille d’anorexique de son adolescence. Elle a un charme qui a fait craquer David, il y a 4 ans. Elle est assistante RH dans une société de transport routier. Le personnel est principalement masculin. Elle est régulièrement sollicitée mais est restée jusqu’à présent très professionnelle.

Revenons quelques jours avant leur séparation. Jeanne tombe donc, par hasard, sur le sms de Martine alors qu’ils se préparent pour aller faire la fête chez des amis. Elle encaisse le coup mais ne montre rien. Elle veut voir comment David va se comporter.
Elle est sexy avec son pantalon blanc et son top bleu nuit assez échancré. Tous les invités découvrent que la soirée avait pour but d’annoncer le mariage du couple d’amis et le choix des témoins.

Jeanne accepte sans réfléchir d’être le témoin de son amie. Son futur mari a choisi lui, Jules, un copain de David. Jeanne connait bien Jules et elle discute volontiers avec lui. Il la drague gentiment et n’a pas les yeux dans sa poche. Jeanne n’est pas attentive et cherche David qui discute et rit avec des amis. Elle se ressaisi et lui chuchote à l’oreille « tu sais que ton copain m’a trompé » et elle le laisse sur place bouche bée.
Le lundi matin, elle reçoit un sms de Jules qui lui dit que si elle a besoin de parler, il est là pour elle. Elle a les yeux dans le vague et n’est pas du tout à son travail. C’est sa chef, qui est au courant de sa situation, lui dit de prendre son après-midi car de toute façon, elle n’est pas efficace. Jeanne accepte et prend son courage à deux mains et contacte Martine qui, très curieuse, accepte de la rencontrer. Elle envoie un sms à Jules pour lui demander si elle peut passer vers 13h. La réponse fut presque instantanée et positive. Sans le savoir, sa chef l’avait poussé dans le lit de Jules. Elle se dépêcha de rentrer, prend une douche et troque son jean contre une robe portefeuille jaune à fleur. Elle décida de ne pas mettre de soutien-gorge. En roulant vers l’appartement de Jules, elle se dit qu’il était à son goût et que la vengeance ne sera pas désagréable. Plus elle se rapproche de chez lui, plus elle en a envie. Elle est surprise de ne pas être si triste que ça et ne culpabilise pas.

A peine il ferme la porte derrière elle, qu’elle se jette à son cou et lui offre sa bouche. Il caresse ses fesses, ses seins à travers le tissu léger de la robe. Elle ne reste pas inactive et a déjà une main dans le pantalon. Il ne revient pas de l’attitude de Jeanne et en profite. Puisqu’elle veut du sexe, il la teste en appuyant légèrement sur les épaules. Elle ne se fait pas prier et s’agenouille, dégrafe ceinture et braguette et sort le sexe déjà raide de Jules. Elle le caresse puis le lèche de tout son long avant de l’engloutir dans sa bouche.
Elle aime sucer et a un certain savoir-faire qu’il apprécie à sa juste valeur. Lorsqu’elle se relève, il dégrafe la robe et découvre une belle poitrine ferme. Il s’en empare et mord les tétons. Elle lui caressa la tête en se défaisant de sa robe. Il s’écarte pour se déshabiller et admirer le corps qui s’offre à lui. Il l’allonge sur la table de la salle à manger. Se couche sur elle pour l’embrasser puis descend jusqu’aux seins, embrasse sa peau jusqu’à sa culotte qu’il fait glisser le long des jambes. Il lui écarte les jambes et lui fait un cunnilingus. Déjà, elle se met à gémir et à s’humidifier. Il se redresse et en la fixant dans les yeux, il s’enfonce lentement en elle. Il la tient par les hanches et se met à faire des va et vient lents puis plus rapides, à nouveau lents et Jeanne sanglote de plaisir. Entre deux gémissements elle réussit à lui dire que c’est bon et qu’elle aime ce qu’il lui fait. Maintenant, il la baise fort en malaxant ses seins. Il lui dit qu’elle est belle lorsqu’elle jouit. Sentant qu’il allait venir, elle le retint avec ses jambes et il se vide en elle provocant un vrai orgasme chez Jeanne. Il se pose nu sur le canapé. Jeanne lui caresse le sexe gluant de leurs sécrétions. Jules commence à bander de nouveau. Jeanne se penche et le prend en bouche. Elle n’arrêta pas lorsqu’il lui dit qu’il va venir et avale son sperme. Jeanne a appris à aimer ça et elle sait qu’elle donne un plaisir immense. Elle fait une petite toilette intime avant d’aller à son autre rendez-vous. Jules lui demande s’ils pourront se revoir et la réponse de Jeanne bien qu’évasive et encourageante car elle ajoute qu’il la bien fait jouir.

Après avoir passé quelques temps chez ses parents, elle a trouvé un studio pas très loin de son travail. La nouvelle de son célibat a vite fait le tour de la société. Elle croise tous les matins les mécanos et a le droit à des remarques osées sans jamais être vulgaires. Après plus d’un mois d’abstinence, le sexe lui manque et elle se surprend à rire de leurs plaisanteries.
Elle rentre chez elle déjeuner tous les midis. A force d’insister elle accepte de manger avec eux. Ils ont installé une table dans la cour de derrière pour profiter du soleil. En jupe, elle expose ses jambes au soleil et aux regards des trois mécanos. Ils sont restés très courtois mais la taquinent en lui disant que c’était à son tour de les inviter. Elle leur dit que s’ils lui promettaient d’être sages, elle y réfléchirait. Sans insister, ils lui rappelaient régulièrement son invitation. Un vendredi matin, elle s’arrêta devant eux et leur dit
- J’ai préparé une quiche pour ce midi, ça vous tente. Mais sage, d’accord ».
Bien sûr qu’ils étaient d’accord et ne la quittèrent pas des yeux jusqu’à son bureau. Il faut dire qu’elle était en tailleur jupe assez court.
Les voilà partie dans la mini de Jeanne. Arrivés dans son studio, elle retire sa veste dévoilant sous le chemisier un soutien-gorge en dentelles. Elle leur proposa un apéro et se servit avec eux un mojito tout fait. Elle n’avait pas anticipé qu’avec sa table haute et ses chaises de bar, elle montrerait un peu plus ses jambes. Les 3 mécanos se régalent du spectacle qu’elle offre involontairement. Ils ont déplacé les chaises pour être près d’elle et donc seul un mécano était en face. Les deux plus âgés l’entourent. Ils ont environ 45 ans soit 20 ans de plus que Jeanne, le troisième une petite quinzaine d’années de plus qu’elle.
Une main se posa sur un genou.
- Vous deviez être sage.
- Je suis sage, j’ai juste posé ma main sur ton genou, rien de plus. Tu as la peau douce et de très jolies jambes.
Il caresse la jambe au-dessus du genou pour atteindre lentement la cuisse à la limite de la jupe. Les 2 autres mécanos regardent la progression de leur collègue. Elle regarde dans les yeux celui qui la caresse. Elle se retient de se pincer les lèvres ce qui trahirait son désir. En la fixant, il caresse l’intérieur de la cuisse mais elle serre ses jambes car une deuxième main vient de se poser sur l’autre cuisse.
Le troisième, jaloux de la progression de ses collègues, se lève et vient derrière Jeanne. Il pose ses mains sur ses flancs et remonte lentement vers ses seins. Lorsqu’il les atteints, Jeanne ferme les yeux et repousse les deux mains sur ses cuisses. Elle sent, sans réagir, les boutons ouvrir son chemisier et une main habile faire sauter l’agrafe du soutien-gorge. Les cuisses étant interdites, ils se rabattirent sur les seins en les malaxant et en pinçant les tétons. Elle ne peut retenir un gémissement, ce qui la fit réagir, elle se lève et se rajuste.
- Il faut rentrer maintenant. Vous n’avez pas été sage, on ne peut pas vous faire confiance.
- Tu t’es laissé faire et on n’a pas pu résister.
- Bon, vous êtes pardonné mais allons-y maintenant
- Tu crois qu’on a le temps avant d’aller bosser
- Idiot. Elle ria de la blague.
Le problème c’est qu’elle était encore plus excitée et qu’il n’aurait fallu pas grand-chose pour la faire craquer. S’ils l’avaient un peu , elle se serait laisser faire.
Ils étaient encore là quand elle quitta le travail. Il l’interpella
- Tu nous offres un café ?
- Vous ne lâchez jamais l’affaire, vous
- Avec une si jolie fille, on serait idiot
- Vous serez sage
- Bien sûr, ma belle, tu nous connais
- Justement. J’espère pouvoir vous faire confiance cette fois.
Elle leur prépara un café et leur servit dans le canapé où ils étaient installés. Ils lui firent une place entre deux mécanos. Le troisième se positionna sur une chaise face à eux. Deux mains se posèrent aux dessus de ses genoux.
- Vous n’êtes définitivement pas sage.
- Jeanne, tu es jeune, belle mais surement pas naïve. Si tu as accepté de nous inviter, tu savais ce que tu faisais.
Les mains continuaient de caresser ses cuisses sans qu’elle ne les repousse.
- On veut te découvrir et te donner du plaisir.
Elle pose ses mains sur celles des mécanos pour stopper leur progression. Elle se redresse et au bord du canapé, Jeanne réfléchie quelques instants. Elle avait envie de s’offrir à eux et son abstinence eut raison de son hésitation. Elle se leva et fit signe au troisième mécano de prendre sa place sur le canapé. Elle poussa la chaise et mit une musique lente. Elle fit face à eux et commença à se déhancher sensuellement. Elle caressa son corps par-dessus son tailleur avant de commencer à dégrafer un à un les boutons de sa veste. Une fois ouverte, elle jouait avec les pans pour découvrir par moment son soutien-gorge et la forme de ses seins. Elle retira sa veste et la posa sur le dossier de la chaise. Les mécanos commençaient à se caresser le sexe à travers les pantalons. Elle reprit sa danse érotique et libéra ses seins en se débarrassant de son soutien-gorge mais en cachant ses seins de ses mains. Puis un à un, elle les montra aux mécanos. Se trouvant à l’étroit, un des mécanos sortit son sexe déjà bien raide, suivi dans son geste par les deux autres. Voyant les trois beaux sexes bander pour elle, elle sourit. Maintenant, elle caressait ses hanches relevant un peu sa jupe. Elle défit la fermeture éclair et lentement, pour les faire languir, la fit descendre dévoilant ainsi sa culotte. Elle retira ses escarpins et posa sa jupe sur la chaise. Elle est belle et son strip-tease les rendait fou. Elle s’attaqua à son dernier rempart. Elle joua un peu avec sa culotte avant de se retourner et la retirer. Ils avaient envie de se jeter sur ses fesses mais laissa Jeanne décider du moment. Elle leur fit à nouveau face mais avec les mains cachant son sexe. Elle en retira une puis après s’être caresser le pubis, elle s’exposa totalement nue. Ils la découvrirent totalement rasée. Elle se retourna, fit un signe aux mécanos et alla s’allonger au milieu du lit. Ils se déshabillèrent et deux d’entre eux s’allongèrent à ses côtés, le troisième déjà entre ses cuisses lui prodiguant un cunni. Caressant les seins, ils l’embrassaient tour à tour. Elle acceptait leurs baisers avec passion. Elle posa ses mains sur les deux sexes à sa portée pour les branler délicatement. Elle attrapa la tête du mécano entre ses cuisses pour le remonter et le coucher sur elle. Elle écarta largement les jambes et dirigea le sexe du mécano en elle. Son abstinence, son strip-tease sensuel et le cunni l’avaient si excité qu’elle jouit dès la première pénétration. Entre ses gémissements, elle suçait les deux autres mécanos.
- Oh, c’est trop bon, vous me rendez folle.
Un deuxième mécano remplaça le premier en elle et elle jouit une deuxième fois. Elle avait cette capacité à pouvoir se libérer pendant l’acte sexuel et jouir plusieurs fois d’affilé. Ils la prirent chacun deux fois jouissant en elle pour deux d’entre eux alors que le troisième apprécia de se répandre dans sa bouche et de la voir avaler. Ils étaient blottis contre elle et elle leur caressait la tête tendrement.
- Je ne regrette pas de vous avoir cédé. J’ai beaucoup aimé. Vous m’avez bien baisé.
- On est à ta disposition quand tu veux, ma belle.
- Vous me promettez de garder ça pour vous.
- Bien sûr, on n’est pas des goujats.
Ils prirent chacun une douche, se rhabillèrent et elle les raccompagna les laissant à deux rues de la boite pour ne pas se faire remarquer.
Elle attendit qu’une de leur voiture passe devant elle et lui code phare à un des mécanos. Il s’arrêta et alla si elle avait un problème.
- Tu es le seul célibataire des trois, je crois.
- Oui, je suis divorcé depuis 6 mois.
- J’aimerais que tu restes avec moi ce soir, cette nuit si tu peux.
- Je rentre me changer et je te rejoins chez toi.
- Super. J’ai une course à faire, je me change et je suis à toi.
Il arriva une heure plus tard avec un bouquet de rose et un petit sac de voyage. Elle le trouva beau dans son jean et sa chemise en lin. Elle était aussi jolie dans sa robe d’été à fleur. Elle l’accueille avec un tendre baiser.
- Je reste avec toi toute la nuit, on a tout le temps devant nous, je t’invite au resto.
- Pourquoi pas, Antoine.
- Prends ton sac, je t’emmène.
Elle a laissé ouvert le premier bouton de sa robe à bretelle. Assise, elle découvrait ses jambes à mi-cuisse.
- Tu es très sexy, d’ailleurs pas mal d’hommes te mate.
- Oui, j’ai vu mais c’est toi qui vas me baiser ce soir. J’espère que tu as rechargé tes batteries.
- J’ai déjà un début d’érection mais si tu n’as pas confiance, il y en a, ici, qui pourrait me seconder.
- Une autre fois, peut-être, ce soir, je suis à toi entièrement.
- Le programme promet d’être chaud.
En partant, elle a bien regardé les hommes en posant sa main sur le cul d’Antoine. Il été fier de s’afficher avec une si jolie fille qui faisait baver les hommes présents.
A peine arrivée à son appartement, elle s’est pendue à son cou pour l’embrasser. Elle lui a dégrafé sa chemise et a commencé par embrasser son corps en descendant lentement. Une fois à genou, elle dégrafe son pantalon le baisse ainsi que son caleçon et prend son sexe dans la bouche. Elle le suce avec envie pendant quelques minutes. Puis, elle lui retire ses chaussures et ses chaussettes. Il finit de se déshabiller et la rejoins dans la chambre et la trouve nue sur le lit. Il grimpe sur le lit, lui écarte les jambes et lui fait un cunni. Il joue avec son clitoris, le mordille, lui lèche ses lèvres et enfonce un doigt. Avec deux doigts dans sa chatte, il la fait jouir en la branlant énergiquement.
- Viens, prend moi.
Il ne se fait pas prier et s’enfonce en elle. Elle le prend dans ses bras et gémit de plaisir.
- Oh, c’est bon. Qu’est-ce que tu me baises bien, Antoine.
Après quelques temps, il la retourne et la prend en levrette. Elle a encore joui sous ses assauts. Sur sa demande, il ne la ménage pas et lui donne de gros coups de bite. Puis, il ralentit et tente un doigt dans son cul qu’elle accepte. Tout en la baisant, il enfonce complètement son doigt et le fait aller et venir. Elle le reçoit sans gêne.
- J’ai envie de te prendre par derrière.
- J’ai envie d’essayer aussi mais je ne l’ai jamais fait. Prends le lubrifiant dans la table de nuit.
- Tu avais prévu ?
- Un peu oui. J’aime l’idée de le faire avec toi.
Avec le lubrifiant, il la prépare délicatement et minutieusement. Elle sent qu’elle s’ouvre et accepte maintenant deux doigts sans réelles douleurs. Il du lubrifiant pour la ménager. Puis, il sort de son sexe et là, elle sait qu’il va lui prendre son p’tit trou sans appréhension. Il s’enduit généreusement du lubrifiant et se présente à son anus. D’elle-même, elle écarte ses fesses. Il passe le gland et marque une pause. Elle ne dit rien, attendant la suite. Il s’enfonce à moitié et fait de lents va-et-vient. La respiration de Jeanne est saccadée. Elle ressent un certain plaisir sans savoir si c’est la pénétration ou le fait de lui faire ce cadeau. Toujours délicatement, il progresse et bientôt se fige entièrement en elle. Il recommence ses allers retours toujours aussi délicatement. Tout à coup, Jeanne pousse un cri. Il stoppe ses mouvements craignant lui faire mal.
- Non, continue. Je commence à ressentir du plaisir.
Il accentue ses à-coups et ressors du chaud conduit. Il se badigeonne de lubrifiant et la pénètre à nouveau. Il s’enfonce sans difficulté. Jeanne gémit, elle prend enfin du plaisir.
- Oh putain, c’est bon aussi, j’aime ça.
Il continue mais de voir ce cul s’ouvrir et accepter son sexe est trop excitant et ne peut se retenir. Il jouit en elle, ce qui déclenche chez Jeanne un orgasme. Il reste figé en elle avant de se retirer délicatement. Elle se blottit contre lui.
- Merci d’avoir été si délicat.
- Merci à toi ma belle de m’avoir fait ce cadeau.
Jeanne va prendre sa douche en premier. Puis, ils se sont endormis dans les bras l’un de l’autre.
Elle est réveillée par la sonnerie de son téléphone portable. C’est David qui ne supporte pas qu’elle l’a quitté.
- Non, tu ne viens pas, je ne veux plus te voir et en plus, je ne suis pas seul.
- Il dort encore. On n’a pas beaucoup dormi cette nuit.
- Et toi, tu crois que tu ne m’as pas fait de mal. J’étais toute à toi et tu as tout gâché. Tant pis pour toi.
- Maintenant, laisse-moi, je raccroche.
Antoine a entendu la conversation, il la rejoint dans la cuisine. Elle l’embrasse et lui sert un café. Il est déjà plus de midi.
- J’ai entendu ta conversation, si tu veux, on se prépare et on va prendre l’air. Il fait beau et ça te fera du bien.
- Oui, bonne idée.
Ils se promène dans un parc main dans la main. Elle est vraiment bien avec Antoine et ne veux pas que ce moment s’arrête. Elle l’embrasse, s’appuie contre un arbre. Leur baiser est langoureux. Il lui caresse les seins à travers la robe tandis que Jeanne a passé sa main dans son jean. Elle le dégrafe et sors son sexe qu’elle caresse. Elle passe une jambe autour de lui. Elle écarte sa culotte et se fait pénétrer. Elle mouille et Antoine n’a aucun mal à s’enfoncer en elle. Tous deux prennent beaucoup de plaisir.
- Il y a un homme qui nous regarde.
Antoine fait mine de se retirer.
- Non, reste en moi, ça m’excite. Il me regarde et se branle. Oh, putain je vais jouir.
- Et ben, l’exhibition te met dans un état.
- Oh oui, d’ailleurs, je crois que tu vas avoir besoin de lubrifiant, rentrons.
- Ça t’a donc plus à ce point.
- Je pense que ça va être encore meilleur aujourd’hui.
Une fois à l’appartement, ils se sont vite retrouvés nus sur le lit. Il l’a positionné tête bèche et se faisait chacun du bien. Il découvre que le p’tit trou de Jeanne est déjà un peu ouvert et y enfonce un doigt. Elle allonge son bras, att le lubrifiant et le lui donne. Il badigeonne son orifice et ses doigts. Il la pénètre de deux doigt et Jeanne se met à gémir. Il la met à genoux et la pénètre en enfonçant toujours deux doigts dans l’orifice étroit.
- Prends-moi le derrière, encules moi.
Il se présente et s’enfonce lentement. Jeanne ne ressent aucune gêne ni douleur.
- Vas-y, baise-moi le cul. J’ai envie que tu y ailles fort.
Il la sodomise sur un rythme effréné, ne la ménage plus. Jeanne est déchainée, elle crie de plaisir. Et se met même deux doigts dans la chatte. Elle sent à travers la paroi le sexe d’Antoine. Ils jouissent tous les deux ensembles, au même moment.
- C’est vraiment bon par-là, j’aime ça.
- Tu sais que tu ne vas plus avoir besoin de lubrifiant.
- On essaiera la prochaine fois. Ce soir quoi.
- Tu es insatiable, tu vas me .
- J’aime trop baiser avec toi. Tu sais être doux quand il faut et brutal quand j’ai envie d’être prise sauvagement. Tu m’as fait me découvrir sexuellement. C’est autre chose qu’avec les jeunes mecs.
- Eh, je ne suis pas si vieux. 40 ans, c’est la fleur de l’âge.
- C’est vrai et tu es plutôt en forme pour ton âge.
- Chipie
Ils ont passé le reste du week-end à baiser, à se lover l’un contre l’autre. Effectivement, Jeanne n’a plus besoin de lubrifiant. Pour le remercier de ce week-end, elle l’a sucé jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche et qu’elle avale.
- Je vais devoir y aller.
- Je sais, merci pour ce week-end
- Merci à toi ma belle
- Ça restera entre nous
- Bien évidement. On ne me croirait pas, de toute façon.
- Tant mieux, j’aime être salope mais pas que l’on me traite ainsi, sauf dans l’intimité.
Ils s’embrassèrent. Il ne se passera plus rien entre eux ni avec les autres mécanos.
David insistait et l’appelait régulièrement. Elle était de moins en moins agréable avec lui et avait du mal à s’en débarrasser. Il était vraiment sorti de sa vie. Quelques jours plus tard c’est le père de David qui l’appela. Sur le moment elle pensa que c’était peut-être le moyen de rompre définitivement. Elle accepta le rendez-vous en s’assurant que David ne serait pas là. Elle sonna à sa porte.
- Bonjour Jeanne
- Bonjour Jean-Pierre
- Entre, tu préfères un verre ou un café, il est chaud.
- Si tu as toujours ce mojito tout fait, je veux bien.
- Bien, assied toi dans le canapé, je nous sers ça.
- Tu voulais me parler.
- Oui, tu sais que David est très malheureux. Je suis allé le voir, il est déconfit. Bien sûr, je ne lui rien dit de notre rendez-vous.
- Bon, je vais t’expliquer la situation. Il m’a trompé avec sa collègue, Martine. Ce n’était pas un coup de faiblesse que j’aurais peut-être pardonné, mais ils se voyaient régulièrement et s’est servi d’une soi-disant frigidité de ma part pour arriver à ses fins. Alors, je me suis vengée, le lui ait dit avant de le quitter. Il m’avait fait souffrir, je voulais que lui aussi. Depuis, je suis libre et agit comme je le veux. Disons, que j’ai rattrapé le temps perdu avec ce salaud. Excuse-moi de le traiter ainsi.
- Ah, je n’avais pas exactement la même version, mais passons. Que veux-tu dire par « rattr le temps perdu » ?
L’alcool aida Jeanne à parler en toute franchise. Sa langue déliée, elle enchaîna.
- Je réponds à mes envies et profite du savoir-faire des hommes plus expérimentés.
- Plus expérimentés ?
- Oui, je me suis découverte un penchant pour les hommes murs.
Devant son air interloqué, elle enchaina
- Des hommes de plus ou moins ton âge. Avec eux, j’ai osé des expériences qui m’ont beaucoup fait jouir, de vrais orgasmes. Il suffise que je n’aie pas baisé depuis plusieurs jours pour que je mouille ma culotte devant un homme mur. Et là, ça fait plus d’une semaine si tu comprends je que je veux te dire.
Après un tel aveu, elle attendait que JP ose quelque chose. Lorsqu’il posa sa main sur sa cuisse, elle lui sourit et posa sa main sur la sienne. Elle ne la repoussa pas, bien au contraire, elle la fit remonter encore plus haut avant de la libérer. La main de JP relâchée remonta jusqu’à la limite de sa jupe à la limite de la culotte. Plus un mot ne fut dit. Elle refusa néanmoins le baiser qu’il réclamait mais se laissa embrasser dans le cou. Elle le laissa aussi déboutonner la veste de son tailleur, en écarter les pans et découvrir un joli soutien-gorge en dentelle blanche. Elle se libéra du dossier pour le laisser le dégrafer. Elle se débarrassa de sa veste et libéra ses seins qui pointaient déjà. JP en profita pour palper cette poitrine ferme qui s’offrait à lui et mordilla un après l’autre les tétons. Sa main retournait sur la cuisse et la caressa jusqu’à la jupe qui été bien remontée par sa position. Cette fois, ce sont les fesses qu’elle souleva pour lui permettre de la retrousser. Elle s’abandonnait impudiquement et jouissait de ses caresses sans intervenir. Lorsqu’il la caressa à travers sa culotte, elle ouvrit la bouche et accepta le baiser de JP. Il passa la main et finit par tirer sur sa culotte qui se retrouva à ses chevilles. Elle s’en débarrassa. Il la caressa de nouveau, titillant son clitoris et enfonçant des doigts dans son vagin. Elle le regarda s’enlever chaussures, chaussettes, pantalon et boxer. Elle se pencha et le suça avant de se mettre à genou sur le canapé. JP se positionna derrière elle et la pénétra. Jeanne gémissait de plus en plus fort. En la pénétrant, il enfonça un doigt dans son anus et entendit un oh oui, de Jeanne. Elle était ouverte et il y présenta son sexe. Il s’enfonça dans son petit orifice et y alla entièrement. Il la sodomisa avec vigueur. Jeanne eut un orgasme et JP se libéra dans cet orifice que jamais il aurait pensé explorer. Apaisée, elle se dégagea et le branla osant quelques coups de langue sur le prépuce. Lorsqu’elle sentit qu’il allait éjaculer elle le laissa se branler face à sa bouche ouverte. Elle recevra son sperme dans sa gorge et sur sa langue. Elle ferma la bouche et déglutit.
Elle s’assit près de lui.
- Maintenant, tu comprends que je ne peux plus continuer avec David. J’aime le sexe, l’anal et avaler. David ne m’a pas connu aussi salope.
- T’es trop bonne à baiser. Je vais essayer de lui faire comprendre de te laisser vivre, sans un mot sur ce qui vient de se passer.

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