Julia, Infirmière Libérale

Julia et Morgan se sont connus lors de leurs études d’infirmier. Entre deux révisions, ils passaient leur temps à baiser. Toutes les occasions étaient bonnes à prendre et n’avez aucun tabou côté sexe.
Julia est d’origine italienne. Dernière son visage juvénile se cachait une amante très demandeuse et assez cochonne. Leurs amis disaient que c’était une bombe et Morgan était fier qu’elle soit amoureuse de lui. Dès la fin des études, ils se marièrent. Morgan avait 22 ans et Julia 21. Morgan a été embauché à l’hôpital de leur province quant à Julia se dirigea plutôt vers une carrière d’infirmière libérale. Cependant, elle complétait ses revenus par des gardes dans l’hôpital ou exerçait Morgan.
Malgré des emplois du temps compliqués, ils arrivaient à se réserver du temps ensemble et dans le pire des cas, ils se retrouvaient le temps d’une pose lors de leurs gardes. Cependant après le départ à la retraite d’une infirmière non remplacée, leurs emplois du temps étaient de moins en moins compatibles. Ils n’arrivaient même plus à avoir des gardes ensembles. Morgan insatisfait de la situation, devenait désagréable avec Julia. C’était reproche sur reproche, plus de compliments, lui disait qu’elle avait grossie. Ça devenait du harcèlement mental. Même le sexe était bâclé, Morgan cherchant son seul plaisir. Julia ne comprenait pas et pleurait souvent mais jamais devant lui. Elle se confiait à son amie et collègue, Marine, qui cherchait à la rassurer, que c’était une mauvaise passade. Julia sentait bien que Morgan n’était plus si amoureux qu’au début et elle-même n’aimait pas ce Morgan-là.
Plus du tout satisfaite sexuellement, elle trouvait du réconfort et de la confiance en ses charmes face aux regards des hommes, qu’elle ne remarquait plus jusqu’alors. Les hommes aussi voyaient un changement dans l’attitude de Julia et quelque uns tentèrent leur chance surtout un docteur qui, lors de ses gardes, la draguait ouvertement et sans cesse.


Julia appréciait de se faire séduire et finit par succomber. Elle se laissa entrainer dans la lingerie. Ils s’embrassèrent et très vite, il lui retira sa blouse. Depuis quelques temps, elle ne mettait que des dessous sous ses blouses et il put admirer le corps qui allait se donner à lui. Elle s’agenouilla, fit tomber le bas de sa tunique médical, son boxer et suça ce sexe dont elle avait envie. Elle retira elle-même son soutien-gorge. Lorsqu’il la releva, elle se débarrassa de sa culotte. Elle se pendit à son cou tandis que lui, lui soulevait une jambe pour la pénétrer. Oh, ça lui manquait tellement. Il la baisa ainsi debout avant de la retourner et de la prendre en levrette. Il la fit jouir et se vida en elle. Elle venait de tromper son mari sans remords. Pour se donner bonne conscience, elle chercha à relancer son couple mais rien n’y fit.
Ce jour-là, la dernière visite de sa tournée se trouvait dans une cité assez mal fréquentée. C’était le quartier où les vendeurs de drogues faisaient la loi. Lorsqu’elle entra dans l’immeuble, quatre jeunes étaient assis sur les premières marches des escaliers.
- Où elle va la d’moiselle ?
- Je suis infirmières et je dois donner des soins au troisième.
- Ok mais l’ascenseur est en panne, il va falloir passer par là.
Elle regretta d’être en jupe. Ils s’écartèrent juste pour la laisser passer et se penchèrent sur les escaliers pour voir sous sa jupe. Elle était gênée et rougis mais n’avait pas le choix. Elle les retrouva en descendant.
- Elle est jolie ta culotte mais t’es passé trop vite, on n’a pas bien vu. Tu repasses mais lentement cette fois.
- Vous me laissez le choix.
- Eh non.
Elle s’arrêta à leur niveau quelques instants. Ils la laissèrent descendre et partir sans d’autres exigences. Finalement, ce n’était pas si difficile et dans sa voiture, un frisson la parcouru. Le lendemain, le même manège eut lieu mais cette fois, elle avait volontairement mis une jupe. Elle s’était arrêtée à leur niveau pour leur permettre de voir sa culotte.
Puis, en redescendant, ils ne laissèrent pas passer.
- On n’a vu ta culotte, très jolie d’ailleurs. Maintenant, on veut voir ton soutif.
- Vous me laissez passer ensuite.
- Promis, mam’zelle
Elle dégrafa un à un les boutons de son chemisier puis en écarta les pans. Elle se surpris à le faire lentement. Elle prit le temps de se rajuster. Des sifflements résonnèrent dans la cage d’escalier. La situation la troublait et elle se caressa les cuisses avant de démarrer. Elle a réfléchi longtemps avant de décider de mettre une robe à bretelle sans soutien-gorge. La température lui permit de ne pas mettre de veste.
- Mais on dirait que ça te plait. Tu es de plus en plus sexy m’dame. Oui, on a remarqué ton alliance. On ne voudrait pas te mettre en retard, on te verra à ton retour.
Au retour, ils bloquèrent le passage.
- T’as pas de soutif sous ta robe.
- Non, elle se porte comme ça.
- Tu voulais nous montrer tes seins, c’est gentil ça. Alors vas-y montre.
Elle posa sa mallette et fit glisser les bretelles. Elle cacha d’abord avec ses mains ses deux jolis petits seins.
- Vas-y, enlève tes mains.
Elle les retira et fit admirer sa poitrine.
- Ouahou, très jolie. Demain, tu reviens avec une robe, pareil.
Le lendemain, pendant toute la journée elle a pensé à sa dernière visite et aux quatre garçons qui l’attendait. Là, elle était consciente des risques qu’elle prenait et ça l’excitait.
- C’est bien, très sexy comme ça.
Il n’était que deux ce jour-là et ça la rassura pensant qu’elle pourrait leur échapper si besoin. Elle descendit lentement les escaliers et s’arrêta à quelques marches d’eux.
- Allez, viens t’assoir avec nous.
Elle ne s’attendais pas à ça mais descendit les marches qui la séparaient d’eux et s’assit entre eux. L’un d’eux, fit glisser les bretelles, libérant ses seins qui pointaient. Lorsqu’il posa ses mains sur les seins, elle se pinça les lèvres. Elle ne put retenir un gémissement lorsque le deuxième posa une main haut sur la cuisse.
Elle se laissait faire et l’un tétait ses seins tandis que l’autre avait atteint la culotte. Elle avait le bas de la robe relevé, une main caressait son sexe par-dessus la culotte tandis qu’elle avait posé sa main sur la tête de l’autre. Elle était dans un état d’excitation extrême lorsque la main passa dans la culotte. Elle attrapa la tête de celui qui s’occupait de ses seins.
- Embrasse-moi
Il ne se pas prier et lui roula une pelle qu’elle offrit avec plaisir.
- Viens, on n’est pas bien là. On va au dernier.
Elle les suivit après s’être rajustée. Arrivée en haut, elle se trouva dans une petite pièce avec un matelas où elle s’allongea. A tour de rôle, ils l’embrassèrent en la déshabillant. Elle se trouva avec deux sexes à sucer. Elle s’appliqua à leur faire une fellation. Puis, un premier mit un préservatif et s’allongea sur elle. Elle attrapa son sexe et le présenta à son sexe. Il s’y enfonça et elle gémit immédiatement. Elle entoura de ses jambes le jeune maghrébin qui la baisait. L’autre se faisait sucer puis, ils échangèrent de place toujours protégée de préservatifs. Elle était en transe, jamais elle n’avait couché avec deux hommes et être prise dans le vagin et la bouche en même temps la mettait dans un drôle d’état. Elle se sentait cochonne voire salope. Le premier la retourna et la prit en levrette.
- Oh, tu as un joli p’tit trou qui s’ouvre tout seul.
Un sexe en bouche, elle ne dit rien.
- J’ai envie de t’enculer, je peux.
Elle arrêta sa fellation, tourna sa tête, regarda le jeune et fit un signe de tête. Elle sentit que ça le fit réagir et son sexe se durci dans son vagin. Il sortit du sexe, le présenta à son anus et s’enfonça avec étonnement tant se fut facile. Elle le faisait souvent avec Morgan quand ça allait bien entre eux. Il la sodomisa avec vigueur et elle se lâcha.
- Oh oui, c’est bon. J’aime ça. Vas-y, plus vite, au fond. Oh ouiiiiiii
- T’es trop bonne. Une belle salope.
Puis, il la fit pivoter et elle écarta bien les jambes, les pieds en l’air.
Le deuxième vient se positionner entre les jambes de Julia. Elle le regarda et en signe d’approbation lui sourit. Prise ainsi, elle criait son plaisir.
- Vous êtes trop bon, tous les deux. Oh, j’aime ça. Je suis votre salope. Je n’ai jamais fait ça, c’est trop
Ils en profitèrent pendant longtemps, changeant de place tantôt dans un sens, tantôt dans l’autre. Ils jouirent ensemble et elle eut un véritable orgasme qui la terrassa. Ils la laissèrent récupérer et partirent. Elle ne leur dit pas mais c’était son dernier passage, son patient n’ayant plus besoin de soin.

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