Alice Et Moi 7

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Alice et moi 7
Quelques jours après son premier gangbang, j’étais chez Alice et plus précisément dans son lit un soir où son mari était encore absent. Ses filles dormaient et nous venions de faire l’amour intensément. J’étais encore couché contre elle, ma bite dans sa chatte que je venais de remplir lorsqu'Alice m’avoua qu’elle avait vraiment adoré ce gangbang mais aussi le fait de faire l'amour avec des filles. Elle ajouta qu’elle aimerait faire l'amour uniquement avec une fille pendant des heures. Elle me demanda si je connaissais une fille qui aimerait faire cela. La réponse est évidente : Marine va adorer !
Le surlendemain, Alice arrive à notre appartement. Je l’accueille en l’embrassant et je lui présente Marine. Je n'avais jamais remarqué à quel point les deux filles sont similaires. Outre le fait d’être deux très belles salopes, elle mesure à peu près la même taille même si Marine est légèrement plus grande. Alice est plus pulpeuse car elle doit peser environ dix kilos de plus mais les deux ont des culs splendides. Malgré tout, les seins de Marine sont un peu plus généreux. Leurs cheveux et leurs yeux sont de la même couleur. Elle porte toutes les deux des jupes très courtes et des hauts qui ne cachent pas grand-chose. La chose qui les différencie le plus est finalement les dix ans qui les séparent. Bref, je suis devant deux jolies filles qui s’embrassent sur la bouche. Marine entraîne alors Alice vers notre chambre. Alice prend soin de fermer la porte avant que je n'entre. Juste avant, mon regard croisé celui de Marine qui me fait un grand sourire car ce que ne sait pas Alice, c’est que même si elle ferme la porte, je ne vais rien rater du spectacle. En effet, il y a une caméra dans notre chambre et je vais donc immédiatement m'assoir devant la télé.
Je l'allume et je vois alors les deux filles qui s’embrassent tendrement. Leur langue se mêlent.

Elles sont allongées sur le lit cote à cote. Elles se caressent. Leurs mains parcourent leur corps. Marine fait basculer Alice sur le dos et se place au-dessus d’elle. Alice fait glisser le haut de Marine. Je peux voir ses superbes seins qui pointent. Elle se penche sur Alice pour lui lécher les seins. Puis les mains d'Alice font glisser la jupe de Marine qui ne porte rien d’autre. De la mouille coule déjà de sa chatte. J’étais sur que ma chérie allait adorer se taper Alice. Marine se redresse et embrasse le ventre d’Alice. Elle fait glisser le haut d'Alice qui se tortille pour finalement le quitter complètement. Marine bouffe les petits seins d'Alice qui dont si délicieux. Alice gémit et prend son pied. Après quelques minutes de cette douceur, Marine descend vers sa chatte. Elle fait glisser la jupe le long des cuisses d’Alice. Elle fait de même avec son string puis elle se jette sur sa chatte toute lisse.
Marine a énormément de talent pour sucer une bite mais elle en a tout autant pour lécher une chatte. Les gémissements d'Alice le confirment. Elle couine et prend vraiment son pied. Après de longues minutes, Marine pivote et vient placer son cul au dessus du visage d'Alice. Les deux filles se lancent dans un 69 endiablé. Les gémissements et les bruits de succion remplissent la pièce. Les deux cochonnes se font ainsi plaisir une bonne vingtaine de minutes. Puis Marine se redresse. Elle s'allonge sur Alice et elles s’embrassent. Les mains de Marine caressent le visage et les seins d’Alice dont les mains pétrissent les fesses de Marine. Puis Marine se frotte au corps d'Alice. Elles frottent leur chatte l’une contre l’autre pour leur plus grand plaisir. Marine att ensuite un gode à double extrémité. Elle l'enfonce dans la chatte d’Alice et elle s’empale sur l'autre extrémité. Elles font onduler leur bassin dans des mouvements très sensuels. Leur chatte sont de plus en plus proches. Parfois le gode disparaît entièrement dans les deux filles.
Marine décide de faire mettre Alice à quatre pattes.
Elle lui bouffe le cul et joue avec. Puis elle sort son gode ceinture. Mais à cet instant, la situation dé car les deux filles veulent enfiler l'autre. Commence alors une « lutte » au corps à corps. C’est tellement excitant de les voir se chamailler nues sur mon lit. Je savais que Marine est dominatrice avec les filles mais je ne pensais pas qu'Alice voudrait aussi l’être. Alice étant plus lourde que Marine, elle fini par prendre le dessus. Elle est allongée sur Marine qui est elle allongée sur le ventre. Alice lui tire les cheveux et fait bouger son bassin pour frotter sa vulve contre les fesses de Marine. Elle voudrait sûrement mettre le gode ceinture mais elle ne pourra pas le faire sans lâcher Marine. Et encore moins car elle n'en a jamais mis. Je vois que Marine regarde sans arrêt vers la caméra et qu’elle n’apprécie pas la situation. Connaissant le caractère de la bête, je décide d’intervenir. Je me déshabille et entre dans la pièce.
Alice est surprise de me voir et Marine profite de sa surprise pour se dégager de son emprise. Elle se dégage et entraîne Alice sur le dos. Avant que cette dernière ne bouge, je me jette sur elle et je plante ma bite dans sa chatte. Alice couine et me demande ce que je fais. Marine répond :
«
- Il vient à la rescousse de sa chérie. J’ai horreur d’être dominée par une fille. C’est moi qui domine des salopes de ton genre.
- Mais là tu étais en galère ma chérie.
- Tu en as mis du temps à arriver !
- Je voulais voir comment tu te débrouillais !
- Oui bien sûr. En attendant, on va te défoncer tous les deux ma salope. »
Marine a fini de mettre le gode ceinture. Je m'allonge sur le dos et lorsque Marine lui ordonne de s’empaler sur ma bite, elle s’exécute car elle a bien compris que je suis du côté de Marine. Alice se laisse tomber sur ma queue et vient m’embrasser. Je vois Marine se rapprocher avec le gode ceinture. Soudain Alice hurle dans mon oreille. Marine vient de la sodomiser. Elle lui tient les hanches et la culbute violement.
Elle lui met aussi des grosses fessées qui claquent sur son gros cul. Rapidement, Alice jouit et s’écroule sur moi. Je la pousse pour qu’elle soit sur le dos et Marine vient s'assoir sur son visage. Alice lui lèche la chatte. Je me lève et présente ma bite à ma chérie qui me la suce. En plus des bites, Alice doit maintenant bien lécher les chattes puisque Marine fini par jouir. Quelques instants après, j’éjacule dans sa bouche. Elle se lève et embrasse Alice pour partager mon sperme avec elle.
Nous nous allongeons tous les trois les uns contre les autres. Alice s’excuse auprès de Marine. Elle lui dit que ce n’est rien. Alice nous dit qu’elle a vraiment adoré cette expérience mais qu’elle aimerait dominer une femme. Marine lui répond que je peux lui organiser cela sans soucis !
Je demande à Alice si elle a des préférences sur la fille. Elle me répond qu’elle aimerait dominer une fille genre pétasse blonde et allumeuse pour se « venger » d’un groupe de filles qui ressemblaient à cela et qui l’embêtaient au lycée. Je n'ai donc pas besoin de réfléchir bien longtemps. Cette connasse de Corinne fera l'affaire. Et en plus je pourrais aider Alice cette fois si elle le souhaite. Je propose donc Corinne a Alice et je lui explique la situation et l’historique que j’ai avec elle (si ce n’est pas déjà fait, je vous invite à lire Une amie de ma mère 1 et 2 ainsi que Ma sœur, Corinne et moi). Alice me dit que l'on pourra se venger ensemble alors et que sachant ce que m'a fait Corinne, elle a encore plus envie de la dominer et de la violenter.
Alice sera disponible le week-end suivant car ses s seront chez ses beaux-parents et son mari encore absent. J’envoie donc un sms à Corinne pour lui dire de venir ce week-end là. Évidemment, elle rechigne mais la vidéo que je lui envoie où on la voit en train de me sucer dans les chiottes fini de la convaincre. Et plus tard, je reçois un sms où elle me dit qu’elle passera le week-end dans ma ville et qu’elle a loué un logement dans une résidence de vacances car elle a ses s ce week-end là.
Ils ont 15 et 18 ans, ils pourraient bien se garder tous seuls ! Et si Corinne pense pouvoir profiter de la plage avec eux, elles se trompent. J’annonce à Alice et Marine que c’est bon. Marine entraîne alors Alice dans le dressing et lui donne un sac contenant plein d’objets BDSM. Je ne sais même pas exactement ce qu’il contient car c’est Marine qui s'en sert lorsqu’elle domine des filles.
Le week-end arrive et le vendredi soir Corinne m’envoie un sms pour me dire qu’elle est arrivée. Elle doit m’attendre près d'un bois sur un parking isolé d’une plage. Je passe prendre Alice chez elle et nous nous y rendons. En arrivant, Corinne porte une robe qui cache à peine son 95D et qui s’arrête mi cuisse. Alice me dit : « elle a vraiment une tête et un look de pétasse. Je vais me régaler avec elle ! »
Nous descendons et Corinne me demande qui est cette fille. Je lui réponds que c’est Alice et qu’elle va la dominer pour le week-end. Corinne éclate de rire et répond que ce n'est pas cette sainte nitouche avec son gros cul qui va lui faire peur puis elle se met à rire. Je sens Alice hyper vexée et surtout j’ai l’impression que cette phrase refait monter des mauvais souvenirs en elle. Alors que Corinne rit aux éclats, Alice s'approche d'elle et lui colle un énorme coup de poing sur le visage. Je suis très surpris mais pour les raisons que vous savez, j’apprécie de voir cette connasse de Corinne s'en prendre une. Alice lui att les cheveux et les tire pour forcer Corinne à la regarder. Corinne saigne un peu au niveau de la tempe. Alice lui dit que ce n’est qu’une grosse salope et qu’elle va passer le pire week-end de sa vie. Puis elle me demande d'ouvrir la porte de la voiture. A la place, j'ouvre le coffre. Sans lâcher les cheveux blonds de Corinne, Alice l'oblige à monter dans le coffre. Je le referme. Alice m'embrasse tendrement et nous rentrons chez moi. Pour laisser Alice vivre ses envies à fond, Marine est partie passer le week-end chez ses parents.
En arrivant chez moi, j'ouvre le coffre et Alice l’att de nouveau par les cheveux. Elle la traine ainsi jusque dans la chambre où elle la balance par terre. Visiblement, le coup de poing qu’elle a pris à clairement mis les choses au point car Corinne n'ose plus bouger et elle appelle Alice « Madame ». Je reste au niveau de la porte et je regarde Alice s’approcher de Corinne qui est toujours assise par terre. Alice pose son pied sur le haut de la poitrine de Corinne et elle l'oblige à s'allonger sur le dos. Elle se met à genoux à califourchon sur sa soumise. Elle lui caresse le visage doucement puis lui dit :
«
- C’est vrai ce qu’il m’a raconté ? Tu as vraiment fait ça à un ado ?
- Oui Madame [Alice lui met une violente gifle qui fait crier Corinne]
- Tu n'as pas honte salope d'avoir fait souffrir un ado et ses parents ?
- Je suis déso…
- Ta gueule pétasse [Elle lui remet une violente gifle]. Tu n'es qu’une allumeuse. Une pute, une moins que rien. Je suis sur que tu embêtais les filles qui était plus réservée avant. Je me trompe ?
- Non Madame.
- Tu aimais enmerder les plus faibles que toi ou humilier les moins populaires de la classe ?
- Oui Madame [Alice lui adresse encore une claque]
- Tu es une cougar ?
- Oui Madame.
- Tu couches avec beaucoup de mecs ?
- Oui Madame.
- Des amies de tes s ?
- Oui madame.
- Tu es vraiment une connasse. Jerinak n'avait rien exagéré. Tu ne mérites qu’une seule chose salope. C’est d’être sévèrement punie. »
Alice lui balance cinq ou six autres baffes en la traitant de tous les noms. Connaissant la Alice toute douce et timide et même en ayant vu son côté la plus salope, je suis surpris de son comportement. Mais j’aime la voir reprendre les choses en mains et se venger à sa manière. Elle se redresse tout en restant au dessus de Corinne. Elle att la robe de Corinne au niveau des seins et d’un coup sec, elle déchire la robe jusqu’à son bassin. Elle empoigne les gros seins qui sont devant elle. Puis elle tire dessus jusqu’à ce que le visage de Corinne soit déformé par la douleur. Elle les balance les uns contre les autres et les frappe. Ensuite elle se positionne entre les cuisses de Corinne et elle fini de déchirer la robe en disant qu’elle était moche. Elle pince le clito de Corinne qui se met à hurler. Puis elle enfonce violement deux doigts dans sa chatte. Je remarque que Corinne doit vraiment avoir peut car elle ne mouille pas contrairement aux fois où je l'ai dominé.
Alice l'att par les cheveux et l'oblige à se mettre à quatre pattes. Elle se dirige vers le sac que lui a remis Marine. Elle en sort un bâillon avec une balle (désolé pour les puristes si cette objet à un nom). Elle l’insère dans la bouche de Corinne qui n'ose pas se débattre. Ensuite Alice lui rapproche les mains et la menotte. Elle lui met alors des pinces sur les tétons. Elles sont reliées par une chaine mais Alice n’y accroche pas de poids. Elle sort un martinet du sac. Elle se place derrière Corinne qui ne la voit pas. Soudain elle frappe le cul de Corinne avec. Les lanières cognent contre la peau de Corinne qui gémit de douleur. Mais comme elle est bâillonnée, elle ne fait pas beaucoup de bruit. Pendant près d'un quart d’heure, Alice frappe ainsi le cul, le dos et les cuisses de Corinne. Cette dernière a des marques partout.
Alice s'approche de Corinne et remarque qu’elle mouille un peu. Elle l'oblige à écarter les cuisses et elle fourre le manche du martinet dans la chatte de Corinne qui se remet à gémir. Elle fait des va et viens avec le manche pendant quelques instants. Puis lorsqu’elle juge que Corinne mouille assez, elle att la chaine des pinces à téton pour la faire s'allonger sur le lit et sur le dos. Elle prend une autre paire de menottes et attache les poignets de Corinne de chaque côté du lit. Puis avec des sangles, elle attache ses jambes. Corinne est allongée sur le lit, les cuisses grandes ouvertes et elle ne peut pas bouger. Elle est totalement à la merci d’Alice. Alice, qui porte toujours son petit short en jean qui moule admirablement son cul et son haut, vient m’embrasser. Nous nous embrassons tendrement de longues minutes. Je la caresse et elle en fait autant. Elle me dit qu’il va falloir que notre trainée mouille plus pour la prochaine étape. En disant cela elle touche mon short qui est déformé par ma bite en érection. Elle me déshabille et en profite pour caresser mon corps. Elle me prend par la main et m’entraine vers Corinne. Je me place au-dessus d’elle comme l'a fait Alice tout à l’heure. Je frotte son visage avec ma bite. Puis je lui mets des biffles. Cela existe beaucoup Alice qui vient se frotter contre moi. Elle att même ma bite et frappe Corinne avec. Elle place maintenant ma bite entre les gros seins de Corinne. Je commence à me branler dedans. Pour que la pression soit plus forte, Alice tire sur la chaîne. Cela fait remonter les seins de Corinne. Ma bite s'enfonce entre ses deux globes de chair. Alice tire tellement fort que je me branle vraiment bien. Si c’était plus humide, je me croirais presque dans une chatte. Alice fini par tout lâcher et constate que les bites excitent terriblement Corinne car elle mouille maintenant en abondance. Elle me demande donc de me retirer pour la laisser faire. Je mets une claque à Corinne et retourne au niveau de la porte.
Alice sort alors un énorme gode du sac. Il doit faire environ dix centimètres de diamètre. Je peux voir la terreur sur le visage de Corinne. Alice présente ce mastodonte devant la chatte de la soumise. Elle a un énorme sourire aux lèvres. Elle le frotte un peu contre la chatte de Corinne pour le lubrifier puis elle l'enfonce lentement dans le vagin de la pute. Corinne hurle et tente de se débattre mais elle est bien attachée. Alice et sans pitié et elle enfonce les vingt centimètres du gode sans s’arrêter. Des larmes coulent sur les joues de Corinne. Alice ressort le gode et le remet dans la salope. Elle le fait de plus en plus vite et de plus en plus violement. Corinne n'en peut plus. Son corps se crispe et cela procure du plaisir à Alice. Après dix minutes de ce gros gode, Alice le retire pour de bon. Corinne est soulagée. Mais la vision de la chatte complètement explosée donne une idée à Alice. Elle y enfonce trois doigts et rapidement quatre et finalement son poing. Pour la première fois de sa vie, elle fiste une femme. Elle y enfonce son poing et une partie de son avant bras. Elle le fait avec violence et rapidité. Contre toute attente, Corinne part dans un immense orgasme. Son corps se raidi et beaucoup de mouille s’écoule de sa chatte. Puis elle s'effondre, sonnée par cet orgasme. Alice retire sa main et l’essuie sur le ventre de sa soumise. Elle quitte la pièce en me disant de me vider les couilles. Étant donné que sa chatte est complètement explosée et dilatée, je décide de lui retire son bâillon. Elle est quasiment inconsciente et je dois donc prendre sa tête avec mes mains pour lui baiser la bouche. Je fourre violement sa bouche avec ma bite. Elle manque de s’ et de vomir à plusieurs reprises mais je vais jusqu’au bout et je la rempli de sperme. Je l'oblige à avaler.
Alice qui me regardait faire de loin, s'approche et détache Corinne. Elle lui retire les pinces à téton. Elle la fait asseoir au pied du lit et elle l’attache dans une position inconfortable pour l’empêcher de dormir. Et lui met aussi un gode qui est relier à un boitier dans la chatte et qui va vibrer régulièrement. Elle prend son portable et lui demande le code pour le déverrouiller. Elle me le donne pour que j’envoie un message à ses s en disant que maman va être très prise pour le week-end. Voici le sms que j’envoie à la fille de Corinne : J’ai retrouvé un mec en ville. Je vais passer le week-end avec lui. Je vous retrouve dimanche en fin d’après-midi. Profitez bien du week-end. Bisous.
Puis Alice se déshabille et nous faisons l’amour une bonne partie de la nuit avant de nous endormir l'un contre l'autre avec Corinne attachée au bout lit.
Le lendemain matin, je suis réveillée par les gémissements de Corinne. Elle a toujours les poignets attachés au lit. Elle est debout, penchée en avant et Alice est derrière elle avec le gode ceinture. Elle culbute Corinne très violemment. Alice tire les hanches de Corinne vers l’arrière pour s'enfoncer profondément en elle. Corinne prend cher et elle gémit comme une pute. Alice lui tire alors les cheveux pour obliger Corinne à se cambrer d'avantage. Alice me demande alors de faire taire Corinne. Je me lève et me place devant elle. Je l'att par la frange et je fourre ma bite dans sa bouche. Comme elle ne veut pas sucer d’elle-même, je pose mes mains derrière sa tête et je lui baise la bouche. Alice se délecte de se spectacle. Tout en la culbutant, elle att les gros seins de Corinne et tire dessus. Le visage, les seins et le cul de Corinne ont un point commun. Ils sont tout rouge ! Elle manque de s’ à plusieurs reprises tellement ma bite remplie sa bouche.
Alice me demande de la rejoindre. Je l'embrasse et elle me demande de la baiser. Son cul est encore bien ouvert après notre baise d'hier. Je me mets derrière elle et je rentre dans son cul. Elle gémit de plaisir. Je fais des mouvements lents comme elle les apprécie au début. Puis je prends son bassin à pleine main et je m'enfonce au plus profond de son cul rebondie. Cela a pour effet de la faire avancer et le gode ceinture s'enfonce alors dans Corinne qui couine. J’ai l'impression de baiser deux femmes en même temps. Je culbute donc Alice sauvagement et Alice baise Corinne sauvagement. A chaque coup de bite, j'entends les deux cochonnes gémir. Je les culbute une vingtaine de minutes avant de jouir sur me cul d'Alice. Alice va se placer devant Corinne et elle lui oblige à lécher son cul. Corinne peine à rester de bout. Alice décide d'attacher ses poignets à ses chevilles dans une position inconfortable. Elle lui couvre les yeux et la laisse dans cette position pendant que nous allons déjeuner tout les deux car le temps passe et il est quasiment midi.
Nous mangeons et Alice réunit les restes dans une assiette qu’elle pose devant Corinne. Elle lui met la tête dedans et lui dit de manger. Alice demande :
«
A- Tu as quoi comme s salope ?
C- Une fille et un garçon madame.
A- C’est une salope comme toi ta fille ?
C- Non madame. Elle a même un petit ami depuis 3 mois.
A -Étonnant que tu n’ais pas sorti une pute de ton ventre !
C -Elle est sage madame.
A-Elle est mieux que sa mère ! Elle est bonne ?
C- Elle est …
A- Ta gueule connasse, ce n'est pas à toi que je parle.
J- Elle a un corps de gamine et elle est plate mais oui elle est bonne.
A- Tu l'as déjà baisé ?
J- Non sa mère a réussi à faire en sorte que ça n’arrive pas.
A- Mais tu aimerais baiser la fille de la salope qui t'as fait du mal.
J- Oh que oui !
A- Et on fils salope, c’est un pervers ?
C- Non madame. Il est très sage.
J- C’est marrant ce n'est pas les échos que j’ai. Je connais bien une pionne d’où il est en cours et plusieurs filles se sont plaintes qu’il les tripote. Il aurait même essayé d'en violer une avec un pote à lui mais heureusement d'autres filles sont arrivées à temps pour la sauver.
C- Ils ne lui a rien fait.
J- Non parce qu’ils n’ont pas eu le temps. Mais ma fille était à moitié nue.
A- Il est comme sa mère. C’est une sous-merde. Je vais le faire payer.
C- Non pitié.
A- Ta gueule [elle lui met un coup de poing]. Tu es une pute qui n'a pas élevé son fils correctement. Il a traumatisé une fille et il doit le payer. Ton corps souffre mais maintenant on va faire souffrir ton esprit. Jerinak va aller baiser ta fille et moi je vais punir ton fils ! Où est ce qu’on peut les trouver ?
C- Je ne sais pas [elle se prend deux claques]
A -Dis moi et vite. Plus tu me feras perdre mon temps et plus tu vas prendre de coups. Si tu ne réponds pas à ma prochaine question, j’utilise le fouet sur tes seins. Alors ils sont où ?
C- Ma fille doit traîner sur la plage et mon fil doit être dans la chambre avec sa console. C’est la 416 »
Alice la bâillonne. Elle la détache du lit et la fait entrer à quatre pattes dans une cage juste assez grande pour la contenir. Elle fait passer les poignets de Corinne entre les barreaux et les menottes. Puis elle promet à Corinne qu’elle ne ratera rien de nos baises avec ses s. Nous prenons des caméras et nous partons vers la résidence. Une fois sur place, nous prenons la direction de nos cibles. Je regarde Alice s’éloignée. Elle porte une mini-jupe vraiment courte qui couvre à peine son cul et un top sans bretelle. Elle a aussi le sac BDSM sur l’épaule. De mon côté, je prends la direction de la plage qui est en contre bas.
Évidement, je ne peux pas vous raconter deux événements qui ont lieu en même temps. Mais ne vous inquiétez pas, comme Corinne, vous n'allez rien manquer. En début de soirée, je reçois un sms d’Alice qui me demande de la retrouver à l’arrière du bâtiment. Lorsque j'arrive, elle est avec le fils de Corinne. Elle le fait monter dans le coffre. Il ne résiste pas. Il a du prendre cher. Alice me demande d'aller assez loin dans un endroit isolé. Je roule sept kilomètres. Je me gare dans un coin isolé entre les arbres. Nous faisons sortir le fils du coffre. Elle l'oblige à se déshabiller. Elle lui colle une dernière baffe et lui rappelle que s’il raconte quoique ce soit, ces camarades de classe seront certainement moqueurs après avoir vu la vidéo de cet après-midi. Elle ajoute que s’il ne raconte pas la vérité de ce qu’il a fait à la fille, la vidéo sera aussi diffusée. Puis nous l’abandonnons ici.
Lorsque nous arrivons chez moi, Alice libère Corinne et l’amène dans le salon pendant que je télécharge le contenu de nos caméras. Alice fait asseoir Corinne par terre devant le canapé qui est en face de la télé. Elle lui donne un peu d'eau car Corinne est desséchée. Puis elle lui passe une sorte de muselière qui lui permet de tirer sur sa tête grâce à une chaine. Alice s’assoit derrière elle sur le canapé et elle la prévient que si elle quitte l’écran des yeux, elle prendra un coup de fouet par seconde de vidéo non regardé. Nous tirons à pile ou face et c’est finalement la vidéo d’Alice que nous allons regarder en premier.
L'image apparaît. Alice vient d'allumer sa caméra qu’elle a positionnée sur le sac. Elle frappe à la porte de la location de Corinne. Son fils ouvre la porte et Alice se fait passer pour une masseuse. Il répond qu’il n’a rien demandé. Alice lui dit que c’est sa mère qui a commandé le massage pour lui. Il râle en disant que même quand sa mère est ailleurs en train de se faire baiser, elle arrive à l’enmerder. Corinne a l’air choqué de ses paroles. Alice dit à son fils que s’il ne veut pas se faire masser par elle ce n’est pas grave et elle se penche sensuellement pour ramasser son sac. On peut voir le fils la mater avec un regard de pervers. Il accepte finalement le massage. Alice entre dans la chambre et lui demande de se déshabiller et de s'allonger sur le lit. Il se déshabille devant elle et sans aucune gêne. Puis il s'allonge sur le ventre. Alice en profite pour poser la caméra sur une table à coté de son sac puis elle commence un semblant de massage. Elle n’est pas experte mais cela suffit à exciter le jeune homme qui est trop content de se faire masser par une femme sexy et plus âgée que lui. Cela fait surgir ses instincts primaires et pervers. Il s’enhardit et demande à Alice si elle fait des massages nue. Elle répond que ce n’est pas le forfait prit par sa mère. Il râle mais comme Alice a un objectif en-tête elle lui dit que comme il est mignon, elle peut le faire pour lui. Elle se déshabille devant ce petit pervers qui n'en perd pas une miette puis elle se met à califourchon sur lui. Elle frotte ses seins contre le dos du fils de Corinne. Elle lui susurre à l’oreille de se retourner. Évidement il bande comme un porc. Mais ce à quoi Alice ne s’attendait pas, c’est qu’il a une toute petite bite (évidemment nous nous moquons de Corinne d'avoir pourvu son fils d’une si petite bite alors qu’elle aime en prendre des grosses). Alice att cette petite queue qui disparaît complètement dans sa main. Elle le branle un peu et le gamin devient fou. Il lui ordonne de le sucer car c’est d’après lui la seule utilité des femmes.
A ce moment là, Alice lui colle le même coup de poing qu’elle avait mis à sa mère et elle s’assoit sur son torse. Le frêle gamin ne parvient pas à se défaire de l'emprise d’Alice qui parvient à le menotter au lit. Puis elle le bâillonne avec une boule dans la bouche. Il est maintenant à sa merci. Il tente encore de se débattre mais Alice n'a aucun mal à lui bloquer les jambes avec une sorte de barre dont j'ignore le nom. Dans cette position, il a le cul très accessible. Alice enfile un gant et lui demande s’il a déjà pris une bite dans le cul. Il lui fait non de la tête. Il tente de parler. Alice défait le bâillon et il dit :
«
- Pitié ne fait pas ça !
- D’abord tu me vouvoie et tu m’appelle madame.
- Ne faites pas ça madame.
- Si tu vas voir c’est agréable !
- Pitié [il se met à pleurer]
- Oh tu as peur ?
- Oui
- Et la fille que tu as essayé de violer. Tu penses qu’elle n’a pas eu peur ?
- Je n’ai rien fait madame.
- Ce n’est pas ce que l'ont m’a dit.
- Je vous jure
- Et pourquoi elle était dénudée.
- Je ne sais pas.
- Ah donc tu admets qu’elle était dénudée ?
- Oui mais …
- Ta gueule. J'en ai assez de tes mensonges. Si tu ne me dis pas tout de suite la vérité, je t’enfonce ce gros gode dans le cul [elle sort l’énorme gode qui a fait souffrir Corinne].
- Non ok ok c’est bon. J’avoue qu’on voulait la violer. J’ai essayé de sortir avec elle et elle m’a rejeté alors j’ai …
- Ferme là espèce de merde. Quand une fille te dit non, ça ne te donne pas le droit de la violer. Tu vas le payer. »
Alice remet le bâillon et elle enfonce un doigt dans le cul du gamin dont le hurlement est masqué par le bâillon. Elle lui doigte ainsi le cul un long moment avant d'engager un second doigt. Il se tort de douleur mais rapidement, ce petit cochon prend son pied et les crises de douleurs laissent place au plaisir. Alice enfonce un troisième doigt qui lui procure toujours du plaisir. Elle fouille dans le sac et trouve un gode qui est la réplique d’une bite normal. Elle retire le bâillon et lui enfonce dans la bouche pour qu’il la suce. Lorsqu’il est assez lubrifié, Alice présente le gode devant le cul du gamin et elle l'enfonce lentement mais sûrement. Il aime tellement cela qu’il bande comme un fou. Elle le gode intensément puis elle lui dit qu’il est temps de passer à l’étape suivante. Elle enfile alors un gode ceinture et se place entre les jambes du fils de Corinne. Elle lui caresse le torse et branle un peu sa petite bite. Puis elle lui bourre le cul. Il gémit à la fois de douleur et de plaisir tant les pénétrations sont violentes. Alice le défonce et après de longues minutes, sa petite bite laisse couler du sperme. Il vient de jouir ! Alice se retire de lui et le prends en photos. Pensant avoir fait plaisir à Alice, il lui demande s’il peut la baiser. Alice éclate de rire et lui répond qu’elle ne se fait baiser que par des vrais mâles bien montés. Elle le détache et lui ordonne de se goder tout seul pendant qu’elle filme. Il hésite mais la gifle qu’il reçoit le fait changer d’avis. Il se gode donc jusqu’à avoir un autre orgasme. Alice range alors tout le matériel et lui ordonne de s’habiller et de la suivre sans faire d’histoire. Elle ajoute qu’il ne devra rien dire sauf avouer la tentative de viol sinon la vidéo de son godage parviendra à son entourage.
La vidéo s’arrête là et nous pouvons voir des larmes couler sur les joues de Corinne. Elle est sous le choc de ce que son fils a dit sur elle et de ce qu’il a fait. Il est maintenant temps de lancer la vidéo que j’ai tourné avec sa fille.
J'arrive sur la plage que m'a indiqué Corinne et je me mets à la recherche de sa fille. Heureusement ce n’est ni la plus grande ni la plus fréquentée du coin. Je finis par la trouver. Elle est assez isolée. Je m'approche d’elle et quand elle le voit, elle me fait un grand sourire. En m’approchant, je la déshabille du regard. C’est une blonde toute mignonne. Elle mesure environ 1m75 comme sa mère mais elle est toute fine. Ses seins sont quasi inexistants mais elle a tout de même un joli petit cul. Elle a un corps d’adolescente et fait très jeune. Heureusement que sa mère a dit plutôt qu’elle venait d'avoir 18 ans parce qu’on lui en donnerait à peine 16. Je lui dis que c’est un sacré hasard et je m’installe à côté d'elle. Ses yeux bleus ne me lâchent pas. Nous commençons à parler et à un moment je lui demande :
«
- Et ta mère ça va ?
- Oh oui.
- Elle ne vient pas à la plage ?
- Non elle est encore parti retrouver un mec comme toujours !
- Comment ça ?
- Elle passe son temps à se taper plein de mecs. Elle préfère ça que d’être avec ses s.
- Ah ok.
- Et toi tu as un mec ?
- Euh non pas en ce moment ! [Quelle menteuse ! Mais elle veut donc que je pense qu’elle est célibataire]
- Et comment ça se fait qu’une jolie fille comme toi n’en a pas ?
- Oh je ne sais pas. Euh… je n’ai pas du trouver le bon encore.
- Tu ne devrais pas avoir de mal ! [Je pose une main sur sa cuisse et la caresse lentement. J’approche aussi mon visage du sien]
- Tu, tu me trouves jolie ?
- Oui tu es superbe ! [Je l'embrasse et elle répond immédiatement à mon baiser. Sa langue vient trouver la mienne].
- Je te trouve trop beau toi aussi. J’ai toujours rêvé de coucher avec toi. Depuis que je me masturbe, j’ai toujours pensé à toi en me touchant.
- Alors je te propose qu’on en profite parce que c’est génial de baiser avec la personne avec qui on rêve de le faire pendant ses séances de masturbation !
- Tu l'as fait toi ?
- Oui.
- Avec qui ?
- Une amie de ma mère. »
Nous reprenons nos baisers, elle s'allonge sur moi et ses mains parcourent mon torse. Les miennes sont sur ses petites fesses. Puis une descend vers sa chatte. Son maillot de bain et trempé et pourtant elle n'est pas allée dans l'eau. Je lui propose d'aller dans un endroit tranquille que je connais. Elle accepte. Nous prenons nos affaires et je prends sa main pour l’entraîner vers cet endroit. Nous nous enfonçons entre des rochers et après quelques mouvements d’escalade, nous sommes au pied d'un ancien bunker abandonné. Le bunker, les débris et les roches rendent le banc de sable où nous sommes presque inaccessible. Et surtout nous sommes à l’abri des regards. Je pose les affaires et je lui demande si je peux filmer ? Elle accepte uniquement si je lui envoi la vidéo en souvenir. J’accepte car nous verrons mieux que si la caméra reste à moitié planquée dans mon sac à dos.
Je voulais la maltraiter pour me venger de sa mère mais elle est si mignonne que je veux juste la baiser normalement. Et puis cela suffira à faire souffrir sa mère. Je la prends dans mes bras et nous nous embrassons de nouveau. Je lui enlève son haut de maillot et ma langue joue avec ses tétons. Puis je fais tomber son bas de maillot et découvre sa petite chatte toute lisse et très humide. J'embrasse l’intérieur de ses cuisses et cela l’a fait gémir. Elle est toujours debout mais elle prend appui sur le mur du bunker. Ma langue passe sur son clito et elle gémit. Je titille son clito un moment puis j’enfonce la langue dans sa chatte. Elle a exactement le même goût que sa mère. Après m’être délecté de son nectar, je retourne sur son clito et j'enfonce deux doigts dans sa chatte. Je la branle et elle couine de plus en plus fort. Son mec ne doit pas trop bien la baiser. Elle atteint rapidement l'orgasme et se laisse glisser le long du mur car ses jambes ne peuvent plus la porter.
Je me lève et baisse mon short. Elle comprend et elle prend ma bite avec sa main. Elle l'approche de ses lèvres et commence à me sucer. Elle ne doit pas trop sucer et elle est moins experte que sa mère mais voir cette gamine me pomper m’excite énormément. Lorsque je suis bien dur et sachant qu’elle ne me fera pas plus de bien, je décide de la sauter. Et je dois faire vite car la marée monte et nous avons les pieds dans l'eau. Je lui dis de se mettre à quatre pattes. J'enfile une capote et je me place derrière elle. J’insère ma bite dans sa petite chatte qui est hyper étroite. J’ai presque l’impression de la dépuceler. Elle est si étroite qu’il lui faut plusieurs aller retour avant de ne plus avoir mal et d’éprouver du plaisir. A partir de cet instant, je la saute aussi violement que je saute sa mère. La gamine gémit sous mes coups de bite. Je la défonce et elle adore ça. Au bout d’une dizaine de minutes, elle jouit de nouveau. Mais je continue de la prendre. Mon doigt joue avec son cul et je l'enfonce dedans. Elle hurle et me dit qu’elle ne l'a jamais fait. Je lui dis que c’est le moment. Je sors ma bite de sa chatte et la place devant son cul. Je l'enfonce lentement jusqu’au bout. Ma bite déchire le petit cul de cette gamine salope qui crie. Mais plus je l'encule et plus ses cris de douleurs se transforment en gémissements de plaisir. Pas de doute elle est comme sa mère. Elle est faite pour baiser. Plus elle couine et plus cela m’excite. Je la culbute de plus en plus fort jusqu’à jouir en étant au fond de son cul. Je sors d’elle et elle s'effondre par terre. Elle tombe dans l'eau qui est déjà bien montée. Je retire la capote et je la place devant son visage. Je lui dis d’ouvrir grand la bouche. Puis je vide la capote dedans. Elle avale tout mon sperme et reste assise dans l'eau. L'eau fraîche doit lui rafraîchir sa chatte et son cul qui sont en feu ! Elle me dit :
«
- Merci c’était trop bon.
- Tu l'as dit.
- J’espère que je n’ai pas été trop nulle.
- Tu te débrouille pas mal pour ton âge.
- Tu avais raison c’est trop bien de réaliser ce fantasme.
- Oui je sais. Tu avais l’air en manque de cul.
- Mon mec euh enfin …
- T’inquiètes je sais que tu as un mec.
- Comment ?
- Ton fond d’écran.
- Ah… désolé de ne pas avoir été honnête mais je te voulais tellement.
- Pas de soucis, je n’ai pas été tout à fait honnête moi non plus.
- Pourquoi ?
- Celle sur qui je me branlais et avec qui j’ai fini par baiser, c’est ta mère.
- Tu as baisé ma mère.
- Oui. Vous avez le même goût. Et tu as de bonnes prédispositions pour être une bonne salope comme elle.
- J’espère que je ne deviendrai jamais une pute comme elle. Je ne veux pas que tout le monde sache que je suis la salope du quartier ni que mes s me détestent parce que je passe plus de temps avec des bites qu’avec eux.
- Alors fait bien attention à toi parce que tu viens déjà de tromper ton mec ! »
Je lui fais un bisou sur la joue et je la laisse ainsi, a poil dans l'eau avec les trous explosés et je coupe la caméra. Les paroles et le fait de voir sa fille se faire démonter font encore plus pleurer cette connasse de Corinne. Le portable de Corinne se met à sonner. Alice décroche. C’est la police qui a trouvé son fils nu dans la rue. Elle doit venir le chercher. Alice pousse alors des gémissements comme si elle se faisait baiser et elle répond qu’elle viendra le chercher quand elle aura fini de baiser. Puis elle raccroche. Alice libère Corinne et lui dit :
«
A- J’avais prévu encore des choses pour toi mais tu as déjà assez souffert. Alors dégage et va chercher ton connard de fils. Mais n’oublie jamais que je peux détruire ta vie et celle de tes s. Alors tu fermes ta gueule de pute et si jamais je t’appelle, tu viens s'en poser de question. Dégage maintenant !
C- Mais je n’ai pas de vêtements et je suis à pieds
A- Et tu peux marcher à poil non ?
C- Mais…
A - Ta gueule et dégage [elle lui met une baffe]
J- Tu feras un bisou à ta fille de ma part. [Corinne sort de chez moi et je ferme la porte].
A- J’ai pris un pied d'enfer à la dominer cette pute. Et son fils aussi.
J- J’ai adoré faire ça avec toi. En plus j’ai pu sauter sa fille. Corinne a pris tellement cher physiquement et psychologiquement que je me sens enfin venger.
A- Je t’aime ! »
Nous nous embrassons et nous passons le reste du week-end à baiser. Comme d’habitude, vous pouvez me contacter par email à l’adresse suivante : Mcfps@hotmail.fr ou rejoindre le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.


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