La Vie Dissolue D'Une Bigote 13 :Les Soirées Au Manoir

C'est la veille de la première soirée. Tout le monde est tendu. Nous avons décidé de ne pas nous voir, car, plus on est ensemble, plus on parle, plus on trouve des raisons de ne pas se lancer dans cette folle aventure. Je profite d’être seul, pour envoyer, les dernières instructions, les rôles de chacun, les horaires.
Une heure avant le début de la soirée, j’enverrai le point GPS du rendez-vous. Les dames, aidées de Gérard, apporteront le buffet, le mettront en place et le champagne au frais. A ce moment-là il fera encore jour et la grille du manoir restera fermée. Ce n’est qu’au dernier moment, lorsque le premier participant arrivera au rendez-vous, que j’enverrai le top à Gérard qui ouvrira la grille et posera le panneau « VSG » au bord du chemin, afin qu'il y reste un minimum de temps.
Les dames ont finalement choisi de ne pas mettre de masque. Nous avions pensé au départ, protéger leur anonymat, mais Geneviève leur rappelle la soirée où elle leur a été présentée et les ravages que provoquent transpiration et larmes au maquillage. En plus dit-elle, c’est très désagréable à porter.
Les dames se prépareront dans leur « loge » quand à moi, j’attendrai sur le parking et donnerai l’itinéraire. Par la suite, quand le système sera bien rôdé, je partirai au dernier moment, posant au passage le fameux panneau pour les nouveaux participants.
Vingt heures. Tout le monde est prêt. Geneviève m’a envoyé en texto pour m’embrasser, me dire qu’elle m’aime, qu’elle me fera honneur et sera une vraie salope et une pute pour moi.
Le premier participant arrive comme prévu un peu avant vingt et une heure, suivi de près par la femme et deux autres hommes. Ils correspondent aux photos et dès leur départ du point de rencontre j’envoie un message à Geneviève « C’est parti ! » C’est elle qui les recevra sur le perron. Ils n’ont pas passé plus de deux minutes sur le parking et tous semblent heureux et motivés.
En moins d’un quart d’heure presque tous les invités sont passés, il n’en manque qu’un qui s’est un peu perdu mais il ne tarde pas.

Je le suis, récupère le panneau et ferme la grille derrière moi. Les voitures sont garées devant le perron seulement éclairé maintenant par une lanterne. Je pénètre à mon tour dans le manoir.
Tout le monde est réuni et les conversations ont déjà commencé. L’ambiance est bonne, le champagne aidant bien dans ce cas.
Les « invités » sont apparemment ravis du cadre et de ces dames. Celles-ci ont rivalisé d’audace dans leurs tenues. Geneviève a revêtu un superbe ensemble noir découvrant ses épaules. Elle est splendide et très entourée. Les autres ne sont pas en reste. Je prends la parole pour rappeler les règles. « Pas de violence. Si une dame, même soumise, dit STOP trois fois, il faudra respecter sa décision. Tous ont pû connaître les spécialités de chacune d’entre elles. Nous avons sélectionné deux hommes par femme selon leur préférence mais rien n’empêche de changer et d’aller voir ailleurs. Je les informe que Gérard est seulement voyeur, sa femme faisant partie du « cheptel », mais il est aussi, de par son gabarit, chargé avec moi, de veiller au bon déroulement de la soirée.
Enfin je présente la femme « invitée » en précisant qu’elle n’est pas intéressée par les hommes mais uniquement par les femmes et compte bien les baiser toutes à un moment ou à un autre. Que ce soit par devant ou par derrière.
Je souhaite une bonne soirée à tous, leur indiquant qu’une urne est à leur disposition dans le vestiaire, qu’il n’y a aucune obligation, chacun donne ce qu’il veut, ou pas. Cette participation servira uniquement à couvrir les quelques frais et à organiser de nouvelles soirées comme celle-ci, si le cœur leur en dit. Quand à l’heure de fin, elle dépendra de chacun, mais quatre heures du matin nous semble un maximum afin de rester discrets, chacun pouvant choisir son heure de départ.
Pour lancer la soirée, je propose que Geneviève, nous fasse un striptease. Proposition immédiatement acceptée par les participants qui applaudissent. Geneviève, elle, est surprise par ma proposition.
Elle me regarde fixement voyant que je ne plaisante pas. C’est à elle de déclencher la suite des événements. Le fait que cela soit leur hôtesse excite les invités. Je demande à Gérard de nous mettre de la musique et d’allumer le spot au dessus de l’estrade. Les invités encouragent ma belle-mère et l’un d’entre eux, lui prenant la main cérémonieusement la conduit au centre de la pièce, l’aidant à monter les trois marches.
Intimidée au début, elle a du mal à commencer. Les autres femmes se mêlent aux encouragements et doucement, elle commence à s’effeuiller. Lorsque sa veste tombe, le silence se fait, entrecoupé de sifflements admiratifs au fur et à mesure que Geneviève se découvre. La jupe tombe et le public découvre son corps entièrement bronzé. Les cris se déchainent. Geneviève se retrouve uniquement vêtue d’un soutien-gorge balconnet et de bas tenus par une porte jarretelle. La culotte tombe et elle la jette au public un homme s’en saisi, la passant ensuite à un autre. Ils reniflent l’entre-jambes. Quand enfin le soutien gorge dévoile les gros tétons érigés, c’est de la folie ! L’un des hommes se précipite à genoux entre les jambes de la stripteaseuse et lèche son coquillage. Je le préviens que la dame est fontaine, aussi se déshabille-t-il rapidement pour reprendre son ouvrage.
C’est le signal. Tout le monde maintenant se rapproche, couples et trios se forment et les femmes sont sollicitées. Rapidement c’est l’orgie. Ont entend les rires excités des femmes, les grognements et halètements des hommes. La femme invitée s’est aussi dévêtue et tente de harnacher de son gode-ceinture. Voyant qu’elle a un peu de mal à l’attacher, je lui propose mon aide. Je suis le seul encore habillé. Gérard s’est aussi dévêtu. Il n’a plus de complexe avec son tout petit sexe. Assis dans un large fauteuil, il contemple le spectacle avec bien sûr une attention particulière pour Irène. La femme a un léger recul, mais voyant que je suis l’organisateur et habillé, elle se laisse faire.
Je la félicite pour sa plastique et pour l’engin qu’elle va utiliser.
• « Vous êtes superbe ! Ces dames vont être heureuses que vous vous occupiez d’elles.
• Vous savez que j’adore aussi m’occuper du cul d’un homme !
• Eh bien ! Vous cachez vos talents ma belle !
• Pourquoi ? Vous êtes intéressé ?
• Je ne dis pas non, mais pour l’instant je dois m’occuper pour que la soirée se passe bien.
• Petit canaillou ! Je vais bien m’occuper de toi tout à l’heure. Tu me plais toi ! »
Je retourne à mes occupations, qui consistent à ravitailler tout ce monde en boisson, en préservatifs, en gel, à changer la musique ou l’éclairage. Je fais aussi quelques photos sur lesquelles nous flouterons les visages pour les diffuser sur le blog. Le spectacle est partout.
Irène qui s’est bien sûr positionnée devant son mari, est sollicitée par trois hommes. Elle chevauche le premier qui est couché par terre, Un deuxième la sodomise, il a bien lu sa fiche et sait qu’elle adore cela. Quand au troisième, il lui présente son chibre à sucer. Les yeux de Gérard lui sortent des orbites. A ce moment, j’aperçois Marlène qui vient de terminer un round avec son partenaire. Je lui fais signe et lui demande de sucer Gérard, en enlevant son dentier bien sur !
Sitôt dit, sitôt fait. Elle engloutit le petit oiseau avec les boules et se délecte. La salope sait faire durer et arrête plusieurs fois le supplice, attendant que les montures d’Irène aient fini leur chevauchée avant d’avaler le sperme du mari. Elle ne reste pas longtemps seule. Un homme se positionne derrière elle et l’embroche sans coup férir.
Plus loin, Jacqueline a trouvé son maître. Il l’a attachée à un poteau que nous avons placé dans la pièce et il travaille ses fesses au martinet qu’il a trouvé à côté. La soumise brame ! Je m’approche d’elle. Son visage est baigné de larmes. Je l’embrasse et lui demande si elle veut continuer. Bien sûr, qu’elle veut ! Elle sait qu’elle va avoir sa récompense.
Elle a vu la taille du mandrin de l’homme qui chauffe son cul. On risque de l’entendre beugler, mais de plaisir. Heureusement, les travaux que nous avons faits avec Gérard, insonorisent bien le manoir.
Je sors malgré tout pour m’assurer que tout est calme. Au dehors, rien ne filtre. Ni lumière, ni bruit. Prenant le temps de fumer une cigarette, mon attention est attirée pour des soupirs. Passant le coin du perron je découvre Pauline pendue au cou d’un cavalier, les jambes nouées autour de sa taille. Il la plaque contre le mur et la baise à la hussarde. Je n’avais pas vu le couple sortir, pris par les autres spectacles. Ces deux là ne s’ennuient pas. L’homme ne remarque même pas ma présence, mais Pauline me fait un geste de la main, le pouce levé, signifiant le plaisir qu’elle prend à se faire baiser ainsi.
Je rentre à nouveau dans le manoir. Autour d’Irène, les hommes qui viennent de jouir, trinquent avec elle, avec Gérard et avec Marlène. Cette dernière est déjà en main avec l’un des hommes qui lui roule une pelle effrénée. Elle n’a pas remis son dentier et est en train de faire une nouvel adepte du baiser édenté.
Le groupe autour d’Irène est interloqué de savoir que Gérard est son mari et qu’il aime voir sa femme se faire prendre. Il fait une bonne tête et vingt kilos de plus qu’eux, mais au niveau du bas ventre il est bien loin de rivaliser avec les membres de ceux qui viennent de le cocufier.
Mélanie se trouve un peu plus loin. La femme est en train de l’embrocher en levrette et ne ménage pas ses efforts. Elle lui tient les cheveux et l’oblige à pomper le gros dard qui se dresse face à sa bouche. Je n’avais pas remarqué au début, mais l’homme qui baise la bouche de Mélanie et un peu typé. Et la dimension de son braquemart confirme la légende des arabes bien montés. Je me rappelle qu’il l’avait placée comme favorite. Il me dira plus tard que c’est sa toison abondante qui l’a excité. Quand la femme se retire du vagin de Mélanie, il couche cette dernière sur les coussins et la prend à la missionnaire. Il va ainsi la baiser longtemps, semblant inépuisable. Mélanie se donne à fond et jouit je ne sais combien de fois avant que l’homme ne se retire, enlève la capote et se finisse sur son corps, l’arrosant d’une énorme quantité de sperme, proportionnelle à la taille de son membre et de ses couilles grosses comme des oranges.
Tout le monde fait une pause et, si ce n’était que tous sont nus ou en tenue sexy pour les dames, on se croirait dans un salon chic au cours d’une réunion amicale. Pauline est revenue avec son cavalier. Des discussions, il ressort que les invités sont ravis de la soirée, nous félicitent d’avoir osé monter cela et manifestent le désir de revenir. Ils demandent d’ailleurs, de pouvoir insérer des commentaires dans le site afin de faire part de leur satisfaction et encourager d’autres personnes à participer. Nous avons de la chance avec ce premier groupe. Les gars sont sympas, généralement assez jeunes, entre quarante et cinquante cinq ans. Un seul, le cavalier de Pauline, est plus âgé, mais ce n’est pas le moins vigoureux.

Entre les deux amants d’ailleurs, s’installe une belle complicité. Cet homme va devenir par la suite l’amant attitré de la présidente. Ils se retrouveront en dehors des soirées pour faire des voyages. Lorsque leur relation deviendra « officielle » elle me demandera si je ne suis pas jaloux. Je l’assurerai du bonheur que j’éprouve à voir le sien. Cela n’empêchera pas d’ailleurs de continuer nos relations y compris en présence de son « officiel ». Quelques plans à quatre avec ma belle-mère, nous laisserons de bons souvenirs.
Tout le monde se repose. Enfin presque tous ! Geneviève est toujours sur l’estrade. A genoux, derrière elle un homme la possède sans se presser. Sous elle, deux hommes. L’un suce les longs tétons et semble se régaler. L’autre est glissé sous son ventre et déguste les flots de cyprine qu’elle doit fournir.
A un moment, je vois Geneviève s’affaisser, aussi je m’approche et demande aux hommes de la laisser un peu récupérer, car sinon elle sera « out » pour le reste de la soirée !
L’homme qui buvait ses jouissances sort de dessous, la tête complètement barbouillée avec un sourire béat ;
• « Je n’ai jamais vu une femme couler autant ! Quel plaisir ! Merci madame !
• Et ses tétons ! Ils sont énormes et sensibles ! Dit l’autre
• Elle peut jouir uniquement si on les caresse ou les suce ajoutai-je »
Geneviève s’est un peu reprise. Après s’être séparée de l’homme qui la baisait, elle se retourne, retire la capote et avale sa bite. Elle le pompe jusqu’à qu’il se vide en criant.
Pendant que les quatre partenaires se retrouvent avec les autres qui les congratulent, Gérard et moi changeons le drap de l’estrade, Geneviève l’ayant bien évidemment trempé.
C’est la reine de la soirée ! Marlène non plus n’est pas en reste. Ce sont les plus sollicitées. Jacqueline, après la séance de flagellation et la sodomie qui a suivi, est un peu flapie. Pauline roucoule avec son bel étalon. Mélanie et Irène sont allées aux toilettes se refaire une beauté ; elles reviennent pour être reprises en main. Mélanie retrouve son arabe qui lui broute la chatte longuement. Ces deux là aussi ont quelques atomes crochus.
La bacchanale dure tard, le champagne coule à flot. Voyant que tout se passe bien, après une deuxième tournée d’inspection autour de la maison, je me mêle aux participants. Gérard se fait encore sucer par sa copine Marlène, qui y prend goût, d’autant que la femme invitée est en train de la sodomiser allègrement de son gode ceinture. Les grosses loches de la vieille pendent et ballottent au rythme soutenu de la gouine.
Je passe auprès de Mélanie, toujours occupée avec son bel arabe. Elle me fait signe d’approcher. Elle me chuchote à l’oreille « J’adore son zob énorme ! Merci, c’est grâce à toi. Viens ici que je te suce un peu, tu l’as mérité »
L’homme, dont j’apprendrai plus tard qu’il se nomme Moktar, sûr des capacités de son engin, martèle le con de Mélanie lentement, méthodiquement, ne quittant pas des yeux la fourrure blanche de notre amie, qui l’excite au plus haut point. Je me demande s’il n’est pas plus amoureux de sa toison que de la femme. D’ailleurs Mélanie, fine mouche, la laissera pousser à profusion, ne taillant que les poils près des grandes lèvres et de l’anus. Sa toison va finir par couvrir tout son bas ventre depuis le nombril. Toujours bien entretenue pour ne pas être broussailleuse elle va devenir l’un des fétiches de « VSG »
Je retrouve Geneviève que ses amants ont laissé reposer car elle a beaucoup donné tout au long de la soirée. Nous passons un moment de tendresse, pendant lequel, je la caresse doucement en la cajolant. Sa peau est collante autant de transpiration que de sperme plus ou moins séché.
Je l’entraîne sous la douche que nous avons installée avec Gérard. Sous l’eau bienfaisante nous nous caressons tendrement.
Au retour dans le salon, j’ai clipsé les étoiles sur les tétons de ma belle-mère, qui sont ainsi bien dressés et mis en valeur. Cela provoque les applaudissements des participants, suivi de mains baladeuses et de succions des pointes.
Minuit est passé depuis bien longtemps. La plupart des invités, revigorés par le champagne et les petits fours, vont « remettre le couvert » Seul trois d’entre eux, décident de nous quitter. Gérard les raccompagne pour refermer les grilles derrière eux. Il n’a même pas pris la peine de s’habiller et est promené à poil en voiture. Trouvant cette contrainte ennuyeuse, il va installer plus tard une commande à distance qui permettra d’ouvrir et fermer la grille à volonté. Il va même pousser la sophistication plus loin avec une caméra à visée haute définition nocturne, qui, couplée à un détecteur va permettre de faire entrer et sortir les visiteurs annoncés. L’avantage sera d’une part d’éviter les aller et retour et de ne pas laisser la grille trop longtemps ouverte. Une fois même elle évitera de l’ouvrir par erreur. En effet, un couple se croyant tranquille, est venu passer un bon moment au bout de ce chemin devant la grille. Il faut dire que nous avions volontairement laissé l’entrée envahie de végétation, la faisant paraître abandonnée. Ce diable de Gérard avait même soudé une grosse chaîne avec un cadenas rouillé et il aurait fallu s’approcher de très près pour remarquer qu’en fait, un maillon était finement scié à l’avant derrière le cadenas et à l’arrière du portail, permettant l’ouverture des deux vantaux.
Ce premier soir, qui restera bien sûr dans les annales comme l’une des meilleures soirées, il en était une, qui était encore déchaînée : La femme au gode ceinture.
Elle s’est occupée de toutes les femmes, parfois de leurs deux orifices participant parfois en même temps qu’un homme pour une double pénétration. Elle revient vers moi maintenant pour me rappeler sa proposition. Je lui confirme mon accord en lui demandant de me prendre couché sur le dos.
• « Ah oui ! Comme Ça je verrai ta queue pendant que je t’encule !
• Prépares-moi bien d’abord. Ton engin est tout de même imposant !
• Je suis sûre que tu as déjà pris gros, ma salope. Mais je ne veux pas t’abîmer ! »
Je me couche sur la table basse et relève les jambes pour présenter mon cul. La femme, avec ses doigts, enduit ma rondelle et me pénètre avec un puis deux doigts, dilate le conduit. « J’ai l’impression que ce trou est bien habitué ! » Elle positionne le bout de son engin sur mon anus et entame la pénétration. Grâce au gel, généreusement dispensé, celle-ci se passe bien et rapidement elle est au fond de mon trou.
- « Regardez ! Nous avons une nouvelle salope dans le groupe ! » Lance-t-elle en riant.
Elle ne ménage pas ses allers et retours. Plusieurs personnes se sont approchées ou regardent la scène. Geneviève, est la plus proche.
- « Mon chéri ! J’adore vous voir ainsi ! Je crois qu’à l’avenir je ferai de même avec vous. »
Elle se penche et avale ma bite. Elle me pompe avec frénésie, d’autant que penchée comme elle est, sa croupe a attiré un mâle qui la baise en cadence. Un autre homme, s’approche lui de mon visage et sans aucune gêne pose sa bite sur mes lèvres, attendant que j’ouvre la bouche. Je réponds aussitôt à sa demande et avale le gland. Il prend alors ma tête et me baise littéralement la bouche.
Les photos prises par Gérard, que nous reverrons par la suite, me vaudront les félicitations de ces dames, qui lors de soirées suivantes me demanderont de recommencer. Mais la scène ne s’est pas finie là !
Mélanie et son copain Moktar observaient le groupe. Elle m’a fait un clin d’œil à un moment, puis s’est agenouillée devant la belle trique de l’arabe. Quand celui-ci est devenu bien dur, elle a demandé à mon enculeuse de laisser la place à son bel étalon.
Tout le monde s’est ligué pour que ce soit ma fête ! C’est ma belle-mère qui guide la queue énorme sur mon anus béant. « Ne nous l’abîmez pas tout de même ! » Pour le plaisir, elle lèche un peu le gros gland violacé puis le pose sur ma rosette. Moktar est énorme ! Heureusement que la sodomie précédente a préparé le passage ! Il n’empêche que je la sens passer. C’est Mélanie qui s’approche de moi et me glisse à l’oreille :
- « Il est bien gros mon chéri n’est-ce pas ? Tu le sens passer ? Moi j’adore ! J’ai l’impression que tu aimes ça aussi mon petit pédé ! Je ne savais pas que tu aimais ça aussi ! Tu es décidément plein de surprises !»
Elle m’embrasse alors que son « chéri » me démonte le cul. J’aurais un peu de mal le lendemain, malgré les efforts de ma belle-mère pour soigner cette partie intime de mon individu, ce dont elle se délectera en prolongeant le « traitement » plus que de raison.
Moktar me besogne tranquillement, sûr du pouvoir de son énorme mentule. Les femmes adorent et se déclarent excitées de voir deux hommes baiser et surtout je crois de me voir me faire enculer, moi le « macho » qui dirige l’opération depuis le début, je suis intronisé ainsi membre des Vieilles Salopes des Gaves. Certains hommes se détournent, visiblement gênés, mais deux d’entre eux paraissent intéressés.
Sous la puissante sodomie et la bouche de Geneviève, je jouis fortement. J’ai l’impression que me couilles sont vidées, asséchées ! L’homme au dessus de moi a repris sa place dans ma bouche et se lâche à son tour. Mélanie m’embrasse et partage le sperme avec moi, puis avec ma belle-mère pour récupérer le mien qu’elle vient m’offrir ensuite.
Après cet épisode dont je suis la vedette plus ou moins consentante, la soirée se termine. Les hommes sont « vidés » et les femmes, qui ont été bien sollicitées, ne sont plus très fraîches. Je raccompagne les « invités » qui se déclarent tous ravis de la soirée, d’ailleurs les « dons » dans l’urne mise à disposition à la sortie, nous prouveront leur intérêt. En effet c’est plus de huit cent euros que nous récolterons. C’est une affaire qui marche ! Nos frais sont largement couverts, ce qui nous amènera à améliorer la réception de nos invités à l’avenir.
Tout le monde est fatigué. Irène et Gérard rentrent chez eux avec Marlène, ainsi que Pauline et Jacqueline. Nous décidons avec Mélanie et ma belle-mère de dormir sur place. Nous fermons le manoir et passons à la douche les trois ensembles. Gérard a créé cette douche collective qui peut recevoir tout le monde. Malgré la fatigue, nous nous caressons partout en riant, Geneviève insistant bien sûr sur mon anus endolori. Une fois séchés, nous nous couchons sur le grand lit de l’estrade qui a vu les exploits de Geneviève et d’une partie des participants. Recouverts d’un drap nous sombrons dans un profond sommeil.
C’est Geneviève qui se réveille tout à coup en pensant qu’elle doit aller à la messe. Branle bas de combat, car elle ne veut pas rater l’office. A la fois pour sa croyance et pour ne pas que les paroissiens ne se posent des questions. Elle, pilier de l’église qui ne manque jamais une célébration, si elle manquait l’office Ça jaserait ! D’autant que son mari ne pourrait dire où elle est !
Mélanie et moi nous rendormons après un petit câlin et c’est beaucoup plus tard dans l’après midi, que nous sommes réveillés par Irène et Gérard, hilares de nous trouver là endormis. Marlène est restée au lit. Il faut dire qu’à son âge et avec les multiples sollicitations qu’elle a eues, elle doit avoir besoin de récupérer.
En moins d’une heure nous rangeons le salon, nettoyons douches et vestiaires et emportons l’urne chez le couple, où nous convions les autres pour « débriefer » cette première soirée.

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