La Vie Dissolue D'Une Bigote 14 : Un Voisin Curieux


Pauline arrive la première, nous indiquant que Jacqueline ne pourra être des nôtres, ses s et petits s étant arrivés à l’improviste. Geneviève arrive alors que Marlène, s’étant réveillée, nous rejoint au salon en peignoir. La mine défaite mais un grand sourire éclaire son visage.
La discussion est animée, chacun voulant apporter son témoignage. Les dames sont enchantées de la soirée, même si elle a été fatigante. Elles sont toutes partantes pour recommencer. Marlène est félicitée par tous pour sa prestation. Elle prouve à toutes et les rassure sûrement, que l’âge n’est pas un obstacle au sexe. Que l’absence de dents peut être un avantage à condition d’accepter le léger désagrément esthétique.
Mélanie nous fait part de sa forte attirance pour Moktar. Ils se sont échangés leurs coordonnées et elle compte bien le revoir en dehors des soirées, sans pour autant renoncer à celles-ci. A cette époque elle n’était pas encore aussi attachée à ma belle-mère, ce qui ne changera rien d’ailleurs par la suite. Elle se partagera avec bonheur entre ses deux amours.
Nous l’encourageons à poursuivre sa relation avec le bel arabe. La liberté de chacun étant la règle. Bien sûr, l’évocation de Moktar, débouche sur mon cas. Mis à part ma belle-mère qui connaissait mon goût et me travaillait souvent le cul, les autres ont découvert cet aspect de ma personnalité et « mes femmes » ont l’intention d’en profiter. Je leur demande seulement de ne pas le faire toutes ensembles car mon rectum ne le supporterait pas.
Nous rions de cela. C’est à ce moment que j’ouvre l’urne et que l’on découvre la somme rondelette recueillie. De ce jour, nous décidons de gérer toutes les dépenses de notre « club » par une caisse spéciale, confiée à Geneviève.
Sur les deux premières années, à raison d’une ou deux soirées par mois, nous allons amasser une somme conséquente, d’autant que parfois, ce sont des billets de cent euros qui sont glissés dans la boîte.

Cet argent est bien sûr réutilisé pour améliorer le buffet, la qualité du champagne et financer quelques travaux et du matériel.
Certains visiteurs deviennent des habitués. Moktar en fait partie, ainsi que le compagnon de Pauline. Celle-ci a culpabilisé un moment avant de m’avouer sa relation, craignant que je ne m’offusque. Je lui ai expliqué qu’elle n’était pas ma seule maitresse et qu’elle n’y voyait rien à redire, donc la réciproque devait être vraie. Qu’au contraire j’étais très heureux qu’elle ait trouvé un homme stable, coquin, avec qui elle prenne du plaisir. D’autres également revenaient régulièrement s’inscrivant aussitôt, lorsqu’une date était proposée en ligne. Nous privilégions toutefois la participation de nouveaux participants, ceci augmentant l’excitation des dames et évitant la routine.
Au fur et à mesure des expériences, nous inventions des jeux, des soirées à thème. L’été, nos jeux pouvaient se dérouler à l’arrière du manoir sur la pelouse, bien cachés par les bois entourant la propriété. Urophilie, domination masculine ou féminine. Nous avions aussi d’autres femmes qui venaient s’encanailler, ainsi que des couples. A cette époque nous étions arrivés à faire des soirées en semaine, la règle étant de ne pas dépasser la vingtaine de participants, pour ne pas éveiller les soupçons par trop de passages et de bruit, surtout lors d’activités extérieures.
Une seule fois, nous eûmes une alerte qui mérite d’être contée.
Mise à part, les habitués qui connaissaient le manoir, la procédure était toujours la même, avec la réception à un point GPS, que je changeais régulièrement et l’itinéraire jusqu’au manoir où Gérard ouvrait la grille. Un soir, un participant s’est trompé et s’est perdu ne retrouvant pas le chemin, il a demandé un renseignement chez un voisin. Celui-ci n’a pu le guider et c’est moi qui l’ai retrouvé en revenant au point de rendez-vous, ne le voyant pas arriver au manoir.
L’homme a été un peu bavard avec le paysan voisin, parlant de soirée « spéciale », de rendez-vous dans un manoir proche pour une soirée privée…Le voisin intrigué et curieux, décide de mener son enquête.
Fort heureusement, il arrive au manoir alors que Gérard et moi sommes devant la grille. L’homme me reconnait et engage la conversation.
Il commence en tournant autour du pot, puis, mine de rien oriente son discours vers des visites le soir. Il découvre que la maison appartient à ma belle-mère, « une femme très pieuse et bien comme il faut » Il espérait que la maison était calme… Voyant venir le malin et le connaissant un peu, je me doute que ce genre de distraction pourrait l’intéresser, à condition d’y participer. Je commence alors à le flatter, lui disant qu’il est un homme de qualité, reconnu, discret, bien éduqué, et que malheureusement à cause de sa femme malade, il ne peut quitter le village toute une journée, que je comprends sa solitude...
Bref. Gros passage de la brosse à reluire, sous l’œil amusé de Gérard qui a tout de suite compris et en rajoute, lui, dans un style très « vieille France » sur la réputation de Madame de Brassac, une excellente amie, qui est l’un des piliers de la paroisse….
Il confirme que des soirées sont organisées par des amis de Mme de Brassac. Ce genre de soirées un peu « débridées » demande de la discrétion car il en va de la réputation des personnes invitées. Dans cet endroit privé, tout se passe entre personnes majeures et consentantes qui ne sont pas vénales. C'est uniquement réservé à des personnes de confiance… et blablabla….
• « Vous, par exemple, vous pourriez être invité. Vous savez être discret ! Dit-il au voisin stupéfait. C’est la seule condition qui est demandée. Nous ne tenons pas à recevoir n’importe qui. Les hommes et femmes qui sont présents n’aimeraient pas que l’on ternisse leur image. Par ailleurs, ce sont des gens de qualité qui ont des amis influents qui sauraient s’occuper des malveillants. Tout le monde n’est pas capable de comprendre ce genre de chose, surtout dans un milieu rural un peu étriqué comme ici.
Malgré tout il y s’y passe des pratiques qui ment sortent de l’ordinaire, il ne faut pas être bégueule.

• Vous savez, je ne juge personne. Et… vous pensez que je pourrais être…accepté ? » -L’homme est ferré.
• «  Nous ne sommes pas les seuls responsables, continue Gérard. Il faut que nous en parlions entre autre à Madame De Brassac, mais, si ça vous intéresse, on peut vous montrer les lieux. Nous allions justement y faire quelques travaux.
• Ce serait gentil ! Vous pouvez être assuré de ma discrétion… Je n’aime pas que l’on colporte des ragots, ni sur moi, ni sur les autres…. Vous savez, ce n’est pas facile tous les jours pour moi. 
• Je te comprends, dis-je. Ce serait une belle distraction pour toi, d’autant que tu es à côté et tu pourrais venir facilement sans t’éloigner de ta femme. Je suis sûr que cela te ferait du bien et te sortirait de ton isolement.
• Tu es sympa ! Oui, tu sais, je respecte ma femme… mais… c’est difficile… à mon âge… j’ai des… besoins…
• Allez, viens ! Suis-nous.»
Nous ouvrons la grille et le faisons entrer avec nous, puis refermons. Il est étonné du système à télécommande et qu’il soit installé sur un portail qui paraît fermé depuis longtemps et couvert de végétation. « Toujours la discrétion ! »
Arrivés dans la clairière, il est surpris de trouver une bâtisse au milieu du parc. Il connaissait la propriété, enfin il savait qu’elle était entourée d’un long mur mais ignorait qu’une maison s’y trouvât. Il pensait, comme tout le monde, qu’il s’agissait d’un bois. Il habite pourtant à moins d’un kilomètre et ses champs sont mitoyens de la propriété.
Nous faisons le tour et entrons par l’arrière « l’entrée des artistes » comme nous l’avons surnommée. L’homme nous aide à vider la voiture des quelques outils et matériaux que nous amenions. En effet, pour la prochaine soirée, nous avions prévu un barbecue et avions prévu d’installer une tonnelle et un peu d’éclairage.
Nous ouvrons ensuite la maison pour l’aérer en cette belle journée. Ce faisant, nous arrivons dans le salon.
Là, ses yeux s’écarquillent. Il fait le tour, s’intéresse à la croix de Saint André, contourne l’estrade… « Madame de Brassac… est au courant de ce qui se passe ici ?
• Tu sais, il vient ici des personnes de tous horizons, qui ne tiennent pas à être mise en pâture sur la place publique. On ne donne pas de nom ici, mais oui, elle est au courant de ce qui se passe ici et même elle y participe.
• Ce n’est pas possible ! Mme De Brassac ! Mais… alors, Il peut y avoir des personnes que je connaisse… et qui me connaissent ?
• C’est possible oui. Cela te dérange ?
• C’est que… Il ne faudrait pas qu’ils…
• Qu’ils parlent de toi à l’extérieur ? Sûrement pas ! Comme ils n’aimeraient pas que tu parles d’eux ! Ce genre d’indiscrétion est très mal vu ! Certains des amis de ma belle-mère, ont de sacrées relations, capables de représailles envers un indélicat.
• C’est évident ! Mais… que faut-il faire pour… être… admis ? » Gérard reprend alors.
• « C’est simple! Il suffit d’accepter ces conditions de discrétion, le fonctionnement et respecter tous les participants, quels qu’ils soient. Enfin, apporter une bouteille de champagne.
• C’est tout ?
• C’est déjà beaucoup !
• Bien sûr ! Mais… Une question…
• Oui ?
• Les … personnes…
• Les Invités participants et les dames ?
• Oui, enfin, ils sont jeunes ?
• Il y a de tout. Les femmes sont plutôt… matures, c'est-à-dire soixante cinq ans et plus. C’est le concept de départ. Les hommes, ont entre quarante et soixante cinq ans. A votre âge (il doit avoir trente ou trente cinq ans), vous auriez préféré des femmes jeunes ?
• Non… Non, pas du tout, au contraire. Je… Ma femme a dix ans de plus que moi et j’ai toujours aimé les femmes plus âgées.
• Vous ne seriez pas déçu alors ! Une des dames a plus de quatre vingt ans et je peux vous assurer qu’elle est très sollicitée et très… coquine.
• Quatre vingt ? C’est vrai ?
• Oui ! Ensuite, Rassurez-vous, si vous n’êtes pas un habitué, il peut se produire des blocages. Il n’est pas facile de se retrouver au milieu d’autres personnes dans ces conditions. C’est une expérience particulière et certains, même motivés ne peuvent rien faire.
• C’est arrivé ?
• Oui, mais pas de problème. Personne ne s’est moqué. Simplement, soit la personne attend un peu pour voir si le blocage disparaît, on la rassure, soit elle s’en va, mais personne ne se moque. C’est facile et discret de s’éclipser. Généralement aussi, on présente le nouvel invité et les habitués le conseillent et le décontractent. Ça vous intéresse ?
• Je… Oui… Je crois que oui. Enfin… Il faut voir…
• Ecoutez Yves. Je peux vous appeler Yves ?
• Oui, bien sûr !
• Bien ! Comme je vous l’ai dis, nous ne pouvons prendre la décision tous les deux. Vous êtes un voisin…
• C’est un problème ?
• Oui… Enfin, non… non, je ne pense pas, au contraire ! Nous cherchons tout de même la discrétion. Nous allons en parler avec les autres et je vous donne la réponse rapidement. Dans tous les cas, je compte sur vous. J'espère et je crois que vous serez loyal, quelle que soit la décision qui sera prise.
• Je comprends ! Bien sûr !
• Jean ? Tu penses qu’Yves, pourrait être accepté ?
• Je crois que oui. Il n’y a pas de raison, même s’il est le premier invité qui est du village. »
L’homme s’en va en nous remerciant et nous assurant encore de sa discrétion et de sa … motivation
Nous soumettons la « candidature » de Yves. Ces dames sont assez réticentes. Elles connaissent l’homme et ont peur qu’il ne parle. Je leur signale tout de même qu’il en sait déjà beaucoup et qu’il risque plus de parler en étant refusé, qu’au contraire en étant accepté. Que c’est un homme charmant, jeune, bien qu’un peu renfermé du fait de la maladie de sa femme.
Finalement, nous décidons de l’intégrer. Pour éventuellement le « tenir » un peu, nous allons le faire arriver après les autres, que nous choisirons parmi les habitués, pour qu’un ou deux aient commencé à s’amuser. A ce moment Gérard prendra quelques photos qui pourront le compromettre si nécessaire.
Le lendemain, je vais voir Yves, pour lui annoncer la nouvelle. Il me demande de sortir, pour que sa femme n’entende pas. Ce qui est bon signe. Je lui confirme donc que le groupe est d’accord pour l’intégrer. Son visage s’éclaire et il me serre dans ses bras.
• « Tu ne sais pas la joie que vous me faites !
• Je crois comprendre un peu ! J’ai quand même une dernière chose à te dire.
• Quoi que ce soit je suis d’accord !
• Doucement, doucement ! Je dois t’avertir que tu vas voir là bas des personnes et notamment des femmes que tu connais.
• Oui, tu me l’as dit et alors ?
• Je te demande de ne jamais t’étonner ouvertement du genre à lancer « Oh ! Mais c’est madame untel ! »
• Bien sûr ! Bien sûr ! Je saurais être discret !
• De même si tu vois des choses qui à priori peuvent choquer, aucun commentaire non plus.
• C'est-à-dire ?
• Je ne sais pas moi, ce qui peut te choquer. La fellation, la sodomie, des rapports entre femmes, entre hommes, la domination, que sais-je….
• Ne t’inquiète pas pour ça, je vais souvent sur internet… à cause de…
• Oui, oui, je comprends.
• Tu sais, à mon âge, il n’y a plus grand-chose qui me surprend.
• C’est très bien ! Une dernière chose.
• Encore ?
• Ce n’est rien. Dans ces soirées, on se tutoie, alors ne t’offusque pas. Il y a tout de même des gens qui vouvoient, mais c’est l’exception, tu comprendras vite.
• Oh ! Moi, Ça ne me gêne pas ! Au contraire ! Eh bien, Jean, viens avec moi, on va arroser ça et si tu veux tu me raconteras »
Je lui donne quelques détails et surtout je lui montre sur son ordinateur, le site des « Vieilles Salopes des Gaves » Il est surpris et cherche à en savoir un peu plus sur ces femmes au visage flouté. Il les trouve à son goût. Je lui réplique malicieusement qu’il aura le plaisir de la découverte lors de sa première soirée.
Je lui donne donc rendez-vous comme aux autres nouveaux invités, sur le parking. Yves n’a pas de GPS, même s’il connaît l’adresse du manoir. Je lui explique que c’est la procédure habituelle. Il comprendra comme ça pourquoi l’invité s’est trompé et est arrivé chez lui. Je lui envoi un sms en prenant soin de le convoquer en dernier. Nous arrivons donc devant le manoir tous les deux ensembles. Il a été étonné de la pancarte qu’il a découvert à l’entrée du chemin et je lui explique le « VSG » en riant. Je l’accompagne pour entrer, même s’il connaît les lieux. Une dernière fois en entrant au salon, je lui rappelle de ne pas faire de commentaires.
Comme prévu, les groupes sont formés. Certains sont autour du buffet, vers lequel je nous dirige. Deux couples, un peu plus loin sont déjà en action. Les femmes sont en tenue sexy et la première qu’il rencontre est ma belle-mère. Ce n’est pas tout à fait par hasard que nous l’avons placée sur son chemin. Il va pour s’exclamer lorsque je lui pince le bras pour lui rappeler de ne rien dire. Geneviève s’approche, un grand sourire aux lèvres :
• « Bonsoir Yves ! Je suis heureuse de vous recevoir parmi nous !
• Madame de…
• Allons, allons ! Pas de Madame ! Ici on m’appelle Geneviève. »
Yves est tétanisé en la reconnaissant. Il faut dire qu’il ne l’a jamais vue dans cette tenue. Geneviève est en guêpière rouge bordée de dentelle noire. Les bonnets ne sont que des soutiens à ses deux obus découverts dont les tétons proéminents pointent en avant. Des jarretelles tiennent les bas noirs fumés et bien sûr aucun voile ne couvre son bas ventre.
Fine mouche, elle le laisse mater quelques secondes en écartant les bras, puis s’approche et lui fait la bise.
• « Venez, Yves, je vais vous présenter aux autres dames, vous ferez connaissance ensuite de nos invités. En attendant prenez cette coupe de champagne pour fêter votre venue.
Mes amis ! Je vous présente Yves, qui se trouve être voisin de notre manoir et qui nous fait le plaisir de se joindre à nous.
Vous connaissez Mélanie ? Voici Irène, qui est avec son mari Gérard et Jacqueline que vous connaissez aussi. Pauline et Marlène notre doyenne, sont là-bas. Oui, excusez-les, elles sont un peu occupées ! Nous n'avons pas pu les retenir ! Ici chacun fait ce qui lui plait, dans la mesure où il ne gêne pas les autres, bien sûr! »
Yves est scotché ! Découvrir madame de Brassac ainsi ! Il ne l’aurait jamais pensé ! En plus elle a l’air parfaitement décontractée, comme tous ceux qui l’entourent, tout du moins en apparence, car intérieurement elle n’est pas très à l’aise. Mélanie, qu’il connaît bien, à l’air bien accrochée avec un grand arabe. Irène et son mari, il les a vus quelques fois au village mais ne s’attendait pas à les voir ici. Le mari a en effet la réputation d’un homme sévère et réservé, ne souriant jamais. Un ancien militaire à cheval sur le règlement quoi ! Bien sûr il l’avait rencontré avec moi lors de sa première visite, mais ici le contexte est différent. Yves va de surprises en surprises.
Jacqueline, il la connait bien. Il avait parfois rêvé d’elle il y a quelques années. La retrouver ici fait monter une érection qui le gêne, même si elle est cachée encore dans son pantalon.
Geneviève l’entraine un peu à l’écart en lançant aux hommes qui l’entourent. « Laissez nous tranquilles un petit moment mes amis, que nous fassions un peu connaissance avec Yves. Vous pourrez venir nous retrouver plus tard. »
Ayant préparé cette soirée, nous avions invités aussi quelques femmes habituées afin que les hommes ne soient pas esseulés. Geneviève et Yves se sont isolés dans leur coin. Ce dernier est très impressionné par sa compagne. C’est elle qui serre son corps quasiment nu et offert contre lui.
- «Vous savez, Yves, lorsque je suis ici, je suis une véritable salope ! J’aime le sexe. Alors oubliez tout ce que vous pensez de moi dans la vie « normale. Vous êtes ici pour passer un bon moment comme toutes les personnes qui sont là, alors, laissez vous aller ! Pour ma part, il y a bien longtemps que je n'ai pas rencontré un jeune homme comme vous et j'ai très envie... Que vous me bousculiez un peu ! D'accord ?»
Ma belle-mère se colle à lui et l’embrasse fougueusement sur la bouche. Je connais le pouvoir dévastateur de ses baisers, aussi quand elle abandonne la bouche d’Yves, il la recherche. Elle le laisse faire puis guide sa tête sur ses seins et pose une main sur la bosse qui déforme le pantalon du voisin.
J’évite de paraître les surveiller, mais de temps en temps, alors que la soirée est lancée, je jette un œil vers le couple. Geneviève a déshabillé son homme et lui prouve ses talents de suceuse, à genoux entre ses jambes. Un peu plus tard ils sont en soixante neuf.
Ma belle-mère avertit Yves qu’elle mouille beaucoup, afin qu’il ne soit pas surpris de l’émission abondante de son jus. Les râles de l’un et l’autre annoncent une première jouissance commune. Geneviève ne le lâche pas et obtient rapidement une nouvelle érection. Elle l’enjambe et se laisse descendre sur le vit dressé de son jeune et vigoureux voisin. Il a déjà abandonné sa réserve et besogne Madame de Brassac sans retenue.
Cette position va devenir rapidement leur favorite. Yves se régale à sucer les tétons proéminents de Geneviève, qui elle-même multiplie ses orgasmes et arrose copieusement l’homme qui peut rester longuement sans jouir et bander ainsi jusqu’à que sa cavalière crie grâce et qu’il puisse se libérer enfin.
Ce premier soir, Yves va se consacrer exclusivement à notre hôtesse, mis à part Jacqueline qui viendra rouler une pelle à ma belle-mère sous les yeux effarés de l’homme, et qui se retournera vers lui pour échanger aussi un baiser profond.
A la fin de la soirée, il reste le dernier, il n’a pas beaucoup de chemin à faire et a du mal à partir. Il n’en revient pas encore d’avoir baisé cette femme qu’il jugeait lui aussi hautaine et inaccessible et qui se révèle assoiffée de sexe. Il a découvert un corps qu’il ne soupçonnait pas et un tempérament de feu dont il était loin de se douter de la part d’une paroissienne vertueuse et cocufiée.
Avant son départ, il nous assure de sa discrétion, nous redemande bien inutilement la nôtre et demande déjà s’il pourra revenir.
• « Je n’aurais jamais pensé trouver un endroit comme ça si près de chez moi et que vous soyez comme cela mesdames !
• Nous sommes de vraies salopes qui assumons notre envie de sexe malgré notre âge déclare Geneviève.
• J’espère bien que tu reviendras, ajoute Jacqueline. J’ai vu que tu bandes longtemps et moi aussi j’ai envie de profiter de ta queue. » Toutes les femmes se collent à lui. Elles sont nues ou quasiment.
• Et puis, avoir un jeune homme comme toi qui nous baise, c’est tout de même drôlement flatteur pour nous ! »
L’examen de passage s’est bien passé au grand soulagement de tous et notre nouvel adepte n’est pas le moins heureux. Il est enthousiaste et désire plus que tout recommencer et s’occuper de ces dames. Par la suite, Yves va devenir un aide précieux. Il trouvera une brèche dans le mur d’enceinte de la propriété et la bouchera, cette partie étant mitoyenne d’un champ qu’il possède. Nous n’avions jamais pensé à cela.
Un jour, il reçoit chez lui la visite des gendarmes qui se renseignent sur des allées et venues signalées la nuit autour du secteur. Il les rassure en disant que Mme de Brassac reçoit régulièrement des amis dans sa propriété voisine. Que lui-même a été invité quelques fois à des soirées et qu'il s'agit de gens charmants, bien éduqués, plutôt de « la haute société». Ils jouent… aux cartes et divers autres jeux… Madame de Brassac est présente, ce qui est un gage de sérieux.
• « Ces gens-là sont discrets vous savez. Ils n'aiment pas se retrouver au milieu d’étrangers à leur monde. Ils restent entre eux. Moi j'ai été invité en tant que voisin et ami de Mme de Brassac »
Ayant eu vent de leur visite par Yves et ayant de bons rapports avec les forces de l’ordre, je leur déclare un jour, qu’il m’arrive d’accueillir parfois les invités de ma belle-mère dans le village, pour les guider vers le manoir un peu retiré. Innocemment je les interroge pour savoir si des voisins s’étaient plaints de nuisances, ce à quoi ils me répondirent que non et que vu la réputation de Mme de Brassac ils étaient tranquilles de ce côté-là. Ils me précisent même qu’ils en ont parlé au voisin qui les a rassurés. Eux-mêmes ne savaient pas qu’il y avait une maison dans ce coin. Comme il existe un passage de « contrebandiers » pas très loin dans le secteur, ils se sont bien sûr renseignés.
Je leur propose de visiter la propriété. Ils me suivent avec leur voiture. J’ouvre le portail a distance avant d’arriver afin qu’ils ne remarquent pas le dispositif. Nous stationnons devant le perron et ils s’extasient devant le manoir. Je leur propose de faire le tour de la propriété. Je les embarque dans mon 4x4 et nous longeons le mur. On s’arrête à la brèche que justement – je me suis arrangé rapidement par téléphone avec lui – Yves est en train de réparer. On discute un peu avec lui. Ils se rendent compte ainsi que la propriété est entièrement isolée. De plus, les grands arbres cachent complètement la bâtisse. Ils trouvent l’endroit superbe et tranquille. Je leur confirme en leur disant que lors des quelques soirées en plein air qui ont lieu entre amis, tous des gens « de la haute », bien sûr ! Le voisin lui-même n’entend rien. Ce qu’à confirmé Yves bien sûr.
Enfin, une fois revenus au manoir, je leur propose d’entrer boire un verre dans la pièce où nous préparons les plats et boissons. Je me garde bien de leur montrer le salon. Juste à ce moment là, ils reçoivent un appel et doivent partir en intervention. Je les invite à revenir quand ils veulent, ce qu’ils ne feront jamais. Les gendarmes, convaincus,ont sûrement mentionné ce fait dans leur rapport et ne se sont plus jamais occupé de cette affaire.
Au moins de ce côté-là nous sommes couverts. S’ils savaient ! Quoi que, nous ne faisons rien de répréhensible. Nous sommes entre personnes majeures et consentantes, il n'y a pas de profit ni de prostitution. C'est une sorte de club privé pour éviter justement que des personnes extérieures ne soient choquées.
Les déplacements des participants deviennent de plus en plus discrets. Nous avions tout de même plus de soixante « membres » habitués qui connaissaient l’adresse et s'y rendaient directement. Lorsque parfois un nouveau participant arrivait, je m’arrangeais pour le convoquer assez tard, le guider moi-même depuis le lieu de rendez-vous, jusqu’au manoir, ce qui limitait les attentes et les risques d'égarement.
Après plus de six mois de « fonctionnement » le système est maintenant bien rodé. Nous n'assistons pas tous à chaque fois aux soirées. Avec des habitués, cela se réduit entre six et dix ou douze personnes. Au maximum, nous nous sommes retrouvés une trentaine pour un weekend en été !
Cela a commencé le vendredi soir pour certains et s'est terminé le dimanche en fin de soirée ! Les arrivées et les départs se sont échelonnés, certains sont partis et revenus. A ce titre, Geneviève a battu des records.
Arrivée la première, elle a rapidement quitté l'assistance non sans avoir reçu debout et penchée en avant contre le mur, les hommages d'Yves qui est devenu « raide-dingue » de cette belle sexagénaire paraissant si inaccessible ! Elle a aussi « purgé » dans sa bouche deux hommes pressés. Elle avait une réunion et sa tenue était celle qu’elle porte tous les jours ce qui n’a pas manqué d’exciter ses partenaires, heureux de se faire tailler une pipe par une dame de la haute société. De retour trois heures plus tard, Geneviève était déchaînée ! Le sperme d'Yves qu'elle avait gardé en elle durant toute la réunion et le goût de celui des deux autres dans la bouche, l'avaient maintenue en chaleur. Elle avait été obligée de se vider et se branler rapidement aux toilettes en cours du débat. Ce soir-là elle a dû se faire prendre par une bonne dizaine d'hommes sans parler des femmes.
Dans la matinée, après un peu de repos dans les bras de son voisin amoureux, elle repartait chez elle pour préparer le repas. Son après-midi était consacrée à ses petits s, dont mon fils. Le samedi soir, retour aux affaires. Un invité avait amené sa femme soumise et avait insisté pour que Geneviève soit présente pour lui montrer sa particularité de fontaine. La femme n’a pas été déçue ! Ma belle-mère lui a joui dans la bouche et s’est branlée au dessus d’elle pendant que son mari la possédait et jouissait aussi sur son corps. Elle a dû repartir couverte des sécrétions abondantes de ma belle-mère et du sperme séché de son mari.
Après ça, Geneviève est repartie dormir chez elle, non sans avoir léché la chatte de sa chérie Mélanie dans laquelle Moktar avait laissé une belle quantité de foutre
Le dimanche matin étant consacré à la messe puis au repas dominical avec son mari, elle n’est revenue qu’en fin de journée. Il ne restait plus grand monde. Mélanie l’avait attendue et les deux femelles se sont gouinées pendant qu’à leurs côtés j’enculais Irène qui suçait son mari.
Certains habitués aiment arriver tôt. Il n’était pas rare que les premiers soient là vers vingt heures, ou même parfois avant. Même si la « soirée » proprement dite n’est pas commencée, ils aiment simplement discuter avec les dames présentes comme à une réception. Un baiser égaré ou une petite caresse est parfois échangé, mais cela ne va pas plus loin. Cette attente et la montée graduelle du désir leur plait assez. D’autres arrivent tard, et préfèrent terminer au petit matin.
Cette organisation nous a obligés à quelques aménagements réalisés avec Yves et Gérard. Nous avions un bon pécule et pouvions faire des frais comme le portail électrique permettant d’ouvrir et fermer à distance et d’éviter les déplacements en cours de soirée. Les invités signalant leur arrivée au téléphone. Les dames aussi ont adapté leurs horaires, car des affinités se sont créées et étant prévenues de l’arrivée précoce d’un de leur « favoris », elles s’arrangeaient pour arriver tôt. La seule condition était que soit Gérard, soit Yves, maintenant, ou soit moi, soyons présents.
Il est pourtant arrivé des exceptions, librement acceptées par les autres. Mélanie ou Pauline avaient donc un « ami » proche, qu’elles aimaient aussi recevoir seule dans ce cadre
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