La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1364)

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1360) -

- Merci Maître de m’avoir réveillée, je… j’étais encore en train de rêver…

Se souvenant de ce dont elle rêvait elle frissonna et la fraicheur de la nuit y était aussi pour quelque chose. Dans l’immense cheminée de la chambre du Maître, seules quelques braises rougeoyaient encore.

- Vas raviver le feu et couvre Louise. Ensuite, tu pourras venir à Mes côtés, je te réchaufferais...

Marion fit ce que le Seigneur avait exigé, puis emplie de reconnaissance, elle entra dans la couche du Maître dont elle apprécia la douce chaleur qu’elle sentit en s’allongeant ainsi que les bras puissants et rassurants du Seigneur d’Evans qui l’enlaçaient. Marion se blottit tout contre Lui, sa tête reposant contre Son torse. Il lui caressait les cheveux, lui embrassait le front, en lui murmurant des mots tendres et apaisants car elle continuait de trembler. Et cette fois-ci, le froid n’y était pour rien, Marion rassurée par la présence du Maître lui caressait et embrassait Son torse musclé quand Il lui fit relever la tête, de deux doigts sous le menton pour lui donner un long baiser passionné. Elle ne tremblait plus. Soudain le Seigneur d’Evans claqua des doigts :

- En levrette Ma chienne, tout de suite !

- Oui Maître, tout ce qu’il Vous plaira, répondit Marion en prenant la position exigée et déjà toute excitée.

Le Seigneur se plaça derrière elle, admirant, depuis des années et Il ne s’en laissait pas, la blanche rondeur de sa croupe ainsi offerte à Ses seules envies. Il lui caressa lentement le cul pour faire monter l’excitation déjà bien présente dans le bas ventre de Marion. Puis sans prévenir, une première claque suivie d’une seconde…. Marion mouillait et coulait littéralement, ce qui bien entendu n’échappa pas au Maître, qui passait Sa main sur sa chatte trempée à souhait avant de fouiller l’intérieur pour y trouver une abondante humidité….



- Hmmmmmmm, tu es déjà bien ouverte et trempée, Ma salope…

Le Seigneur d’Evans lui fit lécher Ses doigts souillés de cyprine. Marion qui connaissait très bien le Maître savait que la prochaine étape serait, et l’attendait avec impatience, la pénétration et elle s’attendait à une pénétration d’un coup de reins viril et puissant, comme c’était toujours le cas. Mais ce soir le Seigneur était de très bonne humeur et voulut faire durer l’attente du plaisir un peu avec Sa Marion et avec ses envies à elle. Alors, il présenta Son gland à l’entrée de sa chatte et fit mine de ne pas trouver «l’endroit» pour la pénétrer. Ensuite, avec Son gland il frottait ses lèvres intimes pour la faire languir encore un peu plus. Quand enfin, Il se décida de la prendre entrant centimètre par centimètre avec une volontaire lenteur exaspérante pour Marion, presque une , elle qui souhaitait se faire besogner à grands coups de boutoirs. Mais elle appréciait tout de même car ainsi elle pouvait parfaitement sentir le frottement de la queue tendue du Maître sur ses parois intimes. Ce qui fit redoubler son excitation car elle se dandinait pour encore mieux le sentir en elle. Le Seigneur d’Evans lui mit une claque cinglante lui intimant l’ordre de ne pas bouger. Il aimait la ‘r’ ainsi mais Lui-même commençait à avoir du mal à ne pas accélérer le rythme lent qu’Il voulait plus rapide et lui dit d’un ton coquin et pervers :

- Tu vois Ma chienne j’aime parfois faire languir Mes chiennes en chaleurs !
- Oh, Maître, comme Vous savez parfaitement que le besoin de me faire prendre par Votre noble Joyau est un besoin puissant et me faire languir ainsi en devient un excitante …

Pour la dernière fois le Seigneur d’Evans ressortit très lentement sous les gémissements suppliants de Marion pour la prendre par des coups secs, virils, rapides, puissants et très profonds. Le Maître comprit le besoin de la belle et comme Lui aussi il avait besoin de copuler plus naturellement.
Il s’activa en elle énergiquement et Marion gémit de plaisir d’être prise ainsi virilement, puissamment, bestialement voire violemment mais qu’est-ce qu’elle aimait ça. Le Maître allait et venait dans sa chatte béante aussi facilement que dans du beurre, Marion mouillait, gémissait, criait son plaisir.

- Ho ouiiiiiiiiiiii … Maî … Maître encore … c’est trop booooooon … j’adooooore….
- Tu as envie de jouir, Ma chienne ?
- Oui … Maî … Maître, s’il Vous plaiiiiiiiit …
- Eh bien, tu n’es pas autorisée alors retiens toi et ne Me déçois pas. Est bien clair, chienne ?
- Bien Maî … Maître … Hoooooooo !

Tout en l’attirant à Lui, en la tenant fermement par les hanches, Ses yeux se posèrent sur son cul, qui malgré Ses précédentes fessées, était bien pâle à Son goût et bien entendu, Il entreprit d’y remédier immédiatement, reprenant une volée de claques sonores... Marion ivre de plaisir se sentait sur le point de basculer et de perdre la raison.

- Maî … Maître …. Pi…pitié, puis-je jouiiiiiiir … je ne … je ne tiendrais plus … plus longtemps ?
- Bientôt, Ma salope, retiens toi encore, je l’exige, Lui répondit-il toujours en la besognant à grands coups de reins tel un mâle en rut…

Ne voulant pas ce soir, la pousser à la faute, estimant qu’elle avait suffisamment lutté et attendu assez longtemps, Le Seigneur d’Evans poussa encore quelques coups bien profonds. Et au moment où Il décida de rester bien planté, bien immobile tout en elle au fond de son vagin avec Son phallus en pleine érection dure, raide et dressée en un coït vaginal, Il lui ordonna :

- Jouit Ma chienne, maintenant, je le veux, je l’exige…

Alors Marion explosa comme rarement cela lui était arrivé, tout son corps bouillant de femelle en chaleurs et vibrant de spasmes violents se mit à trembler de mille décharges électriques jouissives, ne pouvant lui retenir des cris de jouissance qu’on aurait pu entendre dans tout le Château, tellement elle laissait exprimer ses orgasmes qui s’enchainaient alors que le Seigneur d’Evans se remit à la besogner à grands coups de reins.
Pui elle s’écroula, ses bras et ses jambes ne la soutenant plus, sur la couche du Maître. Il lui laissa quelques minutes le temps de revenir sur terre. Tous deux regardèrent, avec stupéfaction, Louise qui dormait toujours...

- Vas réveiller la petite (étant la plus jeune Il l’appelait souvent ainsi), je vous veux toute les deux.

Marion encore un peu chancelante alla gentiment réveiller Louise qui avait bien du mal à émerger et elles se rendirent devant la couche du Maître, se mirent à genoux pour recevoir Ses exigences.

- Bien, Marion entre Mes jambes, toi Louise tu …

Ce n’était certes pas volontaire mais elle venait de commettre une faute que le Seigneur d’Evans ne tolérait pas, et ce venant de qui que ce soit, et encore moins de la part d’une soumise. Bailler alors qu’Il est en train de parler.

- … tu … Et puis non, Marion va Me chercher Mon martinet. Quant à toi salope si tu n’es pas bien réveillée, crois-Moi, après, tu le seras… Eh bien qu’est-ce que tu attends pour Me présenter ton cul de chienne ?, salope endormie…

Louise savait qu’elle avait fauté et ne revenait pas là-dessus mais elle était encore, bien malgré elle, complétement endormie si bien que même ses actions s’en trouvaient impactées, elles étaient plus lentes et moins vives.

- Bon je sais que tu viens d’être réveillée, je ne te donnerais que 10 coups. Sache que je ne les retiendrai pas. Règles habituelles, tu comptes et Me remercie avec aussi un ‘Pardon Maître’ après chaque coup. Après tu pourras Me présenter tes excuses.
- Un, merci Maître, pardon Maître…
- …Deux, merci Maître, pardon Maître….
- …

Les coups étaient d’une force incroyable, le cul blanc rougit très vite à l’œil nu et les zébrures se multipliaient à caque coup. Mais Louise ne n’exprimait aucune douleur apparente même si elle avait besoin de crier sa douleur qu’elle avait appris à contrôler

- … 10, merci Maître.


Louise se retourna pour être face au Maître et Lui présenter ses excuses en espérant qu’Il les accepte.

- Maître Vénéré, j’implore Votre pardon, je Vous présente mes plus humbles et respectueuses excuses pour cette erreur irrespectueuse à Votre Noble personne, aussi je Vous remercie d’avoir pris le temps de me sanctionner pour laver cet affront. Je Vous supplie Maître Vénéré de me pardonner.
- Même si je suis furieux, je dois avouer que tes excuses, je le ressens, étant sincères. En conséquence tu es pardonnée.
- Ho merci Maître, dit-elle les larmes aux yeux, larmes de reconnaissance et de soulagement. Embrassant avec une évidente Dévotion la main que lui tendait le Maître.
- Bon cela contrarie légèrement la suite, mais tant pis Ma belle Marion, tu vas venir dans Mes bras terminer de reprendre tes esprits après tes orgasmes séismiques que tu as eu. Quant à toi, la chienne, tu vas me lécher Ma Noble queue et attention ne Me fait pas gicler, tu ne mérites pas Ma Noble semence, ensuite tu feras pareil avec Mes pieds et remontera le long de Mes jambes et tu n’arrêteras uniquement quand je te l’ordonnerai.
- Bien Maître tout ce que Vous exigerez.
- Toi, Ma belle Marion vient dans Mes bras …

Louise toute à sa tâche léchait les pieds su Maître et commença par la plante des pieds, puis entre les orteils, la cheville, le haut du pied…. Le Seigneur d’Evans s’occupait tendrement de Sa Marion lui caressant ses seins qu’Il adorait, car Il les trouvait juste à la taille de Ses mains, pinçant et agaçant ses tétons pointés vers le haut, les suçant, les aspirant, les mordillant entre Ses dents. Il lui caressait avec douceur les bras, le cou, la nuque… Il l’embrassait en de long baisers Dominant et amoureux à la fois en lui disant qu’elle était belle, si docile et obéissante, si dévouée à Le satisfaire et Lui seul au-delà de la Dévotion «de base» qu’Il exigeait de n’importe qu’elle soumise lui appartenant. Tout cela, certes, Il le pensait sincèrement mais était aussi destiné, pas à rendre Louise jalouse, d’ailleurs la jalousie était interdite ou très sévèrement punie, mais à lui faire comprendre que chaque faute avait des conséquences tout comme chaque acte de soumission et d’obéissance pouvait donner lieu à certains privilèges ou récompenses.

- C’est bon, cela suffit, dit-Il à Louise en étendant son bras, vient-toi aussi Ma petite, Ma toute petite chienne encore débutante.

Louise se glissa sous les draps du Maître tout en se blottissant contre Lui le sourire aux lèvres, si heureuse de se sentir pardonnée. Soudain Marion se redressa subitement.

- Maître, puis je Vous poser une question ?
- Bien sûr Ma chienne, de quoi s’agit-il ? interrogea le Maître étonné d’un bond si soudain
- Laquelle de nous deux voulez-Vous pour Votre réveil ?

Le Seigneur d’Evans réfléchit un instant et se dit que la seule nuit que Louise avait passée avec Lui, Il n’avait rien exigé pour Son réveil car c’était la nuit où Marion avait été si mal (lire épisode précédent).

- Louise n’a jamais dû Me réveiller. Par conséquent, elle ne sait pas comment agir, tu lui expliqueras le moment venu et vous ferez cela toutes les deux.
- Bien Maître, ce sera fait comme Vous l’exigez.

La fin de la nuit se termina bien. Louise ayant très bien dormi une bonne partie de la nuit se réveilla de bonne heure, contrairement au Maître et à Marion toujours endormis. Elle restait immobile car le moindre mouvement risquerait de Le réveiller, regardant poindre l’aube entre les tentures des hautes fenêtres, elle repensa aux événements de la nuit, la punition, mais aussi le plaisir qu’elle avait eu de lécher les nobles pieds du Maître. Le bonheur d’être pardonnée et de partager la couche du Seigneur d’Evans avec Marion…

(A suivre …)

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