Une Expérience Troublante..

Je voudrais vous partager ici l’expérience sexuelle troublante que j'ai vécu il y a quelques semaines lors d'une soirée. Cela fait quelques mois mais encore aujourd'hui, je ne saurai dire si c’était la meilleure ou la pire de toutes mes expériences en la matière jusque la. J'essaierai de vous partager les moindres détails car je pense que c'est ces détails qui ont rendu cette expérience unique.

Je m'appelle S, j'ai 27 ans, je suis une jeune femme assez banale, blonde, petite. On me trouve assez jolie mais sans plus, je suis célibataire et malgré mes nombreuses aventures avec différents garçons, je ne pense pas être ce qu'on appelle une « fille facile » (j'ai un peu de mal avec cette expression). Lorsque j’étais adolescente, j'avais tendance à me laisser faire et j'ai vite été associée à ce titre. Cela m'a fait beaucoup de mal et depuis que je suis adulte, j'essaie de me comporter comme une fille bien. J'ai quelques plans cul qui me respectent et qui sont pour la plupart aussi de très bon amis, et cela me convient.

Je suis invitée chez une ancienne collègue pour fêter son anniversaire mi-janvier. L'invitation précise que je peux venir accompagnée et je propose donc à J, ma meilleure amie, de venir avec moi. La soirée se déroule dans une maison, en ville, à 1km de chez moi, nous décidons donc d'y aller à pied et de rentrer à deux dans la nuit, quand la fatigue se fera sentir.

La soirée se passe très bien, je reste avec J. la plupart du temps mais, comme à chaque soirée (les filles comprendront), quelques mecs tentent de nous accoster, subtilement ou non. Parmi eux, deux garçons qui semblent assez proches nous abordent en se présentant ainsi : « Salut, on aimerait faire votre connaissance, ça vous dit ? ». Ils ont l'air gentils et J. et moi nous laissons convaincre. La soirée avance et petit à petit, les mecs sont de plus en plus tactiles et je vois même le premier garçon glisser sa main sous la jupe de mon amie assez rapidement.

Celle-ci repousse en premier lieu mais vingt minutes plus tard, je les vois s'esquiver vers les pièces sombres de la maison, mon amie me glissant un clin deuil l'air de dire : « C'est ok ».

Me voilà donc seule, parmi une cinquantaine d'étrangers, bourrée et je dois l'avouer assez excitée par la tournure que prend la soirée. Je me rapproche du second garçon : il est grand, blond et à l'air d’être le genre de mec qui passe la moitié de sa vie à la salle de muscu, ce n'est pas mon genre d'habitude. Nous commençons à danser et en me collant à lui, je peux sentir son sexe sous son jean et je ne résiste pas à l'envier de l'effleurer de temps en temps en le regardant fixement. Ca y'est, je le veux en moi. Je me connais, lorsque ce déclic se fait, il est impossible de revenir en arrière. Une pointe m'appuie sur le vagin et mon cerveau ne pense qu'a une chose : un pénis en érection me pénétrant.

Je décide donc d'y aller franchement, personne ne me connaît ici, je n'entendrais sûrement plus parler de ce mec de ma vie alors je me lance. Alors qu'on danse encore, je le fixe droit dans les yeux, je lèche mes lèvres et je lui murmure à l'oreille : « Tu veux me baiser ? ». Il sourit et me répond : « Je veux te baiser depuis que je t'ai vu ». A partir de ce moment, j'avoue que je me suis transformée, je lui répond complètement excitée : « Rejoins moi dans la salle de bain dans 2minutes, tu me baiseras comme tu veux » A ce moment je ne veux qu'une chose, qu'il me prenne sauvagement, presque violemment et que personne ne le sache.

Je me dirige vers la salle de bain et je le sens qui me suit dans le couloir, sa respiration est haletante et la tension sexuelle est immense. Arrivés dans la pièce, il ferme derrière lui et nous voilà donc seuls, face à face. Il se dirige lentement vers moi, sans détacher ses yeux des miens, se colle contre moi, m'embrasse avec force puis me dit d'un ton autoritaire qui me surprend : « Maintenant suce moi ». Moi qui d'habitude n'est pas du genre à me laisser faire, je m’exécute comme hypnotisée.
J'ouvre son jean et son sexe déjà en érection s'offre à moi, il est énorme. Je n'en peux plus, je suis trempée et la vue de sa bite provoque chez moi un gémissement. Je commence ce que je sais faire le mieux : d’abord des caresses puis je met ma bouche tout doucement contre son gland avant de le sucer en le regardant. Une minute se passe puis il m'att par les cheveux, je ne m'attendais pas à ça mais je ne dis pas non. Il commence à appuyer de plus en plus ma tête et son sexe rentre toujours plus profond dans ma gorge, c'est la première fois que je fais ça. Il continue les va et viens, sortant quelquefois son sexe de ma bouche pour le taper contre mon visage. Je me sens dégradée, humiliée mais je suis comme paralysée de plaisir. A ce moment vient ce que j'ai appelé le « coup fatal », il me regarde et me dit doucement :  « Je savais que tu étais une belle salope, regarde toi ». La encore, je suis à deux doigts de me lever et de tout arrêter mais, sans comprendre pourquoi, je continue de plus belle. Soudain, je sens son sexe palpiter et avant même que j'ai pu réagir, il appuie sur ma tête et l'enfonce au plus loin dans ma gorge. Je tente de me dégager mais il appuie trop fort, je ne peux plus rien faire. Il rugit de plaisir et je sens quelque chose de chaud glisser dans ma gorge, il est en train de jouir. A ce moment, plus aucun de mes sens ne réponds mais je l'entends tout de même me lancer presque en rigolant : « Petite chiennasse ».

Il retire son sexe de ma bouche, il y a de la bave partout, je me sens souillée mais toujours aussi excitée car je n'ai rien eu, il ne m'a même pas encore touchée. Je tente alors le tout pour le tout, je me retourne me met à quatre pattes devant lui et lui offre littéralement toute mon intimité. Je ne peux plus le voir mais j'entends des bruits métalliques et je me dis donc qu'il enlève sa ceinture qui était pour l'instant restée sur lui. Je commence à me toucher en attendant qu'il me pénètre, je n'ai jamais été autant mouillée de ma vie.
Tout à coup, une douleur intense accompagnée d'un claquement sonore. Il vient de me donner un violent coup de ceinture sur les fesses, sans gène. Cette fois c'en est trop, je me lève et lui lance un regard noir mais il me repousse et me bloque contre le mur. Deuxième coup de ceinture, la douleur est insoutenable et provoque un cri sans même que je décide de crier. Il s’arrête un peu surpris et me demande si je veux arrêter. Dans un dernier effort, je lui dis oui et je le vois se rhabiller rapidement et quitter la pièce sans un regard ni un sourire. Je suis seule, le pantalon baissé aux cheville dans la salle de bain d'une vague connaissance, il y a de la bave et du sperme sur le carrelage. Je nettoie tant bien que mal et , honteuse, j'abandonne J. et je décide de rentrer chez moi.

Il est à peu près une heure du matin et même si cette aventure m'a un peu dé saoulé, je titube un peu sur la route du retour. J'en veux énormément au mec, je ne connais même pas son prénom et je ne saurais dire si j'ai apprécié ce que je viens de vivre. J'en viens à me persuader que c'est de ma faute, que c'est moi qui lui ai proposé la première. Je me dis tout de même que tant qu'a faire, j'aurai aimé coucher avec lui, j'aurais sûrement eu moins l'impression d'être utilisée. Bref, je suis choquée mais je reste sur ma faim.

Sur la route, plusieurs groupes d'hommes m'accostent et comme d'habitude, je fais semblant d'être absorbée par ma musique et je continue ma route. L'idée saugrenue de proposer à un inconnu de rentrer avec moi me passe par la tête mais je finis par abandonner l'idée. A 100 mètres de chez moi, je croise un groupe de trois hommes, d'origine africaine et assez jeune, je dirai entre 20 et 25 ans. L'un deux me fait un sourire et me propose : « Tu marches pas droit toi, tu veux qu’on te ramène chez toi ? C'est dangereux pour les filles de se balader à cette heure ». Je lui rends son sourire mais je décline poliment son offre, on sait toutes à quoi cela mène et j'ai eu mon lot de péripéties pour ce soir.


Je ne fais pas attention mais il semblerait que le groupe ai changé de direction et ai commencé à me suivre à partir de ce moment la puisqu'au moment ou j'ouvre la porte de mon immeuble, je les vois au bout de la rue qui pressent le pas. Je m'engouffre rapidement dans le hall mais un des hommes (celui qui avait parlé tout à l'heure) réussit à me suivre jusqu'à l’intérieur, les autres sont restés devant la porte de l'immeuble. Je feins de monter au premier alors que mon appartement est au rez de chaussée et je l'entends commencer à monter les marches derrière moi. Je me retourne pour tenter de négocier, de lui demander ce qu'il veut mais je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche que l'homme a déjà posé une main sur mon ventre et tente de me pousser contre le mur. Je vois qu'il a sorti son sexe et qu'il tente de le coller contre ma peau. Je pense à crier mais je sais que personne n'habite l'immeuble et que ce cri sera vain, je décide donc de le laisser faire ce qu'il veut espérant que cela soit rapide. Il se branle contre moi et tente de passer sa main dans ma culotte. Lorsqu'il a réussi, je me rappelle à quel point j’étais mouillée il y a une heure et je sens effectivement ses doigts me pénétrer facilement. A ce moment, il se met à rire et lance une phrase que je ne comprends pas à ses amis devant l'immeuble, ceux-ci lui répondent avec des rires bruyants et le gars continue de me doigter. Les minutes passent et malgré la situation, je prends un plaisir immense. Ses doigts maladroits trahissent son excitation et je sens sa queue devenir de plus en plus dure contre mon ventre. Une bouffée d'excitation me prend et en un mouvement je m'accroupis devant lui. Son sexe est moite et odorant et je le prends en bouche rapidement. Surpris, il éjacule en quelques secondes sans me prévenir. Son sperme me dégoûte alors je crache tout sur le sol. Il me prend par les épaules, me relève et me tourne contre le mur. Il tente de me pénétrer maintenant, je sens son gland frotter contre mes lèvres mais il ne bande plus. Je glisse ma main a travers mes jambes et je lui caresse doucement les testicules mais rien n'y fais. Il me pose une question dans une langue étrangère que je ne comprends pas puis voyant ma non-réaction, il remonte grossièrement mon jean et me prend par le bras et m’amène en bas des escaliers, juste devant ma porte. Ses deux amis sont la et me regardent avec des étoiles dans les yeux, je peux sentir leur excitation. Chacun me caresse lorsque je passe devant lui et machinalement, j'ouvre la porte de mon appartement.

Les trois hommes me suivent prudemment, la premier semble pousser les autres a entrer et ces derniers ne se font pas prier. Mon entrée donne sur ma cuisine et a peine sont-ils dans l'appartement que le plus grand des trois me soulève et me pose assise sur les plaques de cuisson. Il enlève mon jean déjà à moitié baissé, baisse ma culotte et se met a me lécher. A partir de ce moment, je me laisse aller et je peux maintenant dire, avec le recul, que ce fut une des plus belle expérience sexuelle que j'ai jamais vécue. Les trois hommes, bien qu'excités, sont restés courtois malgré la situation et j'ai plus d'une fois cette nuit la..

Après m'avoir tous les trois léchés, j'ai sucé les deux hommes qui étaient au rez de chaussée pendant que le premier frottait son sexe contre mes lèvres en y glissant parfois ses doigts. J’étais tellement mouillée qu'il arrivait même parfois à entrer dans mes fesses alors que je n'avais jamais fait cela avant, je me laissais faire. Je ne me l'avouais pas mais je ne rêvais que d'une chose à ce moment la, que l'un d'eux me pénètre. L'un des deux que j'avais commencé à sucer fouilla dans sa poche, sortit un préservatif et l'enfila. J’étais à quatre pattes sur mon lit et il passa derrière moi pendant que je continuais à prendre en bouche son ami, l'autre se branlait en regardant la scène. Quand son sexe entra dans moi, je sentis un coup d’électricité qui me fis bondir, il tentait de me sodomiser. Celui qui était devant me retint et appuya ses doigts contre ma vulve, le sexe de l'autre rentra alors profondément et mon cors se cambra de lui même. Chacun leur tour, ils passèrent derrière moi. Le premier éjacula dans mon anus et le deuxième sur mon vagin. Celui que j'avais fait finir dans les escalier semblait de nouveau excité et il me sodomisa à son tour, sans pouvoir finir. Nos ébats durèrent jusqu'au lever du jours et les hommes finirent par s'en aller après m'avoir tous remerciés naturellement.

J’espère que ce témoignage vous à plu, je ne vous ai épargné aucun détails et j'avoue que me remémorer ce souvenir me rend complètement tarée.

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