Une Histoire Inattendue 2

UNE HISTOIRE INATTENDUE 2 : tennis mixte.


Le troisième jour, après une bonne partie de tennis avec Daniel, je rejoins la piscine où Vanessa est déjà là. Elle est vétue d’un bas de maillot noir, assez échancré, et se lève pour me faire la bise, ses seins somptueux s’appuyant sur mon bras.
-« C’était bien le tennis ? »
-« Je progresse, je finirais par l’avoir. »
-« c’est ce que tout le monde pense. Méfies toi. »
-« Il est si dangereux ? Tu as joué contre lui pourtant, il me l’a dit. »
Là elle a un mouvement de surprise
-« Il t’en a parlé ? Qu’a t’il dit ? »
--« Oh rien de précis, juste que tu ne jouais pas si mal » réponds je pour apaiser le débat
-« C’est vrai, je suis classée, et je pensais avoir l’avantage sur lui. »
-« Mais il a fini par te battre. En quoi est-ce un problème ? »
Vanessa a l’air assez génée, comme si elle hésitait à me parler, puis finalement
-« De toute façon, tu finiras par l’apprendre. J’étais tellement sure de moi que je lui ai proposé un pari, en pensant me faire un peu d’argent. »
-« et alors ? »
-« Il a accepté le pari, mais il m’a dit que si je perdais, je ne pourrais jamais le payer, ce qui était vrai. Il m’a proposé un enjeu de 1000 euros si je gagnais. En revanche, si je perdais, je devais passer une nuit avec lui, et faire ce qu’il me demanderait. »
-« Et tu as accepté ça ? «
- « J’étais sure de gagner. D’ailleurs, j’ai gagné le premier set facilement, mais il a ensuite haussé son niveau, et m’a balayée dans les deux suivants. »
-« C’est donc ça. Evidemment je comprends que tu sois discrète mais tu as respecté ta parole, et tu dois en être fière. »
-« Tu dis ça, mais tu ne sais pas ce qu’il m’a fait endurer. »
-« Non, et je ne veux pas le savoir. L’essentiel est que ça t’ai servi de leçon. »
-« je serais fière si c’était le cas, mais en fait j’ai recommencé à plusieurs reprises.

Heureusement, j’ai gagné à chaque fois. »
-« Donc si je te défiais au tennis, tu accepterais de te mesurer à moi. »
-« Je t’ai vu jouer, et je pense te battre. Si tu as 1000 euros à perdre, je tiens le pari. »
-« et quelle serait ta mise ? »
-« la même, une nuit avec toi. » m’annonce t’elle sans sourciller.
-« Tu sais bien que je ne suis pas seul, ce n’est pas possible. »
-« que proposes tu ? » demande t’elle
-« Juste un moment intime avec toi, et tu feras ce que tu veux. »
-« ça me convient » conclut elle
Nous convenons de nous affronter en début de soirée, après son boulot.
En attendant, elle me demande de lui passer de la crème solaire. Je prends le flacon et l’asperge un peu. Elle a un sursaut quand elle reçoit le liquide froid sur son dos, mais rapidement, j’étale le produit et commence à l’étaler depuis les épaules, en massant doucement. Je descends le long de son dos jusqu’à la cambrure de ses reins. Quand j’arrive à la limite du tissu noir, elle envoie ses deux mains et fait glisser le maillot un peu plus bas sur ses fesses, dégageant une bande de peau que j’oins également. Je m’attaque ensuite à ses molets et remonte le long des cuisses, jusqu’à ses fesses qu’elle a dégagées, tirant le maillot dans son sillon fessier. Elle se laisse faire sans manifester d’urgence, ou de plaisir.
J’ai maintenant terminé. Je lui demande de se retourner pour la face avant, ce qu’elle fait de bonne grâce. Me voici maintenant en train de malaxer ses seins opulents, dont les pointes s’éveillent sous mes doigts.
-« N’en profites pas trop » me murmure t’elle « tu n’as pas encore gagné. »
Je délaisse la poitrine et vais masser les abdominaux, agaçant au passage son nombril, ce qui la fait rire. Quand j’arrive à son maillot, je le retrousse, moi-même, au plus bas que la décence le permet, puis cette zone protégée, je vais enduire ses jambes, toujours en remontant, en finissant par l’intérieur des cuisses, légèrement écartées, effleurant de mes doigts son sexe planqué sous son maillot noir.

Je sens déjà la brûlure du soleil sur ma peau. Je vais vite me rafraichir dans l’eau. Quand je reviens à mon transat, Vanessa me propose de me tartiner à son tour, avant, dit elle, que je soie complètement cuit. Je lui passe mon indice 50, et me laisse enduire le dos, les jambes, avant de me retourner. Avec application, elle masse mes pectoraux, et mon ventre, faisant glisser mon boxer, le plus bas possible. Lorsqu’elle passe à mes cuisses, ses mains s’égarent entre mes jambes, frôlant mes bourses, déclenchant un réflexe, qui devient vite visible, tendant la toile du boxer. Sans s’en offusquer, elle se contente d’effleurer mon érection. Puis elle m’abandonne. Epuise par le match avec Daniel, je finis par m’endormir. Quand je reprends conscience elle est toujours immobile à côté de moi. Sentant de nouveau la chaleur de l’astre, je fais vite un petit plongeon. Quand je reviens, j’ai droit de nouveau à la voir se changer discrêtement, avant de partir.
Je remonte moi aussi à l’appartement où je trouve Sandra, vétue de pied en cap, en train de se faire les ongles sur la terrasse. Elle a contacté un de ses oncles qui habite assez près et voudrait passer une partie de la journée avec lui et son épouse. Je l’assure qu’elle peut y aller et que je n’ai pas besoin de la voiture, puisque j’ai un match de tennis.
L’après midi traine en longueur et je suis à peine prêt quand arrive 19h. Vanessa arrive sur le court quelques minutes après moi. Elle a revétu une jupette blanche sur un shorty, et en haut, un soutif brassière, sur un simple tee-shirt. Après un petit échauffement, nous commençons à jouer. Elle se défend vraiment bien, et j’ai intérêt à faire attention. Le premier set est assez partagé, mais j’ai la puissance pour moi, et je l’emporte au tie-break.
Le deuxième set est différent. Je me concentre et frappe un peu plus mes balles. Rapidement, je me détache et mène 5-1. A ce moment, je sais que le match est entre mes mains. Je relâche un peu la pression et la laisse réagir.
Elle égalise et finit par remporter la manche 7-5. Dans le troisième et dernier set, la puissance parle de nouveau, et je mène 4-0. Je sais déjà que je vais la laisser gagner. Pas question pour moi de gagner ses faveurs sur un tel pari. J’appuie un peu moins mes frappes, je cours un peu moins vite et ça suffit pour qu’elle remonte rapidement, car c’est une excellente joueuse. Quand elle finit par remporter le match , je me dirige vers le filet pour la féliciter, et l’embrasser. Nous restons enlacés de longues minutes. Je lui propose de venir se changer chez nous, donc chez elle.
-« Ton épouse ne va pas faire la tête ? » me demande t’elle.
Je lui assure que non, et qu’elle n’est sans doute pas encore rentrée . Je lui laisse la douche en premier, et elle en ressort dix minutes plus tard, avec une robe de plage très transparente sous laquelle, elle ne porte visiblement rien.
A mon tour, je me deshabille et me jette sous l’eau chaude qui me délasse et me décrasse.
Une fois douché, je noue une serviette autour de ma taille pour aller dans la chambre chercher des vêtements propres.. Vanessa est sur la terrasse et m’appelle. Elle me tend un grand verre de jus de fruit frais que je déguste avec délice. Elle prend mon verre et le dépose sur la table toute proche, avant de s’approcher de moi et de dénouer ma serviette. J’ai un mouvement de recul, mais elle a déjà saisi ma verge qui se raidit dans sa main.
-« Qu’est-ce que tu fais ? »
-« Je paie ma dette. » répond elle
-« Mais tu n’as pas perdu ».
-« Non je n’ai pas perdu, mais je ne suis pas idiote non plus. Tu avais le match en main, et tu m’as laissé gagner. » explique t’elle, alors que c’est mon sexe qu’elle a maintenant en main et qu’elle caresse doucement. »
-« Justement, je ne voulais pas t’imposer quoi que ce soit. »
Elle me regarde dans les yeux, pose un baiser sur mes lèvres, et se met à genoux devant moi.
-« Tu ne m’imposes rien, c’est moi qui ais envie » dit elle avant de refermer ses lèvres sur mon gland.

S’ensuit alors une merveilleuse fellation qui me transporte de plaisir, mais je ne veux pas en rester là. Je la relève et l’embrasse longuement en caressant ses formes pleines. Elle dénoue sa robe qui tombe à ses pieds. Ns tous les deux, nous nous explorons et nous donnons sans retenue. Heureusement, la nuit commence à tomber, et comme les lumières sont restées éteintes, seul le halo des lampadaires, assez lointains apporte une lueur diffuse. Vanessa s’étend sur le transat, et je plonge entre ses jambes pour aller gouter sa petite chatte épilée. Dès mes premiers coups de langue elle se met à gémir. Son clito, s’érige sous mes léchouilles et je pointe ma langue pour aller le plus profond possible dans son vagin. J’introduis deux doigts dans sa chatte, qui dégouline de plaisir. Elle relève ses jambes et les passe sur mes épaules, découvrant le chemin de son anus déjà inondé de mouille. Un doigt vient s’y enfoncer, et je la fiste doucement jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un cri bref. Elle me repousse et, assise sur le bord de la chaise longue, m’attire à elle. Elle se colle à moi et enserre mon sexe tendu entre ses seins, entre lesquels elle entreprend de me branler. De temps en temps, elle se penche en avant et saisit mon gland entre ses lèvres. La sensation est juste énorme.
-« C’est la première fois qu’on me fait ça » dis-je en gémissant de plaisir
-« Il faut tirer parti de tous ses atouts » dit elle en redoublant d’efforts
Ma queue coulisse entre ses deux globes soyeux et sa langue, en bout de course, vient agacer le frein. Comment résister à une telle sensation. Je sens monter mon plaisir et je gicle sur ses seins à plusieurs reprises. Elle me regarde et me sourit avant de m’emboucher, et de me sucer à nouveau. Mon érection ne faiblit pas, mais maintenant, j’ai envie de la pénétrer. Je la fais lever et s’appuyer à la balustrade. Elle comprend aussitôt et écarte les jambes en tendant ses fesses vers moi. Je n’ai qu’à fléchir un peu les jambes et en me redressant je m’enfonce d’un coup en elle, tandis qu’elle pousse un soupir de bonheur. Je la lime vigoureusement sans difficulté, provoquant ses soupirs de bonheur, qui se mélangent avec le son des télés qui s’échappent des appartements environnants. Rapidement elle prend son pied. Je sors de son vagin, excité au maximum. Elle tend la main et saisit mon sexe qu’elle vient appuyer sur sa rondelle.
-« prends moi par là aussi » soupire t’elle en poussant son cul pour faire entrer ma queue. Les muscles se détendent et laissent passer mon gland. Petit à petit, je fore un passage dans son boyau, jusqu’à ce que mon ventre vienne taper contre son cul. Je lui imprime alors un long mouvement qui lui arrache quelques plaintes, mais elle repart vaillament à chaque coup de rein, et bientôt nos corps impatients claquent l’un contre l’autre rythmant la cadence de notre coït. Je commence à Haleter. Je suis plus long à venir la seconde fois. De son côté Vanessa respire très vite avec de petits cris de plaisir. Elle accélère encore et se met à ruer du cul, cherchant à m’enfoncer encore plus encore en elle. Se gémissements se transforment en cris, et je râle de plaisir tandis que, comme une coulée de lave brûlante, mon sperme jaillit dans ses entrailles. Je m’abats sur son dos, et nous reprenons notre souffle, pendant que je lui masse les seins, et lui fais de petits bisous dans le cou.
Ainsi enlacés, nous découvrons, deux étages plus bas, un bonhomme, avec un chien en laisse qui nous dévisage. Avec la balustrade en verre, il a bien dû se rincer l’œil. Il nous fait un petit coucou de la main, et s’en va vers le fond de la résidence.
Nous le regardons partir , ébahis. Vanessa se retourne vers moi et se blottit dans mes bras.
-« Tu crois qu’il était là depuis longtemps ? » questionne t’elle
-« Je n’en ai aucune idée. Tu le connais ? »
« Non, ça n’est pas un permanent, en tout cas, il n’a pas pu me rater. »
« Une belle fille comme toi, ça va lui faire des souvenirs. »
Nous éclatons de rire.
-« En tout cas, si il revient, ou un autre, il aura une magnifique vue sur ton splendide postérieur. »
Nous rentrons nous doucher de nouveau. Vanessa est rapidement habillée. Elle a mis un bas de maillot sur sa robe de plage, et un châle en coton sur ses épaules.
Je la raccompagne à la porte.
-« Merci pour ce moment » lui dis-je en l’embrassant
« Finalement, je n’ai pas vraiment perdu, mais il vaut mieux que je file avant que ta femme rentre. »
-« Pas de danger, elle est chez des cousins à Biarritz. Elle va surement y diner et rentrer assez tard. »
« Ah, je pensais qu’elle était dans le coin. Je l’ai croisée en sortant de mon boulot, vers la plage d’Anglet. »
Je suis stupéfait par cette nouvelle mais j’essaie de ne rien montrer.
-« Elle a du partir assez tard, en fait ça n’est pas très loin. »
Je regarde Vanessa, pensif.
Je regarde ensuite un film, puis je vais me coucher, assez tôt, car la journée a été chargée.
Je suis réveillé par le bruit de la porte . Sandra essaie d’être discrète, mais l’appartement est petit. Je l’entends déposer ses chaussures. Puis elle traverse le couloir, sans allumer, et passe à la salle de bain, Au passage, elle a jeté un coup d’œil vers moi, mais je fais semblant de dormir. Je me déplace un peu pour avoir la vue sur la salle d’eau. Sa coiffure est un peu ébouriffée, elle passe sa robe par dessus sa tête et apparaît entièrement nue. La robe est enfouie dans la machine à laver, vite rejointe par un string et un soutif, tirés de son sac à main. Je ne la vois plus mais j’entends la douche couler. Quelques minutes plus tard, elle se faufile dans le lit, le plus subrepticement possible. Longtemps après qu’elle soit endormie, je reste éveillé, me posant mille questions.

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