La Vie Dissolue D'Une Bigote 17 : Candidature Surprise

Un jour, Jacqueline nous annonce qu’elle a rencontré une femme qui serait intéressée pour participer à notre groupe.
• « Mais… Comment a-t-elle appris son existence ? Interroge Geneviève. »
Un peu gênée, elle raconte que cette femme l’a un peu piégée en lui disant qu’elle la trouvait rajeunie, qu’elle soupçonnait un nouvel amant. Connaissant Jacqueline, elle savait que l’ancien était parti et comme elles étaient assez proches, au cours du repas elle l’avait fait un peu boire, Jacqueline s’était un peu embrouillée jusqu’à avouer faire partie d’un groupe un peu... particulier.
Après cela, il a été facile à la femme d’en savoir un peu plus, jusqu’à accéder au site internet qu’à particulièrement apprécié la dame.
• « Je lui ai simplement dit que je ne pouvais pas décider seule. Rassurez-vous, je n’ai trahi personne. Par contre elle tient absolument à en faire partie.
• Tu lui a dis que c’était quand même « hard » qu’il fallait être motivée, pas bégueule et s’engager à la discrétion.
• Oui, oui, Elle est à la recherche de ce genre de relation depuis un moment mais par ici, c’est délicat. Elle fréquente parfois des saunas en toute discrétion et cela l’oblige à se déplacer loin.
• Tu lui as dit qu’elle pourrait rencontrer dans ce club des personnes connues ?
• Oui, oui, mais sachant qu’elles sont dans les mêmes dispositions qu’elle, cela ne pose pas de problème et elle veut surtout avoir ce genre d’expérience de groupe.
• Quel âge elle a ? Demande Pauline.
• Voyons ! S’interpose Geneviève, Vous savez bien que ce n’est pas un problème d’âge !
• C’est vrai, pardon !
• Cinquante six ans. Répond Jacqueline
• Ah ! C’est que … Elle est jeune !
• Nous n’allons pas faire du racisme anti jeune ! Interviens-je alors. Après tout, cela rétabli la moyenne avec Marlène ! Pardon chère amie ! vous savez combien je vous apprécie.

C’est juste pour la remarque.
• Moi, ça ne me gêne pas une femme plus jeune, rétorque notre doyenne.
• Bon ! On va voir. On peut toujours lui faire passer un casting.
• Comment ça ?
• Eh bien, on la fait venir, on lui bande les yeux avant pour qu’elle ne sache pas où elle se trouve ni qui est là. On voit comment elle est et ce qu’elle est prête à accepter, quitte à pousser un peu le bouchon. Rappelez-vous l’audition de Geneviève.
• Oui, c’est vrai, dit Irène. J’ai adoré ce moment ! Jacqueline va nous l’amener ici et on va juger. Il n’y aura ensuite qu’à voter pour ou contre pour savoir si on l’accepte. »
Tout le monde est d’accord et nous chargeons Jacqueline de nous amener la concurrente pour le surlendemain soir.
A l’heure dite, tous sont présents. Comme d’habitude, on ouvre du champagne, qui est devenu la boisson « officielle » du club. On installe des fauteuils autour de l’estrade qui servira de scène de présentation.
Gérard qui pense à tout à réglé un gros projecteur qui va éclaire la scène, nous laissant dans l’ombre ce qui fait que si le bandeau s’enlève, la femme ne pourra quand même pas nous voir.
Jacqueline fait son entrée en tenant par la main la femme aux yeux bandés. Lentement elle l’amène au centre de l’estrade. L’éclairage brut rend la scène un peu irréelle.
Quand la femme prend place, je la reconnais aussitôt. Il s’agit d’une élue locale, mariée, bien que je n’ai jamais vu son mari. Je sais déjà que quelle que soit la décision de notre groupe, je la baiserai, ici ou en dehors du club. Maintenant que je connais ses envies de sexe, je n’hésiterai pas à entreprendre la coquine.
C’est une femme assez grande et charpentée. Je l’avais repérée mais n’aurais pas cru qu’elle ait ce comportement. Elle s’est habillée plutôt sexy, avec une robe noire arrivant au dessus des genoux, qui moule son corps plantureux. Je la verrai bien dans un rôle de dominatrice, même si pour l’instant elle est tout de même un peu craintive.
Tachant de changer ma voix je lui demande ce qui la pousse à se présenter à nous et à participer au club.
• « Depuis longtemps j’ai envie de participer à des réunions du style que vous organisez. » A mes côtés Pauline s’est raidie. Elle aussi, au son de la voix, a reconnu la femme. Je pose ma main sur son bras et lui fais signe de se taire.
• « C’est facile à dire mais je crois que vous avez vu le site, il y a des situations assez... scabreuses !
• Oui ! C’est justement ce que je cherche. La pluralité et différentes positions ou pénétrations de toutes natures.
• Vous avez aussi pu remarquer que le titre du site donne le ton et que les dames sont plutôt âgées. Vous n’êtes pas tout à fait dans la même catégorie.
• Je ne suis plus très jeune non plus. Si j’ai bien compris. Les invités cherchent des femmes plus âgées. Donc des hommes de trente, trente cinq ans ou moins peuvent être intéressés.
• Oui, mais il peut y avoir aussi dans l’assistance des hommes plus âgés qui peuvent s’intéresser à vous !
• Ce n’est pas un problème pour moi.
• Bien. Et les femmes ?
• Comment ça ?
• Vous avez dû voir qu’il y a avait aussi des rapports entre femmes ?
• Euh oui…
• Cela semble vous gêner ?
• N…Non, ce n’est pas ça mais…
• Oui ?
• Je... Je n’ai jamais eu de rapport avec des femmes. Je n’ai pas d’expérience.
• Et vous êtes contre en avoir ?
• Pas du tout ! J’ai simplement peur de ne pas être à la hauteur… mais, je veux bien essayer !
• Vous n’êtes pas contre une… formation alors ?
• Non ! Au contraire !
• C’est bien ! Nous allons juger de votre motivation et plus généralement de vos capacités. Alors à poil ! »

La femme tressaille. Ce n’est plus une conversation. On passe au stade actif. Il faut que les paroles deviennent des actes. Elle sait qu’il y a plusieurs personnes qui regardent.
Elle ne sait où elle se trouve et là, elle va se déshabiller devant des inconnus, sans les voir. Ils vont la juger.
Comme un automate, elle fait glisser la fermeture éclair à l’arrière de sa robe. Elle est nerveuse et a du mal, je demande à Jacqueline qui est restée à ses côtés, de l’aider.
La robe dégrafée glisse sur son corps. Une fois à terre, elle l’enjambe et se retrouve en petite tenue, Bas, soutien gorge, porte jarretelles, petite culotte façon string et escarpins.
- « Je vois que madame s’est habillée en pute ! Enlève ta culotte et ton soutien gorge»
J’ai volontairement employé le tutoiement pour la rabaisser. Elle enlève son soutien gorge, mais problème avec la culotte. La femme n’est pas une habituée. Elle a cru bien faire à mettant des bas à jarretelles mais les a attachés par-dessus la culotte ce qui empêche de l’enlever.
• « Je vois que tu n’es pas habituée ! Tu n’as pas pensé à ce problème ! Ce n’est pas grave ! Ici, tu n’as pas besoin de culotte. Jacqueline ! Prend des ciseaux et coupe-la !
• C’est dommage ! Elle est jolie proteste Irène.
• Ben oui ! Tant pis ! »
Jacqueline reviens et découpe le sous vêtement de chaque côté, puis le retire. C’était un joli string en dentelle !
• « Bien ! maintenant écarte un peu tes jambes et mets tes mains derrière la tête ! » La femme prend la pose. « Qu’en pensez-vous mes amis ?
• Elle est belle dit Irène. ment avec quinze ans de moins que nous ! » Pauline n’ose pas parler, de peur que la femme ne la reconnaisse. C’est pareil pour ma belle-mère dont la voix est très reconnaissable.
• Oui ! C’est un joli morceau ! C’est aussi une vraie brune ! J’aime bien sa toison, même si elle mérite une taille plus sexy !
• Tu vois ça comment ? Interroge Yves.
• Comme sa fourrure remonte assez haut, je verrais bien une bande assez large de son nombril tout droit vers sa chatte.
• Je suis d’accord pour la tailler ! » ajoute Marlène.

• On verra ça si on l’accepte ! Dis-je. En attendant, passons aux travaux pratiques. Toi la candidate, mets-toi à genoux ! »
La femme obéit et se laisse glisser à genoux sans quitter la pose de ses mains derrière la tête. Un bon point pour elle. Je m’approche. Ouvre mon pantalon et lui présente ma queue, déjà bien raide. Sans hésiter, elle devait s’attendre à cela, elle avale ma bite et suce.
Elle se débrouille bien la cochonne, je sens que je vais me régaler ! Je me retire, fais signe à Gérard qui lui présente son petit sifflet, qu’il n’a plus honte d’exhiber. Elle est surprise, essaye un moment de le faire dresser. Semble paniquer de ne pas y parvenir. Je lui conseille d’avaler à la fois la tige et les couilles. Gérard se laisse faire un moment. Sans atteindre le niveau particulier de Marlène, elle se débrouille pas mal. Gérard levant son pouce pour manifester son contentement.
Je fais signe à Pauline d’approcher, mais elle ne veut pas. Alors je demande à Geneviève. Ma belle-mère vient présenter sa moule glabre aux lèvres de la femme. Elle relève sa jupe sous laquelle elle est bien sûr nue, lui att la tête et la plaque contre ses lèvres. Je lui fais signe de ne pas jouir, car elle est capable de nous arroser la femme sans prévenir. En attendant cette dernière ne se fait pas prier pour lécher cette vulve onctueuse. Je fais approcher Mélanie pour lui présenter maintenant une toison bien fournie. Le changement est radical. Une petite hésitation mais elle ne rechigne pas à la besogne.
- « Tourne-toi maintenant et écarte tes fesses avec les mains ! On veut voir ta chatte et ton trou du cul ! »
Docilement elle obéit, se penche et écarte ses globes. Son fessier est somptueux et nous laisse sans voix.
Nous laissons maintenant la femme seule sur son estrade. Je lui annonce que nous allons délibérer et lui donnerons ensuite notre réponse. Voyant Pauline particulièrement fermée, je demande à Jacqueline de raccompagner la femme dans le vestiaire. Yves à une meilleure idée. Pour pouvoir la surveiller, il la laisse sur l’estrade, la coiffe d’un casque dans lequel il diffuse de la musique assez forte, lui menottant les bras dans le dos.
La discussion qui s’en suit est houleuse. D’entrée, Pauline est contre l’intégration, elle explique qu’elle connaît très bien la femme, qu’elle est plus ou moins de sa famille et qu’elle ne se voit pas à côté d’elle.
Jacqueline rétorque que elle aussi la connaît, ment, mais que cela ne la dérange pas. Elle la trouve très belle et franchement n’y voit pas d’inconvénient. Les deux femmes se disputent un peu.
La deuxième opposition vient de ma belle-mère, à qui on révèle l’identité de la femme.
• « Et vous l’aviez reconnue vous ? Me demande-t-elle.
• Je l’ai reconnue tout de suite. Vous avez vu qu’elle a une silhouette assez reconnaissable et vu que c’est Jacqueline qui nous l’amenait, j’ai compris aussitôt.
• Vous la connaissez bien. Ça ne vous gêne pas ?
• Pas plus que de te baiser belle-maman ! Au contraire ! Je vous avertis d’ailleurs que même si nous refusons de la recruter ici, je compte bien la baiser un de ces jours en dehors du club.
• Oh ! Vous… Mais tout de même, c’est une personne de plus qui va me connaître…
• Oui, mais entre deux salopes, je pense que vous allez vous entendre, surtout quand elle aura gouté à ta liqueur !
• Vous êtes un malotru !
• Bien, c’est réglé. Il ne reste que Pauline. Je préfèrerais que nous soyons tous d’accord, même si la majorité est pour. On vote ? »
Sans surprise, une seule voix est contre. Yves est indécis car la femme lui rappelle la sienne. Il a peur de l’amalgame.
• « Tu sais que ta femme t’encourage maintenant. Je ne crois pas que cela changera quelque chose pour elle. Quand à cette femme elle est mariée et je ne crois pas qu’elle tienne à changer maintenant. On va lui poser la question si tu veux.
• D’accord alors !
• Toi, Pauline, est-ce que tu pensais un jour faire l’amour à Jacqueline ? A Irène ? A ma belle-mère ? Tu les connaissais pourtant bien avant. Est-ce que ça a changé quelque chose ensuite ?
• N… Non... Mais…
• Écoute. La démarche de Michelle, puisque c’est son nom, prouve que c’est une salope comme toi, qui a envie de sexe, comme toi, et qui veut rester discrète, comme toi. Après, tu n’es pas obligée de te gouiner avec elle non plus.
• Tu as toujours réponse à tout ! Mais que va-t-elle penser de moi ?
• Ah, c’est ça qui te tracasse ! Elle va penser la même chose que ce que tu penses d’elle.
• ---
• Allons Pauline. Ajoute Geneviève. Vous vous rendez compte des efforts qu’il a fallu que je fasse pour m’affranchir de mes complexes. Aujourd’hui, je me suis dévoilée et même plus encore à vous. Je peux vous dire que j’en suis heureuse et j’espère vous aussi !
• Bon ! J’ai compris ! Je ne sais pas si c’est une bêtise. Je ne suis pas sûre que ce soit la bonne décision, mais je suis d’accord pour l’accepter ! »
Tout le monde ayant accepté, nous reprenons nos places. Jacqueline, en rigolant comme d’habitude, enlève les menottes, puis le casque et fait relever Michelle. Je reprends la parole.
• « Après en avoir délibéré, le club des Vieilles Salopes des Gaves a décidé d’accepter ta candidature. … A la condition que tu jures de ne révéler à personne ni le lieu, ni l’identité de ceux que tu vas voir ici. De toute façon nous avons fait des photos de toi qui pourraient aussi ruiner ta réputation. En effet quand tu as sucé des bites ou léché des moules, les clichés sont suffisamment clairs pour que malgré ton masque on te reconnaisse. Je te rassure ce n’est pas le but. Elles serviront, une fois floutées qu’à figurer sur le site.

Je te rappelle que tu seras amenée à recevoir les « hommages » d’invités inconnus, souvent des habitués du club. Comme une vieille salope que tu deviens, tu ne les repousseras pas. Si tu en reconnais, tu n’en parleras pas non plus et enfin, tu tiendras ce lieu secret et protègeras tes vieilles amies aussi salopes que toi, contre les calomnies qui pourraient être dites contre elles. Es-tu d’accord avec cela ?
• Oui ! Bien sûr ! Je ne demande qu’à être comme vous, avec vous, j’en rêve depuis longtemps ! Je ferai tout pour être digne de vous.
• Tu ne regretteras pas ta décision ?
• Non ! Je suis sûre du contraire.
• Si malgré tout tu décides de nous quitter et c’est valable pour chacun de nous, tu t’engages à garder le secret, sous peine de voir divulguer tes occupations secrètes.
• Oui ! J’accepte toutes vos conditions !
• Bien ! Alors Jacqueline, enlève le bandeau à notre nouvelle salope ! »

Passant derrière Michelle, Jacqueline détache le bandeau et s’écarte, laissant la femme nue, seule sur l’estrade. Éblouie encore par le spot lumineux et le long moment où ses yeux étaient bandés elle ne distingue que vaguement des silhouettes autour d’elle dans l’ombre.
Je fais signe à Gérard d’éteindre le projecteur et de forcer la lumière dans le salon. Je reprends ma voix naturelle et lance :
• « Eh bien, madame le maire ! Bienvenue au club !
• Que ? Quoi ? Toi ? Mon dieu… Pauline !!! Madame de Brassac ! » Elle ne sait plus où poser son regard.»
Michelle est estomaquée au fur et à mesure qu’elle reconnaît ceux qui l’entourent. Elle ne songe pas qu’elle est nue au milieu de nous. Je m’approche le premier pour l’embrasser.
• « Je t’ai reconnue aussitôt et dis-toi bien qui nous t’avions refusée ce soir, je me serai charger bientôt de toi !
• Petit malin ! Si tu me l’avais proposé avant je ne t’aurais pas dis non ! D’ailleurs quand je t’ai dragué tu n’a rien fais ! Je croyais que tu ne me trouvais grosse. Que je ne te plaisais pas
• Salope ! Tu m’excitais déjà. Je te rappelle que quand tu m’as chauffé avec ta cuisse, tu es partie ensuite avec ton collègue en me laissant en plan !
• Ah ! Tu as remarqué ? Il fallait d’abord que je me débarrasse de lui, mais au retour, tu n’étais plus là !
• Je ne pensais pas que tu reviendrais vite. Mais bon, le principal est qu’aujourd’hui tu es là et je crois que je, que nous allons nous régaler avec toi, et je ne parle pas des futurs invités ! Dis-donc, Ça t'intéresserait de la jouer un peu la dominatrice ?
• Pourquoi tu dis ça ?
• Avec ton physique et des accessoires ad ‘hoc, je suis sûr que tu aurais du succès !
• Eh bien dis-donc ! Mais... pourquoi pas ! Pour l’instant il faut que je fasse un peu connaissance et là, je dois dire que je suis surprise ! Madame de Brassac Je n’aurais jamais…
• Ici on m’appelle Geneviève. Je vous choque ?
• Non ! Je suis étonnée ! Vous…
• Oui. Je sais. J’espère que vous n’êtes pas déçue ?
• Tu verras, dis-je, que ma belle-mère est une sacrée salope et qu’elle risque de te surprendre encore plus.
• C’est vrai que c’est ta… belle-mère ! Tu… Tu traite ta belle-mère de salope !... et tu…la…?
• La baise ? Oui ! Et même si aujourd’hui elle n’est plus vraiment ma belle-mère, cela nous excite de continuer à nous appeler ainsi.
• C’est sûr ! Je n’en reviens pas ! Et toi Pauline. Si j’aurais pensé !
• Ne me juge pas…
• Mais non !… Vous vous rendez compte tout de même que je découvre un monde totalement inconnu. J’aurais dû me douter qu’avec Jacqueline, tu devais être dans le coup mais je ne t’imaginais pas que…
• C’est un peu compliqué, on t’expliquera. En attendant on va te présenter tout le monde »
Michelle, toujours nue passe devant chaque membre du groupe. Elle est très intéressée par le couple Irène et Gérard, ainsi que par Marlène. Elle se rappelle ensuite de Yves et donc de sa « pauvre » femme. Une fois fait le tour, nous trinquons bien sûr à la nouvelle salope intégrant le groupe. Michelle se pavane nue sans manifester la moindre gêne, au milieu de nous qui sommes habillés pour une fois,. Son port altier en impose. Parfaitement à l’aise, elle discute comme si de rien n’était.
Je fais un petit signe à Gérard et m’approche d’elle. J’en profite d’ailleurs pour entourer sa taille, la caresser et la peloter. Elle sourit et se colle un peu plus à moi.
- « Avant d’aller plus loin, il faut qu’on arrange un peu ton buisson. Viens t’allonger sur l’estrade. »
Nous encadrons Michelle et l’installons. Irène, qui adore ça, dépose la crème dépilatoire pour dessiner une bande de trois centimètres verticalement entre le nombril et l’ouverture au dessus du vagin. Elle en profite pour nous demander de relever les jambes de la femme et enduit le périnée et l’entre fesses. Je demande à Yves de me remplacer pour prendre des photos de l’opération.
Discrètement, Marlène me demande si elle pourra lécher sa moule une fois l’opération terminée. J’acquiesce et la vieille cochonne se déshabille. J’en profite pour faire de même et en attendant la fin de l’épilation, Marlène me suce.
Nous nous sommes placés de telle façon que Michelle puisse nous voir pendant l’opération « débroussaillage » J’adore toujours cette sensation extraordinaire de sa pipe édentée et pendant que les autres s’affairent je lui promets de la baiser pendant qu’elle bouffera la chatte de notre nouvelle amie.
Ça y est, la toison de Michelle est bien nette maintenant. Une bande extrêmement érotique orne son bas ventre dégageant son vagin et son clitoris qui pointe au sommet. Marlène se précipite à genoux. S’installe bien sur les coussins et applique sa bouche sur la chatte déjà brillante de Michelle.
Gérard soutien la tête de Michelle afin qu’elle voit la vieille à l’œuvre. C’est la première fois qu’une femme lui lèche la chatte et en plus une vieille femme de plus de quatre vingt ans ! Michelle a l’air d’apprécier la langue de notre doyenne. Elle me découvre également en train de prendre cette dernière en levrette, les énormes seins ballottant sous son torse. A sa droite elle voit Geneviève qui s’est rapidement débarrassée de ses habits. Michelle dira plus tard que sur le moment elle a eu du mal à la reconnaître. Ma belle-mère a interpellé Yves pour lui tailler une pipe avant dit-elle qu’il ne lui « défonce sa vieille moule ». Michelle est abasourdie d’entendre ce langage ordurier dans la bouche de cette dame de la haute société catholique et puritaine.
De leur côté, Jacqueline et Pauline se retrouvent tête bêche. Irène et Gérard sont un peu esseulés aussi je propose à Marlène de changer de partenaire et d’aller pomper le petit sifflet de Gérard et qu’Irène vienne prendre sa place afin que je l’encule sous les yeux de son mari.
Tout ceci est bien sûr énoncé à haute voix afin que Michelle soit consciente de ce qui se passe. Je ne sais pas jusqu’à quel point elle a suivi car la langue d’Irène est très efficace et notre nouvelle compagne est vite « montée dans les tours » pour jouir bruyamment, bientôt suivie par sa lécheuse se régalant du jus s’écoulant de la chatte.
N’ayant pas moi-même éjaculé, je décale Irène et viens embrocher Michelle. Elle ouvre les yeux aussitôt en sentant une bite dans sa chatte et sourit en me découvrant. Elle ouvre ses bras pour me presser contre elle.
Michelle est très musclée et son étreinte me plaque sur son torse. D’une main elle prend ma tête et m’embrasse voracement. Ce n’est plus moi qui dirige la manœuvre. Je ne suis qu’un fétu de paille entre ses bras puissants. Ma seule force est ma queue qui la travaille. Malgré sa taille et sa carrure, Michelle se révèle très souple et relève ses jambes pour me permettre une pénétration plus profonde.
Déjà bien travaillée par la bouche de Marlène et d’Irène, elle ne tarde pas à atteindre un deuxième orgasme en quelques minutes et me relâche. J’en profite pour l’abandonner et faire signe à Yves de me remplacer.
Aussitôt, il se couche sur la femelle et la baise comme un furieux avec des « han » de bûcheron. Manifestement il apprécie cette femme.
Pendant ce temps, j’équipe Geneviève d’un gode ceinture. On s’embrasse alors que je titille bien sûr ses tétons, ce qui la fait mouiller abondamment. Elle prend la place d’Yves entre les cuisses de Michelle et la pénètre d’un coup. Cette dernière ouvre de grands yeux en voyant ma belle-mère la chevaucher. Cette femme si « bien comme il faut » est une véritable débauchée. C’est une autre personne que celle qu’elle connaît et celle-là lui plaît. Elle n’est pas au bout de ses surprises ! Quand, passant derrière Geneviève j’enfile ma queue dans l’orifice disponible, ma belle-mère entre en transes.
- « Oh oui ! Mon salaud de gendre ! Enculez-moi ! Je suis une pute ! Votre pute ! J’aime votre queue dans mes fesses ! Et cette femme est un vrai bonheur ! C’est bon de baiser comme Ça ! Oui ! Allez-y ! Défoncez-moi ! Enculez-moi ! Baisez-moi ! Je vais jouir ! »
Bien sûr elle arrose Michelle de son jus abondant. Enfin, notre nouvelle adepte hurle à son tour le plaisir ressenti.
Le calme revient dans la pièce. Tout le monde est nu ou en sous vêtements sexy. Michelle est étalée sur le grand matelas de l’estrade, centre de nos turpitudes. Elle arbore un sourire béat. Elle a brillamment passé son épreuve de sélection. A découvert de nouveaux plaisirs et aussi les personnalités secrètes de quelques connaissances. Couverte du jus de Geneviève et du sperme d’Yves qui s’est fini sur son visage et son torse, elle empeste le foutre, mais est heureuse.
Gérard, qui n’a pas perdu le nord, fait descendre alors le grand écran qu’il a installé et projette le film de nos ébats, qu’il vient d’enregistrer. Chacun peut y voir l’atmosphère surréaliste de notre corps à corps. Le port altier de Michelle ressort encore plus sur les images. Sa stature, son corps musclé aux formes pleines inspirent du respect.
• « Geneviève, je ne vous connaissez pas sous ce jour et je peux vous dire que je regrette de ne pas l’avoir connu plus tôt ! Vous m’avez baisée comme jamais et il me tarde de boire à votre source en direct !
• Tu es bien une salope, madame le maire ! Dis-je. Dès que nous le pourrons, nous allons te trouver une tenue de maîtresse et tu vas faire fureur !
• Tu crois ?
• J’en suis sûr ! Moi déjà, j’ai très envie que tu me domines et j’ai l’impression que notre ami Gérard, à la façon dont il te regardait, est dans le même état d’esprit,.
• C’est vrai mon chéri ? Demande Irène.
• O… Oui, je crois bien !
• Oh j’aimerais tant te voir dressé par notre amie !
• Et moi, vous m’oubliez ? » Michelle se retourne vers Geneviève qui vient de parler.
• « Vous ? Vous voulez que je…
• Mais vous ne savez pas encore tout, mon amie. Mon gendre vous dira que je suis une vraie salope, grâce à lui d’ailleurs. Qu’il adore m’humilier, vous pouvez demander à nos amis ici présents. Mais sachez que moi-même, j’adore me faire dominer et ce serait une joie que de l’être par une femme telle que vous !
• Eh bien ! Voilà une déclaration ou je ne m’y connais pas ! Dis-je. Il faut que tu saches, Michelle, que Geneviève a été longtemps la maîtresse d’une jeune femme. Ma belle-mère est aussi ma soumise et je crois qu’elle bande pour toi en s’imaginant sous ta coupe, n’est-ce pas salope ?
• Je ne peux rien vous cacher ! Oui, j’ai envie de vous être soumise, Michelle. J’espère être à la hauteur de vos attentes. »
Cette première soirée avec Michelle s’achève. Jacqueline la raccompagne. Geneviève et elle ont échangé leurs coordonnées pour un rendez-vous destiné à équiper la future dominatrice. J’ai ma petite idée sur le lieu où nous allons nous rendre : le sex-shop que Pauline et Jacqueline fréquentent. Je sais qu’elles y sont retournées faire des achats, mais n’ont jamais avoué y avoir usé de leurs charmes autrement que pour obtenir des rabais.
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