Amant D'Un Couple

Dans le milieu des années 90’, j’ai fait une saison comme veilleur de nuit dans un hôtel à Ajaccio. Un soir, tard, je reçois un appel d’un homme qui me demande si je voulais bien coucher avec sa femme. Interloqué, croyant à une plaisanterie, je joue le jeu et lui réponds par la positive. Il reprend en me demandant si cela me dérangerait s’il assistait à la scène. Je lui réponds que non. Il continue en me disant qu’il aimerait me prendre pendant que je baisai sa femme. Là j’hésite. Mais je commence à me demander si c’est du lard ou du cochon. Malgré tout, je lui réponds que pourquoi pas. Il souhaite faire ça à l’hôtel. Hors de question. Je lui propose de faire cela chez moi. Je suis célibataire, j’habite un 2 pièces sur la route des Sanguinaires dans une résidence calme. Le rendez-vous est pris 2 jours plus tard, lors de mes jours de relâche.
Je suis à la fois curieux et suspicieux. Je crois toujours à une plaisanterie. Mais 2 jours plus tard, on frappe à la porte en ce début de soirée. Je vais ouvrir, ils sont là. Un couple 35 / 40 ans. Elle jolie brune, taille moyenne, une poitrine appétissante et de jolies formes. Elle est en jupe et porte un haut léger sans soutien-gorge. Lui, brun également, un peu plus grand, look sportif, en short de ville et T-shirt.
Je les fais entrer et nous nous installons au salon, Jean s’assis sur le fauteuil et je prends place à coté de Sophie sur le canapé. Je nous sers à boire. Il rend l’initiative de la discussion qui tourne rapidement sur l’objet de notre rencontre. Me demande si cela ne me gêne pas, si ils me plaisent, comment je trouve sa femme. Sophie parle peu mais pose une main sur ma cuisse et commence tout doucement à me caresser. Je ne suis pas insensible à cet appel et commence également, quoique timidement, à la caresser. Je passe ma main sur ses cuisses, progressivement, mes caresses se rapprochent de son entre jambe. Ses mains se glissent sous mon short et vont à la rencontre de mon sexe déjà réveillé.

Je me tourne vers elle et lui embrasse les seins par-dessus son léger haut. Ma main s’avance vers son sexe que j’effleure de mes doigts. Je la sens réagir positivement. Sa respiration s’accélère, elle gémie doucement. Ses mains ne restent pas inactives. Elle ouvre mon short et le descend pendant que je m’occupe de lui faire glisser son string et lui enlever le haut pour découvrir cette magnifique poitrine.
Face à nous, Jean n’en perd pas une miette et se caresse. Il bande et se dévêtit à son tour pour mieux se branler.
Je l’allonge sur le dos. Après m’être occupé de sa poitrine, embrassé, et sucer ses tétons, je descends progressivement sur son ventre pour gouter ce sexe pas entièrement épilé, que mes doigts on largement fouillé. Elle a un gout délicieux, ma langue va et vient sur son clitoris, s’attarde dans son intimité, revient sur son clitoris. Elle écarte bien les jambes, « Ah cette langue !! », appui ma tête pour mieux me garder, « Hummm, elle est chaude et douce ! ».
Jean s’est levé, il s’est approché et commence à me caresser le corps et les fesses. Il m’encourage « Regarde comme tu lui fais du bien. Continue lèche la bien, elle aime ça. » Ses doigts se glissent dans ma raie, s’attardent sur ma rosette. D’une main il se branle, de l’autre il me caresse.
Au bout d’un moment de ce traitement, je remonte, mon membre tendu fait la rencontre de sa chatte mouillée. « Viens, prends moi ! » Je la pénètre sans peine tellement elle est mouillée. Je m’enfonce dans cet océan de volupté. Elle gémie de plaisir, je râle de contentement. Je vais et je viens lentement, mais fermement. Je me colle au fonds d’elle. C’est un puits de plaisirs.
Jean n’a rien loupé de notre accouplement, il a humidifié ses doigts qu’il insère dans mon cul. « Elle est bonne ma femme ! Hein elle est bonne ? Je vais te prendre pendant que tu la pénètres. Je vais te sodomiser, bien à fond. » Je le sens se positionner derrière moi. Il présente son gland devant ma rosette et appui.
Je le laisse faire, je ralenti mon rythme et relâche mes sphincters pour lui faciliter la tâche. Son gland passe, s’ensuit le reste de son sexe. Il me pénètre, sans fléchir, jusqu’à ce que je sente ses couilles contre les mienne et ses poils sur mon cul. « Elle est bonne ma femme ? Tu aimes la prendre ? Tu me sens maintenant ? Tu sens ma queue bien dure au fond de toi ? Tu baise ma femme et je te baise ! Humm c’est bon ! »
J’ai marqué un temps d’arrêt sous l’effet de la douleur. Mais Sophie m’embrasse, me caresse, et s’active sous moi. « Oui ! C’est bon ! Continue, ne t’arrêtes pas !! ».
Je suis pris en sandwich entre elle et lui. Le plaisir fait place à la douleur. Jean m’envoie des coups de boutoirs qui me propulsent au fond de Sophie. Sophie l’encourage « Vas-y Jean ! Prends le à fond mon chéri ! Baise-le ! Il me baise bien. ».
La première à jouir est Sophie. Son orgasme bruyant provoque le mien. Je jouis en elle en 5 ou six jets. Jean continue son affaire « Ah salaud, tu as baisé ma femme ? C’était bon ? Et ça c’est bon ? Tu la sens ma queue ? Je vais te féconder ! » Il me baise presque brutalement. Ses mouvements sont amples. Il entre et sort de mon cul à fond. Il accélère ses vas-et-viens et fini par jouir au fond de moi. Je sens ses jets de foutre au plus profond de mon intimité. Il est généreux. Epuisé, il s’avachit sur moi. Sa queue toujours plantée au fond de moi.
Il nous faut quelques minutes pour sortir de notre torpeur. Jean se relève et je sens sa queue partir. C’est un arrachement. Je me relève à mon tour et je sens son liquide chaud couler par mon anus le long des jambes. Je vais à la salle de bain pendant que Sophie va aux toilettes.
A mon retour Jean me fait savoir sa satisfaction. J’ai un cul d’enfer ! Il a aimé me prendre. Je lui retourne que j’ai moi aussi beaucoup apprécié sa saillie. Sa queue (sans être démesurée) m’a bien labouré les entrailles, Ma petite fleur a aimé sa visite. Il m’ bien rempli. Sophie n’est pas en reste de compliments.
Elle me dit que c’est quand je veux. J’ai aimé son gout et j’ai pris un plaisir intense à la visiter.
Cela fait près de 2h00 qu’ils sont là et il est temps pour eux de prendre congés… la baby-sitter …
On se promet de se retrouver rapidement. Puis ils partent. Cette nuit-là, j’ai dormi profondément, et je me suis réveillé le lendemain avec un léger mal au cul qui m’a rappelé que tout cela était bien réel.

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