Porn Revenge 3 Fin

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Suite et fin d'un récit de février et mars 2020

Une porte claque. Un pas lourd gravit l'escalier. Mimi tire Zoe de ses rêves roses.

- Zoé, Martin est de retour. Vite, rhabille-toi, ton mari va te chercher.

- Oui, il doit avoir faim. J'enfile ma robe, tu ramasseras le reste. A demain j'espère.

Mimi se réjouit du départ de son amante. Le retour de Martin met fin aux relations de Jean et de Zoe. Qui sait si ces deux-là n'auraient pas voulu en rajouter une couche après la douche de Jean. Zoé le souhaitait, restait couchée, toujours nue, sexe rougi entre des cuisses encore ouvertes, prête peut-être à accueillir une fois de plus la verge bienfaisante du mari de son amie. Elle aurait pu monter à son étage, prendre sa douche chez elle. Eh bien non elle attendait le retour de Jean en rêvassant. En temps ordinaire, Zoé se serait tournée vers Mimi, l'aurait couverte de baisers. Mais non, elle cuvait les orgasmes vécus sous et sur Jean, dans l'attente d'une répétition.

Les pas de Martin ont sauvé Mimi, ont chassé ses craintes de devoir assister à un accouplement passionné de plus, entre cette aînée si chaude et son jeune époux subjugué par la découverte de la sensualité de cette femme mûre. Zoé est un démon de l'amour, une ensorceleuse. Mimi en sait quelque chose, elle qui s'est laissé prendre en premier aux charmes de Zoé. La séductrice pourrait ravir Jean, fragile mari sans expérience autre que son vécu conjugal, Elle espère en faire l'amant remplaçant de Roland. Alors tous deux pourraient oublier Mimi. Ouf ; malgré le plaisir partagé avec Jean, Zoé est revenue à la réalité, retourne près de son mari. Pour l'instant le danger s'éloigne. Hélas, il y aura un lendemain et Zoé l'a rappelé en quittant la chambre à coucher.

Jean sort de la douche, revient, voit sa femme nue mais seule ; il regarde autour de lui, comme déçu de ne pas voir la femme merveilleuse qui lui a fait tourner la tête, qui a enflammé ses sens.

Cela faisait partie du plan, mais il ne s’attendait pas prendre goût à l’affaire. Il regrette le départ de cette boule de feu, demande du ton le plus neutre possible :

- Où est Zoé ?

Mimi répond laconique :

- Elle a rejoint son mari.

- Martin est revenu ? Dommage...

- Pourquoi ? Dommage ? Tu n'en as pas eu assez ? Tu comptais en rajouter ? D'accord, il faut la décider à quitter Roland, cela ne t'obligeait pas à déployer autant de zèle devant moi. Il suffisait de tirer ton coup une fois pour gagner son adhésion à notre cause. Au lieu de quoi tu t'es démené, couché sur elle, la bourrant avec fureur avant de la grimper en levrette. Tu n'as eu de cesse de la faire gémir avant de te mettre sur le dos. Et elle, en extase devant ton sexe brandi, t’a chevauché à l’endroit et à l’envers. Elle t’a balancé ses gros nichons sur le nez, puis elle t’a offert une vue imprenable sur ses miches et son beau gros cul. Tu t’es rincé l’œil et en même temps tu l’as remplie de sperme. Regarde là, le drap est souillé par le trop plein de vos fluides.

-De grâce n’en fais pas un drame. Qui veut la fin, prend les moyens. De plus, rappelle-moi ce qu’est notre fin. Pourquoi ai-je dû rompre mon serment de fidélité aujourd’hui pour la première fois depuis notre mariage ? N’est-ce pas pour voler à ton secours à la suite de ta lettre. Qui, la première a succombé ? Tu oublies que si tu n’étais pas tombée dans le filet de Zoé, nous serions tranquilles.

-Ce n’est pas une raison pour te laisser aller à des excès. Tu pouvais faire plus simple.

-Quelle mauvaise foi. Tu sais pourtant que notre propriétaire est un brasier, un volcan en éruption. J’y ai trempé mon sexe et je me suis embrasé. Noyé dans la lave de sa cyprine, j’ai autant subi qu’agi. On ne peut pas résister à sa chaleur torride ou à ses mouvements endiablés. Souviens-toi que c’était ma première expérience sexuelle en dehors de toi.

-Tu t’es régalé, mon cochon.
Comptes-tu répéter souvent cette terrible épreuve. Car Zoé l’espère. Elle m’a quitté en disant : « à demain ». Deviendras-tu son amant attitré pour satisfaire son appétit sexuel surdimensionné ? Crois-tu que j’assisterai indifférente à vos galipettes effrénées ?
-Cela ne dépend que de toi. Quand nous aurons réglé le sort de ton ex petit ami Roland, te livreras-tu encore à des séances de lèche et de chatouilles avec Zoé. Dans l’affirmative, oseras-tu m’imposer une interdiction de coucher avec ta maîtresse ?

-La réponse est évidente. J’ai commis une énorme imprudence, je me repens et je jure de ne plus reconduire mon erreur. Cela suffit-il à te ramener à moi ? Ou l’attrait de cette femme mûre est-il trop fort ? Devrai-je payer longtemps mes moments d’égarements en assistant à ta liaison avec une femme qui pourrait presque être ta mère ? Suis-je moins chaude, moins ardente que cette femme si expérimentée ? L’expérience se gagne, un jour je vaudrai cette garce. Alors que dans vingt ans j’aurai son ardeur, Zoé sera une sexagénaire en déclin sexuellement. Choisis vite entre elle et moi.

-Garce, en déclin ! oses-tu dire à propos de Zoé ! Tu brûles facilement ce que tu as adoré.

-Ne vois-tu pas dans quel merdier elle m’a plongé. Elle a été avant tout la complice de Roland. Elle m’a conquise pour me livrer à ce porc qui cherche à se venger d’avoir été rejeté jadis. Je la détestais dans mon cœur pour cette raison depuis que j’ai compris son jeu, aujourd’hui, je la hais pour le pouvoir qu’elle essaie d’exercer sur toi, mon mari. La...Qui choisis-tu ?

La raison et mon coeur n'hésitent pas. Tu es ma femme parce que je t'aime, et je t'aime parce que tu es ma femme. Pour cela je suis décidé à me battre, quoi qu'il en coûte ! Je ne permettrai pas à Roland de te toucher et je punirai Zoé, mais après l'éviction de l'abruti qui te convoite. Pour l'instant j'ai encore besoin de Zoé.

- C'est indispensable ? Bof… à consommer modérément, hein ! Respecte son mari, c’est un brave type.
Pour moi c’est une punition méritée, alors…

Tu dois l'admettre et éventuellement, comme moi, lui jouer la comédie de l'amour réciproque. Nous ne transigerons pas sur les moyens. Ils ont triché pour r de toi. Je n'aurai aucun scrupule à utiliser leurs armes pour te protéger. Oeil pour oeil, dent pour dent. Mais domine ta haine jusqu'à demain soir et, en attendant, considère Zoé comme une alliée utile, ménage-la. Tu marches ?

-Oui, oui, trois fois oui ! Quel est ton plan ? Tu vas te battre avec Roland ?

- Si c'est le seul moyen. Il a rusé, je le piégerai avec ton aide et celle de Zoé. Je lui ai démontré que Roland la manipulait, elle est devenue son ennemi. Roland sera à son tour le pire ennemi de celle qui nous l'aura livré et trahi. Voici le déroulement de la rencontre. Tu communiqueras ce plan à Zoé.

- Puisqu'il le faut, je cacherai mon dégoût. Par amour de toi. Devrons-nous nous livrer à des jeux sexuels en présence de Romand ?

-Vous improviserez. Pourquoi pas ? Cela ne comptera pas. Faites-le entrer. Soyez aimables. Offrez-lui à boire. Conduisez-le dans cette chambre. Je serai caché dans la penderie de la chambre d’amis, tout près et prêt à intervenir. Déshabillez-le, faites-en un jeu, un strip-tease par un homme. Il trouvera l’idée originale. Zoé voudra le préparer, emploiera son savoir-faire pour l'attirer à elle. Sois la dernière à te dénuder. Par la porte non fermée, j'observerai la progression du gaillard. Si possible je filmerai avec mon smartphone l'union de Zoé avec Roland : cela Zoé doit l'ignorer pour que ma video paraisse naturelle.

- Mais si Roland se précipite sur moi ? Il est fort et pourrait me forcer sous tes yeux, comment lui résister?

- Autant que possible garde ta culotte. Retarde-le en te débattant. A l'instant voulu, en fonction des événements, je ferai du bruit à la porte d'entrée. Au signal tu crieras :

- Ciel, mon mari. Roland cache-toi. Là sous le lit, vite,

Tu l'exhorteras à genoux s'il le faut, tu promettras amour et soumission s'il ne te compromet pas, s’il ne se montre pas.
Je suppose qu'il ne cherchera pas l'affrontement direct ; quand je vois la prudence de sa démarche, sa recherche tortueuse d'approche de toi par Zoé, je le trouve plus renard qu'ours. Tu es son pot de miel, pour t'atteindre, il évitera de vexer sa complice, ne pourra pas la négliger. Voilà en quoi elle est nécessaire.

-Zoé sera la mouche ou le ver sur l'hameçon. Je comprends. Pourvu que ça marche.

-Tu répéteras, affolée, tu jureras n'importe quoi, quitte à lui dévoiler ton bijou pour l'exciter et lui faire perdre la tête.

- Oh ! Même ça, je baisserai culotte ou j'écarterai le gousset. Tu ne seras pas furieux si je lui montre mon sexe ? Tu as beaucoup évolué depuis hier, par ma faute. Pardon, mon amour.

Donc il se couchera sur le sol, avec l'espoir d'être récompensé dès que je partirai. Vous l'aiderez à glisser sous le lit. Pourquoi pas à coups de pieds si tu as conservé tes escarpins pointus ? Il devra avaler ses cris de douleur s'il ne veut pas être entendu par ton mari

- Mon amour, je ne te savais pas aussi vicieux. Dis-moi, qu’arrivera-t-il ensuite ? Tu n'as pas l'intention de le ? Tu ne dois pas te salir les mains pour ce sale type. Je ne veux pas te perdre. Jure-moi que tu n'iras pas en prison. Ô mon héros

- D'accord. Permets-moi de te réserver une surprise.

WWWWWWWWW

C’est Zoé qui reçoit Roland. Elle se fait chatte, elle affirme qu’elle a convaincu Mimi de s'offrir à lui et de le prendre pour amant. Non pas une fois, mais de façon régulière, à raison d’une saillie hebdomadaire au moins. Elle fait miroiter la possibilité de multiplier les rapports sexuels. Zoé insiste sur ses propres mérites, mendie indirectement sa récompense :

- Ce n’est pas du bon boulot, ça, mon coco ? Mon salaud, tu ne mesures pas le mal que je me suis donné pour te dégoter cet accord. Au début, Mimi t’avait dans le pif pour une vieille histoire, m’a-t-elle dit. Le résultat m’a coûté des heures de frottement, de lèche minou, de baisers sur tous ses trous, des heures de discours et de salive.

-Tu aimes trop ça pour que je te plaigne, ma grosse salope.

- Dis, c'est un remerciement ? J’ai toutefois obtenu une concession de Mimi. Elle m’accordera chaque semaine un jour complet avec toi, chez moi. Simplement, aujourd’hui, pour me récompenser d’avoir su la persuader de te recevoir, elle m’offre une priorité.

-Quoi ? Quelle priorité ?

- Elle et moi te donnerons le spectacle. Tu auras la chance de nous observer en train de nous brouter le minou et dans différentes positions Il te sera possible d'en suggérer et nous nous efforcerons de réaliser tes fantaisies. Ensuite tu devras tirer un coup avec moi. Si, avec moi, Mimi l’exige. Enfin, tu pourras la baiser jusqu’à l’épuisement de tes réserves phénoménales. Elle m’a fait acheter un flacon de lubrifiant, afin de ne pas trop souffrir si tu es dur et si tu dures longtemps en elle.Dis-moi merci au lieu de me traiter de grosse salope.

- Excuse moi, je plaisantais ; tu deviens susceptible ! J"aime quand la jalousie te fait bouillir. Pour me faire pardonner je commencerai par toi. Est-ce que ça te va, ma petite salope

- Zut, tu es incorrigible. Entrons chez elle, nos ébats se dérouleront dans le lit du couple. Tu entends bien, dans leur lit ! J’ai tout négocié et emporté de haute lutte. Elle a tenu à me faire porter un vibreur dans le cul pendant deux heures pour vérifier ma sincérité. J'ai tout subi pour que tu puisses gagner ta cause.

- Vraiment Zoé, tu es une maquerelle de premier plan. Son gus sera cocu, c’est formidable, c’était inespéré il y a quinze jours. Mais en plus la baise se fera dans son plumard. C’est trop fort. Bravo. Pourtant ne pourrais-tu pas reporter ta récompense à une autre date. J’aimerais tant, pour cette première avec Mimi, lui réserver toutes mes forces. Si nous commençons, toi et moi, tu vas me pomper tout mon sperme.
-Ô ; l’ingrat ! Tu veux ou tu ne veux pas ? Tu dis oui puis tu fais marche arrière.Si tu ne veux pas, tu retournes d’où tu viens. Mimi nous a entendus faire l'amour chez moi, il y a une semaine. Elle souhaite d'abord te "voir à l’œuvre" avec moi, avant de copuler avec toi. Elle redoute les bites trop grosses. Donc, il vaut mieux ne pas l’effrayer avant l’union à laquelle elle se destine. Ne la décourage pas. Fais-lui plaisir, commence par moi, ensuite tu paraîtras moins impressionnant avec un gourdin légèrement ramolli.

- Tu ne serais pas en train de te foutre de ma gueule ? Comme si le volume diminuait. Bon, allez, pour te remercier, tu gagnes une levrette de cinq minutes, pas une seconde de plus. Ce sera un coup sans éjaculation. La petite connasse récoltera toute la liqueur accumulée en huit jours d’abstinence. On y va ? J'ai hâte de lui faire regretter de m'avoir largué

Un café accompagné de petits gâteaux secs retarde l’amoureux impatient. Pour faire passer les biscuits, Mimi qui joue la prude, yeux baissés, verse un cognac bien tassé à son futur maître. Au passage il se croit autorisé à lui passer une main au cul. Cette délicatesse de palefrenier fait rougir les joues de Mimi. Roland est ému du résultat de sa caresse audacieuse. Une jeune femme encore capable de rougir au contact des doigts d'un homme sur sa culotte,, c’est presque une vierge à dépuceler. Le deuxième cognac lui permet de tâter de la chair nue sous la jupe. La coquine prend son temps avant de fuir le contact, c'est bon signe

Roland se lève, veut visiter l’appartement.

-Ah ! la cuisine est moderne. Vous avez une chambre d’amis ? C’est parfois utile. La salle de bain servira plus tard. Vous savez à quoi je pense. Avant de commencer, je dois pisser. Je ne voudrais pas arroser votre intimité, hein. Qu’est-ce qu’il y a là ? Un placard à vêtements. Il est bien rempli.

( Plus tard dans la soirée Mimi me racontera que ce tour a ressemblé à une inspection prudente.)
Roland méfiant se rassurait en constatant qu’il était seul avec deux femmes. L’une acquise d’avance, l’autre serait vite dressée. La porte d’entrée était fermée. Satisfait il déclara :

-Il serait malheureux d’être dérangé au moment le plus délicieux. Mimi, tu dois brûler d’envie comme moi. Est-il vrai que tu souhaites te faire tringler au minimum une fois la semaine ? C'est ce que m'a dit Zoé. Voilà une excellente nouvelle. Tu pourras m’appeler chaque fois que tu auras des démangeaisons dans la chatte. Je serai ton pompier et j’éteindrai avec joie chaque début d’incendie. Je te gâterai, tu seras ma princesse… Zoé ne fais pas la gueule, je te réserverai un jour pour obéir aux désirs de Mimi.

Comme prévu les deux femmes se lance dans le strip tease. Comme prévu Roland se marre.Dès qu'il est à poil, Mimi pousse des cris d'admiration à la vue de la verge en début de développement. Zoé prétend que le monsieur peut beaucoup mieux. Elle s'agenouille devant le début d'érection et entreprend de démontrer qu'avec des caresses des deux mains et quelques coups de langue, depuis les bourses jusqu'au sommet du gland, on fabrique un instrument d'aspect formidable et capable de mettre n'importe quelle femme en transes.

Mimi pousse des exclamations, s'extasie devant l'expansion de ce membre, demande:

- Ma chérie, ce pieu ne sera-t-il pas trop gros pour ma jeune chatte?

Roland rit, Zoé réplique:

- Mais non. Vois comme il entrera dans mon vagin et dis-toi que ce qui passe chez moi te pénétrera aussi. Avec ton lubrifiant tu sentiras à peine l'intromission.

La robe de Zoé vole, la femme saute sur le lit, frappe une fesse de la main et réclame son dû :

- Qu'est-ce que tu fous. Vite, prends-moi et montre à cette mauviette que les vagins s'adaptent à tous les calibres. Fais le chien à quatre pattes et saute-moi en levrette. C'est amusant, cela me permet de faire la chienne et de me déplacer sur le lit. Le chien s'accroche à mes hanches et est obligé de suivre. Aie, que c'est bon.

- Ce "aie" est le signal convenu. J'arrive à la porte de ma chambre, mon smartphone saisit en video le manège du couple collé qui cahote sur mon matelas. Avec ça, Martin, le cocu de Zoé devra comprendre que sa femme le trompe. J'imagine que la croupe de sa chienne de femme recevra la fessée maritale, que Zoé sera surveillée et cessera de dévoyer ma femme. Roland écarté, les choses rentreront dans l'ordre et Mimi reconnaissante se contentera de mon amour.

Toujours enfoui dans le vagin qu'il secoue, Roland fier de l'admiration qu'il inspire, invite ma femme à se mettre en tenue:

- Mimi ma petite souris, pour ma queue prépare ton joli nid. Désape-toi, enlève cette robe, montre moi tes nichons. Quoi, t'as une culotte, retire ça bien vite, graisse ta serrure avec tes doigts et ta vaseline, chatouille ton clito et grimpe sur le lit. Ton tour est arrivé.

- Ah ! Non, pas déjà, je n'ai pas joui, ce n'est pas juste. Encore un peu, s'il te plaît Roland.

Sur mes chaussettes je suis arrivé à la porte, je la secoue, je fais résonner la clenche, j'appelle "MIMI", j'ouvre et je claque la porte. Dans la chambre Mimi dit tout bas:

' Ciel mon mari. Que faire. Il va me s'il me trouve au lit avec toi. Cache-toi....

Je pénètre dans ma chambre et je m'écrie

- Mon Dieu, Mimi, qu'est-ce que vous foutez toutes les deux, à poil dans notre lit ? Ce n'est pas possible, tu es lesbienne.

- Mon amour, si tu savais comme c'est bon. Regarde comme nous nous embrassons. Mais viens sur ce lit. A trois ce sera encore meilleur, Zoé me l'a promis.

Zoé ratt la bévue :

- Et démontré.

- Avec Martin ?

- Tu connais mal mon mari ! Lui, dans un trio, tu veux rigoler. Lui avec deux femmes. Il faudrait déjà qu'il me satisfasse moi seule.

- Avec un autre homme ? Qui ? Mais si je le trouve je le tue. Attendez je cherche mon revolber. Où est-il ce troisième salopard?

- Pardon, cher ami, je blague. Il n'y a pas d'autre homme ici en dehors de toi. Monte, nous allons nous occuper de toi. Mimi, permets-moi de baiser avec ton chéri. Fais le bander, nous allons lui faire adorer les jeux de l'amour. Pour qu'il n'y ait pas de jalouse nous te tendons notre cul. Tu vas prendre Mimi en levrette et après tu m'enculeras, puis tu enculeras Mimi avant de me défoncer le vagin. Que dis-tu de ce programme.

- Tu es folle ! Vous enculer, moi mettre ma verge dans la merde, non tu es folle.

A ce moment je vide le poivrier à côté du lit. Nous sautons sur le matelas, faisons grincer le sommier, rions et crions. Le poivre produit son effet, sous le lit on éternue. Je hurle au loup. Mes deux assistantes jouent l'effroi

- Mon Dieu, qu'est-ce que c'est ?

- Salopes, il y a quelqu'un sous le lit. C'est votre numéro trois. Je vais lui mettre une balle dans la cervelle. Allez, bonhomme sors de là, montre-toi si tu es un homme.

Une main apparaît, puis la deuxième. Vient une tignasse abondante, lentement suivie d'un torse rampant. Le visage est collé au plancher, il dissimule ses yeux et son nez et doit espérer que je ne tirerai pas sur un homme qui me tourne le dos. C'est stupide, mais dans le danger on perd la notion de la réalité, on croit ce qui sera le moindre mal.

Stop, l Lève les mains dans le dos.

Peu à peu j'enroule une corde autour des mains, autour du cou, autour des jambes. Nous tirons l'individu hors de son nuage de poivre. Il a les yeux rouges, emplis de larmes. Il n'offre pas de résistance. Nous le hissons sur le lit, ventre en l'air et je menace " les deux salopes" des pires sévices si elles ne traient pas immédiatement leur amant.

- Procédez comme vous voulez, mais démerdez-vous pour me remplir ce verre de foutre. Quand vous l'aurez vidé et rendu incapable de livrer une goutte, vous lui ferez boire son précieux breuvage en ma présence. Il y a un film à la télé. A la fin du film je reviens. Mimi, est-ce le type qui voulait te violer ? Venge-toi, fais lui payer et regretter son culot. Quel crétin !

Pendant mon film, je contrôle deux fois le travail des femmes. La plus acharnée, la plus hargneuse c'est Mimi. Je comprends sa rage, sa volonté de terroriser définitivement ce bâtard. Roland pleure de plaisir, Roland se tord de plaisir, gémit de plaisir, crie de plaisir, hurle de douleur, supplie qu'elles arrêtent, jure les dieux qu'il les croyaient consentantes, promet de ne plus rien tenter contre Mimi qu'il adore. Le supplice redouble, le pénis paniqué rentre dans le ventre. A bout de souffle il confie, le visage rouge et couvert de larmes :

- Demain je pars pour Narbonne. J'ai trouvé un emploi. Mon billet de train et mon contrat de travail sont dans mon sac, au salon.

- Salaud, ce n'était même pas par amour. Tu voulais uniquement me bourrer une fois, me souiller avant ton départ. Je vais t'arracher les couilles.

Zoé par bonheur bloque les mains de Mimi. Je l'aide à éloigner ma femme du malfaisant. Zoé l'étreint, l'embrasse, la calme

Ouf ! rhabillé Roland assure que jamais plus nous ne le reverrons. Nous voyons avec plaisir cette loque partir en titubant

C'est le moment de régler le sort de Zoé. La vidéo de son accouplement avec son amant lui vaudra les compliments de son mari. Elle a l'air de s'en moquer. Mimi est prise de pitié et propose de la raccompagner à l'étage.

- En attendant,lis mon mot de remerciement. Trouve-le dans ce tiroir.

Mimi est étrange. Elle a pensé à écrire. Cela devient une manie. Je préférerais jouer au mari en guise de remerciement. Bon, voyons ce qu'elle dit.

"Mon chéri, merci. Tu m'as délivrée de cet importun candidat à la baise. Il ne sera jamais mon amant grâce à toi. Il ne sera plus jamais l"amant de Zoé. Avec efficacité tu l'as vaincu et Zoé vivra libre. Doublement libre, puisqu'elle et Martin sont en instance de divorce. Merci pour elle. Merci surtout pour moi que tu aimes si fort. Merci d'avoir rendu possible mon amour pour Zoé. J'aime Zoé, je veux vivre avec Zoé. Merci, Zoé et moi nous marierons après son divorce et notre divorce. Ne m'attends pas ce soir, je couche avec mon amoureuse. Ne m'attends plus, ni demain, ni après-demain.
Mais retiens ceci, Zoé et moi serons toujours à ta disposition si tu veux faire une vraie partie à trois. Je t'aimerai toujours, Zoé t'aime aussi. Millions de bisous. Ta Mimi

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