Bi 2 Fin

BI 2


Oh ! J'ai osé. Je n’en reviens pas. Que m'arrive-t-il ? Jamais je n’aurais osé en temps ordinaire, mais il n'y a rien d'ordinaire cette nuit. A commencer par la présence de deux jolies femmes dans mon lit. Ma femme a voulu héberger une amie qui avait un problème de logement. Elles portaient des nuisettes quand elles sont sorties de la douche. Par correction j’ai détourné le regard. Elles sont nues à mon réveil. Qu'est-ce que Laure faisait couchée sur Virginie, la tête coincée entre les cuisses de sa collègue. Que faisait Virginie, les mains accrochées aux fesses de ma femme, la tête enfouie entre ses cuisses ?

J'ai écouté avant d’éclairer, ma question a sa réponse. Les deux femmes se léchaient la chatte, y fourraient leur nez, se frottaient, se suçaient, se faisaient du bien. Sans gêne : là, à côté de l'homme qu'elles croyaient endormi. C'est fou d'oser prendre le risque de me réveiller et d'être surprises. Un reste de pudeur a jeté Laure contre moi quand j'ai fait la lumière. Elle est presque passée du corps de Virginie sur le mien, toute chaude et le sexe ruisselant de plaisir sur mon menton. Si elle veut jouer à ça, je suis son homme.

Depuis son départ en stage, il y a une longue dizaine de jours et de nuits, j’ai vécu sans femme, sans ses câlins, sans relations sexuelles. En raison de la présence de sa copine Virginie, ce soir, Laure a prétexté une grosse fatigue et a reporté à plus tard la célébration de nos retrouvailles. Tout cela pour profiter de mon sommeil et se livrer à des mamours entre femmes. Non, mais, Laure il y a dix jours n’était pas lesbienne, enfin pas à ma connaissance. Elle le serait devenue pendant sa semaine de stage en compagnie de cette Virginie. Son invitée est une plante vénéneuse, une salope de gouine qui casse mon ménage. Elle a pourri ma femme ; elle me prive d’activités sexuelles puis s’adjuge ma place dans la foulée, dans mon lit !.. Elle va voir que je ne me laisse pas déposséder aussi facilement.



A ma proposition de me joindre à leurs jeux a répondu un silence gêné chez ma femme. Virginie n’a pas crié au scandale, a eu une moue coquine.La salope est belle et désirable; JE NE DIRAIS PAS NON SI ELLE DISAIT OUI. Je me passe de réponse pour l'instant. Je tire sur la cuisse gauche de Laure, j’ajuste sa position, ses cuisses sur mes épaules. Maintenant la cible est exactement disposée sur ma bouche.
Je vais rappeler à ma belle que je suis aussi capable que Virginie de m’occuper de sa moule. Mon nez cale le clitoris déjà décapuchonné, mes lèvres serrent les bourrelets de la vulve et ma langue se lance dans l’exploration des nymphes et de l’entrée du vagin. Le terrain a été préparé, tout roule, je lèche à mon tour, à mon tour je vrille dans l’ouverture lubrifiée. Je suis irrésistible et les gémissements de ma femme accompagnés de sauts de carpe que je contiens des deux mains plantées dans les muscles de ses fesses le proclament à Virginie stupéfaite

Quand je sens que le fruit est mûr, je renverse ma légitime entre moi et Virginie, je saute entre les jambes et je m’apprête à la pénétrer. Une plainte douloureuse de notre témoin me stoppe à la lisière du sexe en chaleur, un cri étrange, une sorte de « Nonnn ! » inattendu.
Laure s’exclame :

-Oh ! Pardon. Mon amour, attends. Juste une minute. Le temps de t’expliquer. Je commence par la fin. J’ai promis à Virginie que tu lui ferais l’amour. Attends ! Je lui ai précisé que pour connaître le plaisir le plus intense, il est souhaitable de se faire prendre par un homme qui est en pleine possession de ses moyens.

-Elle t'attendait pour l'apprendre ?

- Toi, par exemple, après une période d’abstinence imposée par mon absence, tu dois avoir une forme olympique, les couilles pleines et la verge ferme, raide et dure au premier attouchement, sans compter une envie extraordinaire de baiser. Il suffit de toucher ta queue pour savoir que tu remplis toutes les conditions favorables à la réussite d’un rapport sexuel inoubliable.


-Ainsi, tu as décidé de faire de moi un étalon pour ton amie lesbienne. Lui aurais-tu promis une passe réussie en récompense des caresses dont elle te couvre. Je suis une monnaie d’échange ? Ou tu paies mon pardon en partageant cette femme avec moi ?

-Tu es un vilain jaloux débordant de susceptibilité. Laisse-moi t’exposer la situation dans le détail. En stage, Virginie et moi avons sympathisé.

-Tu appelles sympathiser ce que je viens de surprendre ? Le terme me semble léger. J’aurais compris des caresses et des bisous sur les joues ; des attouchements sur la poitrine auraient créé de l’étonnement. Mais que dire quand on entend ou voit deux nénettes en train de se siphonner les fentes, certainement autre chose que " sympathiser".

-Je reconnais avoir pris plaisir certaines nuits de la semaine à échanger des gestes de tendresse avec Virginie. Nous couchions dans le même lit. Volontairement ou non nos corps se sont rencontrés, une main s’est égarée sur un bras ou dans le dos, des jambes se sont emmêlées… Enfin des contacts nous ont conduites de frôlements en étreintes à mieux nous connaître. Moi, loin de toi et privée de la présence de ta chaleur, j’ai connu un réconfort à me sentir proche d’elle, à me réchauffer contre elle. Notre surprise réciproque nous a fait rire.

-Comme c’est drôle ! C’est tout ?

-On s’est embrassées, caressées, on a approfondi la connaissance de l’une et de l’autre, nous n’avons pas vu de mal à laisser examiner nos corps, à ressentir du plaisir dans les contacts à tous les niveaux. Je crois mieux connaître mon corps depuis que j’ai pu observer le magnifique corps nu de Virginie. Elle est mon miroir et je suis le sien. Les parties de moi qui échappent à ma vue, je les découvre chez elle, elle lit sur moi celles du sien qu’elle ne peut que deviner sur elle.

-Autrement dit vous découvrez que l’une complète l’autre, vous finissez par vous aimer dans l’autre et ça finit à poil dans mon lit, par des " je te bouffe la chatte, je te caresse la fente," avec l’obligation pour moi de saillir cette dame avant de te posséder.
Je comprends, c’est normal, c’est hyper naturel… et je suis l’idiot qui avait oublié de l’imaginer !

-Attends, tu n’as pas fini de railler notre conduite. Ce que tu es tout à fait incapable d’imaginer arrive.

-Parce que tu me réserves plus fort ? Tu t’offres à une autre femme, ensuite tu m’offres à la même femme. Vu d’ailleurs, comme on mène la vache au taureau, tu conduis à moi cette Virginie que tu viens de chauffer de manière qu’elle ressente des sensations extraordinaires. Soit. Puisque tu le veux, je me plie à ton bon plaisir. Sous tes yeux et avec ta bénédiction je suis prêt à combler cette dame. Virginie, prenez position, que préférez-vous ?

-Merci mon amour de réaliser mes souhaits. Je t’ai annoncé une nouvelle stupéfiante, tu ne m’as pas laissé le temps de te la révéler, te voilà déjà prêt à te lancer comme une bête sur cette chère amie. Maîtrise-toi. Ecoute l’inimaginable :

-Cesse de jouer à la mystérieuse ! Virginie a deux vagins ? Virginie aime la pénétration anale ? Virginie a besoin de gode ? Virginie exige l’utilisation de préservatifs ?

-Tu adores faire l’idiot. Voici ce que tu ne devineras jamais : Virginie est vierge, elle n’a jamais connu d’homme, aucune verge ne l’a pénétrée.

-Pas possible ! Excusez-moi Virginie, je fais ce qu’il ne faut pas, mais quel est votre âge ?

-Mon âge ? J’ai trente ans aujourd’hui. Pourquoi ?

Cette femme est un phénomène. Elle a trente ans et ne s’étonne pas d’être encore vierge. Je lui demanderais volontiers si elle sort d’un couvent. Ce serait stupide, je sais qu’elle travaille avec Laure depuis des années. Vierge ! mais elles m'ont parlé d'un compagnon ?Laure brise le silence que j’ai observé.

-Mon amour, quand j’ai parlé de toi à mon amie, elle a déclaré qu’elle aurait aimé connaître et aimer un homme comme toi. En passant tu remarques que j’ai fait de toi un portrait flatteur. Tu es mon homme, celui que j’aime et auquel je reconnais des qualités exceptionnelles.


Quand Laure veut obtenir u résultat, elle sait flatter.

-Donc Virginie regrette de ne pas connaître ton pareil. Je me souviens alors qu’elle est célibataire. Questions, réponses, tendresse. Elle m’avoue sa virginité, regrette…Comment ne pas être attendrie. Je l’en aime plus fort, je vante tes mérites d’amant doux et fort à la fois, de mari compréhensif. Je la persuade de mettre fin à son célibat. Le meilleur moyen est de faire l’amour avec un homme patient, gentil, attentif et je lui propose de recourir à tes services.

-Tu me désignes pour déflorer cette belle femme ? Te rends-tu comptes de l’importance de cette démarche ? N'as-tu pas peur d'outrepasser tes prérogatives d'épouse ou de mettre notre couple à l'épreuve ?

-Mon amour, te souviens-tu de notre première fois ? Malheureusement quand nous nous sommes connus, j’avais déjà vu le loup. Je n’ai pas pu te donner ma virginité. Virginie veut bien compenser cette perte ancienne. Par amitié pour moi, mais aussi pour l’homme qui m’aime, elle t’offre sa fleur.

-Tu as raison, c’est plus qu’extraordinaire. Moi, je dois percer l’hymen d’une vierge de trente ans ! Virginie, êtes-vous décidée à vous donner à moi ? Vraiment ?

-Oui, mais cela ne semble pas vous enchanter. Est-ce trop difficile à cause de mon âge ? Suis-je moche ? Quel défaut caché a éloigné de moi les autres hommes ? Vous refusez ?

-Votre compagnon parti avec vos clés ? Est-il d’accord ? Saura-t-il ? Est-il impuissant ou candauliste ?

Laure et Virginie éclatent d’un rire qui secoue leurs seins. Elles essuient les larmes de leurs yeux. Laure dévoile leur secret ;

-Il fallait introduire Virginie, te persuader de la garder et de l’admettre dans notre lit. J’ai inventé ce personnage indélicat. Il n’existe pas de compagnon.
Comment attirer un homme en lui racontant qu’on est encore vierge à trente ans ? Ta série de questions suffit à appréhender la difficulté du problème. J’estime que tu peux rendre service à Virginie en lui faisant l’amour.

-Si c’est pour rendre service dans ces conditions, compte tenu du charme de cette amie, ce sera un plaisir et un honneur. Si je comprends bien, toi, ma femme tu as reporté à plus tard nos effusions afin de me livrer neuf et en pleine forme à Virginie.

- Nous avons également poussé très loin nos caresses pour t’émouvoir et pour te rendre réceptif à la charge avancée. Oui, nous avons osé des caresses et une mise en scène propres à te réveiller et à exciter ta libido. Ta façon de me bouffer le con indique le succès de notre plan. Il me reste une tâche à accomplir. Virginie, veux-tu te coucher au milieu du lit ?

Virginie est charmante. Laure l’a convaincue mais aussi mise sur des charbons ardents. Je comprends sa retenue, qui ressemble à de la gêne. Connaissez-vous beaucoup de femmes amenées à exposer leur vie puis leur intimité ? Ajoutez que je reste un étranger pour cette femme. Laure l’a mise à nu physiquement et mentalement. Et voici que Laure l’enjambe, s’assied sur la belle poitrine, se penche sur l’entrejambe, pousse les cuisses vers l’extérieur, pose ses mains sur le sexe. Virginie ne voit que le dos de l’amie. Laure, avec la fermeté de celle qui pense agir pour votre bien m’interpelle :

-Mon amour, vois ce que tu n’as jamais vu. J’écarte les petites lèvres, l’hymen, c’est cette peau . C’est cette peau que tu dois déchirer, mais avec délicatesse. La défloration ne doit pas laisser le désagréable souvenir d’une douleur due à la brutalité masculine. Je suis sure que tu sauras faire.

-Ne seras-tu pas jalouse ?
-Puisque c’est mon idée. Je vous laisse, c’est trop intime. Aimez-vous cette nuit. Après je récupérerai ce qui m’appartient. Mon époux, je t’aime. Fais cela par amour de moi.

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