Collection Pute. Magalie, Ma Patronne (3/3)

Je suis de retour de nos vacances, je suis prête à reprendre le collier dans l’entreprise de petite mécanique de Magalie ou je m’occupe de la comptabilité.
Magalie qui est devenue ma maîtresse le dernier jour avant mes vacances.
Vacances m’ayant permis de me reposer avec quelques moments chauds sur la terrasse de la villa que nous avions louée avec Christian mon mari.
Nos voisins et amis, nous ayant même surpris un jour en passant par les rochers entre nos deux villas dominant la plage de Saint-Palais sur mer.
Nul doute que l’an prochain nous y retournerons.
Un seul petit point noir Laura qui aura 17 ans dans deux jours et qui m’a posé bien des soucis.
Me souvenant de mon expérience personnelle et de sa naissance, je fais ce qu’il faut pour éviter le problème.
Je la vois encore lorsque j’ai accouché pendant plus de 24 heures et que la sage-femme me l’a posée sur ma poitrine.
Si petite à ce moment de sa vie et si grande aujourd’hui.
Hier, au moment du départ, leurs adieux avec Yann ont été déchirants.
Pour nous, connaissant la vie, c’était un premier flirt peut être un peu poussé.
Nous avons bien essayé de surveiller et de maîtriser, Saint-Palais est grand et les lieux ou des couples peuvent se retrouver sont nombreux.
Ces adieux ont été déchirants, en les séparant nous leur arrachions le cœur.
À peine arrivée, on sonne à la porte de notre appartement, je vais ouvrir, le facteur me fait signer pour une lettre recommandée venant de Roumanie.

Je l’ouvre après avoir refermé la porte.
Une lettre à l’entête de ma société.

« Madame Véronique Dubois, par suite d’une restructuration de notre entreprise vers la Roumanie, nous sommes au regret de vous licencier comme tous le personnel de fabrication et des services administratifs.
Veuillez trouver un chèque correspondant à vos années passées près de nous, notre conseiller financier les a évalués à votre juste valeur.


Vous pouvez vous rapprocher de Pôle Emploi pour rechercher une nouvelle situation.
Magalie, la salope, cheffe de l’entreprise de mécanique Dumez. »

La « salope », c’est pour éviter de mettre son nom, ce serait trop d’honneur.
Ma juste valeur, mon cul a-t-il été évalué à sa juste valeur ?

Quand je vous disais que Chris71 avait raison de classer mon aventure dans sa « collection pute ».
Je comprends mieux « l'Adieu » qu’elle m’a lancé en me quittant en juillet.
Mensonge sur la Pologne, c’était la Roumanie où elle partait définitivement en vacances avec ses machines certainement pour gagner plus de fric.

Quand Christian revient, il est enjoué.
Il arrive de Provins en Seine et Marnes.

● Tu viens d’acheter la vieille ferme de tes rêves que tu souhaites que nous la retapions ma chérie.
● Regarde la tuile mon amour, j’ai perdu mon emploi et nous, nous serons dans l’incapacité à payer les traites.
Nous allons tout perdre à cause de cette salope.

Pourtant, en décembre pendant les vacances de Noël nous déménageons.
J’ai rencontré, la maîtresse de Paul.
Elle est enchantée d’avoir un nouvel élève.
Quand nous nous sommes vues, quelque chose, c’est passé entre nous, un regard a suffi.
Ce mercredi étant de repos, elle vient me voir dans mon laboratoire.
Depuis des années je voulais créer mon entreprise de confitures bio.
C’est fait, avec mes indemnités de licenciement et une aide de la région.
Christian savait que pour moi, mon travail manquais de passion et que je rêvais de cette ferme.
Nous avions vu qu’elle était à vendre lors d’une de nos escapades du week-end.
J’ai en plus eu la chance de signer un contrat avec des boutiques bio présentes dans toute la région.
Je fabrique et je vends.
Christian prend le train en gare de Provins et arrive à quelques mètres de ses bureaux.
Laura, ça a craqué avec Yann, il faut dire que de jeunes chiens en chaleurs tournent autour de la belle fille devenue.

Paul j’en ai parlé, il est enchanté de sa nouvelle maîtresse.
Ce mercredi il est chez nos voisins gardés par mamy Andrée et Papy Louis.
Je leur donne quelques billets, ce qui améliore la pauvre retraite de papy.
Je suis dans mon labo attendant Annette, c’est le nom de la jeune institutrice.
Elle arrive en jupe courte, ça me change du jour où je l’ai vu avec une robe stricte et un chignon.
L’impression que j’ai eue en plantant mon regard dans le sien à l’école est intacte dans cette tenue moins stricte.
Ce jour-là à l’école, j’aurais bien voulu lui défaire ses cheveux, mais j’aime aussi aujourd’hui quand-ils tombent sur ses épaules.
Un vrai bouton d’or.
Pommes, mangues et Cannelle, j’ai créé ce parfum qui sera notre secret entre nous.
Cannelle, car quand je l’emmène dans mon bureau où j’ai installé un canapé et où je lui ôte sa petite culotte, ses lèvres intimes me font penser à cette épice.
La différence entre Magalie et moi, c’est qu’il est certain que je resterai en France avec ma petite entreprise.

Cette petite entreprise, grandie depuis une année que je me suis installée.
J’ai diversifié mes fabrications et engagé une assistante.
Je traite avec le paysan voisin ainsi que la coopérative locale et nous fabriquons des pâtés en plus des confitures bien sûr.
Paul a changé de maîtresse, la sienne ayant démissionné.
Il est passé d’Annette à Alexandre, fraîchement nommé comme professeur des écoles.
Annette aurait pu devenir ma maîtresse secrète, elle est maintenant mon assistante.
Elle est bien ma maîtresse, mais loin d’être cachée.
C’est au grand jour ce soir.
Un an après mon licenciement et mon installation près de Provin, je vais l’offrir à Christian.
C’est en vacances à Saint-Palais que je vais le faire.
Annette après avoir rejoint ma société habite déjà à la ferme.
Christian se doutant que pendant ses absences pour son travail sa femme aime aimer les femmes.

Principalement cette femme, aussi blonde que je suis blonde.
Ce soir, repas sur la promenade de la plage de Saint Palais au champagne comme il se doit.
Paul passe la nuit chez Yollande et Gustave pour cette soirée que je souhaite être la nôtre, à trois bien sûr.
J’ai tout prévu, j’ai fait livrer d’un magasin de Royan, un transat trois places en rotin avec des coussins et un matelas pouvant rester sous la pluie rare pendant ces canicules.
C’est là sur la table que Christian pose une bouteille pour boire après notre première fois.
Je dois reconnaitre que si Annette sait qu’elle va faire l’amour avec mon mari, ce moment solennel célant notre trio est quelque peu intimidant.
Je me sens obligée de prendre les choses en mains.
C’est moi qui la dénude l’embrassant avec toute la passion dont je sais faire preuve chaque fois qu’à la ferme je la prends sauvagement.
J’ai bien dit que j’aimais dominer.
Tenant Annette d’un bras, j’arrive à sortir le sexe de Christian qui bande déjà de l’expérience que je lui ai proposée.
Je sens que ma petite hésite à saisir cette verge qui est venue au contact de sa hanche.
Depuis que nous sommes amantes, je sais qu’elle est vierge et qu’elle a toujours eu peur de la pénétration mâle.
Ma langue lui aurait suffi même si elle était prête à ce que ce soit mes doigts qui la dépucellent.
J’ai refusé surtout quand j’ai su que Christian était prêt à une vie à trois.
Couchée sur le matelas, je lui écarte les jambes, titille son clito avec ma langue avant de prendre la lance familiale pour la placer bien comme il faut.
Christian est près et mes yeux assistent à la pénétration lente et continue qui vont faire d’Annette une femme notre femme.
Un petit cri, un seul, c’est fait, il est au fond.
Quelques gouttes de sang arrivent à sortir malgré l’étroitesse de mon amour.
Sans aucune aversion, ma langue les récupère.
C’est fait, un trio parfait vient de voir le jour sous la nuit étoilée de Saint-Palais sur mer.


Le jour se lève, j’ai, moi aussi été pénétrée par Christian, en levrette.
Je sais, j’aime dominer, mais il aime nous prendre comme cela après qu’Annette et moi nous l’ayons fait rebander avec nos langues de chaque côté de sa verge.
J’aime dominer ce que je fais avec ma jolie blonde, mais lui aussi est dominateur avec les femmes.
Quand nous sommes accoudés sur le mur regardant la plage, serrés autant que nous le pouvons, nous voyons Laura remonter la promenade.
Elle va rejoindre sa chambre avec Paul garçon de 22 ans.
Elle nous l’a présenté le lendemain de notre arrivée.
Ils sont arrivés dans sa voiture de sport, c’est le fils du patron de l’hôtel 5 étoiles de la ville.
Il a sympathisé avec Christian, il est en école d’architecture à Bordeaux, que demander de plus.
Je pense que d’ici la fin de nos vacances, lors d’un repas.
Si à la fin de ses études et si l’amour qui étincelle dans les yeux de ma fille perdure, Christian lui proposera de venir travailler à Paris dans son cabinet.
Avant de partir en vacances créer notre vie nouvelle, il a signé avec la ville de Paris, un contrat pour rénover tout un quartier de Paris où se situait une grosse usine ayant été décentralisée au Maroc.
Il avait présenté un projet à un concours qu’ils ont gagné avec ses équipes.
Comble d’ironie, les locaux ou ma pute avait ses locaux font partie du démolissement.
Si j’étais restée à faire sa comptabilité, ce serait maintenant que je me retrouverais licenciée.

Le baiser que je donne à Annette puis à Christian au-dessus de cette plage au soleil levant serait inexistant.
Dès notre retour, deux objectifs.
Anette souhaite er, peut-être le top départ a-t-il été donné !
De plus, nous souhaitons acheter des ruches, nous avons pris contact avec un apiculteur qui souhaite prendre sa retraite.
Albert va nous aider à les installer après sa prochaine récolte dans notre verger et de nous apprendre à nous en occuper.
S’il y a une bouche de plus à nourrir, ce miel sera une source nouvelle de diversité bio.

Magalie a-t-elle réellement été une pute en me licenciant ?

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