La Vie Dissolue D'Une Bigote 18 : Le Sex-Shop

Il fallait donc équiper Michelle. Je décidais de nous rendre dans le sex-shop que connaissaient Pauline et Jacqueline. Cette dernière nous a accompagnés lors de l’expédition, avec Geneviève et Michelle.
Nous avons retrouvé celle-ci directement dans la ville où elle s’était rendue seule. Étrange groupe formé de trois femmes dont deux assez âgées et d’un homme. Michelle et Geneviève sont plutôt stressées d’une part, par la peur d’être reconnues et d’autre part d’entrer dans un tel établissement pour la première fois.
Le gérant est assez surpris de nous voir pénétrer, mais retrouve le sourire lorsqu’il aperçoit Jacqueline.
• « Ah mon amie ! Ça fait plaisir de te voir !
• Bonjour ! Je vous amène des amis qui veulent faire des achats.
• Aucun problème et si ces dames veulent des remises, tu leur as expliqué comment ?
• Oui bien sûr ! Elles ne me croient pas, vous permettez ? »
Jacqueline passe derrière le comptoir, s’agenouille et sans fioritures ouvre le pantalon de l’homme, sort sa bite et l’avale.
Elle le suce un peu puis se retourne vers nous.
• « Alors ! Vous voyez bien que je le suce.
• Et ta copine n’est pas avec toi aujourd’hui ?
• Non ! Elle n’a pas pu venir.
• Ça te dis d’aller sucer deux ou trois mecs en bas pendant que tes amis cherchent leur bonheur ?
• D’accord !
• Par l’interphone, l’homme annonce qu’une vieille salope va se rendre dans le cinéma et ceux qui veulent se faire pomper seront les bienvenus »
Jacqueline, qui connaît les lieux, s’engouffre derrière une porte et nous laisse seuls avec le patron. Celui-ci nous montre un écran vidéo sur lequel on voit arriver Jacqueline dans la salle où se trouvent trois hommes qui matent un film X la queue à l’air.
Jacqueline s’agenouille aussitôt devant le premier, et plonge sur la queue que l’homme astique devant les images pornographiques. Très vite, le couple est rejoint par deux autres hommes.

Ceux-ci se placent debout de part et d’autre et présentent leur sexe à Jacqueline pour qu’elle s’en occupe aussi.
Tout d’abord elle les branle tout en continuant à pomper le premier, vautré dans son fauteuil, puis, elle alterne sa bouche sur les trois queues. L’homme assis jouit rapidement et notre amie peut se consacrer alternativement aux deux autres.
Le patron du magasin interrompt le spectacle pour nous demander ce qui nous intéresse. Je lui explique que nous cherchons des instruments et des vêtements pour notre amie ici présente, Je lui montre Michelle et l’homme a l’air très intéressé. Je lui précise aussi qu’il s’agit de la transformer en « maîtresse »
• « Je crois qu’elle sera parfaite dans ce rôle. Pour ce qui est des accessoires, pas de problème, malheureusement, je n’ai pas beaucoup de vêtements de ce type, à part un body. Je connais par contre une commerçante qui doit avoir ce qu’il vous faut.
• Parfait ! Voyons déjà ce que vous avez »
Nous choisissons, divers instruments, martinet, cravache, menottes, godes, des gants en latex. Je verrais bien Michelle avec des cuissardes. L’homme se rappelle en avoir une paire dans l’arrière salle mais il faut les essayer.
En passant devant le moniteur vidéo on voit Jacqueline entourée maintenant de plusieurs messieurs en attente. Elle semble un peu débordée. Remarquant les yeux brillants de Geneviève, je lui propose de la rejoindre.
Comme d’habitude, elle commence par se récrier, puis, face à mon regard ferme, elle pousse la porte et rejoint Jacqueline.
• « Ben dis-donc, s’esclaffe le vendeur, je n’aurais jamais cru qu’une bourgeoise comme elle fasse cela !
• Elle vous surprendrait si vous la voyiez à l’œuvre. C’est une vraie salope quand elle se lâche !
• Vous pensez que je pourrais la …
• La baiser ? Sans problème, si je lui demande. Vous lui consentirez une bonne remise pour ses services rendus !
• Pas de souci ! Je vous offre les bottes, si elles vont à madame !
• Ok pour ça ! »

Le commerçants se précipite dans l’arrière boutique et revient très vite avec les cuissardes.
Pendant que nous les essayons avec Michelle, il ne détache pas son regard de l’écran.
Les bottes semblent aller à Michelle. Pour parachever l’essayage je lui propose d’enfiler le body et les gants. Lorsqu’elle sort de la cabine, c’est une nouvelle femme qui nous apparaît. Le port altier de madame la Maire est accentué par la tenue. J’att une perruque noire aux cheveux longs et Michelle est parfaite. Bandante et impressionnante !
• « Vous voulez que je rappelle notre amie ? Dis-je au vendeur.
• O.. Oui ! » Il est scotché par la vision de Michelle. Regrette-t-il son choix ? En tout cas, son regard ne se détache pas de cette femme superbe qui trône dans son magasin, alors que je vais chercher Geneviève.
Ce n’est plus la vieille bourgeoise tirée à quatre épingles qui a passé la porte quelques minutes auparavant qui fait son retour, mais une femme échevelée, au maquillage quelque peu défait. Je lui intime l’ordre de s’occuper du commerçant.
Croyant qu’il s’agit du même service qu’elle a rendu dans le cinéma, elle s’agenouille.
- « Ce n’est pas cela que veut monsieur. Il veut te baiser. Allez ! Relève ta robe et montre lui ton cul ! Baisse aussi le haut qu’il puisse s’occuper de tes tétons !»
Ma belle-mère rougit, mais ne se défile pas. Elle baisse le haut du chemisier faisant ressortir la poitrine aux tétons arrogants. Les yeux du vendeur lui sortent des orbites ! Geneviève relève sa robe et l’homme découvre le bas ventre totalement épilé. Elle se penche en arrière contre un étal et s’accroche au bras de Michelle qui la regarde dans les yeux. L’homme sort son engin qui en effet est assez conséquent et sans plus attendre s’enfile dans la chatte baveuse de ma belle-mère.
Ne voulant pas le fâcher pour la suite, je lui conseille de bien baisser son pantalon et de relever sa chemise « car elle arrose beaucoup ! »
Il ne faut que quelques minutes à Geneviève pour se relâcher et inonder le bas ventre du libanais. Très vite celui-ci se libère à son tour.

- « Revenez quand vous voulez dit-il à l’adresse de Geneviève. Pour vous c’est gratuit, tant que je peux baiser une vieille bourgeoise comme vous ! J’en ai vu des salopes mais là, c’est le pompon ! Quelle pute ! »
Ma belle-mère, qui s’est rajustée, me fait un clin d’œil salace et me glisse à l’oreille « Vous êtes content ? Ça y est je suis une pute qui se fait payer et une salope, comme vous me l’aviez promis il y a longtemps ! »
J’embrasse Geneviève en la félicitant. Michelle a décidé de garder les cuissardes sur elle. Nous payons les achats avec en plus de la gratuité des bottes, une belle remise. Nous rappelons Jacqueline, toujours dans le cinéma. Le temps simplement pour elle de finir avec l’homme qui la monte, penchée sur un fauteuil.
Notre quatuor quitte enfin le sex-shop avec les remerciements de la direction ! Pour nous remettre un peu, nous décidons d’aller prendre le thé dans un salon voisin. Les personnes alentours ne se doutent pas que ces dames « bien » et plutôt âgées qui dégustent leur thé et des toasts, se comportaient il y a quelques minutes encore comme de fieffées salopes !
La seule qui n’est pas satisfaite, est Michelle que personne n’a touchée. Je lui promets de m’occuper d’elle, avec plaisir, dès que possible.
• « Viens me lécher aux toilettes ! Je n’en peux plus d’attendre !
• A vos ordres, maîtresse ! Dis-je en souriant »
Les deux autres rigolent. Nous entrons rapidement dans une cabine. Michelle soulève sa jupe et écarte le body tout neuf, alors que je m’agenouille pour lui bouffer sa moule gluante. Elle pose un pied sur la cuvette pour bien écarter ses cuisses.
Ma langue trouve vite son bouton. De deux doigts dans la chatte je la branle énergiquement et je suis rapidement récompensé de mon travail par un écoulement épicé alors que Michelle se mord les lèvres pour ne pas alerter le voisinage.
• « Eh bien c’est du rapide ! S’amuse Geneviève à notre retour. Vous en aviez vraiment besoin ma chère !
• Oh oui ! Il faut dire que Jean est particulièrement doué !
• Je ne vous le fais pas dire, il lui arrive de me faire… du bien en moins d’une minute
• Il faut dire belle-maman que vous réagissez vite
• Et que vous connaissez mes points faibles !
• Faibles… Quand on voit vos tétons, on ne peut pas les qualifier de faibles !
• Taisez-vous grand voyou, on pourrait bien nous entendre !
• Qui pourrait penser, en vous voyant si austère, que vous êtes une vraie salope ?
• C’est à vous que je le dois… Et je vous en remercie ! »
Michelle et Jacqueline sont hilares.
Alors que je les interroge, elles me signalent que le couple qui se trouve sur la banquette derrière nous, a tout entendu. La femme est effarée et le mari très intéressé.
Nous quittons l’endroit en riant. Sur le trottoir, devant la vitre derrière laquelle le couple nous observe, Geneviève me retient et m’embrasse à pleine bouche, se tourne vers eux et dresse le pouce pour manifester son contentement. La femme est Horrifiée et que dire quand Michelle, puis Jacqueline à leur tour, me roulent une pelle, puis se tournent vers Geneviève pour l’embrasser aussi !
Mes compagnes sont déchaînées et je suis obligé de les calmer un peu pour ne pas provoquer une émeute. Nous rejoignons le magasin indiqué par le propriétaire du sex-shop. C’est une boutique vieillotte, du moins par le style. La façade et le magasin sont pimpants et récemment rénovés.
Une jeune dame nous accueille alors qu’une autre vendeuse plus âgée est en train de terminer avec un couple de clients. La jeune femme rougit lorsque je lui demande le rayon guêpières et latex. L’autre vendeuse qui en a terminé et a entendu, s’approche alors et nous invite à la suivre.
Le rayon est un peu isolé du reste du magasin, mais il est très bien achalandé. La vendeuse, qui est aussi la propriétaire, nous explique que lorsqu’elle a repris le fond, ce rayon existait et fonctionnait très bien. Elle l’a donc conservé, car il représente une bonne partie de son chiffre d’affaire. « Ma fille n’est pas encore tout à fait habituée, mais cela viendra »
Habituée, elle a vite compris que nous recherchions quelque chose pour Michelle.
• « Vous avez de la chance, je viens de recevoir la dernière collection et nul doute qu’il y aura votre taille, Madame. Je vous conseille ce corset, mais vous devriez porter des bas sous vos cuissardes !
• Nous les avons trouvées chez votre voisin du sex-shop. C’est lui qui nous a indiqué votre adresse.
• Mon mari est un coquin ! C’est lui le patron. » Nous échangeons un regard avec Jacqueline et Geneviève, qui n’échappe pas à la commerçante
• Ne vous inquiétez pas ! Il a dû vous offrir quelques remises en compensation de vos faveurs ? Nous sommes un couple très libre. Il a beaucoup de besoins, moi aussi d’ailleurs, et la journée est longue ! Il a dû apprécier vos compagnes, surtout elle, dit-elle en désignant Michelle. Je suis sûre qu’il aurait apprécié les faveurs de madame, elle parle de Geneviève, si vous n’étiez pas si… inaccessible !
• Détrompez-vous, chère madame, c’est bien notre amie Geneviève qui a bénéficié de ses ardeurs, il faut dire qu’il y a mit le prix !
• Ah bon ? Vous pouvez m’éclairer ?
• Les cuissardes.
• Ah oui ! Je le comprends ! C’est un vieux fantasme qu’il a réalisé ! Et madame est très belle.
• Quoique un peu soumise !
• Eh bien, si cela vous intéresse, j’aimerais bien dresser cette femelle que mon mari a baisé !
• Aucun problème ! Vous n’aurez qu’à vous arranger avec votre mari, n’est-ce pas belle-maman ?
• C’est… Votre …
• Oui ! et c’est une sacré vieille salope, croyez-moi. Si Michelle, que nous habillons aujourd’hui, vous la prête, je me ferai un plaisir de vous l’amener.
• Vous êtes un sacré numéro vous ! Et j’en ai vu passer ici !
• Si nous sommes amenés à nous revoir, je vous expliquerai bien des choses.
• Ce sera avec plaisir ! »
A ce moment, Michelle sort de la cabine dans laquelle elle a revêtu le corset recommandé. Nous sommes quatre autour d’elle et même cinq, car la fille de la propriétaire nous a rejoints ce sont donc cinq visages sidérés. Elle est superbe ! Magnifiquement altière perchée sur les hauts talons des cuissardes. Le corset dégage les aréoles de ses seins, tout en les soutenants. Les jarretelles tendues sur des bas noirs qui dépassent des cuissardes. Je lui tends les gants, la cravache, la perruque noire et nous avons devant nous, une créature fabuleuse, qui impose le respect. Je suis sûr qu’à côté de moi, Geneviève doit couler !
- « Vous êtes parfaite ! S’extasie la commerçante, qui s’est reprise. Vous allez faire des ravages ! En plus, votre toison, taillé ainsi, ajoute si besoin, encore plus de force à votre tenue ! J’envie vos partenaires !
- Vous en avez quelques uns ici même, sans parler de ceux qui n’ont pas pû venir, dis-je.
- Décidément ! Vous me plaisez beaucoup ! Je comprends mon mari ! » Tout en réglant nos achats, la vendeuse nous interroge, sur nos relations qui ont l’air particulières.
Si vous voulez tout comprendre et je crois que vous êtes sur la même longueur d’onde que nous, vous pourrez trouver tous les renseignements sur le site internet qui s’appelle « Les Vielles Salopes des Gaves ». Vous y retrouverez ces dames et d’autres aussi avec leurs spécialités. Vous verrez aussi le cadre et les conditions. Je suis sûr que votre mari et vous-même y trouverez des choses … intéressantes ! »
Je lui indique alors l’adresse de notre site internet. En revanche, pour votre fille je ne crois pas que cela convienne à son âge, même si elle est charmante. Vous verrez que ce n’est pas le concept.

Le lendemain, le couple est inscrit pour une prochaine soirée. La femme privilégie Geneviève et le mari Michelle. Ils deviendront des fidèles de nos soirées. Ils seront aussi des fournisseurs privilégiés que nous recommanderont à ceux des participants qui désirent pimenter leur vie. Je sais que Jacqueline et même Geneviève sont des habituées de l’établissement du monsieur, où elles se « prostituent » gratuitement, de temps en temps.
Michelle a dû renoncer à porter sa tenue trop voyante, d’autant qu’elle doit rentrer seule et doit assister à une réunion. Elle le regrette beaucoup car nous avons prévu d’aller dans un sauna libertin. Ma belle-mère connaît bien et Jacqueline a envie de découvrir cela. Michelle qui fréquente parfois des saunas avait envie de connaître celui-là, je lui promets de l’y amener une autre fois.
Après nous être restaurés nous allons au sauna qui est en fait un club libertin à l’intérieur duquel on trouve sauna, jacuzzi, hammam et coins câlins. Geneviève va y être très sollicitée par des hommes assez jeunes. Sur le matelas central ils seront cinq a un moment pour s’occuper d’elle. Surpris quand elle leur dévoilera son âge après leurs exploits où tous ses orifices ont été sollicités, parfois en même temps par les joyeux lurons. Le summum a été atteint quand je lui ai demandé de se branler, couchée sur le dos au milieu de ses admirateurs et qu’elle à expédié en l’air une énorme giclée qui a arrosé ceux qui étaient les plus proches. Ils ont manifesté bruyamment leur joie, provoquant un attroupement autour de la scène où ma belle-mère était la vedette de la soirée.
De son côté, Jacqueline s’est enfermée presque tout le temps avec un couple de son âge. Leurs mines défaites à la sortie prouvaient qu’ils avaient bien profité du moment.
Quand à moi j’ai participé à plusieurs groupes avant de jouir dans la bouche d’un jeune éphèbe qui à genoux m’a pompé pendant que j’admirai Geneviève entourée des ses jeunes amants.
Tout le monde s’est retrouvé dans l’immense jacuzzi. Geneviève ne supporte pas le hammam qui « détruit son maquillage » Là aussi elle a été le centre de l’animation. Installée au milieu du bassin, au dessus du jet d’eau qui chatouille son entre-jambes, elle se laisse peloter, caresser, embrasser, doigter par la meute de jeunes loups affamés de cette « vieille salope »
Avant de partir, je fais découvrir le « sling » à ces dames. Geneviève a tenu à ce que je la prenne sur le siège en cuir Jacqueline à nos côtés a ensuite pris sa place, les deux femmes exigeant que je laisse la porte du local ouverte « afin que tous voient les salopes que nous sommes ». Succès garanti ! Lorsqu'elle a laissé la place à sa copine, ma belle-mère s’est agenouillée pour pomper les queux des spectateurs les plus proches.
A la sortie, le gérant l’a félicitée, l’encourageant à revenir quand elle veut.
- « A condition que mon gendre m’amène comme aujourd’hui, pourquoi pas ?
- P… Pas de problème !
- Et ce sera gratuit aussi pour lui !
- D… D’accord » répond l’homme estomaqué que cette dame chic et complètement perverse, trouve le moyen de « monnayer » sa venue… et s’affiche avec son beau-fils !
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