Amant D'Un Couple - Sophie

Cinq ou six jours après notre soirée de découverte, Sophie m’a appelé chez moi (j’étais dans l’annuaire). Elle souhaitait me voir pour me parler. Comme je ne prenais mon service qu’à 21h00, je lui ai dit qu’elle pouvait passer quand elle voulait, je restais à la maison. Elle est passée en milieu d’après-midi. Toujours aussi mignonne en jupe et petit haut. Elle m’explique qu’elle a beaucoup repensé à cette soirée. Que cela avait été très agréable. Jean ne l’a pas touché depuis. Elle me sourit, je lui souris en retour. Elle s’approche de moi passe ses mains autour de moi. Je pose mes mains sur ses hanches. Aucune équivoque entre nous. On sait ce qui va suivre.
Elle me tend ses lèvres que j’embrasse. Je caresse ses hanches. Mes mains parcourent son corps. Je la sens frémir.
Je la prends dans mes bras et la porte jusqu’à la chambre voisine ou je la dépose sur le lit. Je m’allonge contre elle et poursuit mes caresses. Elle passe ses mains sur mon corps, s’arrêtant sur mon sexe qui se réveille. Je lui ôte son haut pour découvrir cette magnifique poitrine. Je plonge ma tête entre ses seins que j’embrasse. Je suce ses mamelons. Ses tétons sont bien dressés. Elle prend ma tête dans ses mains pour mieux me guider, en me plaquant contre elle. Petit à petit je me laisse glisser le long de son corps, laissant ma langue s’attarder sur son ventre, visiter son nombril. Ses doigts dans mes cheveux se crispent. Je la débarrasse de sa jupe et de son string. Elle est nue, magnifique, offerte à moi. Ma bouche commence un travail de fouilles de sa toison pubienne. Elle relève son ventre, soulève ses fesses pour venir à ma rencontre les jambes écartées. Enfin, ma bouche arrive à son sexe, cette belle chatte déjà luisante de son plaisir. Ma langue trouve son clitoris, elle râle de bonheur.
Elle me souffle qu’elle aussi a faim, qu’elle veut aussi s’occuper de moi. Je me débarrasse de mon short, elle s’allonge sur moi et nous entamons un long 69.

Sa bouche et sa langue s’affairent sur ma queue bandée et mes couilles. Ses mains sont passées par derrière et ses doigts titillent ma rosette, parfois s’aventurent dedans. C’est divin !
Ma bouche et ma langue poursuivent leur travail, je lèche et suce son clitoris, je fouille sa vulve. Mes doigts accompagnent ma langue dans son antre. Je bois à son graal. L’odeur de cette chatte dégoulinante affole mes sens. Nous gémissons à l’unisson !
N’y tenant plus, je me redresse, l’allonge sur le dos et la pénètre jusqu’à la garde. Elle rugie de plaisir, je lui renvois un grognement de satisfaction. Elle est chaude ! Elle est douce ! Elle est trempée ! Commence alors un balai enchanteur. Je la prends en missionnaire, longuement, variant les rythmes pour contrôler mon plaisir. De temps en temps, je m’enfonce au fond de son vagin et je ne bouge plus… la regardant fixement. C’est un duel à qui saura résister le plus longtemps sans bouger. « Salaud ! vas-y ! Bouge ! Je t’en prie, j’ai trop envie ! » . Je reprends mes aller et venues.
On se redresse, je suis assis, elle sur moi ses jambes enserrant mon bassin, sexes collés, ma queue bien au fond de sa chatte. Nous poursuivons notre balai sexuel.
Puis elle me repousse et se retrouve à califourchon sur moi empalée sur ma bite. Elle varie les mouvements, de bas en haut, fait tourner son bassin autour de mon sexe. Mes mains vont de ses hanches pour accompagner ses mouvements à ses seins pour les caresser à pleines mains. Quand elle se penche vers moi, j’embrasse ses tétons.
La jouissance arrive, elle me prévient « Oh mon chéri je vais jouir ! je ne peux plus tenir ! AAh ! OUIIII ! » . Elle accélère sa chevauchée, ses mouvements sont plus amples. Son orgasme est bruyant ! Presque violent. Elle tremble sur moi. Une grosse boule de chaleur monte dans mon bas-ventre. Je jouis simultanément. Libérant mon foutre au fond de son vagin. J’ai l’impression d’exploser.
Elle s’affale sur moi, essoufflée, trempée de sueur.
Je l’entoure de mes bras pour prolonger cet instant magique. Nous restons ainsi quelques minutes, sans parler, écoutant nos corps.
Elle m’embrasse langoureusement. Ses yeux pétillent de satisfaction et de bonheur. Quant à moi, je suis aux anges, au septième ciel.
Nous finissons par bouger pour aller prendre une douche bien méritée. On se savonne mutuellement, sans pudeur. Mon dieu qu’elle est belle !
Toujours nus après nous être séchés, nous passons à la cuisine ou je nous sers deux verres d’eau bien fraiche. Nous discutons de notre relation. Est-ce qu’elle trompe son mari avec moi ? C’est lui qui nous a réunis. C’est lui qui a voulu que l’on couche ensemble. Je ne lui dis pas que son mari est revenu le lendemain de nos ébats pour me baiser.
Par jeu, elle colle son verre rempli d’eau glacée sur mon sexe. « Il faut la rafraichir, elle a eu chaud tout à l’heure. » Je la laisse faire, une main chaude, un verre glacé. Sensation agréable. Elle descend pour me prendre en bouche. Elle prend des petites lampées d’eau fraiches et gobe ma queue. Il ne faut pas longtemps pour réveiller mon désir. Elle entame une bonne pipe Je tiens sa tête avec mes mains, mes doigts fouillant ses cheveux. De temps à autre elle me lance un regard lubrique. « Salope, tu m’excites, continue, c’est bon ! Tu suce bien ! ». Elle se relève se frotte à moi. Je l’embrasse. Elle se retourne et se cambre en prenant appui sur le plan de travail. Elle colle son cul contre ma queue dressée. Je l’att par les hanches et fais coulisser ma bite dans sa raie. « Hummmm, Oui ! Elle est bien dure ! ». Je lui réponds « Tu as un cul d’enfer ! A faire bander un mort ! ».
- Il te plait mon cul ?
- humm Oui !
- Tu as envie de me prendre par-là ?
- Humm, Oui. Comme ton mari m’a pris.
- Alors viens. J’en meurs d’envie moi aussi !
Il ne m’en faut pas plus. Je me baisse et embrasse ce cul magnifique à pleine bouche. Ma langue s’attarde sur sa rondelle. Elle gémie de plaisir.
« Oh, quelle langue ! ». La pointe de ma langue viole son intimité. Je récupère de son liquide avec mes doigts pour lubrifier son petit trou. J’y rajoute de la salive. Je me redresse, elle se cambre et me présente son cul toujours appuyée contre le plan de travail. Je guide le bout de ma queue vers cet antre de plaisirs. J’appuis mon gland contre son anus et appui doucement mais fermement. Son cul aspire mon gland d’un coup ! Elle pousse un cri de plaisir et me demande d’y aller doucement. Je fais une pose. Je sens le bout de mon sexe serré dans cet étau. Petit à petit, elle se détend et je poursuis ma pénétration par de petits va et viens. Je la sens s’ouvrir. Je suis au fond de sa grotte. C’est serré, c’est chaud, c’est humide. « Aller, viens, je te sens bien. Encule-moi à fond ! ». Je commence à la baiser avec des mouvements amples. Je sors presque entièrement de son fondement et je rentre au plus profond. Elle est là, comme je l’étais 3 jours avant avec son mari. Tantôt je me colle à elle et l’embrasse dans le cou, tantôt je me déchaine sur cette croupe rebondie. Ma queue est beaucoup plus serrée dans son cul que dans sa chatte. Elle me crie son plaisir, sa jouissance et m’encourage à continuer. Notre accouplement bestial a duré une bonne dizaine de minutes. Puis j’ai laissé exploser mon orgasme au fond de ses entrailles. Elle a attrapé mes bras et s’est entouré d’eux, bloquant mes mains contre elle, une sur le ventre, une sur ses seins. « Hummm, c’est bon par là aussi ! Tu m’as prise comme Jean t’a pris. Tu m’as rempli le ventre de ton sperme comme Jean a rempli le tien de son foutre. »
Après cette nouvelle joute sexuelle, nous sommes retournés nous rincer. Elle m’a réaffirmé sa satisfaction. Nous nous sommes convenus de nous revoir, et nous nous sommes revus.
Voilà comment je suis devenu l’amant d’un couple. Je les ai revus ensemble et séparément. Jean, généreux en foutre, s’est toujours très bien occupé de mes arrières et je me suis pour ma part bien occupé de Sophie.
Notre relation a duré 2 années jusqu’à ce que je déménage pour raisons professionnelles. J’en garde un excellent souvenir.

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