L'Appartement De Vincennes (Épisode 1)

Résumé : Ce récit est la suite de nos aventures, Virginie et moi. Ma belle s’est fait prendre en gang-bang par trois garçons de sa classe (BTS Accueil Vente, 2ème année…), deux mercredis de suite chez sa mère, peu avant les examens de fin d’année. Virginie réussit néanmoins son BTS avec la mention « Assez bien ». Après les vacances d’été, elle commença un nouveau Job dans une filiale d’Import and Co » et emménagea avec Bob son compagnon rue du Midi, à Vincennes. Le récit qui suit relate quelques épisodes de leur vie dans cet appartement tout nouveau pour eux.

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Lorsque nous emménageâmes, Virginie et moi, rue du Midi à Vincennes, nous avions eu le sentiment d’avoir trouvé le plus bel appartement du coin pour un loyer somme toute modique, comparé au prix du marché. Certes, la quasi-totalité d’un de nos salaires y passa, mais nous étions heureux et contents car nous avions assez d’espace pour nous deux. Nous étions dans le centre-ville, à proximité du métro et des commerces. Nous étions aussi à quelques minutes à pieds du château et de la forêt.

L’appartement était situé au troisième étage d’un immeuble dont la façade était toute en pierre de taille. L’architecte avait gravé son nom sur la façade avec une date, probablement la date de construction de l’immeuble. L’entré débouchait sur un passage couvert avec au loin une cour intérieure. Nous entrions dans le hall de l’immeuble par une double porte vitrée sur la gauche. L’endroit nous plut dès les premiers instants : l’accès aux étages se faisait par un escalier en bois recouvert d’une moquette rouge. Des barres de laiton dorées maintenaient le tapis au pied de chaque contre-marches. Cela me faisait penser aux cages d’escaliers des immeubles parisiens de type haussmannien. L’endroit était vraiment très chic.

Au centre de l’escalier, se trouvait un petit ascenseur, dans son jus, probablement inchangé depuis sa construction dans les années trente.

Dès les premiers jours, ma chérie et moi fantasmions sur cet ascenseur : faire l’amour tous les deux dans cet endroit exigu nous excitaient au plus fort de nous-même. Quelques jours après notre emménagement, nous réalisions ce fantasme, un soir, en revenant de soirée.

L’escalier était en colimaçon et tournait sur la gauche, au fur et à mesure que nous montions les marches. Nous arrivâmes enfin au troisième étage. Le propriétaire avait mis son bien en location dans une agence, mais il nous fit la visite lui-même. L’agent immobilier qui était une femme était là aussi.

L’appartement était lumineux et cela nous plut bien, dès les premiers instants aussi. L’entrée déboucha un couloir sur lequel on trouvait immédiatement sur la droite un placard. Au sol, se trouvait un parquet en chevron, tout en chêne, ciré et bien entretenu. Les radiateurs en fonte étaient raccordés au chauffage central de l’immeuble. Au bout du couloir, il y avait le salon, celui-là même où je pris ma dulciné sur le sofa après que cette dernière se fit bien remplir par Olivier au milieu de la nuit.

Sur la droite du salon, il y avait une petite porte. C’était la chambre. La chambre où Virginie, le même soir de décembre m’y emmena, me prenant par la main, et invita du coup, Olivier, resté bouche béante dans le salon. L’homme ne s’était pas fait prier pour rejoindre la belle assez vite. Souvenez-vous, le premier trio !

En revenant dans le salon, il y avait la télévision, le sofa et pratiquement rien d’autre. L’appartement était petit. A peine 50 m² ! La salle de bain et la cuisine étaient situées sur la gauche de l’appartement, en rentrant. La vue depuis le salon et la chambre donnait directement sur la rue, en bas.


Dès le premier soir, le jour même de notre emménagement, nous fîmes l’amour dans notre chambre. Nous étions, cassés, lessivés. Nous avions couru toute la journée à faire des allers retours entre le rez-de-chaussée et le troisième, avec des cartons, à transporter des meubles, etc.
Gautier et Chantal, nos amis nous donnèrent pourtant un coup de main, mais cela n’avait pas suffi à extirper toute notre fatigue. Ils n’ont cependant été d’une aide précieuse.

Les jours passèrent, et après la crémaillère, Virginie et moi avions eu de plus en plus l’envie de faire l’amour dans cette cage d’escalier, et ce fut un matin de septembre (ou octobre) que nous réalisions notre fantasme…

A suivre…

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