Une Sortie Piscine Qui Glisse

Mardi matin 8h22.
« Allez en voiture ! Tu as pris ton sac de piscine ? »
Mon fils 8 ans saute dans la voiture. Evidemment qu’il a pris son sac de piscine. Cela fait maintenant trois semaines que chaque mardi il va patauger dans le grand bain avec sa classe. Il est ravi d’apprendre à nager.
8h28 nous arrivons devant l’école. C’est un peu exceptionnel car d’habitude je travaille, du coup je dépose mon fils à la garderie. Mais aujourd’hui c’est repos à la maison pour moi. Le parking s’est déjà bien vidé et il ne reste plus grand monde, chacun ayant pris le chemin de son propre boulot.
La maîtresse nous attend au portail. Elle est plutôt bien foutue la maîtresse ! Mon fils en a de la chance de passer la journée entière avec une jolie trentenaire bien foutue et avec un beau fessier que je devine à travers ses pantalons parfois serrés.
« Bonjour » me dit-elle un peu affolée.
« Bonjour. Vous allez bien ? »
« Euh...oui….non...enfin...c’est qu’un accompagnateur vient de me lâcher pour la sortie piscine. Du coup je vais être obligée d’annuler….Oh non, et le bus qui doit déjà être sur la route pour venir nous chercher…. »
« Ah oui...galère » et là je ne sais pas ce qui m’a pris, peut-être la possibilité de la voir en maillot de bain, mais j’ai ajouté « si vous voulez je vous accompagne. Je ne travaille pas aujourd’hui alors je suis disponible. »
« Vous feriez ça ? »
« Bah oui. Allez je file chercher mes affaires. »
« Oh merci, merci merci. Dépêchez vous, nous partons à 8h45 »
Je saute dans ma voiture et je fonce à la maison des images de la maîtresse en maillot de bain plein mon imagination. Bon sang, je vide mon sac de sport à toute allure, j’att une serviette et ce $#+@ de maillot de bain qui est coincé dans mon tiroir.
Retour à l’école juste à temps pour grimper dans le bus. La maîtresse me présente les autres parents accompagnateurs (1 homme et 2 femmes) puis m’explique rapidement le déroulement de la séance de natation.

Je connais de vue ces autres parents et j’ai bien compris que mon rôle ne serai pas de transformer les s en champions de natation mais surtout de les surveiller.
9h00 le bus entre sur le parking de la piscine. Les gamins sont lâchés mais selon une mécanique bien rodée les garçons vont d’un côté et les filles de l’autre. Je me dirige donc avec l’autre papa accompagnateur vers un vestiaire collectif où nous passons une dizaine de minutes à débloquer des fermetures éclair coincées et à défaire des lacets un peu trop serrés. Je me mets rapidement en maillot de bain et je sors du vestiaire en même temps que la maîtresse. Je la vois qui me détaille et qui reste scotchée en me regardant.
« Ne vous en faites pas, ça ne me gêne pas que vous regardiez ». Il faut dire que je fais pas mal (beaucoup) de sport et que je possède les fameux abdos en tablette de chocolat. Je lui fais un clin d’oeil et je la vois rougir avant qu’elle ne s’éloigne. J’en profite pour mater ses fesses qui se balancent de droite et de gauche.

Sortis de la douche tout le monde se regroupe et, bizarrement, une des 2 mamans vient contre moi en me matant sans aucune discrétion.
La maîtresse prend la parole : « allez on se dépêche. Le groupe bleu avec le maître-nageur, le groupe vert avec moi, le groupe orange ...»
« Avec Arnaud et moi » interrompt la maman qui me mate sans vergogne. (Oui, Arnaud c’est mon prénom)
« Et bien, dans ce cas le groupe blanc vous savez avec qui vous allez » termine la maîtresse. Puis elle s’éloigne avec son groupe.

De mon côté les choses prennent une tournure digne d’un film.
« Moi c’est Karine » dit la maman. « on va se tutoyer, ça sera plus simple »
Karine, environ 1m60, brune aux cheveux mi-longs et avec quelques kilos en trop. Pas vilaine mais pas non plus une mannequin. Bref, une maman comme on en voit plein devant les écoles. Curieux, mais elle ne m’avait jamais adressé la parole et là elle me collait sans arrêt.
Pendant une heure j’ai eu le droit à tous les clichés possibles : le secouage de cheveux en sortant de l’eau, la sortie de l’eau juste sous mon nez, les seins bien exposés en serrant les bras, les jambes écartées quand elle était assise sur le bord, les frôlement de nos corps. Bref, j’en ai pris plein les yeux. Mais j’étais là avant tout pour surveiller les gamins qui s’agitaient dans tous les sens. Pas facile de les suivre d’un œil, d’observer les provocations de Karine et de tenter d’apercevoir les belles fesses de la maîtresse un peu plus loin dans le bassin. Nous avons été rappelés à l’ordre par des claquements de mains.
« Fin de la séance ! Tout le monde au vestiaire et on ne traîne pas. Sans courir, ça glisse. »
Retour, donc, dans le vestiaire où s’est déroulée une bataille pour rhabiller tout le monde (je vous passe les détails des affaires égarées, des sacs éparpillés et des lacets à nouer…).

Je me positionne dans le milieu du bus, suivi de près par Karine qui vient s’asseoir à côté de moi. Elle a de la suite dans les idées… Les 15 minutes de trajet m’ont permis de confirmer qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge et qu’elle faisait tout pour que je mate dans son décolleté. Je ne me suis pas privé ! Le temps d’arriver à l’école sa main me caressait la cuisse et on se souriait sans arrêt. En 5 minutes le bus était vidé de ses occupants, la maîtresse nous a remercié et les autres parents avaient déjà rejoint leur voiture, nous laissant, Karine et moi, seuls sur le parking.
« Oh, 11h20 ! Tu veux prendre un verre à la maison ? » me lance-t’elle.
« Oui, pourquoi pas. Tu habites loin ? »
« Non, non, c’est à deux pas d’ici... »
Et c’est bras dessus bras dessous que nous sommes allés chez elle, quelques rues plus loin.

Elle me sert un verre que je n’ai même pas le temps de finir avant qu’elle déclare : « C’est horrible tout ce chlore qu’ils mettent dans la piscine. Ca me dessèche la peau. Je vais prendre une douche rapide.
Fais comme chez toi en attendant. »
Elle me plante comme ça, je ne sais plus trop quoi penser. Je sirote mon verre et je feuillette tranquillement un magazine. Je ne suis pas pressé et je n’attends rien de précis (j’ai quand même quelques idées qui me trottent dans la tête). A peine 5 minutes plus tard Karine réapparaît seulement vêtue d’un peignoir de bain.
« A ton tour d’aller sous la douche » me dit-elle en m’entraînant vers la salle de bain. Je me laisse faire et me savonne à mon tour.
« Karine ! As-tu une serviette pour moi ? » criais-je.
« Bien sûr. Elle est là….mais il faut sortir pour venir la chercher…. »
Je passe la tête par le rideau de douche pour découvrir Karine enroulée dans la serviette en question.
« Hmmm….tu es joueuse ? Ca tombe bien, moi aussi…. »
Je sors de la douche, l’eau dégoulinant sur mon corps nu et je me dirige vers elle. J’att délicatement la serviette que je lui enlève ; me laissant découvrir une belle paire de seins légèrement tombants puis, plus bas, un gros triangle de poils bruns au niveau de son sexe. Les yeux dans les yeux nous nous embrassons longuement. Je caresse ses seins alors qu’elle a déjà pris mon sexe dans ses mains. En 2 secondes il est dur et fièrement dressé.
« Allons dans la chambre, ça sera plus pratique »
Encore quelques baisers enflammés debout devant le lit, puis les lèvres de Karine descendent sur mes pectoraux, puis vers mes abdos et enfin….sur mon sexe. Elle joue avec sa langue sur mon gland puis elle le fait entrer dans sa bouche pour faire une fellation fabuleuse. Elle alterne entre enfoncer mon pénis au fond de sa bouche puis des succions rapides de mon gland. Un vrai régal ! Je m’allonge sur le lit et lui demande de venir en 69. Je veux goûter cette chatte qui semble très demandeuse de sexe. Ma langue se fraye un chemin à travers ses poils jusqu’à atteindre l’intimité tendre et déjà bien juteuse de Karine. Ma langue s’est défoulée sur son clitoris et à essayer de rentrer entre ses lèvres.
Karine s’est relevée et, sans me laisser le temps de comprendre, s’est retournée pour venir s’asseoir sur mon sexe bien raide. Elle n’a pas hésité une seconde en s’enfonçant d’un coup mon membre jusqu’au plus profond d’elle. Elle s’agitait sur moi comme une furie en manque. Je m’agrippais à ses fesses et j’avais sous les yeux ses seins lourds qui ballottaient dans tous les sens. Elle poussait des gémissements de plus en plus forts ; c’en était presque des cris.
Soudain elle se couche sur moi, elle vient d’avoir un orgasme. A peine le temps de souffler qu’elle se met à 4 pattes sur le lit. Une levrette ? Pas de problème ! Je me positionne derrière elle et je m’enfonce dans sa chatte jusqu’à ce que mes testicules viennent buter contre ses cuisses. Je fais de grands allers-retours assez lents mais qui visiblement font leur effet car rapidement elle halète. Je sens les contractions de son vagin autour de mon sexe bien au chaud. Elle jouît encore une fois au moment où j’éjacule.
Pfffiiioouuuu sacrée séance de sexe bien intense. Elle cachait bien son jeu cette coquine. On se rhabille, on boit un coup (ça donne soif tous ses efforts) puis échange des numéros de téléphone en se promettant de remettre ça un autre jour. Tu m’étonnes, je ne vais pas perdre le n° d’une femme aussi affamée !

Et la maîtresse dans tout ça ? me direz vous.
Le soir mon fils me tend son carnet de liaison avec un mot de la maîtresse qui souhaite me rencontrer pour parler des difficultés de mon garçon en maths. Un rapide échange de sms et le rendez-vous est pris pour le vendredi après les cours.
Vendredi j’attends donc sagement au portail en guettant cette femme qui hante mes rêves depuis la sortie à la piscine. Peut-être que je me fais des films suite à notre clin d’oeil à la piscine (mais ça ne fait pas de mal de fantasmer un peu). Elle arrive vers moi, me serre la main et m’invite à la suivre dans sa classe. Son visage est neutre, ne laissant transparaître aucune émotion. Pas de pantalon moulant, juste un jean classique. Bof pas tellement encourageant pour que ça colle avec les films que je me suis fais…
On s’installe dans la classe, on discute 10 minutes des résultats de mon fils ; j’en conclus que ce n’est pas un cador en maths et qu’il va falloir que je lui fasse faire quelques exercices supplémentaires.
Elle se lève pour me dire « au revoir » sans que je n’ai vu la moindre opportunité que la situation dé.
Elle rougit et me remercie d’avoir dépanné pour la sortie piscine.
« Je ne voulais pas vous laisser en galère et puis ça m’a fait plaisir d’accompagner les s. »
« A moi aussi ça m’a fait plaisir. » répond-elle.
Sans réfléchir je balance : « Ce sont mes abdos qui vous ont fait plaisir ??? » avec un grand sourire.
Elle rougit encore plus (je ne sais pas comment c’est possible), elle ne sait plus où se mettre et bafouille des choses que je ne comprends pas.
« Il n’y a pas de mal, ça ne me dérange pas que les gens regardent. » Je soulève mon t-shirt et je lui att une main que je viens plaquer sur mon ventre musclé. « Par contre les personnes qui peuvent toucher sont rares. » Je me penche vers elle et je l’embrasse. Sa bouche s’ouvre pour laisser passer ma langue qui joue avec la mienne. Je pose mes mains sur ses fesses tant désirées pendant que les siennes caressent mon torse et mon ventre. A ce moment je me dis que les choses sont très très bien engagées et je décide de pousser mon avantage plus loin. Je défais le bouton de son jean tout en la basculant sur son bureau.
« Arrête, tu es fou ! On ne peut pas faire ça »
Je lui retire son jean rapidement (et sa culotte en même temps). Elle pousse un cri de surprise suivi d’un gémissement de plaisir quand ma bouche plonge sur sa chatte au format ticket de métro et aux poils courts.
« Non...non…. » dit elle entre deux gémissements tout en appuyant sur ma tête avec ses mains et ses pieds reposants sur mes épaules. Elle ondule, elle gémit, elle se contracte pendant que ma langue s’agite dans son intimité. « Encore….là c’est bien » souffle t-elle.
Pendant ce cunnilingus bien agréable je défais mon pantalon que je descends un peu ainsi que mon caleçon. Je mets un peu de salive sur ma verge bien dure qui ne demande qu’à entrer en action. Je me relève, présente mon sexe à l’entrée de sa chatte et je la pénètre profondément et lentement.
« Arrête...on ne peut pas…..oui….encore….non…..aaaahhhh….plus vite….hmmmm…. »
Elle se cabre sur son bureau, ses reins se creusent, elle est essoufflée puis c’est la libération de son orgasme traduit par de petits gémissements aigus.
« Aaaaahhhhh » lâche-t’elle dans un chuchotement pendant que j’éjacule quelques jets de sperme.
Elle me tend un mouchoir pour nous essuyer (la boîte est miraculeusement restée sur son bureau). Elle se redresse pour m’embrasser...  « c’est la première fois que je fais ça sur mon bureau » me glisse-t’elle dans l’oreille.
« Moi aussi. Et ça a été une super première fois »
Son regard se porte par-dessus mon épaule. « merde » dit-elle « le directeur ! »
J’aperçois un mouvement dans la cour. Certainement le directeur qui se dirige vers la classe. Pas le temps de réfléchir, nous nous rhabillons en un éclair et nous sortons juste de la salle quand nous tombons effectivement sur le directeur dans le couloir. Dans ces cas là il faut réagir rapidement et le plus naturellement possible en espérant que la maîtresse joue le jeu. Je lui tends la main.
« Au revoir Madame. Merci pour ces conseils. »
« Ah Monsieur le directeur. Voici le papa du petit Sébastien….il a quelques difficultés en maths. »
Le directeur : « Ah très bien, je faisais le tour avant de fermer l’école »
Moi : « Je vous laisse et je vous souhaite un bon week-end. Je ne manquerai pas ‘d’approfondir’ les choses lors d’un prochain rendez-vous et je reste ouvert à ‘toute proposition’ même s’il faut ‘changer de position’...pédagogique » en appuyant bien sur les mots ambigus.

Je peux vous garantir que j’ai passé une année très chargée, voire même exténuante certaines semaines….

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