La Vie Dissolue D'Une Bigote 19 : Soumission

L’arrivée de Michelle dans le club et sa transformation en dominatrice va en modifier quelque peu fonctionnement. D’abord dans le groupe, car mis à part Yves, elle va tous nous soumettre à un moment ou à un autre, pour notre plus grand plaisir. Cela se passe essentiellement lorsque nous sommes entre nous, car nous adorons aussi nous retrouver sans participants extérieurs, comme avec Moktar ou l’ami de Pauline plus rarement.
En parlant de Moktar, il fera connaître à Michelle, les avantages de son sceptre monumental, y compris en la sodomisant. Cette pratique, bizarrement lui était inconnue. La première à l’avoir pratiquée sur elle, a été Geneviève qui, avec les doigts, puis un gode, a préparé son anus. Elle l’a ensuite enculée au gode ceinture avant de me demander de lui faire connaître sa première « bite au cul » C’est littéralement les termes qu’elle a prononcés.
Geneviève lui avait raconté comment je l’avais dépucelée du cul et le plaisir qu’elle avait ressenti dès la première fois, grâce à mon « savoir faire ». C’est donc alors que les deux femmes se trouvaient en soixante neuf que ma belle-mère a guidé ma verge sur l’anus quasiment vierge de son amie, après l’avoir bien préparé et graissé.
Bien sûr, au nom de l’égalité des sexes, Geneviève m’a fait prendre par Michelle équipée à son tour d’un gode-ceinture.
A l’occasion des soirées plurielles ou lorsque nous baisions seuls, Geneviève ne connaissait aucun complexe. Elle usait et abusait de mots orduriers. N’hésitait jamais devant une proposition sexuelle et se lâchait complètement. En dehors de ces moments, elle redevenait la dame patronnesse rigide que tout le monde connaissait. Ce n’était pas sans nous surprendre quand nous la retrouvions ainsi, parfois quelques heures après une séance particulièrement chaude. C’était une femme à deux visages.
Revenons à Michelle. Elle aussi avait une vie publique, d’autant qu’elle était une élue de la république. Il nous arrivait de nous rencontrer parfois.

Nous évitions de nous isoler pour ne pas donner de soupçons, mais nous parlions tout de même en compagnie. Seul un œil très avisé aurait pu se rendre compte de notre complicité et de notre proximité, ce qui arrive lorsque Pauline, Jacqueline ou Geneviève se trouvent dans l’assistance. Cela nous fait bien rire intérieurement lorsque cela se produit.
Le jour où Michelle a dû prononcer un discours, alors que je me trouvais au premier rang, pour faire des photos. Je ne me suis pas privé de la provoquer avant qu’elle ne parle. Faisant des photos en gros plan et en pied, car elle avait revêtu une robe rose plutôt moulante du plus bel effet. Je savais, pour lui avoir envoyé un message, qu’elle ne devait pas porter de culotte. Je la déshabillais du regard et pouvait noter son trouble.
Quand elle prend place au pupitre, je fais avancer ma belle-mère, qui assiste aussi à la cérémonie, pour qu’elle s’assoie à côté de moi et je tousse. Michelle nous aperçoit et pique un fard ! Durant tout le discours, qu’elle a volontairement raccourci, elle évite notre regard.
Pendant le petit lunch, je m’arrange pour la saluer de près, lui faire la bise tout en touchant sa hanche. Elle est si troublée qu’elle est à deux doigts de faire la bise à Geneviève, qui heureusement lui tend la main froidement.
Après cet épisode, Michelle va se venger. Lors de la séance suivante devant tout le monde. Elle m’interpelle, et pour le plus grand plaisir des autres que j’ai souvent mis dans cette situation, décide de me punir.
Elle arrive dans sa tenue de dominatrice, ce qui est déjà impressionnant pour nous qui sommes habitués. Elle se dresse devant moi, att mon bras et m’entraine.
• « Toi, espèce de rigolo, tu t’es bien amusé l’autre jour ! C’est bien toi qui a défini qu’il n’y avait pas d’interférence entre notre vie de tous les jours et ce que nous pouvons faire ici ?
• Oui, pardon, j’ai un peu exagéré, mais c’était amusant !
• Amusant ? J’ai failli être la risée de mes collègues et de mes électeurs et tu trouves Ça amusant ?
• Il m’a fait le même coup lors de mon assemblée, ajoute Pauline.

• Eh bien tu mérites une bonne punition ! Tout le monde est d’accord ? D’habitude c’est lui qui mène la danse, aujourd’hui ce sera son tour de subir !
• Absolument ! Ajoute Geneviève. J’ai très envie de voir Ça, surtout que ce petit malin aime bien quand je m’amuse avec lui !
• Vois-tu Ça ! Reprend Michelle. Allez, toi, à poil ! » Michelle a déjà pris l’ascendant sur moi et penaud, je commence à me déshabiller. «  Plus vite ! » Je reçois un premier coup de cravache sur les fesses pour me montrer qu’elle ne présente pas.
Je me retrouve nu. Déjà dans la peau d’un soumis, comme je l’ai montré aux autres, je me positionne droit, les jambes écartées et les mains derrière la tête.
- « Voyez-vous ce vicieux, continue Michelle. Il me semble que la situation lui plait ! Il bande !
En effet, sans m’en rendre compte je suis excité et ma bite se dresse. Michelle s’approche, me prend le sexe et serre comme pour me branler. Cependant, cela ne dure pas. Elle le tord pour me mettre à genoux. Sa force, entretenue par les travaux des champs, lui permet cela sans le moindre effort.
• « Tu vas savoir ce que c’est de te foutre de ma gueule ! Hurle ma tortionnaire. Geneviève prend une paire de menottes qu’elle s’empresse de me mettre en tirant mes bras dans le dos. Mesdames, lance alors Michelle, nous allons nous amuser un peu avec ce soumis. Il est à nous. Qui veut s’en occuper avec moi ?
• Moi ! déclare Geneviève
• Pas d’autres ?
• Moi je voudrais le prendre devant mon mari, ajoute Irène, comme il fait avec moi, mais je ne veux pas le frapper.
• Moi, pas vraiment non plus mais cela fait partie de son humiliation. L’enculer, si j’ai bien compris Ça a plutôt tendance à lui plaire. Ceci dit, je ne vais pas me gêner pour te travailler le cul espèce de salope ! »
Michelle est complètement prise dans son rôle de dominatrice. Avec le martinet, elle commence à me rougir les fesses. Pas satisfaite, elle me relève, m’entraîne à la potence, attache mes mains en l’air et recommence à me fouetter debout.
Mes fesses sont à portée et j’ai beau me dandiner, je ne peux éviter les lanières qui me cuisent la peau.
- « Regardez-moi ce salaud ! Ça le fait bander de prendre une raclée ! C’est un vrai soumis ! Il faudra s’en occuper plus souvent ! »
Michelle m’introduit un plug dans les fesses et recommence son manège. Je dois dire que sa tenue de maîtresse et son attitude, tout entraîne le respect et l’envie de soumission. Elle appelle Marlène pour qu’elle me tienne et celle-ci trouve la meilleure manière, à Genoux, me saisissant les hanches, elle me suce au rythme des coups de martinet.
Je ne sens plus mes fesses, ou plutôt je ne sens que la brûlure de ma peau. Sous les coups de Michelle et la bouche de Marlène, je transpire. Tout mon corps est en sueur ! Je voudrais que Ça s’arrête, mais aussi que cela continue. Soudain, je me tends et jouis dans la bouche accueillante de l’octogénaire. Mes jambes se dérobent et je reste pendu à la potence par les mains.
Michelle me détache. Je suis à genoux tassé sur moi-même, alors Irène, équipée du gode ceinture, me sodomise sans douceur. Marlène, après avoir avalé mon sperme, se tourne vers Gérard.
• « Mais… Il bande ! S’écrie-t-elle alors. Les femmes s’arrêtent, moi je reste prostré, Irène toujours dans mes entrailles.
• Tien ! Tien ! Une autre soumis peut-être ? Ricane Michelle. Approche, toi » Elle lui passe les menottes qui m’ont été retirées et sans douceur, l’attache à son tour à la potence. La stature imposante de Gérard, n’a pas résisté à Michelle. Comme moi tout à l’heure, elle entreprend de fesser l’homme. Derrière moi, Irène lance :
• Mon chéri ! Tu bandes à nouveau ! Si j’avais sû qu’une bonne raclée te faisait de l’effet, je n’aurais pas attendu !
• Oui mon amour ! Je ne le savais pas non plus ! » Marlène a repris son poste à genoux, cette fois devant Gérard et le pompe comme moi précédemment. Gérard est plus endurant et moins douillet que moi, aussi les coups pleuvent fort et à bonne cadence.
Michelle frappe les fesses mais aussi le haut des cuisses et le bas du dos. Le sexe de Gérard, sans être monstrueux, se déploie à l’horizontale. Une queue de treize ou quatorze centimètres et bien raide lorsqu’elle sort de la bouche de la suceuse.
• Regarde ta femelle rétorque Michelle en s’adressant à Irène. Elle aussi a l’air d’apprécier ! Elle re bande comme une folle alors qu’elle vient de jouir ! C’est ça salope – en s’adressant à moi – tu aimes être traité comme une femelle et te faire enculer ? 
• Oui ! J’aime ça – Je prends une gifle retentissante sur ma joue !
• Tu dis oui maîtresse quand tu t’adresses à moi !
• Oui maîtresse ! Une autre gifle !
• Je n’ai rien compris, dis ce que tu aimes salope !
• Oui maîtresse ! Je suis une salope qui aime se faire enculer et je suis à votre service maîtresse !
• C’est bien salope ! Lèche-moi bien pour te faire pardonner. Et toi ma belle défonce lui le cul qu’il se rappelle de ne plus faire le malin ! »
Irène se déchaine. Elle dira ensuite que de voir son mari soumis et bandant l’a excité à mort ! En attendant, elle ne me ménage pas. Elle m’encule violemment, me projetant sur la chatte onctueuse de Michelle qui par jeu me fouette les épaules et le dos avec le martinet qu’elle tient toujours.
J’ai le corps brûlant. Autant du fouet que de l’enculade. Je tremble de tous mes membres et sens monter un orgasme dans mes reins. Je crie de douleur et de plaisir quand Irène se recule et mes gémissements sont enfouis dans la chatte de Michelle quand l’autre me pénètre à fond.
Cela n’empêche pas cette dernière de continuer à fouetter le mari de mon enculeuse qui tout à coup se met à gueuler, sous l’action conjuguée des deux femmes. A son tour, il se vide dans la bouche ventouse de Marlène. Michelle m’expédie son jus que j’avale et sous le gode d’Irène ma queue laisse s’écouler un liquide blanchâtre à chaque poussée au fond de mon cul.
Amusée par le tableau, ma belle-mère qui a pris des photos, demande à Yves de la saillir « pendant que mon gendre se fait enculer comme la dernière des salopes qu’il est !»
La projection des photos me fera honte tellement on voit ma condition de salope soumise. Je ne m’étais jamais vu comme cela et les moqueries de Michelle ou ma belle-mère n’arrangent pas les choses. Néanmoins le plaisir ressenti, efface bien des choses et après tout ne sommes nous pas là pour le plaisir de chacun. Je suis souvent dans la peau du maître pour ne pas m’offusquer de me trouver de l’autre côté, d’autant que les femmes nous félicitent.
Michelle va s’affirmer de plus en plus comme la dominatrice du groupe et les participants n’ont pas manqué lorsqu’elle a été déclarée sur le site des « Vieilles Salopes des Gaves »
Quand à ma belle-mère et moi, Michelle nous a offert un weekend entier de soumission au cours duquel elle nous a eus à sa disposition.
- « Deux chiennes en chaleur pour moi seule ! Quel régal ! »
Nos culs, nos fesses et nos seins en ont gardé des traces pendant quelques jours, mais ces heures là, quoique éprouvantes, nous ont aussi procuré d’intenses plaisirs ainsi qu’à notre maîtresse.
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