La Vie Dissolue D'Une Bigote 20 : Le Jeune Séminariste

Geneviève est à la tête de l’association cultuelle de la paroisse. Crainte et respectée et dirige de main de maître tout son petit monde.
En tant que responsable de la paroisse elle est invitée à participer à un congrès d’une semaine à Lourdes. Sur place, elle est prise en charge par l’organisation qui lui affecte un chaperon. Celui-ci est chargé de l’accompagner, de veiller à ce qu’elle ne manque de rien, de la guider dans les différents lieux, il est logé dans le même hôtel dans une chambre contigüe à la sienne. C’est un ancien séminaire et les chambres sont les anciennes cellules qui ont été aménagées avec un confort certes spartiate, mais de très bon goût.
Le chaperon de Geneviève est un jeune séminariste qui va être bientôt ordonné prêtre. Grégory est un beau garçon de trente ans, très fier d’être au service de cette grande et belle dame qui en impose. Il la suit partout.
Le deuxième soir, l’évêque donne une réception à laquelle les participants sont invités. Pour l’occasion, Geneviève devenue coquette a prévu de beaux atours. Elle est en train de s’habiller, après avoir pris la douche. Elle vient de revêtir ses dessous, soutien-gorge balconnet, porte jarretelles et bas, le tout de couleur mauve. Elle contemple l’effet dans le miroir de la chambre lorsqu'elle aperçoit dans le reflet une silhouette furtive.
Être épiée en petite tenue ne la dérange plus, aussi en rajoute-t-elle. Elle examine son entre jambes y trouvant soi-disant des poils, entreprend de les éliminer à la pince. Cuisses écartées et dévoile largement sa chatte qu’elle sent déjà très humide. Un coup d’œil discret dans le miroir et elle découvre son « chaperon » qui a entrouvert la porte, qui a sorti son sexe et se branle devant le spectacle qu’il pense involontaire.
Prestement elle se retourne et avant qu’il n’ait esquissé un geste, l’att par le bras, le tire à l’intérieur de la chambre et referme à clé derrière elle.
• « Alors petit chenapan ! Tu mates les dames !
• P… Pardon madame ! Vous êtes si belle !
• Tu es gentil.

Mais cela ne se fait pas de regarder ainsi !
• V… Votre porte était mal fermée et je venais voir si vous étiez prête… Quand je vous ai vue ! Pardon ! Je…
• Maintenant que tu es là, tu peux regarder de près ! Mais moi aussi je veux bénéficier du spectacle. Nous avons un peu de temps, alors déshabille-toi et montre moi comment tu es fait !
• Vous…
• Allez ! Plus vite que ça ! »
Le garçon hésite, mais devant le regard insistant de Geneviève, se débarrasse de ses habits et se retrouve vite nu face à elle. Sa verge a rétrécit sous le coup de l’émotion. Geneviève s’approche et l’att par le sexe. Le contact de la main fait vite redresser l’organe. « Une belle queue » se dit la gourmande. Elle doit faire dans les vingt centimètres, assez grosse et légèrement courbée vers le haut. Le gland ressemble à un champignon et  Geneviève salive déjà en pensant au plaisir qu’elle va ressentir de l’avoir dans la chatte.
- « Viens à genoux et lèche-moi espèce de petit coquin ! »
Grégory ne se le fait pas dire deux fois. Geneviève s’est assise au bord du lit et il plonge son visage entre les cuisses, somptueusement mises en valeur par la lingerie.
Il se débrouille plutôt bien et il est rapidement récompensé par un premier jet de cyprine qu’il s’empresse d’avaler. Geneviève le fait redresser, se couche en arrière sur le lit et lui intime de venir la prendre.
Le garçon, la bite bien dure, embroche la femelle offerte. Son gland bien large écarte les chairs, apportant un plaisir supplémentaire à Geneviève. Heureusement qu’elle a déjà jouit car en quelques secondes les grosses couilles du jeune séminariste crachent leur jus dans la matrice accueillante. La goulue serre son nouvel amant et l’embrasse fougueusement. La bouche dévastatrice de Geneviève lui redonne de la force et elle sent dans sa chatte, la queue qui grossit à nouveau.
Le second assaut est plus long et elle a le temps de profiter de l’organe qui la ramone sans délicatesse.
Elle aime ça et remonte ses jambes autour de la taille du garçon qui martèle son intimité. Elle jouit à nouveau deux fois avant que la deuxième salve n’arrose son vagin.
Elle repousse le jeune homme et une main sur son intimité débordante de sperme et de son jus, elle se précipite à la douche pour éviter tout incident. Quand elle revient dans la chambre après une toilette sommaire le garçon est toujours étalé sur la couche.
- « Allez ! Vient te nettoyer un peu ! Nous allons être en retard sinon ! »
Sous la douche elle rince son bas ventre, la queue et les couilles ce qui a pour effet de refaire bander le jeune séminariste.
- « Gardes-en un peu pour tout à l’heure ! » Lui dit-elle, laissant prévoir ainsi une suite aux envies du garçon. « Rhabilles-toi vite ! »
A partir de ce moment, le chaperon ne quitte plus la congressiste d’une semelle. Tel un petit chien il colle à ses basques, prévient tous ses désirs et la couve d’un regard énamouré. Geneviève est obligée de lui demander de paraître plus détaché pour ne pas qu’ils soient découverts.
Au cours des jours suivants, ma belle-mère rencontre le recteur et lui exprime le désir de voir le jeune séminariste devenu prêtre, venir aider le curé dans sa paroisse, qui commence à être âgé et malade.
- « J’ai pu apprécier ses qualités et s’il désire débuter son sacerdoce chez nous, c’est avec grand plaisir que nous l’accueillerons ! »
Le recteur est tout heureux de trouver un poste et surtout de contenter cette dame qui malgré lui l’impressionne. Il faut dire que Geneviève maintenant a pris conscience de son aura et des ses atouts. En dehors de la paroisse et du village où elle reste austère, elle ne manque pas d’utiliser son charme, y compris auprès des instances religieuses.
Les nuits suivantes seront fatigantes pour les deux amants. Grégory qui était puceau apprend vite sous la houlette de sa maîtresse. Geneviève ne se lasse pas de cajoler la belle bite de la bouche. Le dernier soir elle lui offre même son cul.
Le gros gland de Grégory la fait grimper aux rideaux quand il « ramone » son conduit anal.
Bien sûr il va accepter de faire ses armes de prêtre dans la paroisse de Geneviève et durant cinq ans leur relation restera secrète. Connaissant bien ma « belle-mère » je notais un petit changement au retour de son congrès. Après un petit interrogatoire, elle m’avouait sa relation coupable. Tout d’abord j’ai beaucoup rigolé.
• « Il ne te manquait que ce dernier tabou à connaître ! Après l’e, la sodomie, le nudisme, l’homosexualité, l’urophilie, la pluralité masculine et féminine, la prostitution, le sadomasochisme, voilà que tu t’attaques à l’église ! Celui-là, je ne pensais pas que tu le transgresserais un jour !
• Vous alors ! Bien sûr, vous êtes content ! Je vous rappelle que c’est vous qui m’avez dit que je serai un jour une pute et une salope ! Vous devriez être heureux !
• Mais je le suis belle-maman ! Je le suis ! Mais dis-moi, ne serais tu pas un peu… « amoureuse » ?
• Je… Non… Flattée que ce beau jeune homme – vous verrez quand il viendra – s’intéresse à une vieille peau comme moi !
• Tu n’es pas une vieille peau ! Beaucoup de femmes plus jeunes que toi voudraient bien être comme toi !
• Vous… croyez ? On vous a dit quelque chose ?
• Non, mais reconnais que quand tu es à poil avec tes dessous affriolants, tu es une pousse au viol ! Il n’y a qu’à voir au cours des soirées au manoir, tu n’es pas souvent en manque ! Au fait, tu vas continuer à venir ?
• Je… Je n’y ai pas pensé… Oui ! Cà me manquerait… avec vous, avec mes amies… et les autres.
• Bon, je comprendrais que tu espaces pendant quelques temps.
• Non ! Ils se rendraient compte de quelque chose et… vous n’y pensez pas ! S’ils apprenaient… avec un prêtre ! Non ! Ce n’est pas possible !
• Je suis sûr que ça t’excite, ça aussi !
• Non voyons ! Enfin… J’ai honte mais… oui, aussi !
• C’est bien ma salope !
• Vous ne direz rien aux autres ?
• Sois tranquille.
Tu sais que j’adore les secrets ! Je m’amuserai trop en vous voyant tous les deux, mais fais attention tout de même ! Moi je me suis rendu compte de ton changement. C’est vrai qu’ils te connaissent moins bien que toi, mais… Mélanie, tu ne crois pas qu’elle va se douter de quelque chose ?
• Je… S’il le faut… je lui dirai ! »
Geneviève est tellement habituée depuis des années à cacher sa double vie que je serai à l’avenir, le seul à connaître son secret.
Avant l’arrivée du nouveau curé, Geneviève a préparé le terrain. Le presbytère assez vétuste étant occupé par l’abbé actuel elle a proposé un appartement disponible dans un immeuble coquet qu’elle possède. Le loyer étant pour la paroisse, « il sera modeste ». En riant, je lui rappelle « l’installation » de Ludivine il y a quelques années.
• « Décidément tu loges tous tes amants !
• Oh vous…. ! »
L’affaire étant entendue, il n’y a plus qu’à attendre l’arrivée du nouveau prêtre. Lorsqu’il vient deux jours faire connaissance de sa future paroisse, Geneviève le fait dormir chez elle pour la nuit et personne n’y voit d’inconvénient, ni ne se pose de question « C’est un jeune curé ». Habitué à passer parfois chez Geneviève pour « passer un bon moment », je me garde bien de paraître, c’est Mélanie qui profite de ma disponibilité.
Ma belle-mère me racontera plus tard que cette première nuit dans son lit après une visite au mari grabataire lui a apporté beaucoup de plaisirs. Les deux amants ont pu pour la première fois, laisser libre cours à une sexualité débordante. Geneviève avait revêtu ses plus beaux dessous invisibles sous la robe banale et austère qu’elle porte d’habitude. Quand Grégory a découvert les trésors cachés il est devenu comme un fou. Ma belle-mère l’a déshabillé car le corps musclé et imberbe du prêtre l’affole. « Il avait un peu de poil au dessus de la verge et je l’ai épilé plus tard » me dira-t-elle.
Bandé comme un arc, le jeune abbé l’a vue dans les miroirs de l’armoire, s’agenouiller devant lui et avaler son « goupillon » au gland proéminent. Elle sait qu’il va jouir rapidement mais sera à nouveau opérationnel très vite. Elle s’applique parce qu’elle adore son gros « champignon ». Elle aussi se régale en s’observant dans la glace, à genoux pour sucer son jeune amant.
Après avoir « rincé » les couilles de Grégory, elle se couche sur le lit et lui demande de lui rendre la politesse avec sa langue. Le jeune abbé a vite appris comment faire jouir cette belle femme mature. Niché entre les cuisses voluptueuses, il suce le clitoris gonflé comme une petite bite. D’une main, il fait rouler un téton entre deux doigts et obtient rapidement sa récompense avec de grandes giclées de cyprine qu’il avale avec délectation.
Alors que Geneviève attend qu’il la monte directement « à la missionnaire », le petit vicieux la retourne, la positionne à genoux et l’embroche en levrette. Le gros gland se fraye un passage dans la vulve restée étroite de ma belle-mère, lui occasionnant un premier plaisir. Serré dans les parois humides du vagin sexagénaire, il se plante au fond de la chatte comblée en poussant un « han » de bûcheron. Bien installé dans l’antre accueillant, il entame la danse éternelle des amants alors que Geneviève gémit, la tête enfoncée dans les draps. Elle ne se gêne pas d’ailleurs de la relever pour encourager son jeune amant ou crier son plaisir, sachant que dans sa chambre, son mari entend tout. Cela renforce son plaisir.
Très vite dans cette position, Geneviève jouit et arrose les draps. Le jeune prêtre ayant déjà giclé une fois, met plus de temps à venir et continue allègrement sa chevauchée de la pouliche abandonnée. Il provoque ainsi deux orgasmes supplémentaires à la dame patronnesse qui n’en demandait pas tant.
Enfin épuisés tous les deux, ils s’étendent dans les draps poisseux alors que leurs jus mélangés s’écoulent du vagin libéré.
Dans la nuit, ma belle-mère est réveillée deux fois par l’étalon qui toujours ardent, la chevauche dans son demi sommeil. Deux fois il la remplie de son sperme abondant, deux fois elle jouit comme une folle et au matin, dans les draps souillés et collants elle découvre son visage défait dans le miroir de l’armoire. Elle a prit dix ans. Le maquillage délavé et les cernes sous les yeux, elle se trouve affreuse. Elle se précipite à la salle d’eau pour retrouver un visage plus reposé avant le réveil de son amant.
A son retour il dort toujours. Il dort mais sa bite est bien dressée. Elle se précipite dessus et lèche, suce, avale un moment avant de sentir une mais sur sa tête qui l’encourage. Alors, ne se retenant plus elle le gratifie d’une gorge profonde à la limite de l’ et reçoit directement au fond de sa gorge, le jus parfumé du jeune prêtre.
- « Vous n’en avez jamais assez ! » Dit-il en riant.
- Oh vous ! … Je vous rappelle que vous m’avez prise deux fois cette nuit alors que je dormais.
- Et vous vous en plaignez ?
- Non bien sûr ! Je suis folle ! Vous me rendez folle ! »
Les deux amants, durant toute la durée de leur relation se vouvoieront en public comme en privé. Ma belle-mère est coutumière du fait, mais ainsi ils ne se trahiront jamais.
Geneviève se lève pour préparer le petit déjeuner et l’apporter à son mari. Celui-ci la regarde les yeux effarés. Il a tout entendu dans la nuit. Pour l’humilier un peu plus et écarte les pans de son peignoir et lui montre son corps entièrement bronzé et épilé qu’il n’avait pas vu depuis trente ans. L’odeur matinale est forte après les débordements de la nuit. La peau est imprégnée du sperme et de son jus séchés. Elle referme le vêtement, ayant vu l’horreur dans le regard du grabataire.
Avant l’arrivée de l’aide à domicile elle passe à la douche et s’habille correctement. Grégory passe dans la chambre qui lui est normalement réservée, se roule dans les draps et passe à son tour sous l’eau bienfaisante. Il prend son petit déjeuner en parlant avec Geneviève lorsque la dame chargé des soins du mari arrive et vient les saluer.
• « Ne vous occupez pas de ma chambre, Michelle » dit Geneviève à la dame. « Vous avez assez de travail avec mon pauvre mari, je m’en occupe moi-même !
• Mon lit est refait. Ne vous dérangez pas pour moi », ajoute le prêtre. « Cela ira, je n’ai qu’une autre nuit à y dormir ! »
• Merci mon père déclare la dame. »
Les deux amants ont un peu de mal à tenir leur sérieux
La deuxième nuit est aussi agitée que la précédente. Geneviève offre son cul au jeune homme. Pour ne pas lui montrer qu’elle est habituée à cette pratique, elle lui demande d’y aller doucement. La coquine en profite pour apprécier longuement la pénétration, dont le gros gland de Grégory accentue les sensations.
Deux mois plus tard, Geneviève part assister à l’ordination de son amant. Il est prévu qu’elle rentre avec lui et apportera ainsi, quelques unes de ses affaires.
Pendant cinq ans, ces deux là ne feront aucune erreur. Il en est même qui penseront qu’ils ne s’aiment pas du tout. En effet, au cours des rencontres officielles, ou à la messe, aucun rapprochement ne transparaît. Même mieux, en réunion, ils s’affrontent amicalement mais souvent, au cours des discussions.
Le jeune prêtre est très apprécié par la communauté paroissiale. Il est dynamique et quelques paroissiennes le trouvent aussi très beau et s’il n’était pas prêtre…..
Bien sûr Geneviève loue ses qualités sans exagérer. Ils ont souvent des réunions ensemble. Se quittent sur une poignée de main pour se retrouver quelques minutes plus tard dans l’appartement du jeune curé ou chez ma belle-mère.
Grégory est assez grand. Un mètre quatre vingt environ. Un gabarit de troisième ligne de rugby. Châtain clair aux yeux bleus, il fait craquer les jeunes filles mais n’a d’yeux que pour Geneviève ce qui lui vaut l’admiration pour son « sérieux ».
Grégory est très « demandeur ». Trois à quatre fois par semaine il cherche à baiser Geneviève. Heureusement pour elle, elle adore ça et ne rechigne jamais aux demandes du jeune prêtre. Heureusement pour elle, il n’est jamais disponible à partir du vendredi soir. Il doit assurer les messes dans les villages. Cela permet à ma belle-mère de participer aux soirées au manoir ou d’aller voir Mélanie.
Nos amis se sont bien rendu compte que Geneviève était maintenant « guillerette ». J’ai expliqué qu’elle s’était « libérée » en dévoilant notre relation et se trouvait très bien avec eux. L’explication a suffit, car c’est bien le dernier tabou de ma belle-mère : l’église catholique et ses dogmes. Dans nos jeux, j’étais le confesseur qui lui faisait « expier » ses fautes. Elle subissait le martinet, le pincement des tétons lestés de poids ainsi que sur les grandes lèvres de son sexe. Au manoir, seuls tous les deux, je l’attachais à la croix de saint André ou au pilori lui faisant réciter des « pater » et des « ave » à ma plus grande joie.
Un jour elle a failli se « vendre » lors d’une séance avec Michelle. J’ai habilement détourné l’attention et l’incident a été évité.
J’étais donc le seul au courant du dernier outrage de ma belle-mère. Nous en parlions souvent après avoir fait l’amour, car avec moi elle pouvait se confier.
• « Vous êtes plus vicieux que… Grégory ! » Elle l’appelait ainsi en privé avec moi afin de « dissimuler » sa faute. « C’est vrai qu’il est jeune, qu’il est musclé, que son… sexe est gros, mais il manque d’imagination.
• Il n’a pas fait non plus beaucoup d’expériences.
• Justement… Il m’a avoué… alors que je le doigtais en le … suçant… qu’il avait eu des expériences homosexuelles au séminaire… Je lui ai proposé de le goder… et il a beaucoup aimé… Je me demande si…
• Tu voudrais que… avec moi ?
• Je… Je ne sais pas… Je ne peux pas lui avouer… que… avec vous ! Vous vous rendez compte ?
• Oui ! C’est la fin de ta réputation… quoi que… vu vos relations… un peu spéciales… Mais tu as raison ! Je suis trop vieux pour lui, même s’il aimes les vieilles !
• Oh ! Vous…
• Tu devrais lui suggérer d’inviter l’un de ses anciens condisciples. Tu es prête à la partager ?
• Vous savez… Je sais bien que notre relation ne pourra pas continuer toujours ! Il est jeune et… comme vous dites… je suis vieille !
• Tu sais que je t’ai toujours connue vieille !
• Vous… vous êtes… un salaud !
• Et tu aimes ça !
• O… Oui… Vous en z !
• Et tu en profites, salope !
• Bon… Vous croyez que…
• Essaye ! Dis-lui que ce serait bien qu’il fréquente la jeunesse. Je sais que les filles et les femmes de son âge ne l’intéressent pas, mais entre curés ils peuvent s’arranger et ça reste secret… comme le reste !
• Évidemment ! … Comment je puis vous supporter depuis tout ce temps ?
• Parce que tu es une salope belle-maman ! Que tu aimes le cul… Et que tu sais bien malgré ton éducation, que j’ai raison. Mais la question n’est pas là. Je m’en fiche en fait. Mais dis-moi. Quand tu l’encules ton beau curé, tu fais èa au gode ceinture ?
• Je… Non… Je n’ose pas !
• Il te demanderait avec qui tu t’en sers ?
• O… Oui
• Tu peux toujours dire que c’est pour lui que tu l’as acheté. Que c’est moins fatigant, que tu aimes ça et que c’est pour lui rappeler ses expériences. De toute façon, il sait bien que tu es une salope !
• Vous… Vous croyez qu’il me voit comme Ça ?
• Surement ! Comme une belle vieille salope qu’il adore baiser et qui adore se faire baiser par un curé ! »
Voilà le genre de discussions que nous avions avec Geneviève. Cela finissait presque toujours par une autre séance de baise dans laquelle elle se lâchait complètement.
C’est ainsi que vivait Geneviève De Brassac, grande dame patronnesse au dessus de tous soupçons. Mère de famille et épouse respectée et respectable qui aura passé trente ans de sa vie à cacher sa double vie.
Personne en dehors de notre groupe des « Vieilles Salopes des Gaves » n’aura su qui elle était vraiment. Le hasard et l’incongruité de notre rencontre lui a fait découvrir les joies d’une sexualité débridée. Je l’ai peu à peu pervertie et je crois tout de même, rendue heureuse au moment où elle s’étiolait. De femme trompée, risée d’une partie de la population, crainte ou méprisée d’une autre, enfermée dans une vie morne chargée de contraintes et de préjugés, elle a vécu ce que peu de femmes de son époque et de sa condition ont pu connaître :
Coucher avec son presque, puis ancien gendre, son facteur, une femme, puis plusieurs hommes et femmes, s’adonner à la débauche, fréquenter les plages naturistes, les saunas libertins et les sex-shops. Elle est devenue la soumise de son beau-fils puis d’une femme et enfin pris comme amant un jeune curé de trente ans son cadet !

Le comble est que personne dans sa famille, son entourage ou ses connaissances, n’a jamais pensé qu’elle pouvait être cette débauchée ! Elle a toujours gardée son attitude guindée et supérieure, rempart de sa double vie.
C’est elle qui a imaginé la façon de se venger de son mari volage. Non pas par esprit de vengeance personnelle, mais plutôt pour toutes les femmes bafouées, trompées, cocufiées par des mâles se croyant tout permis.
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