Mon Premier Séminaire D'Entreprise

Je m’appelle Isabelle, je suis une jeune femme de 24 ans, de taille moyenne, cheveux châtains mi-longs avec des yeux de couleur marron mais teintée de nuances vertes, ne laissant jamais mon regard indifférent. Je possède d’après mon copain des formes « à faire bander le pape » : de beaux seins en goutte d’eau assortis de jolis petits tétons roses, une taille fine et des hanches bien dessinées que mon copain adore prendre dans ses bras, et des fesses rondes assez musclées, le tout me donnant une silhouette dite en X, faisant se retourner la plupart des hommes, de tout âge, dans la rue.

Je travaille dans une grande entreprise dans le domaine de l’agriculture, qui possède une vingtaine d’agences réparties sur l’ensemble des régions métropolitaines et d’outre-mer françaises. Mon copain, Gabriel, est quant à lui ingénieur dans le bâtiment. Nous habitons ensemble depuis cinq ans dans un appartement à Angers, dans le Maine-et-Loire.

Je venais d’être embauchée depuis deux semaines lorsque mon entreprise organisait la semaine suivante son séminaire annuel en réunissant pour la première fois l’ensemble des salariés des différentes agences, ce qui faisait tout de même près de 200 personnes. Pour cela, l’organisation avait réservé pendant une semaine, du lundi au dimanche, une grande abbaye transformée en hôtel-spa-réceptions-restaurant à côté de Concarneau dans le Finistère. Tous les employés et les différents intervenants invités devaient loger dans des chambres doubles en binôme, et les réunions ou présentations devaient se dérouler en extérieur dans le parc car la météo s’annonçait extraordinaire. Après plus de six mois à chercher du travail, c’était la première fois que j’allais passer une semaine complète loin de mon homme.

Tôt le lundi matin, premier jour du séminaire, j’embrassai passionnément mon copain qui me souhaita, à moitié endormi, une bonne route. Je me suis habillée en tenue légère car il faisait déjà chaud : une chemisette blanche qui laissait légèrement entrevoir en transparence mon soutien-gorge, et un pantacourt en jean bleu classique.

Au moment où j’allais partir, la main encore sur la poignée de la porte d’entrée entrebâillée, je jetai un dernier regard vers la chambre où dormait mon copain, et je ressentis alors une sensation de manque qui me prit le cœur et le ventre. Je fis marche arrière, refermant la porte et déposant ma valise contre le mur du salon, et je me déplaçai, sur la pointe des pieds pour ne pas faire claquer mes talons, vers la chambre dont j’entrouvris la porte. Gabriel dormait. Il était nu, allongé sur le côté gauche en chien-de-fusil, ses bras musclés repliés sous son oreiller, la couette ne recouvrant que ses chevilles. Le voir ainsi me donna encore plus envie de faire ce que j’avais en tête quand j’ai décidé de revenir vers la chambre : je me suis agenouillée en silence au bord du lit, et j’ai pris son sexe mou dans ma main droite. Je le sentis frémir sous ce contact imprévu. Je suis restée un court instant comme cela, en remuant doucement la main, puis j’ai décalotté son gland. Sans plus attendre je l’ai pris en bouche, et j’ai aspiré lentement son sexe dans son entièreté au fond de ma gorge. Je sentais le sang affluer et faire grossir très rapidement sa superbe bite, que j’avais de plus en plus de mal à maintenir entièrement dans ma bouche. Lorsque je sentis qu’il était dur à souhait, j’entrepris de doux vas et viens le long de sa hampe, ma langue tournoyant autour de son gland à chaque remontée. Tout en continuant, je pris ses boules dans ma main gauche et j’ai commencé à les remuer et les serrer doucement, comme pour faire monter son jus plus rapidement. Puis prenant la base de son membre dans ma main droite, j’ai commencé à le branler tout en continuant de le sucer et de masser ses testicules. Alors, sentant son sexe se contracter, j’ai enfoncé une dernière fois sa bite au fond de ma bouche avant de la sortir pour poser son gland sur le bout de ma langue. Je l’ai branlé énergiquement jusqu’à sentir son plaisir jaillir sur ma langue, son jus s’écoulant par saccade dans ma gorge.
Après avoir attendu quelques instants en faisant tourner ma langue autour de son sexe pour le nettoyer de sa semence qui m’avait échappée, j’ai avalé le tout en silence. Lorsque je me suis relevée, Gabriel avait toujours les yeux fermés, mais j’ai vu sur son visage un rictus de satisfaction, que je partageais. Sans savoir s’il était réveillé, j’ai quitté la chambre, repris ma valise, et je suis partis pour environ trois heures de route direction Concarneau.

Dans le parc de l’abbaye, je discutais avec les collègues de mon agence que j’avais retrouvé à mon arrivée. Vers dix heures et demie, lorsque tout le monde fût arrivé, les organisateurs nous réunîmes dans la cour pour effec un tirage au sort afin de déterminer au hasard les binômes qui occuperaient chaque chambre. Evidement les binômes n’étaient pas mixtes, il y avait un tirage « homme » et un tirage « femme ». Cela avait été décidé ainsi pour permettre une meilleure intégration du personnel de chaque agence dans le collectif total de l’entreprise, facilitant la sympathisation entre collègues des différentes régions. Je suis tombée sur une certaine Lisa, venant de l’agence Haut-de-France. Une fois tous les groupes complétés, nous sommes allés découvrir nos chambres et ranger nos affaires. Les chambres étaient très spacieuses et possédaient deux lits simples séparés par un demi-rideau en lin très peu opaque, que l’on pouvait tirer ou non, réduisant l’intimité à sa plus simple expression. Un petit dégagement donnait à droite sur le dressing commun et à gauche sur une salle de bain grand luxe, pourvue d’une grande douche à l’italienne. J’étais plutôt contente car Lisa était d’un premier abord très sympa, même si elle avait pris le lit le plus confortable.

A midi, nous sommes tous allés manger dehors sur des tables disposées dans la cour et dans le parc, à proximité des cuisines où deux chefs et leur dizaine de commis préparaient les repas. Ce fût alors l’occasion pour plein de gens de changer de binôme pour se retrouver logé avec des amis.
Lisa m’a alors demandé si cela ne me dérangeait pas qu’elle rejoigne une collègue qui était seule dans une chambre, le nombre total d’invité étant impair, ce qui me laisserait seule à mon tour. J’acceptais tout de même. Le repas terminé, j’ai appelé mon copain pour lui faire l’exposé de mon arrivée. L’après-midi s’est ensuite passée tranquillement, avec la découverte des installations qui étaient mises à notre disposition, et une première présentation par le directeur des très bons chiffres de l’entreprise sur l’année écoulée. Le soir venu, pendant le repas servi dans la cour, j’ai reçu un coup de fil de Gabriel : m’a dit être devant les grilles du parking de l’abbaye :
« Hello Isa ! Tu viens m’ouvrir ?
- Hein ? Comment ça ?
- Je suis devant les grilles du parking de l’abbaye !
- Mais qu’est-ce que tu fous là ? lui répondis-je très surprise.
- Quand tu m’as dit que finalement tu serais seule dans ta chambre pendant toute la semaine, je me suis dit que l’occasion était trop belle et j’ai décidé de te rejoindre !
- Mais tu travailles cette semaine !
- T’en fais pas pour ça, j’ai emmené mon pc portable, je ferai du télétravail ce n’est pas un problème.
- Mais nooooon ! Je suis trop contente ! T’es le meilleur ! »
Comme deux gardiens surveillaient les grilles, nous dûmes trouver un autre passage pour faire entrer Gabriel dans l’enceinte de l’abbaye. Il escalada alors le mur à un endroit qui était à la fois facilement franchissable et également à l’abri des regards. Nous nous sommes faufilés jusqu'au buffet, où personne n'a fait attention à nous vu le monde, et nous eûmes même le culot de nous installer côte à côte à une table, Gabriel se faisant passer pour un simple intervenant invité à ceux qui lui posaient des questions. Je discutais beaucoup avec mes collègues, tandis que mon copain n’arrêtait pas de caresser mes cuisses sous la nappe. A un moment donné Gabriel est monté dans ma chambre pour s'installer parce que de mon côté je devais rester aux animations festives prévues après le repas.
Il en a profité pour essayer l'immense douche à l'italienne de la chambre, comme le montraient les photos qu’il m'envoyait. Puis j’ai reçu une photo très zoomée sur laquelle on me voyait de haut, assise dans l’herbe. J’ai levé la tête cherchant d’où venait cet angle de vu, et j’aperçu que de la lumière passait au travers d’une fenêtre au troisième étage, où j’ai pu distinguer imperceptiblement l’ombre d’un homme certainement nu. C’était Gabriel. Le fait de le savoir dans le plus simple appareil, narguant tous les principes de précautions essentiels pour éviter ce que donnerait la catastrophique découverte de sa présence dans l’abbaye, m’excita terriblement. Quand à la fin de la soirée je suis enfin montée le rejoindre, il m’attendait nu sur le lit, le sexe bandé, prêt à combattre toute la nuit. Je lui sautai alors littéralement dessus après m’être débarrassé en hâte de mes vêtements, lui dévorant ses lèvres, et m’empalant sur son membre. Nous avons ainsi fait l’amour plusieurs fois cette nuit-là.

Le lendemain, la matinée et le midi se passèrent normalement, mais lors d'une présentation que nous avions dans le parc du château l’après-midi, je sentis soudain quelqu’un embrasser mes chevilles, puis mes jambes nues. Je ne pouvais laisser paraitre aucune réaction puisque j’étais au milieu de deux cents collègues. J’ai senti alors des mains sur mes genoux soulever ma jupe et laisser apparaître mon string blanc en dentelle. L’inconnu sous la table devais maintenant à coup sûr deviner l’humidité qui naissait sur mon string. Il a continué l'exploration avec ses lèvres jusqu'à effleurer l'intérieur de mes cuisses, que j’ai écarté de moi-même pour lui laisser le champ libre. Il a déplacé alors mon string sur le côté de mon pubis, et il a commencé à lécher mes lèvres. Il devait sentir par les mouvements incontrôlés de mes jambes que ça me plaisait de plus en plus, car il a centré son attention sur mon clitoris, qu’il léchait et aspirait sans un bruit. Sentant que je ne maitriserai bientôt plus la situation, j’ai agrippé ses cheveux avec une de mes mains pour lui intimer d'arrêter son jeu. Alors il a retiré ses lèvres et sa langue de mon sexe, mais, une minute plus tard, il y est retourné sans prévenir avec encore plus d'engouement. Ma main se crispait avec force sur ses cheveux comme pour le supplier d'arrêter, mais il continuait, en approchant même ses doigts de l'entrée de mon vagin. Ce contact me fit défaillir, et en même temps que je sentais mes lèvres s'ouvrirent devant deux de ses doigts, je relâchais l'étreinte de ma main, comme signe de ma résignation à le laisser m'accompagner jusqu'au sommet du plaisir. Alors dans un énième mouvement de langue autour de mon clitoris faisant frissonner mon échine, sans rien laisser transparaître à l'extérieur plus qu'un léger mordillement des lèvres et un battement de paupières, à l'intérieur mon corps en feu crépita d'un profond orgasme. Quelques minutes plus tard, la tension redescendue, en guettant les tables situées aux extrémités, je vis sortir Gabriel à quatre pattes de l’une d’elles et se relever, puis partir en direction du hall de l’abbaye comme si de rien n’était. Il avait dû remarquer que les tables où nous étions étaient toutes alignées de manière à ce que personne ne puisse voir ce qu'il se passait en dessous à moins de se baisser. Alors il s’était glissé discrètement tout au bout d'une rangée vide et s’était rapproché de moi en rampant sous les tables jusqu'à reconnaître la jupe que je portais. Sachant maintenant que c’était bien mon copain qui venait de me procurer cette formidable jouissance, je lui écrivis un message :
« Hum merci ! J’ai failli croire qu’un collègue m’avait fait jouir… »
Auquel il me répondit : « dommage hein ?!... », ce qui m’excita de nouveau.

Le soir au moment du repas, le président nous appris qu'une intervenante qui avait été invitée avait pu finalement se libérer, et donc qu'il fallait lui trouver une chambre. Elle arriverait dans la nuit. Comme c'était une femme et que seule ma chambre avait un lit de disponible, elle a été d’office désignée comme mon nouveau binôme. Gabriel et moi étions un peu dégoutés car il a dû rentrer à Angers dans la soirée pour lui laisser la place qu’il avait prise secrètement.

Au milieu de la nuit la femme qui venait enfin d'arriver entra dans ma chambre et se coucha sans me réveiller. Le mercredi matin, j’ai été par contre réveillée par le bruit de la douche. Quand j’ai émergé après avoir enfilé une nuisette, j’ai découvert par l'embrasure de la porte de la salle de bain qui était entre-ouverte, que c'était contre toute attente un homme qui s’y douchait. Il devait avoir la trentaine tout juste passée et était plutôt très bien taillé. Trop surprise, je n’eus pas le temps de m’en aller avant qu’il ne me remarque. Il ne parut pas étonné de me voir, il prit une serviette pour se sécher les cheveux et il sorti de la grande douche sans rien cacher de son corps. Je voyais son sexe, qui était de bonne taille, se balancer de gauche à droite pendant qu'il maniait sa serviette. Il me dit alors :
« Bonjour, moi c'est Marc, je suis désolé, il a dû y avoir un malentendu parce que la collègue que je remplace pour le séminaire m'a donné le numéro de votre chambre sans me prévenir qu'elle était déjà occupée, surtout par une femme. Mais ne vous inquiétez pas, j'ai dormi ici parce que je ne pouvais pas faire autrement, mais je vais bien sûr demander à changer de chambre.
- D'accord merci, moi c’est Isabelle. Et désolé de vous avoir vu sous la douche, mais il faut fermer les portes vous savez quand vous n’êtes pas seul, lui répondis-je.
- Oui pardon, je ne suis pas pudique faut dire. Être regardé par une charmante jeune femme comme vous ne me dérange pas, bien au contraire ».
Son assurance me laissant scotchée, sans trouver de réplique à lui donner, le balancier de son gros sexe qui pendait m’hypnotisant, j’ai rougi et j’ai mis bien trente secondes à recouvrer mes esprits pour faire demi-tour et aller m’habiller dans la chambre. Je suis ensuite descendue rejoindre mes collègues dans la cour pour débuter cette troisième journée de formation.

J’ai raconté ma mésaventure à Gabriel par sms, attendant un mot rassurant et une pointe de jalousie de sa part – J’adore sentir qu’il est un peu jaloux, ça montre qu’il est dingue de moi – mais je n’ai reçu aucune réponse, j’étais un peu déçue. Il devait être débordé de travail. Arrivé le repas du midi, je me suis retrouvée malgré moi assise à côté de Marc, qui avait tout fait pour me réserver la chaise à sa droite. A peine avait-on commencé les entrées que je sentais son pied venir de temps en temps toucher le mien. Ne sachant pas s’il le faisait exprès, je ne lui fis pas de réflexion. Je compris que c’était complétement intentionnel lorsque son pied a commencé à remonter assez haut le long de mes jambes. Ce moyen de séduction grossier me prit de court, et lorsqu’il me regarda dans les yeux en souriant, je lui répondis bêtement par un sourire également. Je ne me reconnaissais plus, moi qui étais d’habitude si franche et désintéressée, cette fois-ci la situation m’électrisait. Comme promis Marc demanda autour de lui s’il pouvait changer de chambre, mais personne n’était enclin à le faire. On se concerta, et n’ayant pas d’autre choix, j’ai accepté finalement qu’il reste dans la mienne, étant donné que les lits étaient séparés par un rideau. L'après-midi et la soirée se sont passées sans autres péripéties, puis vint le moment du coucher. Marc, grand prince, m’avait laissé le lit le plus confortable comme compensation de notre colocation e.

J’ai pris ma douche la première. L’eau chaude ruisselante sur mon corps me détendait complètement. Une fois lavée et séchée, je me suis regardée dans l’immense miroir pour brosser mes cheveux. Leur volume me donnait une allure de lionne prête à bondir. Une fois terminée, je me rendis compte que j’avais oublié de prendre ma nuisette avec moi dans la salle de bain. Je me suis donc entourée de ma serviette, heureusement de taille XXL, permettant de cacher mon corps du dessus de ma poitrine jusqu’au milieu de mes cuisses. Seules mes épaules et le bas de mes jambes étaient visibles. Ouvrant la porte, j’ai essayé de passer furtivement dans la chambre pour atteindre mon lit sans que Marc, qui était assis sur le sien, ne me remarque trop. Mal m’en a pris : en voulant longer un mur, un bout de ma serviette se prit dans la poignée de la porte du dressing, et emportée par ma vitesse, la serviette m’échappa. Je me suis alors retrouvée nue en plein milieu de la chambre. Alerté par le petit cri que j’ai laissée échapper, Marc évidemment leva les yeux et me dévisagea avec surprise. Essayant de cacher tant bien que mal ma poitrine de mon bras gauche et mon intimité de ma main droite, cela s’avéra fort difficile tant mes seins débordaient de chaque côté de mon bras. Heureusement pour moi le rideau était déjà tiré, et atteignant mon lit, je pus enfiler ma nuisette en vitesse sans plus exposer mon corps au regard dévorant de Marc.
« C’est bon tu as pu passer un vêtement ? Je peux aller prendre ma douche ? me demanda-t-il.
- Oui, tu peux.
- Très bien, et t’en fais pas je n’ai rien vu. Enfin rien de ce que tu essayais de cacher.
- Ah oui ? tant mieux.
Marc se leva et dépassa le rideau en direction de la salle de bain :
- Oui, mais j’ai bien apprécié tout le reste, tu es charmante, merci la serviette ! dit-il en rigolant et en me faisant un clin d’œil »
Encore rouge de honte, j’esquissa un rire pour la forme. Marc portait uniquement un boxer et je vis distinctement qu’il moulait étroitement une forme très rigide et deux autres beaucoup plus souple, mais non moins grosses. Cette vue me fit tressaillir.

Quand il sortit enfin de la salle de bain, j’étais couchée depuis dix bonnes minutes et proche des bras de morphée. Seule la lumière dégagée par la lampe de chevet laissée allumée du côté de Marc perçait la pénombre de la chambre et m’empêchait de m’endormir totalement. Je commençais alors à repenser à ce qu’il s’était passé avec ma serviette et au boxer tendu de mon binôme. C’est sûr, je trouverai maintenant difficilement le sommeil. Marc se coucha à son tour, mais n’éteignit pas la lumière, il devait penser que je dormais déjà. M’interrogeant sur ce qu’il pouvait bien faire, j’ai tourné la tête inconsciemment vers son lit. C’est alors que je me rendis compte que la lampe allumée projetait l’ombre du lit et de Marc sur le rideau, rendant ses gestes perceptibles. Un mât se dressait fièrement, tenu par une main qui faisait de légers allers-retours de haut en bas. Je n’en revenais pas, il se branlait juste à côté de moi ! Cette situation m’excita terriblement, et tout en continuant de le mater secrètement, j’ai glissé une main dans l’élastique de mon short de nuit. Mon pubis rasé à blanc me rendit l’accès à mon sexe très facile. Ecartant mes petites lèvres, je sentis ma mouille ruisseler et inonder mon short. Pressant alors mes doigts contre mon clitoris, j’entrepris de me masturber en suivant le rythme des gestes de la main de Marc le long de son membre. Lorsqu’il accéléra, j’accélérai mon mouvement à mon tour, comme pour atteindre l’objectif idéal d’une jouissance synchronisée. Alors j’entendis le bruissement caractéristique d’un mouchoir qu’on tire de sa boite en carton, et je sus qu’il allait se lâcher. Me caressant comme jamais, frottant vigoureusement tous les doigts de ma main contre mon clitoris et mon pubis, les tétons dressés sur mes seins, je jouis en silence quand je vis l’ombre de marc trembler sur le rideau, son sexe éjaculant.
Laissant mon plaisir s’évaporer lentement de mon corps pour laisser place à un état de bien être total, je fis un sms à mon copain pour lui raconter ce moment incroyable. Toujours pas de réponse de sa part. Je m’endormi rapidement, bercée par les vagues de dopamines traversant mon corps.

Le lendemain, la journée entière était consacrée au partage des retours d’expérience de chaque agence sur différents sujets, ce qui nous rendait tous très occupés. C’était la plus grosse journée de la semaine. Pour compenser cela, après le repas du soir, la direction avait prévu l’organisation d’une soirée karaoké dans un bar tendance de Concarneau. Pour l'occasion je me suis vêtue d’une superbe robe fleurie dont le décolleté laissait imaginer les vertigineuses courbes de mes seins.

Lors de mon arrivée au bar, je remarquais que Marc était assis à la dernière table tout au fond de la salle, et qu'il m’invitait d'un geste de la main à venir le rejoindre. Nous étions une grosse dizaine autour de la table, moi assise à côté de Marc et d'une collègue que je ne connaissais pas. Lors du karaoké tout le monde s'amusait et buvait beaucoup, je sentais que j’étais complètement pompette. Toute guillerette, quand j’ai commencé à sentir la main de Marc se poser de temps en temps sur mes cuisses comme s'il ne le faisait pas exprès, je le laissais faire sans aucune remarque. Cela l'invita à prendre un peu plus d'initiative dans l'exploration des bas résilles que je portais sous ma robe. L'alcool aidant un peu je pense, le contact de sa main chaude sur le haut de mes cuisses faisait de plus en plus monter une espèce de tension sexuelle au creux de mon ventre.
Quand vint mon tour de jouer, j’ai eu la chance de tomber sur une chanson que je connaissais par cœur et que j’ai récité à la perfection. En regardant Marc dans les yeux j’ai remarqué que de son côté il regardait tout sauf mes yeux. Tout en chantant, j’ai donc fait en sorte de danser avec un peu plus de déhancher pour que ma robe épouse encore plus parfaitement mes formes. Je l’ai alors vu glisser sa main sous sa table pour maintenir ce que j'ai imaginé être son sexe, afin certainement d'éviter que les personnes qui l’entouraient ne remarquent qu'il bandait durement. Au moment où je me suis rassise à côté de lui, j’ai esquissé un faux mouvement et j’ai placé ma main au niveau de son entre-jambe comme pour me rattr, où j’ai senti satisfaite qu'effectivement son sexe était bien dur. Je me suis excusée pour ce malencontreux incident, en lui faisant un clin d'œil dans la foulée. A ce moment-là j’ai décidé d’envoyer une photo de la soirée à Gabriel avec en commentaire « C'est chaud ici ! ». Il me répondit enfin, après presque deux jours sans nouvelles de sa part :
« Si tu as trop bu je peux revenir dans la nuit pour éviter que tu ne fasses des bêtises. Et désolé pour tes messages, mon téléphone m’avait lâché.
« Viens vite alors, parce qu'un gars me chauffe grave... »
« Comment ça ?? »
« C’est Marc… Il me drague clairement ! »
« Tu ne l’as pas repoussé ? »
« Non pas encore, en fait ça m’excite un peu… »
« Ah d’accord ! bon j’arrive, je serai là dans trois heures, vers deux heures du matin. Je réserve un hôtel à côté de l’abbaye. »
« Je t’attends avec impatience alors. Est-ce que tu m’autorise à le chauffer un peu quand même ? »
« Hum oui aller, amuse-toi un peu ! »
Vu son dernier message, je savais que la situation devait l’exciter beaucoup, bien que son intention de me rejoindre aussi vite cachait une certaine crainte. J’ai donc passé le reste de la soirée au bar à être très tactile avec Marc, lui effleurant ses cuisses, ses bras et son ventre à la moindre occasion. Lorsque la fête toucha à sa fin vers minuit, j’ai suivi le groupe de collègue avec qui j’avais sympathisée qui allait faire un after dans une boîte de nuit. Marc en faisait également parti. Dans la boite, tout le monde dansait, et Marc a commencé à être de plus en plus proche de moi quand il se déhanchait, se rapprochant encore un peu plus à chaque pas de danse, jusqu'au moment où il prit ma main dans la sienne pour m’inviter à danser avec lui. Quelques instants plus tard, quand il osa glisser une main dans mon dos et la descendre le long de mes reins, jusqu'à mon fessier, je fis mine d'approcher ma bouche de la sienne pour l'embrasser mais au dernier moment j’esquivai et glissai dans son oreille « désolé j'ai un copain… ». J’ai alors deviné toute sa frustration dans son regard, et je fus très contente de ce résultat. J’appelai Gabriel pour lui raconter ce qu’il venait de se passer, il me dit alors en branchant son kit main-libre :
« Je n’aurais pas aimé être à la place du gars, mais j’adore ce que tu lui as fait subir. Le pauvre ça a dû le rendre dingue !
- Oui je pense aussi ahahah ! Bon, dépêche-toi un peu hein, cette soirée commence vraiment à beaucoup m’exciter ! Surtout que je sais que je lui plais énormément !
- Ouh là, tu crois qu’il pourrait vouloir plus de toi ?
- C’est évident ! Je pense que si je me laisse faire, il couchera avec moi sans hésiter.
- Ne te laisse pas faire alors ! Enfin pas tant que je ne suis pas là !
J’entendis à ce moment-là dans sa voix une pointe de jalousie mêlée à une excitation extrême. Je lui répondis, laissant planer le suspense et le doute :
- Hum… J’espère que tu ne vas pas arriver trop tard alors... Je suis vraiment toute mouillée… Il ne faudrait pas attendre que ça sèche… Tu ne crois pas ? » Et j’ai raccroché sans lui laisser le temps de répondre.

Un peu plus tard, après avoir repris et siroté un cocktail Sex on the beach, Marc retenta sa chance en me prenant par la taille. Je ne l’ai pas repoussé, et au moment où le DJ lançait le premier slow, il posa une main sur ma hanche et l’autre sous mon épaule dans mon dos. J’ai de mon côté enlacé son cou avec mes bras. Au milieu de la musique, j’ai senti un contact dur contre mon ventre. Marc bandait et ne le cachait pas. Au comble de l’excitation, j’ai alors posé une de mes mains sur la sienne qui était sur ma hanche, et j’ai appuyé dessus pour l’inciter à descendre un peu plus bas, pour la guider sous ma robe, puis entre mes cuisses. Il n’en revenait pas, et je sentais sa bosse grossir encore contre mon ventre. Comme nous étions serrés l'un contre l'autre, personne ne pouvait voir ce petit manège. J’ai pris alors sa main et je l’ai accompagnée jusqu'à la dentelle de mon string, pour lui montrer qu'elle était toute mouillée d'excitation. Ne tenant alors plus que son index, je l’ai fait glisser plusieurs fois le long de ma fente. C’était terrible pour lui de sentir qu’il n’y avait plus que cette très fine épaisseur de tissu qui empêchait son doigt de me pénétrer, alors qu’il sentait mes lèvres s’écarter autour de son doigt à chacun de ses passages. Alors, pour la dernière caresse de son index sur mon sexe, le tenant toujours, j’ai fait en sorte de glisser son doigt au bord de mon string, le faisant passer dessous. Mes petites lèvres humides enveloppèrent alors entièrement son index, qui était au plus proche de mon trou. J’ai regardé Marc dans les yeux, et à ce moment-là j’ai exercé une pression sur son doigt, qui m’a pénétré tout doucement. Alors que Marc voulait l’enfoncer d’avantage, j’ai retiré son index de ma chatte avant que sa deuxième phalange ne soit rentrée. Toujours en le regardant droit dans les yeux, j’ai ensuite retiré sa main de sous ma robe et je l’ai redéposée sur ma hanche. Je sentais sa frustration être à son paroxysme. Alors j’ai décidé de pousser le vice encore plus loin. Dans un geste très sensuel, j’ai glissé à nouveau ma main, seule cette fois, sous ma robe, et j’ai entrepris discrètement de faire descendre mon string le long de mes jambes, toujours en dansant le slow. Après deux petits gestes techniques, j’ai réussi à le retirer de l'une puis de l'autre de mes chevilles sans être remarquée. Je l’ai cachée au creux de ma main, et furtivement, en me rapprochant au plus près de Marc, j’ai glissé cette main dans son caleçon pour enrouler mon string autour de son sexe, qui était rigide et droit. Evidemment mes doigts entouraient alors son sexe, et j’ai pu sentir à ce contact les battements frénétiques de son cœur. Alors j’ai plongé ma main un peu plus loin encore, jusqu’à pouvoir prendre ses boules dans ma main. Je les ai massées un moment, puis les relâchant, j’ai laissé glisser mes doigts le long de sa tige. J’ai senti perler de son gland les gouttes de son excitation intense. Puis en enlevant ma main et laissant mon string ficelé à son sexe, je me suis détachée de son étreinte, j’ai porté mes doigts à ma bouche pour les lécher en le regardant encore dans les yeux, et le laissant planté au milieu de la piste, je suis allée attendre mon copain qui ne devait plus tarder à arriver dans le box de repos située en retrait de la grande salle de danse. Après être entrée je me suis installée au bout du banc qui était déjà occupé par cinq personnes. C’était agréable de quitter l’atmosphère de la grande salle où les effets de fumée qui étaient diffusés empêchaient de voir à plus de deux mètres.

Lorsque Gabriel est arrivé quelques minutes plus tard, il est entré dans la boite de nuit et a cherché le box où je l’attendais. Quand il ouvrit la porte, d'énorme volutes de fumées artificielles s’engouffrèrent dans la pièce, si bien qu'on ne se distinguait presque plus. Il parvint tout de même à me reconnaitre et on s'embrassa alors fougueusement. Quelques instants plus tard, la porte s'ouvrit à nouveau et une femme entra. Cette nouvelle ouverture de la porte acheva de rendre l'air ambiant opaque, ce qui eut pour effet de faire ressortir instantanément la femme mais également un nombre indéfini de personne déjà présente. On demanda s'il y avait encore quelqu'un, et n’obtenant pas de réponse, nous nous jetâmes l'un sur l'autre pour nous embrasser. Ses mains parcouraient mon corps et glissaient dans mes cheveux, sur mon visage, puis sous ma robe. J’adorais ce moment de retrouvailles intenses où nous laissions nos désirs s’abandonner à l’autre. A ce moment-là un homme entra et vint s'asseoir à côté de moi après avoir fermé la porte à clé de l’intérieur. On ne pouvait deviner à quelle distance de moi il était exactement, ce qui nous arrêta net dans notre ardeur. On se figea et attendîmes qu'il ressorte. Mais quand moins de deux minutes plus tard mon copain m’entendit pousser des petits soupirs, ne pouvant rien voir, il chuchota à mon oreille :
« Qu’est-ce que tu as ?
- Je crois que c’est Marc qui vient d’entrer, répondis-je sur le même ton. Il caresse mes cuisses, je ne sais pas quoi faire.
- Est-ce que ça te plait ? »
Ne lui donnant alors plus de réponse, et mes soupirs s’accentuant de plus en plus, il dut comprendre que cela m’excitait beaucoup. D’ailleurs, vu qu’il ne me donnait aucun signe de contestation, il a dû décider de laisser faire Marc et de voir la suite que prendraient les évènements. Marc venant de glisser une main sous ma robe, qu'il savait être le dernier rempart avant mon petit paradis puisque mon string devait toujours être coincé dans son caleçon, j’ai agrippé la cuisse de Gabriel comme pour essayer de me contrôler, alors que mes soupirs devenaient des gémissements très audibles. La main de Marc plaquée contre mon sexe l'irradiait d'une exquise chaleur. J’ai avancé mon bassin pour lui signifier que j’avais envie de plus. Il s’agenouilla alors devant moi et glissa sa tête sous ma robe, pour entreprendre l'exploration de mon intimité. Lorsqu’il commença à embrasser mes cuisses, puis à se rapprocher de plus en plus de mon entre-jambe, j’ai serré la cuisse de mon copain si fort qu’il aurait certainement un beau bleu le lendemain. J’ai posé ma tête sur l’épaule de Gabriel toujours assis à côté de moi, il prit mon visage dans une de ses mains et il me susurra à l'oreille :
« Laisse-toi aller mon cœur, laisse ton plaisir te submerger, abandonne-toi complétement, je suis là… ».
Alors l’écoutant, l’ensemble de mes muscles se relâchèrent et se détendirent. Marc goutait à présent ma mouille qui dégoulinait le long de mes cuisses, puis il a posé ses lèvres sur mon sexe. A ce contact, un frisson intense traversa mon corps, et au même moment je sentis sa langue humide fouiller ma chatte. Il me bouffait avec une telle envie monstrueuse que j’avais du mal à respirer, je suffoquais presque sous les assauts de sa langue sur mon clitoris. Puis soudain mon plaisir éclata et ce fut l’extase, mes ongles griffant la cuisse de Gabriel pendant qu’un long cri orgasmique s’échappait de ma gorge. Ma jouissance était telle que j’ai failli tomber du banc, Gabriel me retenant juste à temps, mes jambes tremblantes ne pouvant plus me soutenir.
La fumée se dissipant peu à peu, Gabriel vit indistinctement Marc se dégager de sous ma robe, puis relever mes jambes pour les placer sur ses épaules. J’étais encore dans les nuages suite à mon orgasme dévastateur, je le laissais donc faire sans la moindre résistance. Mon copain le laissa faire également sans broncher, très excité de voir un homme me désirer autant. Il maintenait toujours mon visage contre son épaule. J’ai senti alors la bite de Marc, grosse et endurcie par toute l'excitation que je lui avais procurée auparavant, coulisser entre mes cuisses. Arrivée au bord de mon sexe, son membre appuya contre mes lèvres, qui s'écartèrent lentement devant lui. Puis son gland a légèrement pénétré mon intimité, avant de s'immiscer complètement en moi. Je sentais son sexe grossir encore davantage dans ma chatte, remplissant parfaitement la moindre surface de mon vagin. Avec ses mains sur le bas de mes cuisses, il entreprit des vas et viens qui devinrent de plus en plus rythmés au fur et à mesures que mes cris s’accentuaient. Me laissant sauter ainsi, complétement à la merci des volontés de Marc, il me prenait sauvagement et sans ménagement. J’ai relâché la cuisse de Gabriel pour remonter ma main vers son sexe. Le sentant très dur sous ma paume, j’ai déboutonné son jeans et j’ai fait sortir sa bite dont l’érection était vraiment impressionnante. J’entrepris alors de la branler, pendant que Marc continuait de me pilonner. Au moment où les râles de ce dernier devenaient saccadés, il voulut retirer son sexe du mien, mais je l’en ai empêché en enserrant son bassin avec mes jambes, pour maintenir ses cuisses contre mes fesses, en lui hurlant :
« Putain Marc c’est trop bon, t’as pas intérêt à te retirer ! Jouis en moi putain !
« Awww ah ouai, tu veux vraiment que je te remplisse hein ! C’est ça ce que tu voulais depuis que tu m’as vu nu sous la douche avoue ! me répondit-il en me donnant des coups de reins si violents que j’avais l’impression qu’il pouvait me transpercer à tout moment.
« Oh ouiiii putain ! Je te veux en moi ! Remplis-moi de ton jus !! ».
Alors je sentis les spasmes et les contractions de sa queue en moi, mon vagin aspirant littéralement sa bite au plus profond de son antre. Marc gueula son plaisir et se déversa dans ma chatte, jouissant tellement fort que j’eus l’impression que son sexe n’arrêterait jamais de gicler. Je sentais plus que satisfaite les flots de sa semence couler en moi, témoignant des heures et même des jours de désir qu’il avait contenu jusque-là.
Après un moment de répit bien mérité, Marc se retira de mon trou. Sentant le sexe de Gabriel dur comme jamais dans ma main avec laquelle j’avais continué de le masturber pendant que Marc me prenait, je me suis retourné vers lui, je l’ai embrassé, et je lui ai demandé :
« Prends-moi à ton tour ! J’ai envie de toi Gabi…
- Oh oui, je vais te faire l’amour, non, je vais te baiser ! Ça m’a trop excité que Marc te prenne devant moi, je bande comme jamais !
- Alors viens vite, montre à Marc comment il faut s’occuper de moi... »
Gabriel se leva, pris mes mains et m’attira à lui en me mettant debout à mon tour. Il m’aida à enlever ma robe, téta mes seins avec passion, puis en me prenant par les cheveux il me força à me mettre à quatre pattes dos à lui, les genoux sur le sol et les coudes pliés sur le banc. Il appuya sur mon dos avec une main pour m’inciter à creuser les reins et relever mes fesses bien en hauteur. J’ai écarté un peu plus les cuisses pour lui donner une vue imprenable sur mon cul et ma chatte dégoulinante de la semence de Marc, ce qui avait l’air de l’exciter terriblement. Alors pour faire plus de la place pour son sexe, j’ai contracté plusieurs fois mon vagin pour expulser un maximum du sperme de Marc hors de mon trou, qui coulait alors le long des mes jambes. Il m’avait tellement rempli que cela fit une grosse flaque par terre entre mes mollets. Une fois ma chatte vidée, Gabriel pris son sexe et l’appuya contre le mien, qui le laissa entrer d'un seul coup. Il a alors de nouveau agrippé mes cheveux d’une main, tandis que l'autre me fessait avec vigueur comme pour me punir de ma coucherie avec Marc. Au bout de cinq minutes de ce traitement féroce, les fesses rougies par les coups et les genoux endoloris, je me suis senti au bord de l’orgasme, mon vagin commençant à se crisper de plaisir. Sentant ma jouissance proche, Gabi jeta un œil en direction de Marc, qui nous regardait assis un peu plus loin sur le banc en se masturbant. Il se retira alors pour venir lécher longuement mes fesses et mon anus. Très friande du sexe anal, je prenais mon pied sous les caresses adroites et répétées de sa langue autour de mon petit trou. Puis me prenant par la taille, il m’entraina vers Marc et m’invita à m’installer à califourchon au-dessus de lui, son visage alors noyé dans mes seins. Appuyant sur mes fesses, Gabriel me fit m’empaler, sans aide supplémentaire tellement mon sexe suintait de mouille, sur la grosse tige de Marc. Il m’intima de commencer à le chevaucher en faisant onduler mon bassin, tandis que regroupant mes cheveux en arrière, il prit le temps de me faire deux tresses de chaque côté de la nuque. Alors que je n’avais qu’une envie c’était qu’il me prenne en même temps que Marc, j’ai vite compris la raison du temps prit à me coiffer de la sorte. En effet, tout de suite après avoir confectionné les tresses, Gabi pris son membre et le fit glisser entre mes fesses. Son anulingus ayant préparé parfaitement le terrain, lorsqu’il poussa lentement son gland contre mon anus, il s'ouvrit sans effort et laissa son sexe tout entier le pénétrer. Alors, entamant de doux vas et viens afin de laisser mon cul s’habi à l’intrusion, il prit une tresse dans chacune de ses mains et tira dessus au fur et à mesure qu’il accélérait le rythme de ses vas et viens, comme pour se donner de l’élan. Gabriel et Marc synchronisèrent leurs mouvements et prirent mes deux trous de façon extraordinaire, alternant les coups de reins vifs et plus lents, pour faire monter crescendo la jouissance qui naissait à nouveau dans mon ventre :
« Awww les gars vous me faîtes tellement de bien !! Ouiiii continuez comme ça, prenez-moi comme une chienne !
- Tu vas jouir comme jamais ! Tu nous rends dingue, on va te baiser à fond jusqu’à ce que tu ne puisses plus dire un mot tellement tes cris seront forts, m’annonça Gabi.
- Oh putain Gabriel elle est vraiment trop bonne ta meuf ! Ses seins sont divins ! Je vais la remplir à nouveau ! lança Marc.
- Remplissez moi tant que vous voulez, baisez-moi ! Putain vous allez me faire jouir… Vos queues sont trop bonnes dans mes trous… leur répondis-je au bord de l’extase. »
Mon copain et mon amant accélérèrent une dernière fois le rythme de leurs coups de reins, les transformant en véritables pistons incontrôlés, tout en me maintenant fermement entre leurs deux corps pour que ne puisses plus m’en défaire. Je sentais en moi leurs deux sexes gorgés de sang me culbuter, mon anus et mon vagin remplis et comblés comme je n’aurais pu l’imaginer, faisant trembler tous mes muscles. Les deux bites s’enfonçaient dans mes entrailles, et je ne pus alors plus me retenir :
« Ahhhhhhh putain les gars je vais jouir ! Donnez tout ! ohhhh !
- Vas-y Isa, lâche-toi, regarde comme on te prend bien ! Jouis ! Me répondit Gabi.
- Awww c’est trop trop bon ! Putain… Ooooh attention les gars je vais en foutre partout, je vais… »
Je ne pus terminer ma phrase tellement les jets expulsés par ma chatte à ce moment-là furent puissants, inondant mes cuisses et le ventre de Marc. Je me savais fontaine mais pas à ce point-là. L’orgasme qui explosa suite à ce spectaculaire tsunami fut encore plus dévastateur, je sentis tous les muscles de mon ventre se contracter à tel point que les bites de Gabi et de Marc furent éjectées de leurs trous respectifs, ma jouissance se propageant à tout mon corps ardent. Alors dans un incroyable reflexe commun, ils réussirent à me pénétrer à nouveau simultanément avec leurs membres, ce qui eut pour effet de me redonner instantanément un orgasme encore plus terrible que le précédent, me laissant échapper un nouveau flot de mouille mais surtout un long cri perçant que même la sono assourdissante de la boite de nuit a eu du mal à masquer. Tremblante de tout mon être, à peine remise de mes émotions, j’ai senti les deux sexes logés au plus profond de moi se décharger de leur tension en se contractant, éjaculant à grands jets au creux de mon ventre. J’ai senti leurs jus se répandre dans mon cul et dans ma chatte par saccades accompagnées de leurs râles rauques, me donnant un sentiment de fierté et de bonheur intense. Gabriel se retira le premier pour me laisser me dégager ensuite du sexe de Marc en me redressant. Toute pantelante, ils me firent mettre à quatre pattes devant eux et contemplèrent un moment leur semence s’écouler de mes trous, celle de Gabi coulant le long de ma raie tandis que celle de marc jaillissait d’entre mes petites lèvres. Ainsi je pus reprendre mes esprits tranquillement. Alors une fois chacun en pleine possession de leurs moyens, les gars m’aidèrent à arracher mes bas tachés de leur sperme. Je leur en ai donné un morceau à chacun en guise de trophée et de souvenir de cette soirée mémorable, puis j’ai enfilé à nouveau ma robe. Après un court moment d’hésitation, nous avons déverrouillé la porte de l’annexe, et nous nous sommes faufilés parmi la foule qui dansait comme si de rien n’était. Gabriel et Marc discutaient entre eux, attablés au bar en me regardant me mouvoir sur la piste de danse, et j’ai su que la fin de semaine serait peut-être encore davantage follement excitante quand j’ai remarqué la grosse bosse qui se dessinait à nouveau sous leur ceinture.

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