Deux Coquines: Marion Et Camille 07

Nous disons au revoir à nos deux garçons, qui ont participé aux débuts de notre initiation aux joies de la fellation, en leur donnant leur premier cum kiss, ils retournent à Paris pour poursuivre leurs études.

Après cette folle journée, Comme hier, je téléphone à Camille pour debriefer et connaître ses impressions.

- Tu es penses quoi de notre après-midi? Lui dis-je.

- Délicieusement agréable, dit-elle, ces nouvelles sensations me transportent véritablement et surtout, je suis impatiente d’en apprendre de nouvelles demain, tu te rends compte de la vitesse où ça va! Il y a deux jours, nous ne savions pas ce qu’était une bite et aujourd’hui, on a déjà de l’expérience et de la technique du comment ça marche comme dirait Michel Chevalet.

- Dis-moi Camille, je crois que toi tu as englouti le plus de sperme, cela t’a pas gênée?

- Oh non, répond Camille, au contraire, c’était génial. Je crois que j’adore de plus en plus, et là c’était d’une autre façon que les premières fois. Sur ta moule, c’était prodigieux, je crois que j’aurais moins apprécié si j’avais récupéré la chose au milieu des poils. Là, j’ai tout nettoyé soigneusement sur ta craquette, et la volupté de lécher ton sexe et récupérer le yaourt de garçon sur ma langue, c’était chouette. Et Benjamin avait abondamment déchargé, j’en ai avalé plein. Et toi, notre baiser, tu as aimé?

- Bien sûr, avec le mélange de nos salives et du sperme de David, cela donne une saveur particulièrement épicée à notre patin, lui aussi t’en avait mis partout, et j’ai pu en avaler un peu, moins que toi, nous avons fait moit’-moit’ avec ce que tu avais dans ta bouche restée ouverte, mais toi tu as entièrement avalé l’orgasme de Benjamin!

- Tu es jalouse?

- Oh non pas de toi ma Camille, mais moi aussi je crois que je m’enivre progressivement de jus de garçon. Tu as vu la tête de ceux-ci quand Alain leur a proposé de goûter du sperme?

- Oh oui, ça m’a fait bien rigoler.

Ils veulent bien que nous en avalions, mais eux font la fine bouche pour en prendre un petit peu.
Remarque qu’à la fin, Benjamin n’a pas hésité à reprendre sur ma joue un beau dépôt de sperme qui n’était pas à lui, et le baiser a été très intense pour lui comme pour moi, je crois.

- Et demain, dis-je, des jumeaux, je suis curieuse de savoir si chez eux tout est pareil?

- Tu veux parler de leur bite?

- Oui, bien sûr, Camille, de ce que nous apercevions: leurs têtes, elles étaient vraiment identiques, je ne sais pas si une fois nus, nous pourrons les distinguer?

- Oui ça va être curieux à voir, et j’espère bien que nous allons découvrir deux nouvelles queues bien juteuses, mais pas trop rapides pour que le plaisir dure plus longtemps.

- Tu as remarqué que David et Benjamin n’ont pas le même goût? Dis-je.

- Oui, c’est un peu bizarre, peut-être que c’est la même chose pour tous les hommes, on va pouvoir sans doute tester demain d’autres saveurs. Je kiffe aussi qu’Alain et Stéphane veulent nous prendre en photos et faire des films, j’espère que cela les fera bien bander aussi, ils le méritent.

Bon , il est temps de se quitter, et je souhaite une bonne nuit à Camille qui me dit qu’elle sera ment bonne puisque précédant une journée encore torride.

Le lendemain matin, après une bonne douche, je me prépare pour cet après-midi. Le choix de ma petite culotte est toujours délicat, j’en ai que des classiques, pas de string ou en dentelle ajourée ou bien sûr transparente. Je sélectionne des couleurs plutôt pastel, car proche du Blanc cela fait ressortir les formes. Je recherche aussi celles qui sont bien échancrées et dont la taille soit juste pour moi pour bien mouler le relief. J’en ai cinq qui me paraissent convenir, je les essaie une par une et me contemple dans la glace.

Depuis le rasage de ma chatte, je trouve que cela dessine mieux le contour de mon sexe, et j’en ai une qui retient particulièrement mon attention.
Pour l’arrière, mes fesses sont joliment bombées bien rondes, sur l’entrejambe très peu large, les coutures sont a l’extrême limite de mes lèvres et vue par devant, on les devine bien renflées avec au milieu le creux de la fente. Celle-là est top, je ne la mettais plus, car je la trouvais un peu petite, elle est rose pâle et elle monte sur la première place de mon podium.

Maintenant, je vais essayer de trouver une robe légère. Comme ça c’est plus rapide à enlever ou à remettre, mais je la veux plus longue pour cacher les jambes et faire saliver les garçons. Le problème est: est-ce que je mets un soutien-gorge ou pas? Je me décide à en mettre un pour bien mettre en valeur ma silhouette. Mes petits seins ne tombent pas, mais cela soulignera bien leur rondeur et en même temps le déshabillage sera moins rapide. Ma mère ne m’achète pas de soutien-gorge super sexy, mais j’en ai quand même un noir que je trouve pas mal. Avec, il me faut une robe plutôt foncée, car je n’aime pas voir par transparence des sous-vêtements sous une robe. J’en ai une rouge qui monte ras du cou et descend à mes chevilles qui me parait super.
Voilà je suis prête pour l’aventure.

Il est 13 heures, je fais les cent pas devant ma maison, je me suis déjà habillée depuis une demi-heure. Encore dix minutes a attendre pour rejoindre les garçons au café, je suppose, comme hier.
Je regarde ma montre toute les quinze secondes, cela ne passe pas assez vite à mon goût. Mais je me décide à partir, en marchant pas trop vite, je serais pile à l’heure et effectivement, je vois Stephane assis à la terrasse du même café avec les deux jumeaux. Pour l’instant, je peux les distinguer, car ils ne sont pas habillés pareils, mais après.....

j’embrasse tout le monde et, avant même de m’assoir, j’aperçois Camille qui s’approche de nous. Oh, qu’elle est belle, ma Camille!
Elle porte une robe aussi, d’un vert pomme élégant à fleurs rouges, un décolleté qui montre la naissance de ses mignons petits nichons bien ronds.
Elle a mis aussi un soutien-gorge, car sa poitrine est dressée et gonflée. Sa tunique est plus courte que la mienne: elle s’arrête à ses genoux et on distingue ses jolis mollets rebondis. Dans ses cheveux, elle a un bandeau orné d’une fleur jaune. Comme moi, elle n’est pas maquillée, le naturel pour l’instant nous va à ravir.

Elle dit bonjour à son tour et nous nous assoyons dans un fauteuil autour de la table. Stéphane nous commande la même chose qu’hier. A ce moment-là se lève un jeune homme juste à la table d’à côté qui me demande avec un petit sourire:

- Bonjour, mademoiselle, puis-je vous poser une petite question?

Je suis surprise et intriguée de cette demande et, très curieuse, je le prie de s’exprimer librement et devant tout le monde.

- Est- ce qu’aujourd’hui, vous avez une petite culotte?

Tout le monde autour s’esclaffe, moi je me sent rougir, car des clients assis à la terrasse ont entendus, mais je souris également et j’aime beaucoup sa hardiesse et lui réponds:

- Venez donc le vérifier par vous-même, je vais aller aux toilettes, suivez-moi d’ici une minute.

Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire cela, mais en me levant je suis heureuse en le laissant stupéfait. En chemin, je réfléchis et je crois me souvenir qu’il faisait partie des clients du bar, hier. Oui c’est ça, je le revois maintenant très attentif à notre discussion, il était avec un autre garçon qui aujourd’hui aussi est à sa table. Je connais les toilettes de ce café, il y a une première pièce avec des lavabos qui permet d’accéder aux deux cabines. Je m’arrête dans la première pièce, car cela fait plus d’espace, mais permet aussi d’être surpris par d’éventuels clients ou membres du personnel du café venus satisfaire un besoin naturel. Je me place près de la fenêtre pour mieux éclairer la scène, je pense à tout décidément! Je n’attends pas longtemps avant que le petit curieux n’ouvre la porte, mais il n’ai pas seul, son copain est derrière lui, je suppose qu’il n’a pas pu résister lui aussi et sa curiosité l’a emportée.


- Excusez-moi, me dit le premier jeune homme, mon copain est très timide et moi un peu peureux et si vous êtes d’accord, il sollicite l’extrême privilège de vérifier aussi si vous en portez une.

La demande est si amusante et aussi l’excitation que cela me provoque, me commande d’accepter avec plaisir et je les prie de me rejoindre.

- Venez tous les deux, mettez-vous de chaque côté et accroupissez-vous, vous serez à la bonne hauteur.

Et je me baisse pour saisir le bas de ma robe et la remonte lentement pour les faire saliver comme le loup de Tex Avery.
Arrive à l’extrême limite, je m’arrête même pour prendre le temps de voir leur tête. Ils sont immobiles, attentifs, bien sûr, les yeux fixés sur moi.

- Ta! Ta! Tan! Fais-je à la Renaud, et voilà!

Et je remonte complètement ma robe, et ils peuvent maintenant contempler ma belle petite culotte. Je vois qu’ils sont un peu déçus, mais quand même, mon cache-sexe fait son effet, ils n’osent rien dire un court instant, mais le plus hardi me demande:

- Hier, un de vos amis a évoqué des tontes de pelouse et de zizis.Mademoiselle, avez-vous eu la chance d’expérimenter cet élagage sur votre chaton?

- Il ne tient qu’à vous d’avoir la réponse à cette question, dis-je malicieusement. Il n’y a qu’un petit morceau de tissu qui camoufle le théâtre de ce mystère, mais en le déplacement légèrement, vous pourrez avoir la solution de cette intrigue.

- C’est exact, mademoiselle, mais nous autorisez-vous à effec ce léger décalage ayant vous-même les mains très occupées..

- Oui, je vous en prie et il m’enchante de satisfaire votre curiosité.

Et délicatement, chacun des garçons s’empare de l’élastique de ma petite culotte et lentement ils la descendent, arrivé aux confins de mon trésor, ils s’arrêtent.

- Votre mont de Vénus étant tout chauve, je pense que vous avez eu la bonne idée de sauter le pas hier et je vous en félicite.
Une jeune fille est magnifique ainsi et nous retardons le moment fatidique de la découverte afin de faire monter en nous encore plus le désir d’observer le résultat final dont je ne doute pas de la très grande beauté.

- Outre votre désir, j’espère bien que je vais être la cause de la montée d’une partie plus physique de votre anatomie, parallèlement à l’inverse de la descente de ma culotte.

Et le mouvement vers le bas redémarre gracieusement, mais les garçons ont à peine le temps de visionner ce merveilleux tableaux que la porte s’ouvre pour laisser apparaître un des clients quinquagénaires qui a tout juste le temps de comprendre la situation, car je relâche ma robe que je tenais toujours. Il se dirige vers la cabine et s’enferme. Je me ressaisies et confie aux garçons que j’assume la situation et même que cela ne me déplaît pas que l’homme en profite aussi pour contempler mon minou. Donc je relève à nouveau ma robe et place les garçons de manière qu’ils ne fassent pas obstruction et qu’en sortant il puisse admirer l’attraction. Je m’interroge s’il a prémédité sa venue, car je me souviens qu’il était pas très loin de nous.

On entend soudain le verrou et la porte s’ouvre, il surgit et jette plus qu’un œil dans notre direction. Il est subjugué par la fantaisie du panorama et part au lavabo, mais ne se lave les mains que machinalement et maladroitement, car il a le regard toujours tourné vers moi. Je lui souris et lui m’adresse un petit rictus de délectation. Moi, cela me transporte et j’apprécie beaucoup qu’un homme de son âge me contemple dans cette situation si scabreuse.

Pour ne pas paraître trop lourd et rester digne, il s’apprête à sortir, mais juste avant de se retourner, il m’envoie un petit clin d’œil pour le remercier sans doute de ce moment très agréable qu’il a passé. Les garçons sont toujours immobiles et n’arrêtent pas de surveiller d’un œil le client et de l’autre ma fleur. Je les laisse quelques minutes encore profiter de la bagatelle, mais comme toute bonne chose a une fin et que mes amis m’attendent à la terrasse, je baisse le rideau et relâche ma robe pour pouvoir remonter ma culotte bloquée au niveau de mes genoux. Mais avant de nous quitter, le même garçon me déclare:

- Puis-je vous baiser la main? Vous avez été une nymphe irréelle, mais qui restera gravée dans ma mémoire et hantera jusqu’à la fin de mes jours toutes mes nuits.

Quel charmant garçon! Je me souviendrais aussi de lui, et je lui accorde volontiers cette requête, mais je me fais peut-être d’immenses illusions sur son cas. Si je traduit en langage bad boy ses propos de chevalier, ça veut sans doute insinuer qu’il se branlera la nuit en pensant à ma chatte. Il me saisit la main avec tact et la porte à ses lèvres, puis la relâche en s’inclinant devant moi. Le deuxième est beaucoup plus emprunté, il n’est pas aussi gentleman, ne sachant pas trop comment procéder, mais il reste très correct et de la main m’envoie un baiser.

- Attendez deux minutes ici avant de me suivre, peut-être aurons-nous la bonne fortune de nous retrouver un jour, qui sait?
Pour ma part, je vous prie de croire que tout le plaisir a été pour moi. Ciao, messieurs.

Et je retrouve Camille, Stephane et les deux jumeaux qui guettent mon retour. L’homme spectateur volontaire ou non est à sa table accompagné de sa femme, sans doute. Ma copine toujours curieuse, me demande juste après m’être assise:

- Alors, raconte. Que t’est-il arrivé?

Je pince un peu mes lèvres et passe ma langue dessus pour bien la faire saliver de jalousie pendant que les garçons de retour s’installent à leur table à deux pas de nous. Sans pudeur et même triomphante, je lui narre assez fort pour que tout le monde autour puisse entendre:

- Eh bien, je leur ai montré que j’ai une culotte aujourd’hui en relevant ma robe tout simplement, mais ils ont entendu hier que nous désirions se raser la foufoune, toi et moi, et ils m’ont demandé si je l’avais fais. Pour qu’ils en soient certains, le
meilleur moyen c’était de la leur montrer et comme j’avais les deux mains prises, je leur ai autorisé à baisser ma culotte.
Mais ils ont pas été les seuls à voir ma zezette, ce monsieur là-bas en chemise verte est arrivé aux toilettes au même moment alors que j’avais ma culotte au niveau des genoux.

Je lui fais alors un petit coucou de la main, j’adore, il est tout rouge de confusion, et la tête de sa femme qui a l’air de suivre la conversation! C’est à mourir de rire! Il prend même une bonne baffe et elle se relève et part, lui la suit en essayant de se justifier, mais le coin de rue nous cache la suite des événements. Je suis quand même un peu vache, mais je n’avais pas l’intention de lui faire du tort, je voulais juste lui témoigner toute ma sympathie et la gratitude de m’avoir procuré, lui aussi, de l’excitation en lui montrant ma fontaine satinée.

C’est drôle, mais j’ai de plus en plus envie de m’exhiber, et je suis heureuse, car deux nouveau garçons vont avoir le loisir sans doute de l’admirer. Cette épopée m’a donné soif et j’ingurgite une bonne gorgée de bière, et je me tourne vers les jumeaux pour qu’ils nous dévoilent un peu leur personnalité.

Au premier abord, je les situe plutôt côté intellectuels avec un petit embonpoint qui m’indique que ce ne sont pas des sportifs, il se ressemble vraiment beaucoup, assez grands, timides, un peu gros nounours, et très souriants, c’est agréable.

- Et vous, présentez-vous! Dis-je.

- Je suis Fabien, dit l’un des deux et c’est mon jumeau, Jeremy. Moi je rentre en licence d’histoire et lui de lettres modernes, on est voisins de Stéphane comme vous l’avez compris.

- Moi, c’est Marion et ma copine, Camille. Nous rentrons juste en fac cette année, racontez-nous comment hier, vous nous avez aperçus?

- Eh bien, nous étions tous les deux au grenier pour ranger des livres. Par hasard, en jetant un regard par la fenêtre, je vous ai entrevus, dit Jeremy, Fabien a tout de suite regardé quand je lui ai dit que Stéphane était avec un autre homme et deux filles toutes nues. Nous avons alors eu l’idée de mettre une échelle double près du mur pour monter tout les deux dessus pour mieux vous voir et voilà comment nous nous sommes fait choper,

Stéphane propose de partir car il y a une grosse surprise qui nous attend et nous sommes même un peu en retard, Alain doit nous attendre......

À suivre.

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