Histoire Confinée 1

Comme tout mes weekend prolongé j'étais parti dans mon chalet dans le massif central. Rien de bien grand, mais assez confortable. J'avais fait plusieurs aménagements moi même (à défaut d'être bricoleur je savais bien suivre des consignes, mais ça m'avait pas empêché de louper mes raccord électriques). Le coin était isolé, souvent des animaux à prendre en photo pas de voisins. Le calme en somme pour écrire mes romans.

Sauf que cette fois j'avais de la compagnie. Un autre chalet, qui heureusement se fondait bien dans le paysage, avait été construit. Il était plus grand, deux étages, visiblement plus confortable. Durant deux jours il ne se passa rien, puis dimanche après-midi on toqua à ma porte. Finalement les proprios étaient arrivé.

J'ouvris donc ma porte avec un sourire pour me retrouver face à face avec une sublime jeune fille d'à peu près mon âge, cheveux brun, grands yeux, peau dorée et une poitrine à faire rêver. Elle tenait une tarte au pomme faite par sa mère et venait me l'offrir pour augurer nos futures relations de voisinages, autant dire que j'ai été courtois et pas juste par politesse. Elle m'invita à venir, pour faire connaissance. Sur le chemin je l'ai rapidement interrogé sur ses parents et elle m'appris que sa mère l'avait élevée seule et que cela faisait un moment qu'elle rêvaient de s'offrir un lieu tranquille en montagne.

Elle me fit rapidement le tour du propriétaire. Pour un chalet on était dans le haut de gamme en fait, avec une belle baie vitrée, une piscine chauffée, une terrasse en hauteur. L'intérieur était très bien décoré, tout en tableaux et en tapis pour éttoufer les sons. Sa mère avait du gout et étant un aficionados des musées en tout genre je m'y connaissais un peu. Bref, un endroit chaleureux, sans compter le salon qui comportait une grande cheminée avec une grille pour faire de la cuisine sur braise si besoin.

-Maman le voisin est la !
-Je me lave les mains et j'arrive !

Sa fille, qui se prénommait Daniella se tourna vers moi.



-Ma mère est comme ça, elle prépare toujours un petit quelque chose pour les voisins. Vous aimez la nourriture espagnole ?

Avant que j'ai pu répondre sa mère arriva. Absolument sublime, elle avait la quarantaine très bien portante, les même cheveux que sa fille mais des yeux plus fin et un visage plus angulaire, moins ovale.

-Oh ! Un beau jeune homme. Et moi qui m'attendais à un retraité hahaha. Je vous sers un jus de fruit ?

Je lui demandais un jus d'orange tandis que Daniella allait chercher des petits gâteaux. La mère se prénommait Léandra, portugaise de naissance elle s'était installée en France durant ses études. Elle était tombée enceinte au cours de sa vie moult et moult sulfureuse mais avait victorieusement terminée ses études et réussie sa vie monoparentale.

Nous avons discuté tout l'après midi. Je leur racontais que j'étais auteur de roman de sf et d'heroic fantasy à succès et que je venais ici trouver le calme et l'inspiration, tout en disant j'étais enchanté d'avoir des voisines aussi sympathique ! C'est tardivement que je suis rentré chez moi, après avoir convenu d'un autre après midi la semaine prochaine.

A ce moment la crise du covid n'en était pas vraiment une. On ne parlait pas sérieusement de confinement et je ne m'étais pas renseigné du weekend. C'est donc avec stupéfaction lundi que je pus lire dans ma maison (pas en bois celle la et nettement moins isolée) les mesures qui allaient être mises en place pour endiguer l'épidémie. Je téléphonais immédiatement à Daniella et Léandra. Aucun de nous n'avait envie de se retrouver piégé en ville et nous nous mîmes d'accord pour passer ce que nous pensions être juste un gros mois dans nos chalets.

Après avoir fait des courses essentielles et préparé mes affaires je filais donc dans mon havre de paix. Certes je paniquai un peu, et ne payait pas d'exemple en partant, ce qui ruinait l'effet du confinement, mais je me rassurait en voyant les gens acheter des caddie entier de papier toillette à la télé.


Les filles étaient déjà arrivées, elle m'aidèrent très urbainement à décharger ma voiture et je les invitait à prendre un verre chez moi. Elles apprécièrent l'ambiance "rustique" et l'odeur de bois qui flottait dans l'air, ainsi que les décorations en bois sculpté plus ou moins bien faites (pas par moi je précise) qui donnait un petit cachet à mon nid.

-Vous pensez que le confinement durera longtemps ?
-Probablement plus de deux mois ma chérie. Tu peux être sure que trop de gens ne respecteront pas bien les consignes.
-Vous croyez Léandra ?
-Oh oui. Je me tient toujours à jour sur les études sociétales même si j'ai arrêté dans cette voie. Croyez moi nous en aurons jusqu'à aout, voire septembre.
-Mais maman, comment tu vas faire pour le travail ?
-Oh pas de soucis pour ça ma puce. J'ai prévenue les différentes sociétés pour qu'elles m'envoie rapidement leurs documents, je pourrais m'occuper de leurs comptes sans problèmes, en plus nous aurons une baisse du travail générale. Et j'ai largement de quoi dans mon compte en banque. Oh mais j'y pense, et vous ?

Je lui dis que je n'avais pas non plus à me plaindre. J'avais aussi de quoi tenir et mes contrats avec mes éditeurs étaient suffisamment bon pour ne pas craindre l'avenir, tant que cela ne durerait pas jusqu'à décembre. A ce moment les mesures pour aider tant bien que mal (mais bon j'étais pas le plus à plaindre) n'étaient pas encore précisé.

La nuit tombant nous nous séparâmes pour nous revoir le lendemain. Pendant environ une semaine ce fut notre petit rituel de nous retrouver l'après midi, puis Daniella vint me trouver un matin. Sa mère me proposait de venir dans leur chalet pour la durée du confinement.

-Tu es sure que cela ne la dérange pas ?
-Oh non, absolument pas. On en a parlé, et c'est assez grand pour que tu puisses écrire et faire tes recherches le matin.
-Bon ben le temps de préparer mes affaires et je viens avec toi.

-Tu auras besoin que je t'aide à transporter quelque chose ?
-J'ai cueillis ses fruits ce matin, tu peux les prendre ? En plus ta mère pourra nous faire quelque chose de bon avec ça.

Ma première nuit fut particulièrement agréable. Nous avons parlé jusque tard dans nuit autour d'un gâteau dont je ne me souviens plus du nom. Au réveil je fis mes petits exercices matinaux pour rester en forme. En jetant un coup d’œil par la fenêtre je pus voir Léandra et Daniella en tenue de sport faire aussi un petit entraiment.

C'était particulièrement...intéressant. La brassière de Daniella moulait sa volumineuse poitrine comme il fallait, et son shorty mettait superbement bien son fessier en valeur. Léandra n'était pas en reste non plus, moins pulpeuse mais tout aussi bien mise en valeur, elle ne manquait pas d'atout, au contraire elle rayonnait.

Passé ce petit moment de détente je me rendais dans la salle de bain pour me rendre compte que je n'avais plus de lames de rasoir. Comme Léandra devait aller faire des courses je lui demandais de m'en acheter, lui disant bien naturellement que la prochaine fois ce serait à mon tour d'y aller.

-Aucun soucis. Bon, je vais partir maintenant, le trajet sera plutôt long et je dois acheter d'autres choses pour la maison. Je serai probablement de retour au milieu de l'après midi. Daniella je te ramène quelque chose ?
-Non ça ira.
-Bon, à cet après midi donc.

Daniella et moi prîmes un petit déjeuner. Elle avait gardé ses vêtements de sport et je dois avouer que je regardais pas que le lait de mon bol quand je buvais. Je l'aidais à faire rapidement la vaisselle puis nous avons discuté du programme de la journée.

-Il va faire beau aujourd'hui, on profite de la piscine ?

J'avisai avec grand enthousiasme, voir cette bombe en maillot de bain...brrr. J'allais rapidement me changer quand je me souvins que je n'avais pas de maillot de bain.
Pas grave, un caleçon simple ferait l'affaire.

Daniella avait déjà étendue les serviettes sur les transats et nom de dieu mais comme elle était canon ! Elle portait un bikini blanc qui retenait à grand peine sa poitrine de rêve et son string était délicieusement serré autour de ses hanches et ne tenait que par deux petits lacets. J'essayais de masquer mon trouble mais elle s'en rendit compte et pouffa d'un petit rire mignon en rougissant.

-Oh mais tu n'as pas de maillot de bain ? Attend je vais dire à ma mère de t'en prendre un tu mets du euh...combien ?

Après avoir envoyé un sms à sa mère elle plongea dans l'eau et je la rejoignit. Nous nous sommes amusés un petit moment en nous envoyant de l'eau puis petit à petit nous sommes allé au contact en nous balançant dans la flotte, nous amusant à nous faire tomber. Imperceptiblement nos corps se frôlaient puis se touchaient sans que nous fassions attention dans le feu de l'action. Mais nos corps s'en rendaient compte eux et tandis que ses tétons ressortaient sous le tissus mon caleçon commençait à se plier sous une érection.

Je tenais Daniella, collé à son dos et je m'apprêtais à la jeter à la flotte derechef quand je me rendais compte de la douceur de ses bras dans mes mains, et de sa poitrine que comprimais dans mes bras sans faire exprès. Elle de son coté sentait mon torse contre son dos et...pas besoin de faire un dessin.

-Hmm, je te fait de l'effet ?
-Ben, tu as quand même de quoi je dois avouer. Et toi ?
-Aussi. Tu as la peau chaude et...je la sens bien contre mes fesses.

Elle se trémoussa légèrement, comme pour apprécier ma dureté, ce qui eut pour effet de me rendre encore plus dur. Faisant suite je commençais à lui caresser les bras et à bouger mes bras contre sa poitrine. Daniella pencha la tête en arrière par réflexe je l'embrassais. Elel me répondit à pleine bouche et avant que nous ayons pue dire ouf nous étions enlacés, en petite tenue, en pleine nature sous un soleil matinal.

"Vient", me murmura t elle avant de m'entrainer vers le rebord de la piscine. Nous nous y assîmes tout les deux, mon érection tendait le tissus comme il fallait, et le corps de Daniella dégoulinant d'eau aidait bien. "Je peux ?"

Avant que je ne comprenne elle s'était remise dans l'eau et m'avait ôté mon caleçon, j'étais désormais nu devant cette beauté, mon sexe pointant fièrement vers le ciel. Je me penchais pour embrasser Daniella mais alors que j'allais lui dénouer son haut de bikini elle m'arrêta.

-Pas tout de suite, j'aime bien attendre un peu d'abord. Hmm punaise ta bite est dure, et elle m'emboucha.

Je serais immédiatement les mains sur le rebords. C'était incroyable. Je me faisais sucer par cette bombe à damner un saint comme dans mes meilleurs rêves, non mieux ! Elle y allait avec un entrain admirable, débordant. Elle ne cessait de pousser des gémissements tant elle appréciait d'avoir mon membre en bouche. Sa langue était..whaou, elle en avait de l'expérience.

Elle me suça ainsi un bon quart d'heure, alternant des moments doux où sa langue m'enserrait délicieusement et d'autres ou elle me pompait avec une ardeur qui me faisais défaillir. Je ne pus retenir mes cris quand elle donna un coup de langue particulièrement bon et et poussais d'autres quand elle recommença. Elle se fit ensuite un plaisir de m'asticoter le gland, endroit ô combien sensible pour me laisser haletant, tremblant même tellement c'était bon.

Daniella me regarda de ses grands yeux, mon sexe toujours à demi en bouche elle me demanda,

-Tu es long à te remettre ?
-Non.
-Cool !

Elle reprit sa fellation comme une furie, avec un volontariat magnifique pour me faire jouir. J’eus beau agripper le rebord jusqu'à en avoir les mains blanches, me retenir le plus longtemps possible, j'étais au bout de mon endurance. Daniella était tellement douée, tellement belle que je pus retenir un,"Putain Daniella tu suces tellement bien !"

Elle me donna un dernier coup de langue et je craquais, explosant dans un orgasme sublime, giclant à grands jets puissants dans la bouche de cette beauté en criant à plein poumon. Quand elle lacha mon membre j'étais complètement sonné, incapable de penser à quoi que ce soit. Elle m'entraina dans l'eau et me câlina jusqu'à ce que je me remette de cette superbe pipe.

-Oh Daniella tu es..fantastique
-Oui, je sais, et toi aussi. Tu as tenu longtemps. Hmm c'était si bon d'avoir ta queue en bouche. Quand j'ai sentis ton sperme taper contre ma gorge..j'étais tellement contente de te faire jouir aussi bien. J'ai hâte que nous faisions l'amour.

Comme toute réponse je l'embrassais. Pendant un moment nous nous sommes caressé puis je la déshabillais en douceur. Je défis d'abord son haut. Sa poitrine opulente attira irrésistiblement mes mains. Je malaxais ses seins de championne avec toute la douceur et l'art qui s'imposait devant de tels chefs d’œuvres. Quand j'estimais avoir assez satisfait Daniella de coté la je défis les ficelles de son string qui coula au fond de la piscine, rejoignant nos vêtements.

Nous étions collés l'un contre l'autre, appréciant le contact de nos peaux nues. Je recommençais à bander et allait caresser l'entre-jambe de Daniella quand elle m'arrêta. Elle fixa de ses lèvres pulpeuse, qu'elle se mordait d'une manière sublimement sexy. Quelle fille !
-S'il te plait..j'aimerais le faire dans ma chambre.

Une minute plus tard, le temps de nous sécher, nous étions sur le lit moelleux de Daniella. Sa peau frissonnait de chair de poule, ses yeux brulaient de désir, tout en elle débordait de cette envie de sexe, et moi aussi.

Je m'appliquais à la doigter avec douceur, veillant à bien passer partout. Je raclais sa vulve d'une pression légère et excitait son clito de mon pouce. Je faisais grandir le désir petit à petit, le laissant se développer, mûrir comme un fruit. Elle était aux anges, agrippant les draps et un sourire béat sur son visage.

-Tu aimes ?
-Ooh...oui. Hmm tu me doigte tellement bien.
-A ce point ?
-Oui...aaaah. Je la sens qui vibre de tout ton désir pour moi..mais..ooh c'est bon. S'il te plait...viens sur moi.

Je suivais promptement sa demande et me positionnais au dessus d'elle. Elle jeta un regard vers mon sexe qui allait la pénétrer. Elle passa ses mais autour de mon dos en m'embrassa. Le baiser fut long, sensuel. Nos lèvres se mélangeaient en un ballet, et je la pénétrais de toute ma longueur. Daniella poussa un OUF quand elle me sentit complètement en elle.

-Allons y ma belle.

Je pris cette beauté de toute la longueur de mon membre. J'alternais coups de reins lent et d'autres plus rapide, variant sans cesse les plaisir, mais toujours profondément. Pendant un long moment nous avons continué ainsi, nos yeux rivés, sa bouche entrouverte laissait échappé des gémissements de contentements. Quel bonheur ! Quel pied de donner autant de bien à une fille aussi sublime ! C'était si bon de sentir ses jambes se serrer à mesure que je faisais mes mouvements de va et vient.

Sentant le moment où elle jouirait approcher je me fis plus sauvage et accélérais le rythme. Bientôt je la baisais à fond, serrant les dents pour me retenir. Daniella se mit à couiner délicieusement puis à crier.

-Aah..Aaah..Aaaah...oui ! OUI ! OH PUTAIN T'ARRÊTE PAS !

Je me déchainais, la culbutant de toute mes forces comme dans un sprint. Le visage de Daniella s'illumina et elle poussa un grand cri aigu, elle venait de jouir. Je m'appliquais à la culbuter encore, prolongeant son orgasme quelques secondes de plus, quelques secondes où son visage était transcendé par l'orgasme.

Je m'affalais à coté de Daniella. Elle prit un moment pour reprendre ses esprits et se jeta sur moi pour m'embrasser, plaquant ses gros seins lourds contre mon torse.

-HMMM ! Merci ! C'était géant !
-Pfiouu, c'était un plaisir ma belle.
-Hahaha, j'imagine bien.

Elle se pelotonna contre moi un moment et avisa mon sexe toujours dressé. Elle le prit en main et commença une masturbation lente, rien de trop bon pour me faire jouir. Je la regardais faire, hypnotisé par cette main qui m'enserrait le pieu et me faisait du bien. Je fis un smack sur l'épaule de Daniella et sur ses seins. Ce petit câlin était le bienvenue avant de reprendre. Moment qui arriva sans trop tarder.

-Mon chéri ?
-Oui ?
-Tu peux t'allonger ?

Je m'éxécutais et Daniella cessa de me masturber pour se mettre à califourchon sur moi. Elle positionna ma queue vers son sexe et s'empala sans plus de procès, m'arrachant un gémissement de plaisir.

-A mon tour !

Daniella commença immédiatement par de forts coups de reins, me déstabilisant totalement. Elle me secouait comme un prunier, se déhanchant avec aisance et puissance, ballotant sa poitrine de rêve que je m'empressais de saisir à pleine main ! Ses seins étaient doux, chauds. Elle me regardait avec un grand sourire, heureuse de me voir prendre mon pied.

-Hmm vas y chéri ! Fais ce que tu veux avec !
-Je vais pas me gên.Aaaaah !
-Hahaha, je vais te faire jouir !
-J'ai encore de la ressource !
-Ah oui ? Et si je fais CA, CA, CA et CA ?

Daniella ponctua chacun de ses CA par un grand coup de bassin qui me faisait décoller. J'étais au paradis, mais pas encore prêt à jouir. Je posais mes mains sur les hanche de Daniella pour la ralentir et réussit petit à petit, malgré ses efforts pour tenir ce rythme délicieux.

-Et maintenant mon beau ?
-Maintenant c'est le final ma belle !

Avec force je renversais Daniella et la mit à quatre patte pour une bonne levrette. Chaud bouillant comme nous étions je ne perdis pas de temps et démarrais immédiatement sur un rythme puissant. Daniella cria son plaisir mais me taquinais juste ensuite.

-Hmm ! Attends que je me remette sur toi.
-Cause toujours han, han han !
-Aaaaa !
-Pfou, alors ?
-Putain t'es trop bon vas y démonte moiiiiiiii !

Pris dans la frénésie du moment je claquais avec plaisir le cul rebondie de ma partenaire. C'était si bon de le cogner avec force, avec cette amplitude. Je mis ensuite Daniella à genoux et pris ses seins volumineux dans mes mains, les malaxant, les caressants, les pinçant avec un plaisir démentiel. J'embrassais Daniella dans le cou et murmurai à son oreille.

-Tu aimes ça hein ? Tu aimes comme je te démonte ? Smack ! T'es tellement bonne je pourrai faire ça toute la journée !
-Oui ! Oui ! Aaaaah !

Je remis Daniella à genoux, lui malaxant toujours la poitrine avec un joie débordante. Sa peau était douce, si douce. Elle était tellement sexy à hurler de plaisir, avec ses long cheveux et ses fesses de rêves. Je me collais à Daniella et me lançait dans le sprint final, m'aggripant à ses seins. Elle poussa un hurlement de jouissance qui me parut durer une éternité et à mon tour explosai de plaisir, me déversant en elle comme un geyser. Exténués par cette baise mémorable nous ne pûmes que rester l'un à coté de l'autre sans rien dire. Quel pied !

-Chéri ?
-Oui ma belle ?
-On retourne dans la piscine ?
-Avec plaisir.

Et alors que nous allions nous lever.

-Ola je suis rentrée ? Où êtes vous ?

Léandra ouvrit la porte et nous trouva ainsi nu, après une séance de sexe. Mon sexe était encore un peu gonflé et Daniella s'était lové contre moi. Pendant un instant j’eus peur de sa réaction mais elle se contenta de rire.

-Haha, j'arrive au bon moment je dira. Bon, vous descendez ? Ce midi on fait simple.

Elle repartit sans fermer la porte, non sans m'avoir maté sans vergogne. Je me tournai vers Daniella.

-Elle n'a pas froid aux ta mère.
-Ah ça. Faut dire aussi que t'es mignon.
-Par contre j'ai plus de vêtement..
-Pas grave hihi.

Quand nous sommes retourné à la piscine Léandra s'était mise en maillot de bain et s'était allongé sur un transat. Elle releva ses lunettes de soleil avec un sourire coquin.

-Je suis tombé sur un magasin plus proche. J'ai ramené un maillot de bain, mais je crois que nous pourrons nous en passer. Alors cette séance de galipettes ?

Daniella raconta tout à sa mère dans les moindres détails. Elle ne s'était pas rhabillée en allant dans le bassin et je dus résister pour faire de même, mais bon comme ça ne gênait pas Léandra, au contraire, je m'y habituai assez vite. Elle avait apporter des plateaux remplis de fruits et de petit trucs en tout genre. Et naturellement ils étaient loin du bassin, autant pour éviter un accident que pour me forcer à sortir de l'eau. Cela dit je ne perdais pas au change puisque je pouvais reluquer sa fille comme un pacha.

-Donc tu as de bonnes performances on dirait ?
-Je ne dirais pas ça comme ça..ahem. C'est juste qu'avec Daniella ben...c'est difficile de pas être au niveau.
-Eh bien ma puce voila un joli compliment. On me disait ça aussi quand j'étais plus jeune.
-Oh ça va, vous n'avez rien à redire non plus.
-Mais quel flatteur. Je regretterai presque de ne pas avoir été à la place de ma fille.
-Hpmh..euuuh.

Rouge comme une pivoine je mettais mon caleçon de bain cette fois je décidai de faire une petite sieste sur un transat. Daniella choisit de s'allonger sur l'herbe mais en intégral pour le peu de temps de soleil qu'il nous restait. Inutile de dire que je ne pus pas trouver le repos et à la place je discutais avec Léandra.

-Vous êtes très...
-Surprenante ?
-Oui voila.
-Je ne me refuse aucun plaisir. Mais je dois dire que je regrette de ne pas être rentrée plus tôt, quel spectacle j'ai du manquer.
-Hmm, vous faites ça exprès pour me faire rougir ?
-Un peu oui (comment ça juste un peu ?), mais reconnais que tu apprécies non ?
-Ahem...oui.
-Il y a quelque chose ? Ne te sens pas gêné voyons.
-Je dois..avouer que me retrouver devant vous, dans cette situation c'est très..
-Excitant ?
-Oui exactement.
-Parce que je suis sa mère ?
-Pas que, franchement....vous êtes vraiment excitante vous même. Je me dis que si vous nous aviez surpris en pleine action..
-Tu aurais bien voulu que je puisse admirer tes performances ? N'aie pas honte de tes fantasmes.
-Surtout pas après ce que tu m'as mit !
-Oh pardon ma puce. Viens, nous allons la laisser dormir.

Léandra et moi allâmes à l'intérieur. A travers la vitre je pouvais voir le corps de sa fille, elle s'était retournée sur le dos et sa poitrine opulente, son ventre plat..brr. Je m'assit dans le canapée, avec sa mère à coté de moi.

-Ah qu'elle est belle ma fille n'est ce pas ? Non seulement elle a tout pour réussir mais en plus elle profite à fond. Je ne compte plus le nombre de ceux qui sont passé sur et sous elle.
-Franchement elle est inoubliable pour sur.

La mère me conta moult anecdotes sur sa fille, des moments qu'elle avait vu furtivement ou d'autres qu'elle avait carrément espionné, quelle femme dis donc ! Entre ses histoires et son corps à quelques centimètres de moi je ne pus empêcher une nouvelle érection. J'essayais de la cacher mais Léandra m'arrêta net.

-Allons, ça me plait bien de te mettre dans cet état. Tu voudrais bien faire chose pour moi ?
-Oui ?
-Te lever et me laisser voir ce que j'ai manqué.

Avec une certaine appréhension je me levai face à Léandra. Sous son regard encourageant je brisais mes dernières barrières et ôtai mon vêtement. Ça y est. La mère comme la fille m'avaient vu à poil entrain de bander. La belle quadra me détailla un moment, souriant quand sous l'afflux de l'excitation mon sexe tremblait. Elle se leva à son tour, enleva ses lunettes et se colla à moi.

Je n'osai rien faire tandis qu'elle m'enlaçait et me couvrais de baisers. Je répondais mais mes mains restaient bloquées le long de mon corps. Comprenant mes appréhension elle ne dit rien et se contenta d'agir. Elle se mit à m'embrasser le torse alors que ma bite gonflée de désir subissait ses caresses expertes.

-Oh.

Léandra me relâcha et se recula. Avec un sourire doux elle fit glisser les bretelles de son bikini puis l'ôta. Sa poitrine était moins grosse que celle de sa fille, mais d'une belle fermetés. Réagissant je l'enlaçais en la serrant contre moi, plaquant mon sexe contre sa cuisse. Elle répondit avec passion, se frottant contre moi et prenant possession du baiser, me caressant de toute son expérience. J'avais le corps en feu, chaque parcelle de peau caressée débordait de plaisir charnelle sous ses caresses érogènes.

N'en pouvant plus je défis les nœuds de son bas, la mettant à nue. Je n'avais qu'une envie, la baiser à fond tout de suite. Mais elle se déroba et, prenant un peu de distance, s'assit sur le canapé. Elle me fit ensuite m'approcher pour glisser mon sexe entre ses seins et entamer une branlette espagnole. Je ne tardais pas à ahaner tellement c'était bon. Mon sexe glissait de toute sa longueur puis j'accélérai le rythme en donnant des coups de bassins. Loin de se laisser décontenancée Léandra répondit en accélérant le rythme de sa branlette. Ce petit jeu dura plusieurs minutes avant que je ne rende les armes et me laisse tout simplement porter. Après un moment elle stoppa sa branlette et se prépara à me prendre en bouche.

-Ma fille t'as t elle déjà sucée ?
-Oui.
-Tu as une belle bite, bien proportionnée. Hmm, je me régale déjà. Tu es encore tendu, tu as peur de ne pas être à la hauteur ?
-Je...oui.
-Chuut respire. C'est normal d'être impressionné. Ne t'en fais pas tu es très bien. Tu ne me décevras pas, je sais déjà que tu me combleras.

Elle prit mon sexe en bouche pour démarrer une incroyable fellation, qui était d'autant plus intense dans mon état. Elle ne suçait pas avec la même fougue que sa fille mais putain quel talent ! La douceur avec laquelle sa langue glissait contre ma hampe, son souffle chaud, le mouvement de ses lèvres qui n'étaient que volupté. Je dus m'appuyer sur ses épaules pour ne pas défaillir alors que dans le même temps elle caressait les jambes, le dos, mon torse.

Elle changea de technique et se mit à glisser le long de ma queue comme avec un rail, puis elle me lécha la hampe lentement, faisant grimper le plaisir jusqu'à mon gland qu'elle laissa frémissant.

-Humm...tu as une...hum bite délicieuse...hum..hum...Elle est douce..hum chaude..hum hum hum..et belle.

Elle me donnait bien plus de plaisir que Daniella, mais me suçait maintenant depuis deux fois plus longtemps au moins. Léandra avait fermé les yeux, comme pour savourer cette sucette de chair. J'avais chaud, tellement chaud. J'étais une fournaise et je ne demandais qu'à évacuer cette chaleur, cette jouissance qui coulait dans mes veines et exsudait par la moindre de mes pores. Alors que mon souffle devenait erratique je prévins mon amante que j'allais jouir. Loin de s'arrêter elle continua sur le même rythme, imperturbable. Je me mis à crier avant même de jouir quand elle glissa un de ses doigts à l'orée de mes fesses. D'un seul coup je sentis la tension disparaitre pour laisser place à un paradis. Sentant mon orgasme Léandra cessa de me sucer, pointa mon sexe vers sa poitrine et me masturba.

J'étais comme transpercé. J'éjaculais sans plus rien sentir tellement mon orgasme était fort. Chaque jet, chaque giclée puissante m'arrachait un hurlement. Léandra augmentait mon orgasme par sa masturbation parfaitement dosée à mesure que je lui maculais le coup, que je me déversais sur ses seins. Même quand je n’eus plus rien à envoyer ma bite continua de se contracter, de m'irradier de plaisir comme tout le reste de mon corps. Je repris petit à petit contenance dans la bouche de Léandra qui ne me relâcha qu'une fois que je fus nettoyé. Elle était odieusement sexy, couverte de ma semence.

Je restais debout devant elle une longue minute, savourant cette incroyable jouissance. Elle se contenta de s'installer dans le canapé, satisfaite d'avoir fait jouir aussi bien le jeune homme que j'étais. La porte de la baie vitrée se ferma alors. Daniella, qui s'était rhabillé nous regarda, mordant distraitement ses lèvres.

-Alors maman satisfaite ?
-Ma puce ce n'est pas à moi qu'il faut demander. Alors jeune homme ?
-Je...je..Pfiou. Je serai encore en état que je vous prendrais sur le champ Léandra.
-Hohoho ! Alors que je suis la ?
-Désolé Daniella mais franchement. Ta mère est comme toi, juste trop bonne.
-Hahaha. Vu comment tu prenais ton pied. Dommage que je sache pas sucer aussi bien.
-Ne t'en fais pas ma puce ça viendra. Bon, en attendant je vais prendre une douche. Eh bien mon beau, voila longtemps que je rêvais qu'on me jouisse dessus aussi fort, surtout avec une semence aussi délicieuse en bouche.

Sur ces paroles fortement appréciées elle se leva et grimpa l'escalier. La vue de son corps nue me laissa coi pendant que Daniella m'enlaçait et prenait mon sexe dans ses mains. Elle n'eut pas à jouer longtemps avec pour que je redevienne dur, malgré la formidable jouissance toute récente.

-Putain t'es déjà d'attaque !

Je me retournai vers elle et l'embrassait à pleine bouche tout en lui malaxant la poitrine à travers son bikini. Elle crut que j'allais la mettre à poil mais à la place je me reculais et me dirigeai vers l'escalier.

-Désolé Daniella. Mais j'ai trop envie de ta mère pour résister.

Elle me jeta un regard m'indiquant qu'elle comprenait et que surtout elle n'était pas déçue, au contraire même.

-Tu pourras laisser la porte un peu entrouverte s'il te plait ?

Je lui répondis par un sourire et montait. Léandra faisait déjà couler l'eau. J'entrais dans la salle de bain sans faire de bruit, laissant la porte un peu entrouverte pour Daniella. Je me mit à bander encore plus fort à l'idée que j'allais baiser sa mère sous son regard. J'entrais dans la douche, le crissement de la porte indiqua ma présence à Léandra qui me tournait le dos mais elle ne réagit pas. Elle frissona par contre quand je me collait à elle et murmurai à son oreille.

-Léandra. J'ai encore envie de vous.
-Oh !
-J'ai envie de vous prendre sans attendre, j'ai envie de vous baiser, j'ai envie de vous faire jouir.
-Oui...

Je commençais à la caresser, glissant sur sa poitrine et titillant sa vulve mouillée, pas seulement par la douche. Je lui embrassais le cou avec attention, veillant à ne laisser aucune parcelle de peau négligée. Je glissais mon sexe contre ses fesses et commençais un mouvement de va et vient, frottant de temps à autre mon membre ailleurs contre elle pour qu'elle sente bien ma dureté et mon désir.

-Tu veux me sodomiser ? Me demanda t elle d'un souffle.
-Non. Pas encore. Retournez vous s'il vous plait.

Elle se retourna et qu'est ce qu'elle était belle. Ses cheveux plaqué par l'eau qui glissait le long de son corps fuselé, sur sa poitrine ferme et sur son ventre plat. Je la pris dans mes bras et la poussait lentement contre le mur. Elle augmenta l'intensité et la chaleur de l'eau, excitant notre désir. Elle était plus grande que moi et savait très bien ce que cela signifiait. Elle regarda mon sexe avec un sourire.

-J'espérais y avoir droit, mais je ne pensais pas de si tôt.
-Avec des filles comme vous, difficile de ne pas vous satisfaire.

J'entrais lentement en elle, savourant de pouvoir la pénétrer facilement. Je me mit à la besogner sur un rythme lent, mais avec puissance. Coincée contre le mur elle ne pouvait que subir mes délicieux coups de reins et gémir au fur et à mesure que mon sexe faisait des vas et vient en elle. Nous n'entendions que le clapotis de l'eau et j'oubliais bien vite Daniella qui nous épiais.

Tout en profitant du plaisir que je lui donnait Léandra se mit en devoir de mettre ses talents en œuvre. Comme plus tôt elle se mit à me caresser le corps, passant avec délice ses mains contre mon torse ou mes cuisses. Je ressentis une décharge électrique qui me fit claquer des dents pour le plus grand plaisir de ma partenaires qui rejeta la tête en arrière et m'offrit sa poitrine en offrande. Je la dégustais un long moment sans faiblir puis l'envie nous pris de changer un peu les choses.

-Recu...le toi...oh tu as un bon coup de rein...Ce sera tellement plaisant de te donner des leçons.
-Han..han...C'est la première fois que je baise avec une femme aussi belle et aussi expérimentée.

Je me reculait, sans cesser de la pénétrer, elle me stoppa néanmoins, juste un moment. D'un signe des yeux elle me fit signe de regarder plus haut. La douche n'était pas cloisonnée au sommet et avant que j''eusse le temps de réaliser, Léandra s'accrocha avec les mains tout en restant sur mon pieu. Elle enroula ses jambes autour de mes hanches et se pencha en arrière, m'offrant la vision érotique de sa poitrine dressée frappée par l'eau.

Je lui saisit les fesses et commençais à lui donner de forts coups de reins, rapides et profonds. Léandra pencha la tête et laissa échapper un gémissement rauque, subissant mes assauts. Du moins je le crus pendant un moment avant qu'elle ne donne à son tour un beau coup de rein. Elle se cambra de nouveau comme un arc pour aller à ma rencontre en me regardant dans les yeux.

Nos bassins allaient en rythme, se percutant avec force, arrachant à chacun de nous des gémissements. Elle était légère dans mes bras dans cette position, me permettant de la porter sans me fatiguer et d'enchainer sans faiblir les vas et vient. Ne résistant plus à ses seins je la rapprochais de moi pour les dévorer, les couvrir de baisers et autres attention. Ils étaient doux dans ma bouche et Léandra m'encourageait, appréciant le soin que je mettais à m'occuper de sa poitrine avec une douceur qui tranchait avec la force de nos ébats.

-Ah ! Ah ! Ah ! Oh mon dieu tu es parfait !
-Ouh ! Vous allez bien...gniih..tôt jouir ?
Ah..Aaah..Aaaaah ! Oh oui ! OUI OUI OUI !!!

Léandra jouit alors sans que je ne m'y attende, tremblant de partout en poussant de grands cris. Elle faillit déclencher ma jouissance mais je tint bon et continuais à la matraquer de coups de reins pour son plaisir si beau à voir. Je n'avais toujours pas cessé de la baiser quand elle se détendit et reprit ses mouvements. Quelle endurance !

-A ton tour maintenant de m'honorer mon beau garçon.
-Héhéhé, je peux encore tenir un certain temps.

Je ponctuai ma remarque en accélérant mes coups. Mais Léandra en avait vu bien d'autres et se contenta de me sourire...avant de jouer avec ses muscles vaginaux. Immédiatement je poussais un cri, prit par surprise par ces caresses inattendues.

-Contrôler ses muscles est la clé pour un orgasme réussit, ou en donner un...

Ma partenaire m'enserra dans une véritable cage de plaisir et se mit à ruer quand je fis mine de ralentir pour garder en contenance. Incapable de résister à cette brusque montée de sensations je perdis pied sans pouvoir me retenir et dans un soupir crispé de jouissance je me déversais, inondant Léandra de ma semence, jouissant d'autant plus fort que les tressautement de mon sexe dans le sien me faisait de véritables décharges orgasmiques. Une fois vidé je me retirai d'elle et sans mot nous nous lavâmes mutuellement, insistant particulièrement sur certaines parties.

Nous sortîmes de la douche nues, juste devant Daniella qui nous regarda avec un sourire que je commençais à connaitre. Sa mère lui fit plaisir en soulevant mon sexe et en soupesant mes bourses, repues de plaisir de que nous étions.

Elle nous tendit nos vêtements de bain en pouffant et nous descendîmes passer le reste de l'après midi à des jeux. Après tant de plaisir il n'était plus question de faire l'amour mais je sentais que les semaines suivantes seraient très riches. Le soir venu nous allâmes nous coucher, non sans que Léandra demande une dernière fois à me voir nu.

Je m'installais dans mon lit et vaquais à mes occupations, regardant vite fait les infos sur la pandémie et m'occupant d'autres trucs. Je pris ensuite un livre en écoutant distraitement de la musique.

On toqua discrètement à ma porte et Daniella entra. Elle était vêtue d'un peignoir léger gris, largement ouvert et couvrant à peine sa poitrine volumineuse.

-Coucou, je peux ?
-Bien sur, entre.

Daniella s'assit à coté de moi, ne faisant rien pour cacher son corps sublime.

-Eh bien...Je voulais discuter de cet après midi, quand tu étais avec mère.
-Oui ?
-Je voudrais savoir comment c'est. J'ai jamais couché avec des gars plus vieux que moi, enfin pas trop.
-Ben. Disons qu'il y a une part de fantasme, mais aussi comme elle a l'expérience elle sait quoi faire pour faire grimper le plaisir. La différence c'est que je suis pas sur un pied d'égalité, elle est largement meilleure que moi au sexe et avoir conscience de ça quand et réussir quand même à la satisfaire. Il y a un défi qu'il n'y a pas avec toi parce que euuuh ça sonne bizarre mais tu comprends.

Daniella pouffa de rire en me voyant galérer. Elle m'embrassa distraitement et se leva.

-Tu vas te coucher ?
-Non prendre ma douche. Tu veux pas venir ?
-Non, je vais pas tarder à dormir, vous m'avez épuisé haha.
-C'est pas ce que je vois....

Pendant notre discussion mon sexe s'était redressé, il faut dire avec la bombe d'érotisme qu'était Daniella essaye de rester de marbre. Elle se mit à genoux face à moi et commença à cajoler mon sexe de ses mains.
-Hmm, j'ai bien envie de le reprendre en bouche, mais je me suis lavée les dents. Non dit rien, je vais pas te laisser dans cet état. Hmm je sais.

Me décochant un regard de braise elle écarta un peu plus les pans de son peignoir, laissant à peine ses obus à l'intérieur. Avec un sourire coquin elle cala mon sexe dans sa poitrine et commença une branlette espagnole.

Je savourais un long moment la douceur de sa poitrine, la chaleur de son corps. Ce n'était assurément pas la première fois qu'elle en faisait vu comment elle se servait de ses atouts charnels avec une habitude évidente. Elle continua un petit moment avant de s'arrêter. Elle se leva et dénoua son peignoir, me laissant le loisir d'admirer son corps. Elle regarda mon sexe dressé un instant puis s'assit sur moi en me tournant le dos.

Je Je rentrais à nouveau dans son fourreau de chair avec un soupir de plaisir. Je me mit instantanément à prendre sa poitrine en main et à lui titiller le clito. Son cou gracile s'offrait à moi et je l'embrassais, humant l'odeur de sa peau. Le peignoir léger n'était qu'une barrière minuscule, mais elle suffisait à me faire bander à mort tant c'était un fantasme rêvé.

-Aah..Aaah...J'ai toujours adoré faire l'amour avec ce peignoir.
-Ooooh Daniella...
-Hmm oui caresse moi les seins comme ça..oui pince encore..oui...oui

Mon amante posa ses mains sur mes cuisses pour soutenir ses mouvements réguliers qui me faisaient chavirer avec ses fesses douces qui frottaient contre mon pubis. Je délaissai ses atouts pour poser mes mains sur ses hanches et l'accompagner dans cette danse sexuelle. Elle se tordit pour pouvoir m'embrasser et je me perdais dans ses yeux remplis de sensualité. Elle se mit à frôler mes lèvres avec la même régularité lente mais fluide que ses coups de bassins, extériorisant le plaisir intense qu'elle éprouvait sur ma queue.

Sentant mon endurance décliner j'informais Daniella de ma jouissance proche si elle ne s'arrêtait pas. Elle se releva alors, pour ce que je pensais être une pause. Elle était sexy, avec son vêtement ouvert qui ne masquait rien.

A mon grand plaisir, et à ma grande surprise, la belle se mit à genoux devant moi et cala mon sexe dans ses magnifiques obus encore une fois. Elle commença un va et vient rapide et intense, me gratifiant d'un sourire éclatant alors que je fondais sous la douceur de ses seins.

-Daniella je vais pas tenir !
-Je sais mon chéri, vas y, je veux te faire jouir !

Incapable de résister à plus je craquais et jouis dans un soupir libérateur, arrosant la poitrine de Daniella de ma semence. Satisfaite elle se redressa, incroyablement sexy avec mon sperme sur son buste qui coulait vers son ventre. Elle me nettoya ensuite le sexe puis partit prendre sa douche.

-Bonne nuit mon coquin, fait de beaux rêves.

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