Terma 100: En Vacances À Quatre, En Pension Et Chambre Communes (2) :

Le matin, je me suis réveillé vers 9h, et ma femme Malika dormait toujours, alors que l’autre couple était déjà sorti. J’ai réveillé Malika puis je suis allé à la salle de bain pour mes besoins et une douche. Juste après, ma femme a prit ma place sous la douche et je l’entendais murmurer une chanson. J’étais certain qu’elle repensait à sa nuit sous les coups de la bite de notre ami Amar. Elle était donc heureuse et le fait d’avoir trompé son mari et presque en sa présence ne semblait pas l’inquiéter ni même la toucher. Nous sommes sortis en ville après un bref petit déjeuner en bas. A deux ou trois reprises je lui ai demandé si elle était contente de ses vacances et elle me répondait qu’elle était enchantée. A un moment, je lui ai demandé si elle n’était pas gênée par la présence de l’autre couple surtout la nuit. Elle me regarda bizarrement puis elle me sourit et me dit qu’elle n’était pas du tout gênée, bien au contraire, elle trouvait que leur compagnie était très enrichissante. Elle le dit avec le sourire en coin, donc elle ne pensait vraiment qu’à l’intérêt sexuel qu’elle en tirait. Je n’ai pas insisté et nous avons continué notre promenade. L’après midi, vers 17h, alors que nous étions sur la plage, assis face à la mer et au milieu de beaucoup de gens, elle se leva brusquement et me dit qu’elle doit retourner à l’hôtel pour des besoins urgents. Je me suis levé aussi pour l’accompagner mais elle refusa, précisant que c’était un problème lié à ses règles et qu’elle allait prendre certains médicaments, se soigner et revenir dans deux heures au maximum. Mais comme j’étais un peu inquiet, j’ai voulu quant même la suivre en cachette, alors j’ai ramassé notre sac de plage et nos serviettes, et rapidement je l’ai repérée rapidement assez loin au milieu des gens. Mais elle n’était plus seule, c’était notre ami Amar, son amant d’hier soir, qui l’accompagnait. Ils étaient enlacés et il lui tapotait largement les fesses. Ils discutaient et semblaient rigoler, puis ils s’éloignèrent vers la partie des résidences, au point de disparaitre de ma vue.

Je n’osais pas courir pour ne pas attirer l’attention sur moi. Mais quelques minutes plus tard je suis arrivé à l’hôtel et tout de suite j’ai constaté que notre clé de chambre n’était plus au tableau. Je suis monté et arrivé au niveau de notre chambre, j’ai collé mon oreille contre la porte. Et comme prévu, j’entendais parfaitement leurs rires et paroles. Puis leur chute sur le lit et les bruits de baisers et les gémissements qui démarraient. Ma femme lui disait de la niquer à fond et à son aise, oui elle a utilisé ce mot et avec un rire prolongé et sonore. Et lui a répondu que son zeb était à sa disposition pour une heure. Et ils ont commencé à baiser avec bruits de vas et viens mouillés entre chatte et zeb ainsi que des gémissements, des « ahhhh » et des « oooh » fortement haletés et prolongés. Ils disaient des tas d’autres choses érotiques et cochons pour augmentation leur excitation. Un moment je voulais partir puisque j’avais suffisamment entendu et compris, mais je ne sais pas ce qui m’a poussé à rester collé à la porte. A un moment, l’homme lui a parlé de moi le cocu, et elle a répondu qu’il ne se doutait de rien. Et elle a ajouté que son zeb à lui était deux ou trois fois plus gros, plus long et plus puissant que le sien. Il lança un rugissement de lion à cette flatterie et ma femme y répondit par un hurlement « ahhhh » de plaisir. Il a du la pénétrer encore plus fort à cet instant, son zeb enfoncé jusqu’aux couilles. Elle a encore ajouté qu’elle voulait qu’il la pénètre dans son cul comme il l’a fait pour sa femme et il a répondu qu’il lui ouvrira sa Terma demain, comme aujourd’hui. En disant cela, ils éclatèrent de rire, ensemble. Je ne voulais plus entendre parler encore de moi, alors j’ai abandonné la porte et je suis retourné à la plage. Mais je me suis installé à l’entrée de la plage dans un endroit me permettant de les voir venir.
Et plus d’une heure après, ils sont revenus, se tenant serrés entre eux, puis ils se sont séparés. J’ai préféré suivre l’homme de loin, et quant il a rejoint sa femme, beaucoup plus loin, de l’autre coté de la plage, je les ai observé.
J’avais pensé que sa femme allait faire une scène à son mari pour sa longue absence, mais au contraire, elle l’a enlacé et embrassé. Elle semblait lui poser des questions et il répondait en hochant positivement la tête et en souriant. Elle semblait heureuse de ses réponses et l’embrassa encore en se collant à lui. Puis ils s’assirent au sol et discutaient. Il semblait lui détailler ses réponses. J’étais donc sûr qu’elle savait ce que venait de faire son mari et elle était non seulement d’accord et approuvait mais une complice consentante. D’ailleurs les nuits précédentes, elle savait que ma femme les observer faire l’amour et lorsque l’homme à baisé ma femme, la sienne les observait avec complicité. Et ils ont décidé de le laisser mieux baiser ma femme, dans la journée à l’hôtel, à leur aise te pendant plus d’une heure. J’ai ensuite rejoins ma femme, assise sur le sable, dans notre coin habituel en expliquant mon absence d’être allé faire mes besoins dans les toilettes pour hommes de la plage et que j’ai du prendre notre sac avec moi de peur qu’on le vole. Elle semble ne pas m’avoir écouté et n’a pas insisté. Elle était visiblement comblée de sexe. Son visage rayonnait de joie et de satisfaction. Et pour la première fois que nous venons à la plage, elle ôta sa robe qu’elle posa sur sa serviette et se présenta en tenue de bain, une pièce qui moulait ses seins en haut et sa Terma derrière. Elle était belle, superbe, ma femme, mais une salope, aidée par son cocu de mari qui acceptait son adultère en faisant le sourd et l’aveugle. Elle courut vers l’eau et y pénétra doucement. Quoique j’aie mon maillot sous mon pantalon, j’ai décidé de pas la suivre. Ce fut un autre jeune homme qui l’aborda immédiatement et la soutenant et l’aidant par la main à pénétrer plus loin dans l’eau jusqu’à s’y enfoncer. Ils rigolaient ensembles et se baignaient comme de vielles connaissances. Ma femme se baigna pendant quelques longues minutes avec le jeune homme puis seule, avant de me rejoindre toute mouillée et un peu frissonnant de froid.
Elle se sécha un moment puis se rhabilla rapidement et demanda à ce qu’on reparte à l’hôtel.
Le reste de la soirée fut comme la veille et vers 23h on a rejoint notre chambre où nos amis nous avaient précédés. L’homme, assis face à la télé et en short de nuit manipulait la télécommande sans choisir une chaine. Sa femme était assise sur le lit et déjà en robe de nuit. Elle accueillit ma femme avec joie et quant Malika prit sa robe de nuit pour aller se changer, Feriel l’accompagna dans la salle de bain. On les entendait papoter avec de forts éclats de rire. Elles restèrent dans la salle de bain trop longtemps, à mon gout, j’étais certain qu’elles discutaient sur les baises de l’après midi entre ma femme et Amar. Et quant elles revinrent dans la chambre, elles me jetèrent des regards complices avec des sourires en coin dont j’ai compris parfaitement le sens. Après je suis allé me changer et à mon retour de la salle de bain dont j’ai laissé le néon du lavabo allumé comme d’habitude, l’homme avait déjà abandonné la télé et, couché sur son lit, il semblait déjà dormir et les deux femmes étaient dans leur lit, et chuchotaient sous le drap commun. Je suis resté un moment à voir des infos à la télé, puis j’ai tout éteint et reprit mon lit dans la semi obscurité. Un quart d’heure de silence presque complet, juste la forte respiration et les ronflements de l’homme, j’ai fais semblant d’être moi aussi endormi, preuve avec quelques légers ronflements. Et j’attendais les évènements comme les autres nuits. En effet, rapidement, Feriel se leva et ôta sa robe, puis rejoint son mari couché sur le dos, et le réveilla par des attouchements s sur son bas ventre. Puis, elle lui descendit son short et empoigna sa queue qui était encore molle. Ensuite elle s’agenouilla sur ses cuisses et commença à sucer et branler le zeb de son mari. Rapidement, la queue se réveilla, grossit, s’allongea et se mit pratiquement verticale. Ma femme s’était rapprochée de leur coté et observait la scène.
Feriel montra le gros zeb de son mari à ma femme, et à moi en l’occurrence, il était bien gonflé, énorme, plein de virilité et excitant. Alors ma femme ôta sa robe et sa main rejoignit sa chatte entre ses cuisses. Je l’entendais qu’elle haletait déjà de désir, pourtant elle avait baisé avec ce zeb une bonne partie de l’après midi. Ensuite Feriel remonta sur le ventre de son mari pour s’assoir sur son zeb. Elle se redressa, prit la queue à la main et l’enfonça dans sa chatte, puis elle s’assit carrément en enfonçant totalement le zeb jusqu’aux couilles. Et elle commença ses mouvements haut et bas, des vas et viens lentement au début puis en accélérant petit à petit. Elle devait avoir la chatte déjà mouillée car non seulement le zeb l’avait pénétrée sans difficulté mais on entendait aussi les clapotis des glissements mouillés des deux sexes. C’était un bruissement érotique encore plus excitant que l’image. Les deux femmes haletaient et gémissaient doucement mais l’homme restait calme et stoïque, juste avec le zeb haut, vertical. Feriel se penchait parfois sur la poitrine de son mari, il me semblait pour l’embrasser et lui manipuler les seins de désir. Parfois, au contraire elle faisait ses vas et viens, bien redressée, presque le buste en arrière et les mains derrière elle, sur les cuisses de son mari. Elle a eu justement son premier orgasme dans cette attitude et cria son plaisir en tendant le buste puis en s’effondrant sur la poitrine de son mari. Elle s’arrêta un bref moment, puis reprit ses vas et viens. Elle réussit à obtenir ensuite un second orgasme et continue sa baise. Enfin, quant son mari a du sentir son plaisir arriver, il empoigna les hanches de sa femme et commença des coups de reins, puissants et accélérés et éjacula par trois fois dans la chatte de sa femme. A chaque jet, il accentuait son coup de reins et criait sa jouissance. Enfin, il s’arrêta, se secoua, repoussa sa femme sur le coté. Sa femme se leva et rejoignit la salle de bain. Alors, l’homme se leva, le zeb encore gonflé, horizontal cette fois et fait signe à ma femme. Elle se leva et alla s’allonger, les jambes et cuisses largement écartées sur le lit de l’homme. Il s’agenouilla entre ses cuisses et tenant son zeb à la main, il l’enfonça dans la chatte de ma femme avec un « han » de bucheron. Elle lança long gémissement presque hystérique en accueillant le zeb et allongea ses jambes pour entourer les reins de l’homme. Ses mains sur les seins de ma femme, il démarra ses vas et viens dans la chatte certainement mouillée à fond de désir car j’ai vu que son zeb l’avait pénétré directement, sans préparation et s’est enfoncé à fond. Le claquement de son bas ventre sur celui de ma femme fut le seul bruit assez distinct et qui aurait du, normalement me réveiller. Mais eux, ils continuaient à baiser sans tenir compte de leurs gémissements et halètements accélérés et bruyants. Il lui défonçait la chatte à coups de reins violents et des claquements de ventre contre ventre. Ma femme ne gémissait plus mais criait pratiquement, essayant toutefois d’ son bruit. Mais moi, j’étais super excité par l’image de l’homme, monté sur ma femme, son zeb qui sortait en partie puis s’enfonçait de nouveau dans ma femme, leurs bruits de sussions et clapotis des deux sexes et leurs halètements. Une saillie sauvage, une scène torride et mon zeb s’était gonflé tout seul et je ne voulais pas descendre ma main de peur d’être découvert. Ma femme hurla au moins deux orgasmes pendant cette saillie. Enfin, il arriva à son second top et sortit son zeb et se redressa sur ses genoux. Sa femme était sortie de la salle de bain depuis un bon moment, mais elle restait debout de l’autre coté, jouissant elle aussi du spectacle. Redressé et presque debout, il se branlait son gros, large et long zeb au dessus de ma femme, puis éjacula trois ou quatre jets puissants qui allèrent, en partie sur le visage et les seins de ma femme et en partie sur son ventre et bas ventre. Puis il s’essuya le zeb sur la chatte et le bas ventre de sa proie et se redressa. C’est pendant sa branle, presque debout que mon propre zeb a éclaté, tout seul, plusieurs éjaculations, directement dans mon pantalon de pyjama et sur mes cuisses Et je restais immobile, jouissant seulement du plaisir qu’il me donnait. Ma femme restait, prostrée, étourdie sur le lit. Lui était parti vers la salle de bain. C’est Feriel qui a réveillé ma femme et la soutenait pour se redresser. Elles restèrent assises sur le lit et quant Amar revint de la salle de bain, la main sur son zeb que je ne distinguais plus assez bien, elles se levèrent et rejoignirent la salle de bain. L’homme mit son short s’allongea et rapidement j’entendais son souffle calme et quelques premiers légers ronflements. Il avait la conscience tranquille et étant toujours sûr de lui sexuellement et maître des femmes, il s’endormait facilement et rapidement, au contraire de moi. Les femmes restèrent un bon moment dans la salle de bain, mais sans se doucher, puis elles revinrent et se couchèrent, nues, dans leur lit commun, face à face, dans les bras l’une de l’autre. J’ai attendu assez longtemps, jusqu’à ce que leurs respirations soient totalement calmes et leurs ronflements réguliers, puis j’ai rejoins difficilement la salle de bain. J’ai enlevé mon pantalon dont l’intérieur était totalement pollué de sperme déjà en partie séché et je l’ai caché dans un coin pour le laver, discrètement, le lendemain. Puis je me suis nettoyé sur le bidet et avec la lance de la douche toute ma partie inférieure et je me suis séché. Ensuite, revenu doucement dans la chambre, j’ai cherché mon short de plage et je l’ai enfilé puis j’ai rejoins mon lit de célibataire et de cocu presque consentant.
Le matin, quant je me suis réveillé, ma montre montrait déjà 10h et la chambre était vide. Après, dans la salle de bain, je me suis lavé rapidement et j’ai nettoyé totalement mon pantalon de pyjama, puis je suis descendu pour mon petit déjeuner. Ma femme et mes amis étaient absents, je suis allé au salon où j’ai retrouvé ma femme, seule, avec une revue à la main. Elle m’a dit qu’elle m’avait laissé dormir voyant que j’étais fatigué, alors je suis retourné à la salle à manger pour prendre mon petit déjeuner. Ensuite, nous sommes partis pour notre promenade en ville jusqu’à 15h environ. Notre plan était de passer le reste de l’après midi à la plage, alors vers 16h nous étions allongés sur le sable, moi en short et elle en slip sous sa légère robe. J’étais étonné qu’elle n’a pas mis son maillot de bain mais elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas nager ce jour car ses douleurs de règles lui faisaient mal et pouvaient polluer son maillot, c’est pourquoi elle n’avait prit que son slip qui, d’après elle était déjà mouillé de sang. Alors, puisque ses médicaments étaient dans la chambre, je lui ai conseillé, comme hier, de retourner à l’hôtel pour se soigner. Moi je l’attendrais au moins jusqu’à 18 ou 19h avant de revenir à l’hôtel. Je lui donnais ainsi l’excuse qu’elle désirait pour aller baiser avec son amant. Elle me regarda comme soupçonnant que je savais ce qui se passait, mais convaincue que je n’étais certainement pas au courant, elle secoua la tête, se leva, me salua et partit rapidement.

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