Florence

Pour notre départ en vacances, Jacques est venu dès 5h45 nous conduire à la gare et à notre retour, il était à nouveau présent. C’est un ami de longue date, très proche de nous et qui est sans aucun doute très intéressé par les attraits de ma petite femme ; il faut reconnaitre qu’elle aime le provoquer, dévoilant quelques trésors de son corps, ‘involontairement’ quand il vient à la maison, seul, car sa femme, Florence, est très jalouse, bien que toujours très participative avec nous. Pour le remercier, nous avons prévu un bon repas à la maison.
La discussion est surtout portée sur les atouts de cette belle ville de Vienne, que nous avons visité en long et en large, y compris les quartiers commerçants, pour y faire quelques achats ; bien évidement, le choix de Nicole pour les beaux sous-vêtements que j’aime lui offrir, a retenu l’attention de Jacques, mais aussi celle de Florence, qui sans hésitation lui a fait la remarque que ce n’était pas son cas. Et finalement c’est elle qui a relancé la conversation en demandant à Nicole ce que je lui avais offert ; la description de la guêpière et de l’ensemble en dentelle a retenu son attention et surtout son envie de les découvrir ; alors que le repas se terminait, avec un bon café dans le salon, Florence a demandé à Nini de lui faire voir ses achats, ce qui fut fait immédiatement, les deux femmes partant dans notre chambre.
Si j’entretenais une discussion avec lui, il était évident qu’il était plus attiré par les bruits à côté, d’autant plus que les minutes s’écoulaient beaucoup plus que nécessaire pour voir trois dentelles, n-y tenant plus, il a appelé les filles « et si vous veniez me les montrer » Quelques minutes plus tard, nous allions y être de notre surprise ; en effet c’est d’abord Nini qui est apparue , en guêpière noire, bas noir et chaussure haut talon, suivie et par florence portant l’ensemble acheté à Vienne, à savoir un soutien-gorge noir en dentelle, avec un porte jarretelle tenant ses bas et un mini slip ; je ne pensais pas qu’elle oserait se montrer ainsi devant nous , d’autant plus que les deux femmes se comportaient comme à un défilé de mode, ce qui nous permettait de découvrir l’envers de leurs corps, dévoilant ainsi un sillon fessier enserrant le fin tissu .


Aussi vite arrivées aussi vite reparties en riant de notre surprise et de notre excitation, car nos sexes, bien tendus étaient visibles sous notre pantalon. Si pour moi la surprise me réjouissait, pour lui, un mélange d’étonnement et d’excitation se voyait sur son visage ; manifestement, le jeu de sa femme n’était pas dans ses habitudes, elle plutôt assez stricte dans ses attitudes habituelles. et le jeu n’allait pas s’arrêtait là ; quelques minutes plus tard, nouvelle apparition des deux femmes, mais cette fois beaucoup plus provoquantes ; nini avait sorti ses sous vêtement qu’elle porte pour aller en club, à savoir, un soutien seins, découvrant ses pointes, un mini slip, couvrant à peine son pubis et des bas auto collants, suivie par florence avec pour elle un soutien-gorge, fait de simples bandelettes de satin, découvrant la totalité de sa poitrine, avec au milieu un gros téton pointant au milieu d’une belle auréole brunâtre, elle aussi avec mini slip et des bas ;mais cerise sur le gâteau , les deux slips étaient ouverts au niveau du sexe et dans chaque pas, il était possible de découvrir la fente entourée de petites lèvres bien gonflées.
Provocatrice, avec l’accord évident de Florence, Nini s’est penchée pour me déposer un baiser sur les lèvres, position qui de toute évidence, dévoilait son sexe à la vue de Jacques. Quelques secondes plus tard, ce fut autour de Florence d’effec le même geste, m’offrant une pleine vue sur sa chatte, bien ouverte, brillante de cyprine, débordante des limites du tissu. La provocation était trop grande et sans hésiter, mes doigts se sont portés à l’entrée offerte, pour une pénétration aussi imprévue que bandante ; lorsqu’elle a senti mes doigts, elle s’est cabrée, mais ne s’est pas retirée, continuant son baiser avec jacques ; quand elle s’est enfin redressée, mes doigts pleins de cyprines ne laissaient aucun doute sur le plaisir qu’elle avait ressenti. Je dois reconnaitre que pour moi, l’étonnement était à son comble, car en plus, je suis persuadé que jacques s’était aperçu de mon geste et de sa réaction.

Mais aucune réaction négative, bien au contraire, car sa queue était bien visible, de même que la mienne et un sourire de connivence nous a réunis ; nous avions tous les deux envient que le jeu continue, c’est presque simultanément que nous avons sorti notre sexe pour une douce branlette, attendant le retour et en espérant une suite à l’exhibition surprenante de nos deux femmes. Si celle de Nini ne m’étonnait qu’à moitié, celle de Florence me laissait un peu pantois et je supposais que dans la discrétion de la chambre, elles s’étaient mise d’accord sur un jeu beaucoup plus hard, ce en quoi je ne me trompais pas.
Quelques minutes plus tard, elles se sont à nouveau dévoilées, simplement vêtues d’un déshabillé en dentelle, non fermé, dévoilant ainsi leur totale nudité, avec simplement un masque noir, souvenir d’une soirée libertine. Devant ce tableau, j’ai arrêté de me branler, le regard se portant tour à tour sur ces deux magnifiques corps, manifestement offerts à nos désirs, mais sans aucun doute aussi aux leurs. Pour la première fois, je découvrais le corps de Florence qui jusqu’ici m’attirait peu. Il en était de même pour Jacques, avec une différence de taille : il avait toujours eu envie de Nicole et bien souvent ses mains s’étaient aventurées sur elle, avant qu’elle ne s’échappe en riant.
S’approchant de nous, s’esclaffant en nous voyant la queue à la main, elles se sont mises à genoux devant leurs maris réciproques pour emboucher nos sexes ; douce sensation de cette bouche, tantôt léchant ma queue, tantôt la gobant en entier, pour la délaisser avant que sa langue vienne titiller mon méat. ; je ne voyais pas l’autre couple, mais le bruit de succion traduisait sans erreur le même geste. Soudain Nicole s’est retournée vers Florence « on échange ? » petite hésitation , puis avec l’aide de Jacques, souhaitant sans hésitation cet échange, elle s’est redressée et s’est glissée vers moi ; son regard m’a fixé un long moment avant que sa bouche ne vienne se poser sur mon dard et de l’avaler goulument ; sous l’effet de cette sucette je me suis cambré , m’enfonçant un peu plus dans cette gorge, lui enserrant la tête pour la guider ; j’avais l’impression de lui baiser la bouche, alors qu’une de ses mains avait enserré mes boules en une douloureuse mais excitante pression .

Devant moi, Jacques avait positionné ma moitié à cheval sur ses cuisses et manifestement elle s’était plantée sur sa tige : c’est elle qui mènait le jeu, le chevauchant hardiment, l’embrassant fougueusement ; ce que les deux avaient le plus envie depuis longtemps se réalisait ; ils s’appartenaient , qui plus est devant leurs conjoints respectifs, ce qu’aime particulièrement Nicole ; se faire prendre devant moi, ce que j’apprécie beaucoup ;mais pour l’heure une autre envie me tenaillait : posséder Florence.
L’allongeant sur le dos à même la moquette, ma bouche s’est posée sur sa minette, luisante de semence ; lui mordillant le clito, avant que ma bouche s’abreuve à la source de son plaisir ; ses gémissements traduisaient, pour moi, mais aussi pour les deux autres, son plaisir.
Alors que ma bouche remontait vers ses tétons, et que mon sexe se frottait contre la grotte tant désirée, elle s’est brusquement tendue, un ‘non pas cà’ sortant de ses lèvres ; « j’ai envie de te faire l’amour, comme ils le font actuellement à coté de nous et je sais que toi aussi tu en as envie, laisse toi aller , je vais te faire jouir, pour notre plaisir, comme ils sont eux et pour ton plaisir » ; en effet à coté les vociférations de Nicole prouvaient le plaisir que son amant lui donner et quand soudain elle s’est exclamée « oh je sens ta jute en moi, vas-y remplit moi , fécondes moi pleinement » Florence, le regard éperdu m’a dit « je suis à toi, possèdes moi, fais-moi jouir, j’en ai envie, je veux t’appartenir complètement » ; prenant ma queue , elle l’a placé au centre de son antre et d’un coup de rein elle l’a fait entrer en elle, cette pénétration s’accompagnant d’un long feulement
Si au départ , elle était réticente, maintenant elle se donne à fond, écartant ses cuisses en grand, je n’ai aucun mal à la posséder totalement, mon gland venant régulièrement taper le fond de sa matrice, ce qui déclenche ses grognements de plaisirs ; ses bras entourent mes épaules, ses ongles s‘enfoncant dans ma peau ; soudainement elle encercle mes hanches avec ses jambes, engouffrant mon sexe qui la pilonne furieusement ; à chaque coup de butoir, ses cris résonnent dans la pièce, elle geint, feule, crie son plaisir ; pour moi, beaucoup de difficulté pour ne pas juter ; pour récupérer, je me retire parfois ,malgré ses protestations, pour venir lui sucer la chatte, buvant ses jets de cyprines, avant de replonger ma queue dans son antre, possession qui s’accompagne à chaque fois d’un « oh oui encore » ; à côté, les deux amants ont changé de place et Nini à quatre pattes vient embrasser Florence, qui après un petit mouvement de recul, lui offre sans hésitation sa bouche ; les deux femmes ‘s’embrasent fougueusement, alors que jacques a pris possession de la chatte en levrette, après qu’elle lui ai refusé une sodomie.

Alors qu’elle avait la réputation, par son homme, d’être assez froide, je découvre une femme déchainée, se cambrant pour mieux me recevoir, embrasant alternativement Nicole ou moi, baisers fougueux, accompagnés d’émission de cyprine en long jets qui se rependent sur la moquette. puis s’accrochant à ma tête, elle jouit bruyamment, les yeux exorbités, m’encourageant à la féconder « vient en moi, je suis à toi, j’ai envie de ta semence, dorénavant tu m’auras quand tu le voudras , mais maintenant engrosses moi, comme Jacques a et va engrosser ta femme ». Pour moi plus question de résister et accroché à ses mamelles dont les pointes jaillissent entre mes doigts, je me vide en elle, encouragé par son plaisir « oh oui, je te sens, tes jets frappent ma matrice, je vais être pleine de ton plaisir, je jouis ……. Oh oui encore » puis plus rien, ses tremblements traduisent la puissance de sa jouissance, alors qu’à coté de nous, nini pour la deuxième fois jouit sous l’éjaculation de son amant.
Pour une fois , je ne débande pas aussitôt et j’en profite ; redressant Florence, je la place en levrette devant moi, et mon gland se frotte sur le sillon offert, plein de ma semence qui s’écoule de sa chatte mais aussi de sa cyprine qui a inondé ses cuisses ; quand je positionne mon bout contre son petit trou, elle ne bronche pas et c’est sans difficulté que ma queue s’enfonce dans le conduit qui se dilate sans problème ;manifestement, elle en a l’habitude et quand mon gland franchit l’anneau, un petit cri puis plus rien, ma tige va au plus profond d’elle ; après un petit moment pour qu’elle récupere , je commence à lui pilonner le fondement ; dilaté, graissé, son anus encaisse sans difficulté mon chibre et mes puissants coups de pistons ; la tête sur la moquette, elle encaisse, réagit à mon enculade par des gémissements de plus en plus forts, et quand ne tenant plus tellement ses parois enserrant ma queue, je décharge en elle, à nouveau elle laisse éclater sa jouissance ; quand je me retire , son trou déverse le trop plein sur son sillon, alors que de sa chatte s’écoule la semence de notre précédent saillie.

Alors que florence part prendre une douche, Nicole me révèle que c’est un peu à sa demande qu’elles se sont couvertes de sous vêtement, ayant compris que Jacques avait envie d’elle , elle avait voulu, pour une fois lui faire comprendre que ses envies étaient plus fortes que ce qu’il lui proposait et qu’ayant compris depuis longtemps que nous étions libertins, elle en avait profité pour la provoquer, tout en avouant qu’elle avait de plus en plus envie de participer à nos jeux. La suite allait confirmer ses envies, pour notre plus grand plaisir.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!