Photographe Debutant 5: Épilogue

PHOTOGRAPHE DEBUTANT 5 : épilogue

Grace à quelques rencontres, j’ai suffisamment de matière pour préparer une expo photo. Je passe le plus clair de mon temps libre dans mon labo de développement. Comme l’activité hotelière tourne à plein, je n’ai plus vraiment de temps libre. Et suite à la séance photo avec la Madone, la semaine suivante est complètement occupée. Enfin, après avoir agrandi de nombreux clichés, je me retrouve inoccupé pour un après-midi, le temps que mes travaux sèchent.
Après le service de midi, au restaurant, deux jeunes stagiaires me disent que n’ai qu’à passer l’après-midi avec eux au bord de la piscine. Ce n’est pas la coutume, et j’avoue avoir été assez surpris, mais dans cette entreprise familiale, le personnel peut profiter de la piscine comme les clients. Il faut dire qu’il y a rarement foule, vu que la majeure partie des clients est souvent à la plage, ou en excursion en Espagne.
Vétu d’un bermuda et d’un tee-shirt, me voici parti pour me baigner. Au bord du bassin, je retrouve les deux stagiaires, un couple de parisiens septuagénaires, et une famille venue de Paris également. Ils sont là depuis une semaine, et à leur arrivée j’avais tout de suite flashé sur la fille, une jolie blonde, très classe,en tunique et pantalon de soie bordeaux. Je me suis dit, à ce moment, que ce genre de nana n’était pas faite pour moi. Aujourd’hui, alors qu’elle est en maillot deux pièces, à côté de sa mère, une jolie femme d’environs 45 ans, à la peau dorée. Je me dis que si la fille est comme la mère dans 25 ans, ce sera parfait. Dans un bikini noir minimaliste, ses seins assez découverts par un soutien-gorge corbeille sont fermes, ses jambes minces et sans cellulite. La culotte échancrée laisse entrevoirdes fesses musclées et des hanches, un peu larges mais sensueles.Le père de famille, un grand type aux cheveux grisonnants d’une cinquantaine d’années, porte son age avec facilité, malgré une petite brioche, sans doute due aux repas d’affaires quotidiens.

Le fils, semble plus agé que la fille ; je dirais 25 ans,. Il est musclé, mais plus rablé que son père. Blond également, il s’appelle Philippe. La fille c’est Caroline.
Nous passons un moment agréable, entre baignade et bronzette, avec quelques jeux comme ping-pong et fléchettes. Les deux jeunes clients se sont vite joints à nous. Caroline porte un bikini à rayures, et une tunique noire transparente par dessus, qui s’arrête juste sous son maillot de bain. Elle a une peau de vraie blonde, légèrement hâlée par le soleil, mais dont la carnation fine ne deviendra jamais véritablement bronzée. Ses longs cheveux blonds cascadent sur ses épaules, étroites mais solides. Son corps est longiligne, tout en courbes élancées et douces, à l’exception d’une poitrine, haut perchée et ferme, mais plus voluptueuse que celle de sa mère. Son minois est charmant, et s’orne par instants, d’un sourire réveur. Sa bouche charnue dessine alors deux fossette symétriques dans ces joues, sous les pommettes hautes qui mettent en valeur les yeux bleu clair et le front dégagé. A ses oreilles, qu’on devine sous la chevelure, sont accrochés des pendentifs ornés de brillants, tout comme le collier en or qui descend dans la vallée entre ses seins. L’animation est de mise et mon adresse au tennis de table me met en valeur.
Le septuagénaire, jusque là, en retrait, me propose alors une partie, qu’avec arrogance, j’accepte sans me méfier. Dès les premiers échanges, je sens que la tâche va être rude. Le jeu se durcit et je dois me concentrer pour arriver à maitriser le jeu, tout en effet, du papy.
Les spectateurs ne s’y trompent pas et se regroupent autour de nous. Quelques touristes revenus de vadrouilles, les rejoignent. La lutte fait rage. Ce diable de bonhomme m’envoie des balles aux rebonds aussi inattendus que vicieux, souvent difficiles à maitriser. J’essaie d’utiliser ma puissance pour le contrer, mais c’est peine perdue et il emporte la première manche. Une vingtaine de personnes sont massés sur les côtés, lors de la deuxième manche, dans laquelle je décide de couper court à son jeu en attaquant très fort, ce qui me réussit.
Malgré une résistance héroique, je finis par capituler dans la troisième manche, face à un grand-père, encore vert, que je salue bien volontiers. Les applaudissements saluent sa victoire, et les clients se rendent au bar, pour un apéro.
Un peu dépité, je range mon matériel, quand Caroline, s’approche de moi. Elle me prodigue quelques mots de réconfort. Les autres gars sont dans la piscine. Je lui propose de m’accompagner, et je me dirige avec elle vers la petite maisonnette, à flanc de montagne que j’habite, non loin de l’hotel.
Nous suivons le petit chemin herbeux qui serpente derrière les batiments, puis entre les arbres jusqu’à la petite clairière où se trouve mon home. Caroline se dit étonnée de découvrir cette maison. Elle vient ici depuis des années et ne se doutait pas de cette habitation, en pleine nature. Naturellement, je lui propose d’entrer, bien que l’intérieur ne soit pas vraiment nickel. En fait, comme l’une des deux chambres a été transformée en labo photo, il ne reste plus que la plus grande chambre, une petite entrée et une salle de bain.
Elle découvre mon intérieur avec intérêt et s’arrête sur les photos déjà développées qui trainent un peu partout.
Elle passe sur les nus, et les observe avant de me demander si ce sont des modèles professionnelles. Je réponds qu’il s’agit juste d’amies qui acceptent de poser pour me dépanner. Je lui demande si elle accepterait de poser pour quelques clichés.
-« Tu crois que je pourrais poser pour toi ? » demande t’elle, en faisant passer sa tunique par dessus sa tête.
J’ai cette fille magnifique, vétue d’un petit bikini, à portée de main, chez moi. Je me demande si je ne suis pas en train de rêver.
Je bredouille un truc pas très intelligent, lui assurant que oui.
-« Tu voudrais que je pose nue, comme elles ? » ajoute t’elle
Mon regard croise ses yeux sans répondre. Elle s’avance et vient se coller à moi en me tendant ses lèvres.Notre premier baiser est long, intense, et libère la tension qui chargeait l’ambiance de la pièce.
Je l’embrasse dans le cou, et mes mains partent à l’exploration de son corps parfait. Elle n’est pas en reste et ses mains sous mon tee-shirt électrisent ma peau. Je me débarrasse de mon vêtement et je dénoue le soutif de son maillot de bain, qu’elle jette au loin. Je me recule pour admirer deux seins orgueilleux, ronds, aux bouts dressés par le désir. Elle met ses mains en coupe dessous comme pour les offrir, et s’avance vers moi. Je ne résiste pas et m’incline pour les lécher, les embrasser, les mordiller, provoquant un gémissement. Je descends ensuite en laissant ma langue caresser son ventre, s’enfouir dans son nombril, et arriver à la limite du slip de bain. Je commence à dénouer les ficelles qui retiennent la culotte, mais elle m’interromp. Je suis allé trop vite, sans doute.
-« Attends » murmure t’elle, et elle fait glisser la culotte dont elle se débarrasse, dévoilant un sexe à peine ombré par une courte toison blonde. Elle se colle à moi et fait glisser mon bermuda, avec difficulté, vu l’ampleur de l’érection qui le distend. Enfin elle met à jour mon sexe bandé. Une fois nus, elle se colle à moi, saisissant ma queue dans sa main , et la caressant doucement. Elle couvre mon torse de baisers. Dans la pénombre de ma chambrette, je la découvre du bout des doigts,. J’apprécie la douceur de sa peau, la rondeur de son sein, son sommet au bout duquel une framboise pointe sous ma langue, son dos délicatement cambré, le galbe de ses fesses, fermes et tendre à la fois, la vallée profonde qui les sépare, bien écartées, avec le petit gouffre aux abords plissés, au dessus d’un fruit ourlé de poils blonds, subtilement fendu, gorgé de plaisir, qui s’entrouvre sous mes phalanges, laissant apparaître la chair rose tendre brillante de désir. Mes mains courent sur ses cuisses pleines, musclées sans être fortes, et ses molets parfaits qui m’amènent vers de petits pieds tous mignons, dont la cambrure s’accentue sous la caresse de ma bouche.
Je remonte vers l’intérieur des cuisses, et les sens s’écarter quand je m’approche de son fruit défendu.
Elle accueille mes doigts avec un soupir de bien être, et son bassin se tend pour faciliter leur intromission au cœur de sa chair brûlante. Je visite son intérieur avec le même plaisir qu’elle semble y prendre. J’insiste sur cet endroit qui la fait gémir et basculer ses hanches d’avant en arrière. Mes doigts ressortent maculés de son bonheur que je tartine sur son périnée, jusqu’à son petit trou. Je fais des allées et retour sur sa fente, captant au passage son clitoris qui prend peu à peu du volume, et agit comme une décharge électrique dans son ventre.
Elle me repousse sur mon lit et vient s’allonger sur moi.
Ses longs cheveux dorés agacent ma poitrine quand ses baiser descendent le long de mon torse, jusqu’à mon pubis. A genoux, entre mes jambes, elle se relève et contemple mon sexe qu’elle n’a pas lâché, puis ses yeux remontent et se plantent dans les miens. Ses pupilles turquoises ne me quittent pas, alors qu’elle s’incline et vient embrasser mon gland, une fois, puis deux. Elle sort la langue et vient le lécher, par en dessous, comme une glace, sans me lâcher des yeux. D’un seul coup elle plonge et je vois mon membre disparaître entre ses lèvres roses et charnues. Je ne dois pas la quitter des yeux. D’une façon, un peu maladroite, mais tellement sexy sa bouche coulisse sur ma queue, allant à chaque fois, un peu plus loin. Elle insiste quand mon gland appuie sur sa luette, déclenchant des spasmes. Elle s’interromp à peine, et reprend sa fellation. Ses mains soupèsent et pressent mes bourses. Je sens monter une vague de plaisir, et je tente de la repousser, mais elle s’agrippe à mes cuisses en accélérant son rythme et appliquant une succion à mon gland. La vague de bonheur m’emporte et je sens mon sexe tressauter sur sa langue, les jets de semence inondant son palais. Elle grogne légèrement sans relacher son effort et déglutit pour tout avaler. Ensuite elle s’immobilise et me garde en bouche, sa langue seule s’agitant dans les moindres recoins pour en extirper les reliques de ma jouissance. Au fur et a mesure de cette toilette érotique, mon sexe reprend ses proportions d’origine, et elle le relache.
-« Je ne peux pas faire l’amour » me dit elle. »JE ne l’ai jamais fait. »
-« Jamais ? Tu n’as pas l’air si novice. »
-« J’ai lu des livres, vu des films, et j’ai déjà flirté. Je ne suis pas une nonne. » répond elle en venant s’allonger sur moi.
Je glisse mes mains sur son dos et m’empare de ses fesses.
-« tu m’as donné beaucoup de plaisir » lui dis-je.
-« ça aussi c’était une première. » explique t’elle
-« tu veux dire que tu n’as jamais… ? »
-« Non, jamais sucé avant aujourd’hui. »
-« Jolie comme tu es, ce n’est pas les occasions qui ont dû te manquer. »
-« Les occasions, peut-être. Regardes ici. Tous les garçons en stage me courent après. Ils sont jeunes et superficiels.
-« Pourquoi moi ? »
-« Je t’ai remarqué dès le premier jour. Tu es différent. Le soucis, c’est que j’avais beau trainer ici, tu n’étais jamais là en dehors des services. Tu n’es pas comme tous les autres à me tourner autour à longueur de journée. »
Je me lève et vais mettre un peu de musique. La voix chaude de Sting, envahit la pièce quand je reviens, elle est sur le dos, et s’est recouverte d’un drap que j’écarte aussitôt.
-« Quand on a une plastique aussi avantageuse, la cacher est dommage » lui dis-je « A moi, maintenant de te donner du plaisir. »
-« Mais je t’ai dit que je ne peux… »
-« Il y a de nombreuses autres manières » dis-je en l’embrassant. Puis je descends embrasser ses seins, et en mordiller les tétons érigés, ce qui la fait soupirer. Je ne m’attarde pas et vais butiner son pubis, ma langue s’insinue dans sa fente et en écarte les lèvres. Elle gémit déjà quand je pince son clito entre mes lèvres et l’aspire, déclenchant un sursaut de son bassin. La pointe de ma langue s’introduit dans sa vulve et la trouve déjà bien humide. Mon index qui s’introduit en elle est accueilli par un gémissement de bonheur. Quand je commence à la masturber, elle décolle les reins du matelas, et pousse de petits cris. Un deuxième doigt rejoint l’index et les deux tournent dans le vestibule de sa chatte béante, effleurant parfois son hymen intact. Je cueille sa sève du bout de doigts et vais en enduire son périnée et les abords de son anus. Quand monmajeur commence à caresser la zone, je la sens se crisper.
-« Détends toi, ma belle, je vais te faire découvrir autre chose »
-« mais c’est sale ! »
-« Non, en amour rien n’est sale, rien n’est dégoutant si on s’aime. »
Je reprends mon jeu sur sa chatte, et lui suce le clito en la faisant mouiller de plus en plus. Je sens son jus dégouliner sur mon menton, et entre ses cuisses. Elle plaque ses mains sur ma tête en jouissant/
-« Ah oui ! que c’est bon ! ah, c’est mieux que tout ce que j’ai connu avant ! continue ! ne t’arrête pas !
-« Tu veux que j’aille plus loin ? »
-« Oh oui ! encore plus, vas y !
-« Ici aussi ? » en appuyant sur son anneau froncé.
-« Oh oui, vas y ! fais moi découvrir. »
Mon majeur entre doucement dans son anus dilaté et humidifié, lui arrachant un cri de douleur. Je m’arrète.
-« Vas y, continues ! » intime t’elle
Obéissant, je rentre un peu plus. Le sphincter se relache et mon doigt entre complètement.
-« Haaa ! ça fait mal. ! attends. »
Je patiente sans cesser de lécher sa chatte ouverte. Au bout de quelques instants, je commence à faire bouger mon doigt dans son cul. D’abord lentement.
-« ça fait moins mal maintenant, vas y. »
J’accélère un peu mon mouvement, en le faisant coincider avec celui des doigts dans sa chatte. Imperceptiblement, je sens sa réaction changer. Elle gémit toujours, mais pas de douleur.
-« Hmmm, vas y c’est bon, je sens tes doigts des deux côtés, plus fort !
Je la branle de plus en plus énergiquement, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un long cri, arc boutée sur mes doigts, avant de retomber d’un coup encore haletante.
-« Humm, c’était bon. Je n’ai jamais joui comme ça. » dit elle en m’embrassant et en léchant mon visage.
-« Alors, c’est ce gout là quand je jouis. » constate t’elle « c’est un peu aigre. Le sperme c’est moins aigre, mais plus pateux. »
Je la regarde et ne puis m’empêcher de rire.
Nous passons ensuite un bon moment à nous caresser sous la douche, mais elle doit vite se rhabiller et filer rejoindre sa famille.

Le lendemain Caroline et sa famille restent à l’hotel et je n’ai que peu d’occasions de la croiser. Le soir, elle me rejoint chez moi. Son frère l’a accompagnée. Nous passons une soirée à fumer et à écouter de la musique, tout en discutant. Deux jeunes stagiaires nous ont rejoint et la dévorent des yeux. Malheureusement, la présence du frère empèche toute approche. L’un d’entre eux résigné, se retire rapidement. Nous restons à quatre et le temps s’étire doucement. On somnole au son de la musique des Pink Floyd. Je pose ma main sur le genou de Caroline, qui me repousse, en indiquant des yeux son frère Philippe qui, les yeux clos, semble dormir. Un instant plus tard, je reviens à la charge, mais j’essuie un nouveau refus. Une troisième tentative est tout aussi infructueuse, mais Caroline se lève pour changer le disque qui tire à sa fin, donnant un regain d’éveil à l’assistance. La musique de Neil Young envahit la pièce et visiblement rassurés, les deux gars referment les yeux. Caroline vient se blottir contre moi, mais avant de s’asseoir, elle relève l’arrière de sa jupe à volants, découvrant pour moi seul, ses fesses rondes à peine voilées par un mini slip noir. Elle s’assied, et dispose sa robe en corolle autour d’elle, masquant jusqu’à ses genoux. Allongé sur le lit, derrière elle, je n’ai qu’à faufiler ma main sous le tissu, pour atteindre discrètement une fesse, qui se tortille d’aise. Je caresse un peu ses rotondités, tout en gardant un œil sur nos visiteurs, qui visiblement planent. Mes mouvements sont un peu génés, mais d’un geste , Caroline se soulève légèrement, comme pour rectifier sa position, et me permet de faire descendre sa culotte. Elle se repose en se mettant légèrement de biais, me laissant l’accès a sa chatte humide, que je caline du bout des doigts. Je la sens s’alanguir contre moi. Ses jambes s’ouvrent pour me laisser titiller son clito. Je la sens couler sur mes doigts. Je sens son corps s’appuyer contre le mien. Elle contient sa respiration. Ses hanches oscillent au rythme de la musique. Je sens sa matrice se crisper sur mes doigts, et elle exhale un soupir pour toute manifestation de sa jouissance. Je suis sur que notre manège n’a pas échappé à Pascal, le stagiaire, mais il fait semblant de ne rien remarquer et nous annonce qu’il va se coucher. Philippe se lève à son tour.
-« Allons y, dit il à sa sœur,je tombe de sommeil »
Nous nous saluons et Caroline après un chaste baiser trottine derrière son frère. J’aperçois sa culotte qui est tombée sur ses chevilles. Elle dégage un pied, puis, de l’autre, envoie adroitement valser le vêtement sous une chaise, invisible pour son frère.

Le jour d’après, alors que toute la famille se prélasse au bord de la piscine, je débarque avec mes appareils photos, et après avoir fait des photos souvenirs pour tous les résidents présents, je rappelle à Caroline qu’elle m’a promis de poser pour moi, ce qui ne semble pas étonner ses parents, qui lui conseillent cependant de garder une tenue décente. La belle quitte son transat et passe une tunique noire très transparente par dessus son maillot. Elle me demande où elle doit poser. Je la fais poser tout autour du bassin bleu, dans diverses poses assez classiques, jouant sur les objectifs, la lumière. Après un quard d’heure, j’ai épuisé les possibilités du lieu, et je lui propose de nous déplacer un peu plus loin, en pleine nature. Elle chausse ses nu-pieds à très hauts talons et nous voilà partis. Après quelques minutes de marche, nous sommes dans un chemin herbeux, bordé de chènes-liège. Je commence à la mitrailler, puis lui demande de m’en montrer un peu plus. Sans me quitter des yeux elle passe sa main dans son dos et dégraffe son soutif, qu’elle jette à quelques mêtres. Ses jeunes seins pointent sans pudeur sous le voile. Les clichés s’enchainent, de face, de profil, debout, allongée de dos ou de face. J’arrive à la fin de ma première bobine. Pendant que je change de pellicule, elle se relève, et fait glisser le bas de son maillot, le gardant juste accroché à une cheville. Avec sa tunique qui ne cache rien, elle dégage un érotisme torride, tout en gardant une candeur dans le regard.
-« C’est ce genre de photos que tu voulais ? » murmure t’elle .
Pour toute réponse, le déclencheur retentit en mode rafale, saisissant la moindre de ses postures. Elle se prête au jeu et réagit en prenant différentes poses. De dos, les fesses cambrées tendant le tissu de sa tunique. De profil, jouant avec la tension du voile sur ses seins épanouis, la tête penchée en arrière, sa chevelure blonde tombant en cascade lumineuse sur le noir du vêtement. Elle me tourne le dos et lentement découvre son cul rond et ferme. Ses mains remontent par dessus sa tête et la voilà nue, ondulant dans l’ombre ajourée de soleil des arbres. Elle se décide enfin et se tourne vers moi, sculpturale dans sa nudité, juste rehaussée par son triangle blond et ses bracelets d’or. Sans attendre, elle étale sa tunique et s’allonge à plat ventre. Je mitraille la courbe de son dos, la cambrure des reins et les fesses rebondies, prolongées par ses jambes longues aux attaches fines. A mon appel, elle se met sur le dos. Miracle de la jeunesse, ses seins pointent résolument vers le ciel, ronds et insolents, son ventre plat frémit et un légère brise agite sa toison légère, qui ne masque pas sa fente, longue surmontée de son petit bouton de plaisir, que le soleil a fait sortir. Sans un mot, elle écarte les jambes et les replie à moitié. Ses doigts viennent cajoler son sexe qui s’ouvre comme une rose du matin. N’en pouvant plus, je pose mon boitier et me jette entre ses jambes pour gouter à son fruit défendu. Le contact de ma langue l’électrise. Elle gémit sourdement et son bassin décolle à la rencontre de mes baisers. Je m’insinue dans les recoins de ses lèvres et titille son clito qui se gorge de sang et provoque des secousses désordonnées de ses hanches. Mes doigts viennent compléter ma caresse, allant jusqu’à buter sur son hymen, sans le déchirer. Son plaisir coule abondamment et inonde son entrejambe autant que mon visage, alors qu’elle jouit en râlant. Son corps se tend en arc, tétanisé, avant de retomber, ses mains plaquant toujours ma tête contre elle. Utilisant cette hydratation naturelle mon majeur s’est introduit dans son anus. Je le fais coulisser en elle, et elle relève les jambes pour me faciliter l’accès.
-« Je n’ai jamais… enfin, de ce côté là non plus » dit elle
-« Veux tu que j’arrête ? »
-« Non, continues. Ça brûle un peu, mais ça va. Tu m’as donné tant de plaisir. Je veux te donner quelque chose à mon tour, et découvrir une pratique nouvelle. »
J’ajoute bientôt un doigt et continue à explorer son intérieur. Complaisamment elle écarte les cuisses au maximum. Elle se tourne sur le ventre et soulève son cul, le buste plaqué au sol, me tendant l’objet de ma convoitise. Je me cale entre ses jambes écartées à genoux, et continue de masser son petit trou. Sa main att ma queue etla caresse doucement, frottant mon gland le long de sa chatte qui mouille de nouveau. Une fois bien lubrifié, je dirige mon sexe et le pointe sur son anus déjà bien ouvert. Je pèse sur l’orifice qui s’élargit en arrachant un cri de douleur à la belle.
Aussitôt je m’interromp.
-« Ne sors pas ! » me dit elle « rentre en moi. »
Je reprends ma poussée, et je sens son fessier pousser vers moi, jusqu’à ce que mon gland passe en elle. Sans hésiter elle pousse vers moi et me laisse m’enfoncer dans ses entrailles. Bientôt mon pubis est stoppé par son cul dilaté.
-« Là, tu es au fond. » commente t’elle. Se redressant à quatre pattes elle oscille d’avant en arrière et je sens ma queue bien enserrée, parcourir cet étroit passage de plus en plus vite.
Petit à petit, elle semble moins souffrir et imprime d’elle même un tempo plus rapide.
-« C’est bon maintenant, ça fait du bien. Prends moi fort ! »
Je l’empoigne par les hanches et la tamponne de plus en plus fort. Les claquements de nos peaux qui se rejoignent ajoutent à l’ambiance érotique du moment. L’hésitation du début a fait place à un impérieux désir que nous exprimons, de concert. Je sens mon sexe grossir en elle et mon plaisir monter. Elle geint de plus en plus fort et m’encourage à continuer de plus en plus fort. Pour finir je veux me retirer, mais elle se cambre et sa main vient empoigner ma cuisse la serrant jusqu’à ce que je gicle en elle avec puissance, dans un orgasme qui nous laisse pantelants. Je reste un long moment fiché en elle,lui embrassant la nuque avec tendresse.
C’est elle qui nous ramène à la réalité.
-« Si quelqu’un arrive… »
-« Tu as raison, allons nous doucher » répondsje en me dégageant
C’est nus, avec nos fringues à la main, ma semence dégoulinant de son cul, sans arriver à lui enlever une parcelle de son charme, que nous rejoignons ma maisonnette.
La douche est encore l’occasion d’explorer nos corps. Je n’ai pas un sexe énorme, tout juste dans la taille normale, mais j’ai toujours eu la possibilité de recharger très vite mes batteries, et croyez moi : être capable de remettre le couvert de nombreuses fois est un atout auprès des femmes. Caroline, découvre une nouvelle érection sous l’eau de la douche. Elle s’agenouille dans la douche et entreprend une longue et délicieuse fellation m’arrachant un cri de plaisir quand je finis par m’abandonner dans sa bouche.
Quelques minutes plus tard, elle disparaît pour rejoindre sa famille.
Le soir même, alors que vétue d’une longue jupe ample, et d’un bustier à fleurs, je la regarde sourire et plaisanter sur la terrasse, me jetant discrêtement un clin d’œil quand elle sait qu’on ne peut nous voir, je comprends que c’est celle que j’attendais depuis longtemps sans le savoir.
Cette aventure n’est pas restée secrète très longtemps, même si les détails sont restés entre nous. Sa famille, issue de la grande bourgeoisie ne voyait pas d’un très bon œil que leur fille soit avec un gars comme moi. Néanmoins ils eurent l’intelligence de ne pas s’y opposer fermement. Quelques jours plus tard Caroline et sa famille sont repartis. J’ai rapidement eu l’occasion d’être invité pour un week-end, chez eux.
Malgré la chambre d’amis qui me séparait d’elle, Caroline a trouvé le moyen de venir me réveiller, et ce week end fut un intermède des plus sensuels.
De retour dans mon Sud, La saison se terminait et Mon expo photo avait eu un beau succès d’estime. Je n’y ai exposé que les photos les plus pudiques de Caroline, gardant les plus osées pour moi. Je pris ma décision rapidement.
Après avoir vendu ma part de l’affaire photo à Thierry, déposé à chacun de mes modèles, une enveloppe contenant l’ensemble des clichés et négatifs les concernant, je chargeais mes maigres possessions dans le coffre d’une nouvelle voiture, et pris la route d’une nouvelle vie, avec un seul objectif :Caroline.

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