Publique

Depuis plusieurs semaines, quelque chose a changé dans leur relation.
Elle n'était pas sûre, vraiment, mais dans ses yeux elle se voyait comme une femme incroyable.
Pour la première fois depuis longtemps, c’était l'homme parfait, un esprit moqueur, ne cherchant rien de plus qu'une amitié, le tout surmonté d'une paire d'yeux magnifiques.
Il était déjà pris, marié même, mais ça, elle s'en fichait. Elle n’avait jamais voulu s’engager sérieusement.
Les hommes, elle les prenait pour ce qu’ils étaient. Des bons coups, amusants, beaux gosses, beaux parleurs, elle les utilisait pour une bonne baise, et puis basta !
Cela lui venait probablement de son adolescence, ou plutôt de son dépucelage.
C’était avec son parrain, le meilleur ami de son papa, pendant les vacances, sur les conseils de sa propre mère, qui estimait que parce que c’était un amant doux et calme, il était parfait pour déniaiser une jeune fille. Accessoirement, sa maman était aussi la maîtresse de son parrain.
Sous la surveillance de sa mère libertine, dans la piscine, elle s’était accrochée au cou de son parrain pour se laisser glisser et s’empaler sur la verge tendue.
Cela lui avait laissé un souvenir mitigé, ni agréable, ni désagréable. Depuis, elle cherchait l’absolu.
Pas pour le sentiment, le grand amour, elle avait renoncé. Elle se contentait du plaisir.
Si l’homme était suffisamment viril, macho, puissant et chaud, et qu’il lui donne le frisson du plaisir, c’était gagné. Cela lui suffisait, puis elle passait à autre chose. Au suivant !
Le grand amour n'avait pas d'importance. Elle prenait soin de ses besoins en baisant.
Ce que les autres en pensaient, ou commentaient, ne lui importait pas. Elle le méritait.
Ils avaient toujours été amicaux dans le travail, plaisantant et chahutant, mais leur relation avait lentement évolué, pris une tournure inattendue et leurs inoffensives plaisanteries étaient devenues plus coquines.

Leurs joutes verbales étaient beaucoup plus directes, leurs jeux plus érotiques.
Au bureau, sans prévenir, en se faufilant par derrière, pour la surprendre, il lui a caressé les seins.
C'était beaucoup plus qu’un simple flirt, mais elle n’a pas protesté, ne s’est pas défendue.
Elle était perplexe, ne comprenait pas que ce geste lui fasse plaisir au lieu de l’offusquer.
Le jour où il a fait pareil avec ses fesses, en réponse, elle a caressé son membre à travers son blue-jean.
Il était assez grand, volumineux même. Était-ce seulement un jeu? Voulait-il plus ?
Elle ne pensait qu'à le taquiner, qu’elle ne franchirait pas la ligne. Et puis elle a commencé à l’envisager.
Il lui a indiqué un parking gigantesque derrière un restaurant de routiers, à la sortie de la ville.
Au fond de ce parking, près de la rivière, un bosquet dissimulait partiellement les voitures garées.
C’était le lieu de rendez-vous des couples clandestins et des échangistes. Le soir, c’était glauque.
Mais en plein jour, pendant la pause de midi, c’était tranquille. Il lui a demandé de la rejoindre.
Pendant le déjeuner, il est parti devant, pour l’attendre dans son vieux pick-up.
Elle est passée par les toilettes des dames pour ôter son collant et sa culotte comme il l’avait exigé.
Elle savait ce qu'elle voulait. Elle avait peur, bien sûr. La première fois, en plein jour, en public !
Et si tout ne se passait pas comme prévu ? Mais elle le voulait, le désir broyait la prudence.
En arrivant sur le parking, elle n’a pas vu son gros 4x4.
Puis en s’avançant, elle l’a distingué derrière les arbres. Il n’était pas seul.
Il y avait d'autres voitures avec des gens autour, mais il s'était garé à l’écart.
Elle s’est garée juste à côté, à sa droite, de manière qu’en descendant de sa voiture, elle n’ait pas un grand espace à franchir pour monter dans le camion.
C’était très haut à escalader, sa jupe était un peu courte, elle était gênée de ne pas avoir de dessous, elle aurait aimé un peu d’aide, mais il n’a pas bougé, la regardant se tortiller en ricanant.

Elle s’est glissé près de lui sur la banquette, mais brusquement il semblait hésitant.
"Tu sais ce dont j'ai besoin." Il a dit simplement ... exigeant.
Elle a posé sa main sur sa cuisse musclée et l’a remontée lentement, jusqu’à saisir sa grosseur à travers l’étoffe de son blue-jean. Elle savait ce dont il avait besoin, mais il y avait du monde autour. 
Ce n'était pas une fille couramment soumise, mais elle saurait jouer ce rôle pour lui. 
Regardant anxieusement autour d'elle, elle soupira, puis se laissa tomber à genoux
Elle a embrassé le renflement de son pantalon. Assez ferme pour qu'il le ressente.
Puis, elle a dézippé son blue-jean. 
Elle tendit la main à l'intérieur et a lentement sorti son sexe durci. Il ne portait pas de sous-vêtements. 
Elle a déposé plusieurs petits baisers sur le gland en le décalottant avant de le prendre en bouche. 
Elle a commencé lentement au début. Puis, elle l'a entendu gémir.
Des deux mains, elle abaissa suffisamment son pantalon pour révéler sa bite dans toute sa majesté. 
Puis elle l’a pris complètement dans sa bouche. Elle était si vorace. Si misérable.
Elle s’est étouffée en l’emmenant trop profond dans sa gorge.
Cela l’a fait rire lorsque sa bite a disparu entièrement dans sa bouche. 
Levant les yeux vers lui, elle commença à faire glisser sa bouche de haut en bas sur son arbre tendu. 
Une de ses mains a trouvé son chemin entre les cuisses nues.
Insidieuse, elle a voyagé sur sa peau sensible, ce qui l'a faite frissonner. 
Il s’assurait qu’elle ne portait pas de culotte, comme il le lui avait demandé.
Il attrapa alors une grosse poignée de cheveux. Elle espérait qu'il le ferait. 
La délicatesse était quelque chose qu'elle ne pouvait pas supporter chez un homme, surtout pas lui. 
Il devait être énergique pour elle. Elle grogna en s’étouffant sur sa queue lorsqu'il commença à lui baiser le visage en resserrant son emprise sur ses cheveux.
 Il la regardait intensément subir la pénétration.
Elle gardait ses mains de côté pour lui laisser le contrôle total. C'était un vrai macho.
Sans avertissement, il s’est figé et lui a inondé la bouche de son sperme. 
Elle n’a pas pu gérer une telle quantité, elle essayé de tout avaler, mais c'était trop.
Une partie s’est écoulée hors de sa bouche, tachant son chemisier. C'était son préféré. 
Au bureau, ses yeux exploraient son corps chaque fois qu'elle portait ce chemisier.
Elle savait qu'elle allait le porter pour lui, marquée de son sperme, marquée comme étant sienne. 
Il sortit sa bite de sa bouche et l’aida à se remettre sur ses pieds. Il voulait échanger les rôles. 
Elle s’était vêtue d’une jupe courte sans rien dessous comme il lui avait demandé. 
Elle s'est assise sur la banquette, adossée à la portière passager, une jambe sur le dossier, l’autre jambe sur le tableau de bord, grande ouverte et offerte. Des voyeurs s’approchaient du gros 4x4.
Elle gloussa d'anticipation lorsqu'il se pencha juste devant elle. Elle ferma les yeux et attendit. 
Elle pouvait sentir son souffle chaud sur sa chatte pendant qu’il la contemplait.
Elle gémit sourdement lorsqu'il lécha l'intérieur de ses cuisses. Il la taquinait. 
Un léger léger coup de langue sur son clitoris, puis il revint lécher ses cuisses, mais cette fois plus près de sa chatte. Elle haletait lorsqu'il commença à mâcher les grandes lèvres de sa chatte avec sa bouche. 
Dieu que c’était bon. Quand il arriva enfin à son clitoris, il avait glissé deux doigts à l'intérieur d'elle.
Il n’a pas fallut longtemps avant que l'orgasme ne secoue son corps. 
Elle est venue sous l’effet conjugué de sa langue et de ses doigts. 
Personne ne l'avait jamais fait jouir aussi fort avec le sexe oral auparavant. 
Elle lui tendit ses lèvres, l'embrassa goulûment pour goûter sa saveur dans sa bouche.
Se rétablissant lentement de son orgasme, elle ouvrit les yeux pour voir qu’un attroupement s’était formé autour du vieux pick-up.

"Oh, mon Dieu ! Je ferais mieux de partir !"
Il l’ignora : "Tu pourras partir quand j'en aurai fini avec toi !" Puis il l’a attrapée par les cuisses. 
"Demi-tour, fillette !" Il a exigé.
Il n'avait pas l’intention de lui faire ça, n'est-ce pas ? Pas ici, pas maintenant !
À quatre pattes sur la banquette, jupe relevée sur son cul nu, elle s’exposait au regard des pervers.
Elle sentit sa main entrouvrir son sexe mouillé et ses doigts la sonder. Elle gémit. 
Il a commencé à glisser son gland tout le long de sa fente encore et encore jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus le supporter. "S'il te plaît." Elle l’a imploré, mais il avait une autre idée en tête.
Une fois que sa bite fut imprégnée de ses jus, il pressa son gland sur son trou du cul. 
Il frottait la tête de sa bite de haut en bas en tirant ses jus de sa chatte pour se lubrifier, puis revenait humidifier et assouplir son trou du cul.
Il enfonça sa bite dans sa chatte sans avertissement et elle piailla sous le choc. 
Après quelques énergiques va-et-vient, il s'est retiré et a présenté sa bite contre son trou du cul. 
Elle laissa échapper un cri tandis qu'il s’introduisait sans ménagement.
Il bâillonna sa bouche avec sa main en s'enfonçant dans son cul en plusieurs poussées. 
Il était si grand, ça la déchirait, mais l’effet était incroyable. 
Elle a sucé ses doigts pendant qu'il ruinait interminablement son cul. 
Elle a tendu sa main contre la portière pour résister à sa fougueuse poussée.
Elle a été en même temps effrayée et excitée par le regard intense d’un voyeur à quelques centimètres du sien, juste de l’autre côté de la vitre.
Excitée par tous ces pervers qui se masturbaient en la regardant se faire enculer, elle a commencé à jouer avec son clitoris pendant qu'il lui pilonnait le cul. 
Elle sentait le choc de ses couilles cogner contre sa chatte pendant qu'il la baisait fort et vite.
Gémissante et geignante, elle a commencé à trembler en sentant revenir l’orgasme.
"Oh, oui, putain! Oh, oui, putain!" elle a crié, puis elle a commencé à jouir. 
Il n'a pas pu se retenir plus longtemps et s’est effondré sur elle en remplissant son cul avec sa semence.
Quand il eut fini de décharger, il sortit sa bite avec un "ploc" humide.
Elle regardait, effrayée, cet attroupement de pervers massés autour du pick-up.
"Tu es à ma merci, cul nu dans un parking isolé, avec tous ces mecs qui veulent te baiser. Si je déverrouille la porte, tu vas dérouiller !" Il se marrait de voir son visage déconfit.
Elle le regarda : "Je dois retourner au bureau, et je ne peux pas laisser ma voiture, n'est-ce pas ?"
Deux solutions : "soit tu laisses ta bagnole ici, et on passe la récupérer ce soir, mais je vais recommencer à te sauter … où alors, on attends cinq minutes, ils vont se lasser et s’en aller !"
Comme prévu, les gars se sont éparpillés vers d’autres spectacles plus intéressants.
Elle venait de connaître grâce à lui, l’heure la plus excitante de sa carrière polissonne.
En le quittant, elle savait déjà qu’elle ne pourrait pas résister longtemps à l’appel de son sexe.

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