Petites Histoires 4 Mariage D'Amis

UN MARIAGE D’AMIS

Cette histoire s’est passée au début de ma relation avec ma première épouse Gabrielle. Je n’en ai eu confirmation, par elle que bien plus tard. C’est pourquoi, je vais vous raconter ma version, et la sienne.

GABRIELLE
Je m’appelle Gabrielle, mais mes proches m’appellent souvent Gaby. J’ai 22 ans et je suis en couple avec Steve depuis près d’un an. Physiquement je suis Blonde aux cheveux bouclés. Les yeux bleus, un petit nez et des fossettes qu’on dit charmants. Je fais 1,70m et je suis assez élancée. Un peu complexée par mes tous petits seins, je suis , par contre, assez fière de mon postérieur musclé et de mes longues jambes. Adepte du bronzage intégral, dès que possible, j’ai une jolie peau dorée. Mon copain Steve est un romantique qui m’a eue au charme. Il est à peine plus grand que moi, Brun aux yeux verts profonds. Il est commercial et gagne bien sa vie. Mieux que moi qui débute avec un petit boulot dans une boutique de fringues. Bon, ce qui est agréable, c’est que je peux assouvir ma passion pour les vêtements sans que cela coûte trop cher, vu que ma patronne, me laisse emprunter ce que je veux, pourvu que je le lave et le repasse avant de le rendre. Mais revenons à Steve. Son visage, peu expressif est taillé à coup de serpe, comme son corps, plutôt musclé. Il est sportif et pratique la natation assidument. Nous avons emménagé, il y a dix mois dans un grand et agréable appartement. Cependant, il faut bien dire que nous n’y passons que peu de temps. Nous sommes souvent sortis, en boite, au restaurant ou chez des amis. Chaque soirée est l’occasion de nous demander ce que nous allons faire. Il faut dire que dès 18h, je suis à la maison alors que mon copain rentre souvent plus tard, et qu’il m’arrive de m’ennuyer ferme, d’autant que nous n’avons même pas la télé.
Ce week-end, pas question de s’ennuyer. Un de mes copains d’adolescence nous a convié à son mariage qui se passera dans l’Aude, du côté de Carcassonne.

En prévision, de cette fête, j’ai , entre deux clients, multiplié les essayages pour trouver les tenues les plus sympas., et quelques dessous affriolants pour mon homme.
Samedi matin, Nous bouclons deux petits sacs, et nous voilà partis. J’ai Opté pour un tailleur, très couture de soie rose à motifs. Une jupe assez courte et une veste qui vient se croiser sur la peau, le soutien-gorge étant un accessoire inutile dans mon cas. J’ai trouvé un string assorti à la jupe, quasiment invisible sous celle-ci.
Steve n’a pas manqué d’apprécier d’un sifflement admiratif, cette tenue. Il a sur lui, un classique pantalon bleu marine et chemise assortie, et une veste écrue, qu’il a accrochée sur un cintre à l’arrière.
Une fois sur la route, il me complimente sur ma coiffure agrémentée d’une voilette et de perles. Je défais les deux boutons de ma veste et en ouvre les pans, dévoilant ma poitrine nue. Mes seins sont petits, mais j’ai de très gros bouts qui s’érigent pour un rien. Sans quitter la route des yeux, il me caresse un peu et pince mes tétons. Sentant que ça risque de dégénérer, je lui conseille de se reconcentrer et je referme mon vêtement. Une heure plus tard nous arrivons. La place de l’église de ce petit village est noire de monde.Les hommes sanglés dans des costumes sombres, et les dames rivalisant d’élégance. Je produis mon petit effet en arrivant et j’en suis secrètement flattée, mais il est l’heure, et le curé nous invite à entrer dans l’église.

STEVE
Tous les invités se massent dans l’église, Avec Gaby, je me retrouve au cinquième rang, sur l’extérieur. Le marié arrive au bras de sa mère, et la future épouse est accompagnée à l’autel par son père. La cérémonie, n’est pas passionnante, surtout pour moi qui suis agnostique. La tenue de Gaby, m’évoque des pensées qui n’ont rien de bibliques, mais nous sommes entourés de monde et il faut bien se tenir. Le mariage célébré, tout le monde se rassemble dehors pour la traditionnelle cérémonie du riz.
Les mariés sont à peine sortis qu’ils sont bombardés de grains censés leur porter bonheur. La mariée est resplendissante dans sa robe immaculée, aux côtés de son nouvel époux, un grand type avenant, en smoking blanc et gilet. Je me dis qu’il va bientôt mourir de chaud. Ma veste légère, est déjà de trop. Après le riz, les gens se dispersent sur la place, et on salue ceux qu’on a pas eu le temps d’embrasser avant le mariage. Peu a peu on regagne les voitures et, la voiture des mariés, une superbe Morgan, joliment ornée de fleurs, donne le signal du départ pour le cortège, dans un concert de klaxons.

GABRIELLE
Les cérémonies de mariage, c’est toujours un peu long. ‘en profite pour détailler les gens présents. Beaucoup d’inconnus bien sur, mais je retrouve aussi mes copains de jeunesse, éparpillés ici et là…enfin, ceux qui sont devant moi, car je ne peux quand même pas me retourner. Les mariés échangent les anneaux, et s’embrassent. Quel joli moment ! Toutes les filles, même si elles ne l’avouent pas, en rèvent. Au dehors, tout le monde attend les mariés. On nous a distribué du riz à lancer pour leur porter bonheur. Sous les hourras, ils reçoivent en souriant cette pluie bénéfique. Tout le monde se précipite pour les embrasser, et je ne fais pas exception. Je leur fais mes vœux, et me mets à la recherche de Steve, au milieu de cette foule. Sans arrêt stoppée par l’un ou l’autre des parents qui m’étreignent comme du bon pain. Je tombe nez à nez avec François, un de mes anciens copains.
-« Hé, salut toi ! je suis content de te voir »
Il se penche pour m’embrasser (il es très grand) et lorsqu’il me fait la bise, je sens une main qui caresse ma fesse.
-« Tu es très en beauté. » dit il « On se voit plus tard. » et hop, il est déjà parti
Je passe entre les gens, et tombe ensuite sur deux autres copains. Ceux là étaient les inséparables de la bande. Ils faisaient tout ensemble, et je me souviens avoir flirté avec les deux en même temps.

« Oh Jolie Gaby ! tu es venue ! » me dit Michel
-« Oui, je suis avec mon copain » réponds-je
-« Quel dommage ! » s’exclame son pote Benoit. « Enfin, on est là pour s’amuser, non ? » complète t’il énigmatique. Les deux m’embrassent, en dérapant un peu, à la commissure des lèvres. Je rigole et m’éclipse, pour tomber, un peu plus loin sur un autre ami d’enfance. Un grand brun costaud, rugbyman qui faisait se pâmer toutes les filles au lycée.
Il me dévisage longuement avant de m’enlacer et de me serrer très fort contre lui. C’est très agréable, mais je sens se réveiller contre moi un engin qui m’évoque clairement son envie.
-« Euh Erwann, tu devrais prendre tes distances, sinon, tu ne seras bientôt plus présentable » lui dis-je
-« Désolé, Gaby, mais j’ai toujours envie de toi, et si moi, je devais me marier un jour… »
-« Ola ! je t’arrête tout de suite. Je t’ai déjà dit que je ne suis pas bonne à marier »
Je me dégage prestement et m’enfuis. J’aperçois enfin Steve, et nous rejoignons notre voiture.

STEVE
Le cortège de véhicule défile en klaxonnant au travers de la ville, jusqu’à un château ou nous sommes tous conviés à l’apéritif. Tous les invités parquent leurs véhicules et nous nous retrouvons dans la cour du château ou un buffet a été dressé. Le champagne coule a flots. Gaby me présente ses copains de jeunesse, beaucoup de mecs et quelques filles assez mignonnes. J’apprends que la mariée était, tout comme le marié une de leurs amies et qu’ils ont fait les 400 coups ensemble. Une petite rouquine aux formes avantageuses pouffe de rire en entendant l’expression
-« Les 400 coups, c’est bien le mot ! » dit elle en riant
-« Ah bon ? »osai-je innocemment
-« Oh, oui, Elle et Gaby étaient les plus délurées, et 400 crois moi, c’est un minimum. »
Gabrielle qui arrive juste, pique un fard
-« Tu ne peux pas la fermer, petite peste, au lieu de débiter des Äneries. ; occupes toi de ton cul ! » lui dit elle, visiblement en colère
-« Mon cul, je te rappelle que tu n’as pas détesté t’en occuper ! »
Je suis effaré par ce que j’entends.

-« Ces temps là, c’est du passé, justement, il est temps d’oublier »
La rousse ne répond pas et s’éloigne vers le buffet pour aller remplir son verre.
Pendant que tout le monde s’alcoolise, les mariés sont partis faire des photos dans le parc.
Connaissant assez peu de monde finalement, je pars explorer ce grand domaine arboré. J’aperçois les mariés, au loin, avec le photographe, et je me dirige à l’opposé pour ne pas les déranger. Je déambule depuis un moment quand , face à moi, je vois arriver la rouquine de tout à l’heure : Stéphanie Elle se joint à moi.
-« Tu te balades ? » demande t’elle
-« Je visite. Il est immense ce parc ! »
Je me dis que je vais en savoir un peu plus
-« Dis donc, c’était tendu avec Gaby. »
-« Oh laisse tomber, on s’est toujours chipouillées »
-« Pas toujours d’après ce que tu as dit »
-« AH, Il ne faut pas faire attention à ce que je dis. C’est des histoires de gosses. »
-« Comment ça ? »
-« Tu sais bien. On était ados. On découvrait nos corps, les garçons, la sexualité ; chacun à notre manière. »
-« Et Gaby, un peu plus que les autres ? » risquai-je
-« Oui, elle était moins timide. Entre elle et la mariée d’aujourd’hui, c’était un peu comme une compétition, à celle qui aurait le plus d’expériences. »
-« Avec des filles aussi ? »
-« Humm, oui, elle aimait bien brouter des minous, mais bon, on a toutes essayé. En plus elle était douée. »
Je ne suis pas sur que ce compliment sur ma femme me fasse vraiment plaisir.
-« Et avec les garçons ? »
-« On était toute une bande, on se voyait tout le temps, on allait au ciné, à la piscine, on jouait à des jeux, on faisait des paris. »
-« Quel genre ? »
-« Oh des trucs bêtes, on se pointait sans soutif, ou sans culotte, ou on pariait qu’on caresserait le sexe d’un des gars, ou qu’on arriverait à se faire embrasser par le copain d’une autre. Evidemment, plus on grandissait, plus les mecs nous mettaient la pression, et plus les jeux étaient osés ; ça a commencé par le topless à la plage, puis les bains de minuit, à poil, ou les strip poker où on finissait peu habillés avec des gages un peu osés. »
-«C’est à dire ? »
-« Par exemple, si on jouait et que j’aie perdu, j’aurais pu avoir pour gage de te sucer. »
-« Avec ma copine présente ? »
A ce moment elle vient se coller à moi et envoie sa main sur mon sexe.
-« Oui, mais là, on est seuls » dit elle en baissant ma braguette
Je ne sais quoi faire. Je ne vais quand même pas m’enfuir comme un collégien.
-« Ecoute, je ne crois pas que… »
-« Chuuut, laisse toi faire » dit elle en m’entrainant contre un arbre auquel elle m’adosse. Elle déboucle ma ceinture avec une dextérité certaine et mon pantalon glisse le long de mes jambes. Mon boxer suit et se retrouve à mes genoux, alors qu’elle a déjà empoigné ma queue qu’elle caresse en l’enveloppant entre ses doigts.
-« Quel bel engin ! Il faut que j’y goute. » me confie t’elle en s’agenouillant. Sa bouche rouge et pulpeuse se referme sur mon sexe qu’elle se met à sucer avec application. Elle engloutit ma verge, de plus en plus loin dans sa gorge, et ressort de temps en temps, sa langue s’exerçant sur mon frein tandis qu’elle lève vers moi son visage constellé de taches de rousseur. Elle replonge sur mon sexe avec avidité. Je ne sais pas si elle va me vider les couilles, mais pour l’instant elle me vide le cerveau. Je n’arrive plus à penser. Je la relève. Elle se jette sur moi et me roule une pelle bien baveuse, sans cesser de caresser mon chibre qui doit être au maxi.
Elle se recule, et me dit :
-« Tu vois, c’est mécanique, maintenant, je ne peux pas te laisser comme ça. »
Elle remonte sa jupe, et descend son string de soie blanche sur ses chevilles. S’incline et le ramasse, puis elle vient s’appuyer sur le tronc d’arbre d’une main, l’autre gardant sa robe relevée sur ses reins, et elle cambre vers moi, un cul blanc, bien dodu, avec une fente bien épilée surmontée, un peu plus haut d’un petit anneau froncé. Sans réfléchir, je viens me positionner derrière elle et je l’embroche d’un coup, avant de la limer a grands coups de reins. C’est un accouplement bestial et intense. Je la cramponne aux hanches et la pénêtre avec des « han » de bucheron.
-« AH ! c’est bon, elle est bien dure ! vas y, secoue moi ! »
J’obéis et me déchaine, venant taper , contre son cul, en y ajoutant quelques claques qui font rosir sa peau. Elle vient rapidement et je la suis, de peu ponctuant ma jouissance de coups de boutoir ?
-« c’était bon » me dit elle en essuyant mon sperme qui dégouline sur ses cuisse, avant de remettre son string et de rabattre sa jupe. « Une petite coupe maintenant ? »
Sur le chemin qui nous ramène au château, j’apprends qu’elle n’est pas mariée.
-« Tous les gars du groupe sont maintenant en couple, mais je n’ai jamais su me décider . »
-« C’est un peu triste non ? »
-« Pas du tout, je continue à les voir, de temps en temps. »
-« Et tu baises avec eux ? »
-« Je n’ai jamais voulu en choisir un, et puis, ce n’est pas parce qu’ils sont mariés que ça les gène. Au moins, je ne trompe personne. »
C’est un point de vue qui se défend.


GABRIELLE
Dans la cour du château, l’apéro bat son plein. Steve a disparu. Le pauvre doit s’ennuyer au milieu de ces inconnus. De mon côté, je suis l’objet des attentions de mes amis retrouvés. François, Michel, Benoit et Erwann se sont regroupés autour de moi, pour évoquer le bon vieux temps. Les mariés Thierry et Ariane nous rejoignent et nous trinquons joyeusement.
Bien entendu, au milieu de ces mâles, les mains me frôlent, et j’ai droit à de petits bisous amicaux, pas si innocents que ça, à mon avis. A force de boire, ma vessie se rappelle à moi, et je dois m’absenter pour trouver les toilettes. Je quitte le groupe et me dirige vers les batiments,. Je suis suivie par François qui me demande où je vais. Informé, il me dit qu’il connaît les lieux et qu’il va m’accompagner.
J’ai eu bien besoin de son aide car ce château est un véritable labyrinthe. Finalement nous trouvons les toilettes dames, qui sont assez éloignées de celles des hommes, qu’il connaissait. Il me laisse à la porte. Ce château est équipé pour recevoir du monde. L’espace dames est luxueux, dallé de pierre, éclairé par des candélabres avec de magnifiques lavabos en forme de St Jacques équipées de robinets, façon belle époque. Pas moins de six cabines de toilettes impeccables. Je m’engouffre dans l’une d’elle et remonte vite fait ma jupe, avant d’abaisser ma culotte pour me soulager. Ouf, il était temps. Je ressors après m’être lavé les mains, et je trouve François dans le couloir qui m’attend.
-« C’était inutile de m’attendre. Lui dis-je, J’aurais retrouvé la sortie »
Sans un mot, il me prend par le bras et m’entraine dans le dédale de couloir, jusqu’à une petite alcove isolée, et voutée, ou il me fait entrer avant de m’attirer à lui.
-« Je suis vraiment content que tu sois venue » me dit il et, il vient poser ses lèvres sur les miennes. Je garde la bouche fermée. Il se recule.
-« François, je ne suis pas venue toute seule. On est plus des gosses pour jouer à ça. »
-« Au contraire, me dit il, je sais maintenant ce que je veux. Je suis marié, comme tu sais et pas heureux en ménage. Ma femme voudrait des gosses, mais je ne vais pas lui faire ce cadeau. Quand je t’ai vue, tout à l’heure, je me suis rappelé nos jeunes années, et je me suis aperçu que je n’avais jamais cessé de penser à toi »
-« François, tu as tort. »
-« Prouve le » dit il en se penchant sur moi et en prenant mes lèvres. Cette fois il insiste et j’ouvre finalement ma bouche. Nos langue se mèlent et notre baiser se prolonge. Ses mains parcourent mon corps, palpant mes fesses, et remontant sur mes hanches. Il déboutonne ma veste et dévoile mes petits seins qu’il empaume, faisant jaillir mes tétons bien durs. Cette caresse est très excitante. Il me dirige vers une meridienne sur laquelle il me fait agenouiller, les bras posés sur le dossier. Ses mains retroussent ma jupe sur mes reins, et découvrent mes fesses, Je sais bien ce qui va se passer. Il est encore temps d’y mettre fin, mais je suis faible , déjà humide de désir, et je le laisse faire quand il fait descendre mon string, avant de l’enlever complètement. L’instant d’après, j’entends un froissement de tissu , et son sexe impérieux vient s’insérer dans ma fente, repoussant mes lèvres sans ménagement, se frayant un chemin en moi comme un trépan inexorable. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir quand il se met à me limer avec détermination. L’espace d’un instant, je me vois, nue sur ce canapé, embrochée par cette bite qui distend ma chatte et ouvre mon petit trou, à la merci de n’importe qui passant par là. Je suis victime de mes sensations et , cette vision me déclenche un orgasme. François me relève et m’attire à lui. Il me soulève et me plaque contre le mur, après avoir enlevé ma veste. Il me soutient de ses mains sous mes fesses et m’empale sur son vit. Coincée entre le mur et lui, je suis secouée comme un pantin ; mes fesses et mon dos tapent durement contre le mur et ses bras musclés tirent mes cuisses m’écartelant au maximum. Je sens sa bite qui monte et descend en moi, m’emplissant et je ne peux que m’accrocher à son cou, pour éviter de tomber d’un coup si j’étais désarçonnée. Je gémis sans arrêt sous sa pénétration et finis par avoir un second orgasme, presque aussi violent que le premier. Il se dégage et me pose sur la méridienne, son sexe venant cogner sur mes lèvres. Je le prends en bouche et il m’att la tête pour me baiser la bouche. Très vite, je le sens enfler et il m’envoie plusieurs décharges de son suc. Je ne peux tout avaler et je recrache par terre, pour éviter de salir ma tenue.
Je m’attendais à plus de tendresse, mais il se rajuste très vite et me dit :
-« Tu as toujours aimé ça Gaby. Je serais toujours là pour te satisfaire. »
Il ramasse mon string qu’il empoche et s’en va.
Je me dépèche de remettre de l’ordre dans ma tenue, et je file au toilettes pour me rincer, et faire un raccord maquillage. Ma coiffure a à peine bougé. L’examen
dans la glace est satisfaisant. Je m’en vais rejoindre le mariage, les jambes cotonneuses.

STEVE

De retour dans la cour d’honneur, je m’équioe d’un verre et vais d’un groupe à l’autre, saluant les autres invités. Stéphanie a rejoint un groupe de gars, et quand je passe, elle me fait un clin d’œil. Gabrielle n’est pas parmi eux. J’en suis à mon second verre quand je la vois se faufiler vers moi.
-« Ah, tu es là mon chéri. Je me demandais où tu étais passé. »
-« Je faisais un tour dans le parc »
-« C’est chouette, hein ? et tu verrais l’intérieur, un vrai château de princesse ! » raconte t’elle.
Elle avise les mariés qui vont d’un groupe à l’autre et nous entraine vers eux
-« Mes chéris, vous êtes vraiment splendides ! Ta robe est super Ariane. »
Effectivement, bien que je ne sois pas très fan des robes de mariées, celle-ci sort un peu du lot. Le bas, assez traditionnel est composé de plusieurs couches de dentelle fine, et d’une longue traine. Elle est prise à la taille par une ceinture de soie blanche, et le haut est un voilage de tulle transparent brodé de fleurs et de motifs ornementaux qui masquent les endroits stratégiques, et laissent une épaule complètement dénudée. Un petit chapeau blanc est perché sur sa coiffure artistement agencée. Elle forme un couple harmonieux avec son époux, Thierry qui est un gars avenant au sourire sympathique. Ainsi que je l’avais prévu, il a abandonné sa veste de smoking, mais son gilet écru et sa large cravate de soie, sur le strict pantalon bleu marine , restent très classe.
-« Dis moi, Ariane, je dois me changer pour la soirée. Y a t’il un endroit pour ça ? » demande Gaby. La mariée, sans hésiter lui repond :
-« Tu n’auras qu’à venir avec moi, je dois aussi changer de tenue, et j’ai une chambre mise a disposition pour cela. J’y ai déjà déposé mes affaires. Tu pourras même te doucher. »
-« Super, fais moi signe quand tu y vas. »
Pendant ce temps, en parcourant l’assemblée des yeux, je vois Stéphanie qui s’éloigne vers le parc en compagnie d’Erwann.
Ariane me présente deux jeunes femmes brunes à la peau mate. J’apprends que l’une d’elle, se nomme Christelle. Elle a une silhouette et un visage agréable. Plutot fine, de longs cheveux noirs qui tombent jusqu’au milieu de son dos. C’est la femme de Michel. L’autre, un peu plus petite, et plus mate de peau a des cheveux courts et une poitrine imposante. Elle s’appelle Noélie et elle est en couple avec François. Toutes deux sont juchées sur des stilettos interminables et portent des robes fourreau très courtes mettant en valeur leurs jambes. Nous discutons un moment avec elles, mais l’heure avançant l’apéro se termine. Gaby nous quitte pour aller se changer
Je reste avec les deux jeunes femmes et notre conversation roule sur le sujet du jour ; le mariage. Christelle me demande si je vais me marier avec Gaby, et je lui réponds que nous n’avons pas encore réfléchi à la question. Noélie nous déclare que si c’était à refaire, elle aurait gardé sa liberté.
-« Tu n’es pas bien avec François ? » demandai-je
-« Parfois, je me demande s’il ne m’a pas épousée pour faire comme tout le monde. Il continue de draguer, et de sauter des conasses comme si je n’existais pas. Au début, j’étais amoureuses mais je me suis vite rendue compte que je ne comptais pour lui. »
-« Et toi, tu fais quoi ? »
-« Au début j’étais fidèle, par principe, mais maintenant, si un type me plait, je me l’envoie. C’est pas souvent, mais je ne vois pas pourquoi je me priverai. »
Christelle est mariée avec Michel depuis trois ans.
-« La première année était merveilleuse » raconte t’elle « Nous étions fusionnels et nous faisions l’amour partout, et puis petit à petit ça s’est calmé. Après une période assez floue, où il n’a pas du être très fidèle, il a commençé à proposer de réaliser certains fantasmes, de plus en plus osés, des plans à plusieurs, devant des voyeurs, etc… »
-« Et ça s’est mal passé » questionnai-je
-« Au début, j’avoue que j’étais réticente, mais j’ai fini par m’habi, et même, parfois, à y trouver du plaisir. C’est comme ça que j’ai rencontré Noélie. Et toi avec Gaby ? »
-« Oh nous ne nous connaissons que depuis un an. C’est donc l’état de grâce. Nous avons encore des habitudes de célibataires, mais nous sommes de plus en plus exclusifs. »
-« Elle a bien changé, alors. » emet Noélie.
-« C’est sur » renchérit Christelle « avant elle sautait sur tout les mecs potables. »
Décidément, j’en apprends de belles sur ma femme.
-« Et donc, toutes les deux, vous êtes… »
-« Oui, mais rassure toi, pour un beau gars comme toi, on peut faire une exception. »
Mazette !

GABRIELLE
J’ai récupéré mon petit sac, et je rejoins Ariane, qui m’entraine à l’étage, dans le château, et nous entrons bientôt dans une superbe chambre, avec un lit à baldaquin, des plafonds de 4 m et de grandes fenêtres. La salle de bain est tout aussi spacieuse avec une grande baignoire, et une douche à l’italienne, également immense, avec des jets balnéo.
Je commence par étaler ma robe fourreau pour la défroisser, avant de me déshabiller.
Ariane , qui est de l’autre côté du lit, me voit enlever ma veste, ma jupe et s’exclame :
-« Ah oui ! à poil carrément ! tu n’as pas changé décidément !. »
C’est à son tour ? Je l’aide à se dégager de l’imposante robe, et je découvre qu’elle a un porte jarretelle blanc et des bas assorti, mais pas plus de culotte que de soutien-gorge.
-« On dirait que je ne suis pas la seule ! »
-« En fait, c’est Thierry qui a voulu consommer le mariage tout à l’heure. J’avais une culotte, mais il me l’a arrachée et m’a fait l’amour comme un soudard. En plus, tu t’en doutes, on avait pas de temps ; ça a été du vite fait. Un peu brutal mais le sexe avec lui, c’est toujours bon. »
-« Tu passes à la douche en premier ? »
-« On peut y aller toutes les deux, elle est immense »
Nous voilà sous les jets de la douche. Le seul truc, c’est qu’il faut faire attention à nos coiffures. On se savonne le dos, puis les fesses, et le lavage devient vite plus coquin.
Nous nous séchons ensuite mutuellement, et c’est Ariane qui devient plus tactile. Elle passe la main sur mon minou juste orné d’un petit ticket de métro.
-« Hmmm, c’est doux. Toi aussi tu as adopté l’épilation. »
Il est vrai que quelques années plus tôt, les filles qui s’épilaient la chatte passaient pour des salopes, alors qu’aujourd’hui, c’est devenu la norme. En témoigne la fente bien lisse de Ariane, et ses lèvres gonflées.
Elle me repousse sur le lit et sa bouche vient embrasser mon intimité. Sa langue parcourt mon sexe, ma faisant frémir. Cette douce caresse, m’ouvre les cuisses comme un réflexe conditionné. Elle vient sur moi et je me retrouve face à ce sexe féminin que je connais si bien. Je m’applique à lui faire subir ce qu’elle me fait, et elle gémit son approbation. Je darde ma langue et écarte la chair rosée, pour trouver son clitoris qui est déjà bien gonflé.
Elle complète sa caresse buccale en m’enfonçant deux doigts dans le vagin, à la recherche de mon point G. Je fais de même, avec, 1 puis deux puis trois doigts. J’ai l’impression qu’elle pourrait absorber mon bras entier. De temps en temps, elle délaisse mon sexe pour s’occuper de mes seins. Elle revient et avec toujours ses doigts en moi, entame une feuille de rose. La sensation est douce, et enivrante. Je sursaute, tout à coup. Elle vient de m’enfoncer un doigt dans le fondement, et l’agite . Je le sens qui coince ma membrane contre ses autres doigts dans mon autre trou. Elle me masse l’intérieur entre ses doigts, et provoque un orgasme soudain qui lui inonde le visage. J’ai abandonné sa chatte et je suis en train de distendre son petit trou, qui a déjà avalé trois doigts, quand elle commence à m’arroser en bramant. Nous finissons ces ébats en nous embrassant et en nous léchant le visage.
-« Sois heureuse avec ton mari, ma belle » lui dis-je
-« Je vais avoir du mal à me passer de ces calins » me confie t’elle. « Tu crois que je pourrais y amener Thierry ? »
-« Ne sois pas inquiète, c’est un des fantasmes masculins. Il suffit de bien l’amener. »
Nous repassons, vite fait à la douche et nous dépéchons de nous préparer.
Pour moi, c’est vite fait, car le fourreau noir, bordé de strass que j’ai choisi, est si près du corps que le moindre sous-vêtement se verrait. Je suis en train de boucler mes nu-pieds vernis alors que Ariane est encore en lutte avec son porte jarretelle et ses bas. Les mecs ne se doutent pas de l’enfer que c’est à enfiler proprement, sinon, ils hésiteraient à nous les enlever. Elle enfile ensuite un soutif et une culotte mini de dentelle blanche. Et glisse la jarretière sur ses bas.
-« Contrairement à toi, la culotte c’est un peu obligé. Quand ils vont faire la jarretière, je ne veux pas montrer ma chatte à tout le monde. Les vieux pourraient faire une crise cardiaque. » m’explique t’elle avec un sourire. Elle passe au-dessus, une très jolie robe crème courte et évasée, mais bien cintrée, qui laisse ses épaules nues jusqu’à la naissance des seins. Un joli collier complète sa tenue. Petit passage au maquillage, et quelques minutes plus tard, nous partons pour la soirée.

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