La Belle Gaëlle.

Allongée sur le dos, sur sa terrasse, elle bronzait délicieusement parfumée au monoï. Personne ne la voyant, elle avait décidé de se mettre nue, livrée aux rayons du soleil du matin et à la caresse du vent de ce jour de mai ensoleillé. Elle était seule chez elle, appartement parisien en dernier étage sans vis à vis, sensuelle, calme et ce vent faisant, commençait à agir comme la caresse d'une main sur son corps en cadeau à la nature. Ainsi, le vent prit possession de ses seins et ses tétons se dressèrent de désir avant que la caresse invisible n'atteigne la vallée de Gaëlle, ( oui j'ai oublié de la présenter, cette belle brune à la peau ambrée, adorant le soleil, ses yeux noisettes, sa longue chevelure foncée parsemée de mèches couleur miel, 40 ans, encore parfaite dont je rêve intensément tous les soirs mais qui se refusera à moi pour l'éternité), mais revenons à cet entrecuisse délicieux, frôlé par le vent, lui engendrant subrepticement, un changement de posture, une cuisse se serrant par dessus l'autre puis dans un mouvement, l'autre cuisse reprenant le dessus, frémissement de plaisir, bouche entrouverte, début de caresse intime où sa main gauche se met sur le sein gauche et la main droite dans une invite sensuelle, descend le long du corps de Gaëlle avant de rejoindre le ventre et sa vulve lisse, s'ouvrant au vent et à la caresse d'un doigt inquisiteur. Premiers gémissements, sa vulve se gonfle de bonheur alors que cette liqueur de plaisir prend de plus en plus consistance, exacerbant les sens, petits cris, palpitations cardiaques, frôlement du clitoris, rouge feu, si sensible. Extatique, cet instant demande une pause avant que ce désir ne reprenne le dessus. Les caresses se font de plus en plus insistantes, son rubis de plaisir offert au vent, lèvres écartées par une main alors que l'autre va et vient en elle, un doigt puis deux dans ce plaisir humide et laiteux, jusqu'à ce que des spasmes de délectation et cette contraction divine du bas-ventre soit réalité et bien-être.


Sa vulve trempée, ses doigts collant de félicité, Gaëlle se leva, l'entrecuisse agréablement humide, et se glissa doucement sous sa douche, après le soleil, pluie fine prenant possession de son corps brûlant, de sa chatte luisante. Une belle journée qui avait bien commencé.

Mais celle-ci était loin d'être terminée, il faisait doux et elle eût dans l'idée de faire quelques boutiques car elle avait repéré une robe d'été dans une petite boutique puis aussi, ailleurs, une paire de chaussures à talons. Quelques dessous affriolants et la carte bancaire allait flamber mais pourquoi ne pas se faire plaisir, la vie est belle et douce et pourquoi pas une rencontre coquine ? Gaëlle était-elle donc en chasse, chasseresse à la recherche de sa proie sexuelle ?
Elle fila dans cette petite boutique, lumière tamisée, une jeune étudiante à l'accueil. Elle lui demanda pour essayer cette robe d'été fleurie sur fonds blanc, taille 36 longueur de robe à mi cuisse, épaules et dos dénudés, l'échancrure laissant apparaître la naissance des seins de la statue de présentation. Elle fit remarquer le côté sexy de cette robe en insistant du regard sur la petite poitrine de la vendeuse qui rougit mais ne réagissait pas dans la protestation. Gaëlle en profita donc pour frôler la jeune vendeuse et se colla à elle par inadvertance pour sentir son parfum:
- Venez avec moi pour essayer cette si belle tenue.
- Oui madame.
- Appelez moi Gaëlle.
- Oui, Gaëlle, dans un murmure.
Gaëlle lui prit la main et l'emmena vers l'entrée pour lui ordonner de fermer la porte. La vendeuse eut peur de la réaction de sa patronne mais Gaëlle insista et écrivit sur une feuille "retour dans deux heures" et la colla sur la porte vitrée de l'entrée en fermant le magasin à double tour.
Hop ni une, ni deux, elle prit la robe en 36 et enleva son pantalon et son chemisier crème. Elle dévoilait ses formes délicieuses devant la vendeuse toute rouge puis elle s'approcha d'elle pour la déshabiller.
Chloé se retrouva en slip et soutien gorge très classique a cause de ses faibles revenus alors que Gaëlle dévoilait des dessous de marque Marjolaine de couleur noire et bleue nuit.
Chloé changea de comportement devant ce corps brûlant. Gaëlle lui dit d'essayer la robe et Chloé se mit nue en faisant tomber le soutien gorge et le slip, montrant ses fines courbes d'étudiante, petits seins en poire, sexe lisse, petites fesses musclées. Elle enfila la robe que Gaëlle lui tendait, elle lui allait parfaitement, Chloé alla pieds nus dans le magasin et en choisit une qui irait mieux à Gaëlle. Robe courte très échancrée et elle lui ordonna à son tour sa mise à nue. Gaëlle perdit sa superbe et lui obéit, elle dévoila aussi ses petits seins, ses fesses et son sexe, sa peau bronzée, méditerranéenne.
Elle enfila sa robe et se regarda dans le miroir, Chloé à ses côtés. Gaëlle n'était pas satisfaite, elle enleva sa robe et nue devant Chloé lui fit de même.
Elle échangea les vêtements pour essayer la blanche fleurie et se vit dans la glace satisfaite et fit essayer l'autre à la jeune vendeuse. C'était mieux. Elle se colla derrière Chloé et devant la glace, elle l'enlaça, la serrant contre elle, remontant la robe pour dévoiler ses fesses. Chloé se retourna pour être face à elle et obligea Gaëlle à se mettre à genoux devant elle pour sentir cette bouche gourmande la lécher, la désirer et lui offrir le plaisir tant attendu. Ce que Gaëlle fit, la doigtant, l'embrassant, découvrant cet abricot délicieux, coulant de plaisir sucré dont le la langue de Gaëlle se délectait. Elle lui ouvrit le sexe pour découvrir son clitoris excité et prêt à exploser. Chloé ne tarda pas à trembler en se caressant les seins à travers le tissu fin de cette robe, tétons dressés, bouche entrouverte, lèvres sèches. La sonnette retentit d'un coup les sortant de la torpeur de désir dans laquelle elles étaient. Chloé s'écria:
- Le livreur, je l'avais oublié celui-là.
- pas mal, dit tout haut Gaëlle.

- Oui c'est vrai, musclé et en salopette jeans je rêve.
- Invite le pour livrer les cartons au fond de la pièce, Gaëlle se mettant nue dans la cabine d'essayage, rideau entrouvert.
Chloé s'empressa de lui ouvrir et l'accueillit avec un grand sourire. Il ne put manquer le corps nu de Gaëlle, offert avec juste la robe dans la main.
- Chloé? Ho pardon, monsieur en le regardant droit dans les yeux.
- Madame ? Vous êtes belle, splendide. Puis-je ? Sans se démonter. Il s'approcha d'elle et la caressa, la collant contre le miroir, lui écartant les cuisses avec sa jambe, il lui palpa les seins, le ventre, les fesses et le sexe en l'embrassant, Chloé derrière lui, le collant aussi, dégrafant la salopette dévoilant sa musculature sèche et puissante, son odeur de musc, corps lisse et chaud, profitant de la situation, deux d'un coup... Il se mit à genoux et lécha la chatte de Gaëlle, offerte aux coups de langue, et aux lèvres inquisitrices, aux baisers et au mordillement de son clitoris. Elle gémissait sans retenue alors que Chloé dévoilant le sexe du livreur dressé et imposant, le prit en bouche quand le livreur se redressa. Gaëlle la rejoignit pour sucer cette hampe dressée. Leurs langues jouaient avec avant que Gaëlle et Chloé se mettent debout devant le livreur cuisses ouvertes, les vulves luisantes de désir. Le livreur se mit à pénétrer lentement Gaëlle puis ressortit, fit de même avec Chloé et il recommença ce manège plusieurs fois avant de planter a grands coups Gaëlle, la démontant tellement fort qu'elle se mit à crier, Chloé ayant peur lui glissa sa culotte dans la bouche. Le livreur lui plaqua sa main dessus puis continua son déboîtage de sexe avant de se retirer d'un coup. Gaëlle s'effondra tremblante. Il attrapa Chloé pour recommencer avec elle. Elle gémissait sans retenue, sentant en elle ce sexe masculin super membré et ses couilles lui frapper l'entrecuisse. Elle se mit à jouir à son tour, il lui bouffait les seins, et la retourna contre la vitre, lui saisit les fesses pour écarter le sillon et la pénétra un coup profondément dans sa chatte puis ensuite son cul.
Elle cria à son tour, sentant ce sexe raide dans son cul. Elle vit Gaëlle se coller contre lui en lui disant de faire la même chose avec elle et s'installa à côté de Chloé. Il les prit sauvagement, tour à tour, elles ne demandant qu'à jouir en continu, le cul ouvert, le sexe coulant de sève sucrée. Le livreur dans cette débauche et cette chevauchée sortit sa queue et jouit en de long jets sur les fesses de nos deux coquines. Il se rhabilla vite car il était en retard sur les livraisons mais avant de partir, il leur fila à chacune une boîte d'un des cartons avec un clin d'œil. Elles découvrirent deux belles nuisettes. Gaëlle se posa la question d'où venaient les nuisettes mais Chloé lui expliqua que c'était courant chez les livreurs avec les pseudos colis perdus.
Gaëlle se rhabilla, Chloé traînant des pieds caressant sa cliente mais Gaëlle acheta les deux robes, puis un ensemble de lingerie pour Chloé et lui ordonna de venir le soir même à son appartement. Chloé se réjouit de cette soirée en perspective et remit en état la cabine d'essayage et ensuite se rhabilla avant d'embrasser Gaëlle.


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