Le Challenge De Virginie (Récit Avec Olivier)

Salut, c’est Bob. Tout d’abord, je souhaite vous remercier pour vos messages de soutien. Cela me va droit au cœur. Il est vrai que Virginie n’a pas toujours été cool en étant à la fois cachotière et un peu menteuse, quand même. Néanmoins, c’est une chouette fille, sympa, souriante, toujours charmante. Et vraiment, j’adore sa bouche et le moment où ses lèvres se posent sur mon s…
- Oups ! Désolé, je m’égare !

Bref, je veux vous conter une histoire qui cette fois n’est peut-être pas une histoire vraie. De toute façon, peu importe si le récit est authentique ou pas, dès lors que chacun y trouve son compte et son plaisir. Disant cela, notez que j’ai dit « peut-être ». Vous serez seuls juges pour savoir si elle s’est vraiment passée ou pas.

Je commence. Vous vous souvenez d’Olivier : le mec qui avait branché ma nana quand elle était encore étudiante en deuxième année de BTS. Le salaud avait sailli ma chérie en présence de deux potes à lui. J’étais dégouté de la vie. Puis le malheur est passé et je suis resté avec Virginie. Pire : j’ai fait un trio avec elle en y invitant (à la demande de ma belle) le type qui l’avait prise en gang-bang quelques mois plutôt. C’était cool et ce fut mon premier trio.

Olivier, donc, resta en contact avec Virginie. Elle et lui se sont retrouvés, après l’été, à travailler dans la même boîte, une grosse société d’Import-Export, en région parisienne. Olivier était devenu en quelque sorte son amant, ou plutôt « son plan-cul », je dirais.

Dans la boîte, le gars n’était pas toujours là. Souvent, il était en déplacement sur Londres ou dans le sud de la France. Je me souviens qu’il a même sauté ma chérie dans le local photocopieur de l’entreprise. Un truc qui a failli couter son poste à ma chérie. Je me ferai un plaisir de vous écrire cette dernière histoire un jour, avant de tout oublier.

Ce jour-là cependant pas de local photocopieur. Et pour cause, l’histoire se déroula un samedi.

Je m’en souviens car Virginie ne travaillait pas ce jour-là et le lendemain, c’était un dimanche.
Virginie avait pris l’habitude de sortir souvent seule le samedi après-midi, c’est-à-dire sans moi, pour y voir quelques copines ou faire du shopping ou les deux à la fois.

Ce samedi cependant, pas de shopping et pas de copines. Elle m’avait encore menti en ne me disant pas qu’elle allait rejoindre Olivier. La belle avait convenu de prendre un verre avec lui, dans un café-bar-brasserie de Paris. Je ne me doutais pas qu’elle puisse le rejoindre. A la vérité, je m’en fichais un peu. C’est surtout quand elle est rentrée que je fus surpris : ma belle avait du sperme qui n’était pas le mien entre les seins. Elle me montra ses seins et ce qu’elle avait entre les deux, sans équivoque :

- Qu’est-ce que tu fous avec ça ? lui demandai-je, stupéfait.
- Tu aimes ? me répondit Virginie, avec un air frivole.
- Ce n’est pas la question, lui répondis-je. C’est qui ?

J’étais quelque peu désarçonné et surpris par son attitude :
- Tu ne devines pas ? me demanda-t-elle.
- Non, je ne devine pas. C’est Olivier ? ajoutai-je.
- C’est ça ! Tu as deviné.
-
Virginie était coquine et, je dois l’avouer, un brin, provocatrice.
- Le salaud, il t’a encore baisée ?

Bob se sentait encore désabusé :
- Oui, répondit-elle d’un ton sec.
- Ça s’est passé où ? Chez lui ? requerais-je.
- Non. On est allé dans un bar-brasserie prend un verre. Il m’a fait ça dans les toilettes du café-bar mais il ne m’a pas prise si tu veux tout savoir.
- Tu l’as sucé ?
- Un peu, répondit Virginie.
- C’est sûr que tu as dû le sucer pour avoir du foutre pareil sur les seins, grommela Bob.

Virginie pensait faire plaisir à Bob. En fait, sans le savoir, elle eut sans doute fat davantage plaisir à Olivier car l’idée du foutre sur les seins et de rentrer chez elle ainsi, était de lui. Dans les toilettes du café, Olivier lui avait même dit :
- Tu vas rentrer comme ça avec mon jus bien au chaud entre tes seins. Tu vas montrer ça à Bob, il va être fou.
- Tu crois ? ajouta Virginie. Je ne suis pas sûre qu’il va aimer.
- Essaie, tu vas voir, lui dit Olivier. Tu ne risques rien, tu m’as bien dit qu’il est au courant pour nous et ton premier gang-bang chez ta mère en juin de l’année dernière, non ?
- Oui, il est au courant, ajouta Virginie timidement.
- Bon, bah alors, vas-y.
- Ok. Je vais faire ça, ajouta Virginie, confiante.

Virginie était séduite par l’idée saugrenue d’Olivier. Elle doutait pourtant de son efficacité sur la libido de Bob. Au pire, que risquait-elle, se disait-elle : que Bob se fâche puis qu’il pardonne ? ou simplement qu’il reste indifférent à cette connivence ? Virginie savait toutefois qu’elle jouait avec le feu. En rentrant chez elle le soir, disons vers les cinq heures après avoir passé une bonne partie de son après-midi avec Olivier, elle s’imagina un instant passé directement par la salle de bain pour se nettoyer du sperme d’Olivier qui réchauffait ses seins à moins que ce ne soit l’inverse.
L’homme s’était fait sucer par la belle parce qu’il adorait ça. Il n’avait pris le temps de demander à Virginie de retirer son soutif pour lui caresser les seins. Il gicla directement dans le balconnet de la belle, toujours plus désirable et attachante.

Voilà la fin de cette nouvelle histoire. J’espère qu’elle vous aura plu. A vous de me dire maintenant s’il s’agit d’une histoire vraie ou d’une histoire fausse.

A bientôt. Prenez soin de vous.