Elise Libertine 26 Vive L'Artisanat

Cela fait plus d’un an que nous sommes dans la banlieue bordelaise en location et que nous cherchons à acheter un bien en nous rapprochant de bordeaux. En avril 2002 nous faisons l’acquisition d’une échoppe double avec un couloir central et sur cave semi-enterrée dans le quartier de la Bastide. Sur l'arrière un balcon avec un escalier extérieur qui descend vers le jardin situé en contrebas.
Avant d’y habiter nous faisons faire des travaux pour obtenir sur un coté 2 grande chambres avec la salle de bain et les toilettes entre les deux, de l’autre le salon la salle à manger et la cuisine. Deux grandes baies vitrées sont posées dans la chambre et la salle à manger donnant sur le jardin. Sous la terrasse il y aura une douche, un bureau et une pièce de bricolage pour Élise avec également des baies vitrées.
Les travaux ont pris du retard et nous devons libérer notre location pour le 15 août. Nous n’avons d’autre choix que d’emménageons dans une maison en chantier. Les gros travaux sont terminés. La salle d’eau et les WC sont opérationnels il reste quelques finitions et toutes les peintures à faire ainsi que tous les travaux du sous-sol. J’installe juste le lit et une commode dans une chambre. Les autres meubles sont répartis au centre des différentes pièces pour les plus grands et dans la cave pour le reste et les cartons
Les artisans sont en congés tout le mois d’août. Ils reprennent le travail le lundi 2 septembre. Élise demande au peintre de commencer par les chambres et la salle d’eau que l’on puisse s’installer un peu mieux et remonter quelques cartons du sous-sol. Après quatre jours à l’hôtel en raison des odeurs de peinture nous pouvons enfin prendre possession de notre chambre.
Les travaux durent encore trois jours pour finir l’étage toujours sous la surveillance de madame car j’ai repris le travail. Le mardi 10 au soir je remonte du sous-sol les cartons de linge, de vaisselle et de bibelots. Le 11 sous la direction d’Élise les gars acceptent de mettre les meubles en place.

Elise malgré sa minijupe n’hésite pas à monter sur une chaise ou sur l’escabeau, pour ranger les affaires, consciente que cela permet parfois aux ouvriers de se rincer l’œil notamment celui qui fignole le nettoyage du parquet.
Le 12 septembre l’étage enfin totalement terminé nous finissons notre installation avec la fixation des tableaux, des photos dans le salon et la Salle à manger. Dans la chambre face à notre lit j’accroche le cadre d’1m20 par 0,80 contenant la photo érotique d’Élise. Nous pouvons prendre nos marques et vivre enfin dans un logement agréable malgré quelques odeurs de neuf persistantes et le bruit des travaux du sous-sol en journée pour Élise les ouvriers travaillant de 7h30à 16h00
Le 17 septembre je rentre et comme tous les soirs je descends voir les travaux des pièces sous la terrasse avec ma moitié. Les murs sont isolés peintures est faite, le sol isolé il reste le revêtement de sol à poser, le carrelage de la douche est posé. Mon épouse me précise « le plombier vient demain matin poser le lavabo, la paroi de douche et la robinetterie finir les branchements sur la cave, demain soir tout est terminé. »
Le 18 lorsque je rentre « bonsoir chérie ont-ils terminé les travaux ? »
Élise « oui, mais le carreleur doit revenir pour reprendre le seuil se porte qui est trop bas, vient voir !»
Nous descendons, effectivement tout est fait. Je regarde de plus près et constate la différence de hauteur du seuil. J’embrasse ma chérie « je vais commencer ce soir à ranger les deux pièces en attendant allons arroser la fin de chantier »
Nous remontons elle m’emmène dans notre salle d’eau me montre la douche et dit « ce n’est pas tout le plombier reçu le bon mitigeur c’est son arpette qui l’a monté, lui est venu faire le contrôle.»
Nous passons dans le salon j’ouvre le champagne et nous trinquons « à notre nouvelle demeure »
Élise « il faut que je te raconte ma journée »
« Vas-y je suis tout ouïe »
« Quand j’ai fini de prendre mon petit déjeuner après ton départ je nettoie la table et mets les bols dans le lave-vaisselle, je tourne et je vire un peu en écoutant la radio.
Vers neuf heures je vais dans la salle d’eau prendre ma douche.
Je viens juste de me savonner quand l’eau cesse de couler, je maugrée, je prends ma serviette j’entoure mes cheveux. J’att ta serviette la noue sur mes seins pour aller râler après le connard qui a coupé l’eau.
Je peste, me tourne vers la porte de salle d’eau, que j’ai laissée ouverte comme d’habitude. Je découvre dans l’encadrement de la porte tout penaud l’arpette du plombier un grand garçon brun qui ne doit pas avoir 20 ans.
« Je m’excuse madame on vient d’arriver c’est moi qui ai coupé l’eau le patron m’a demandé de remplacer le mitigeur de la douche par celui-ci comme les robinets des vasques»
Il est tout rouge et me regarde les yeux écarquillés il me montre l’objet qu’il tient à deux mains. Je réalise que la serviette est trop petite pour cacher à la fois mes seins et ma chatte. Mes yeux se posent tu vois où et je constate que le bleu de travail est bien déformé.
« Quel âge as-tu jeune homme» lui« 18 presque 19 madame »
« C’est quoi presque » lui « 18 et quatre mois »
« Donc tu as déjà vu une femme nue » « oh oui madame » « tu es sûr » « heuu.. C’est à dire des seins sur la plage à Arcachon »
« Tu n’as pas de copine »
« Non madame j’ose pas aborder les filles »
« Pourquoi tu n’es pas moche et tu as l’air d’un gentil garçon avec tes beaux yeux bleus tu dois plaire»
« Oui, mais j’suis pas intelligent les copains m’appellent : grosse bite p’tite tête »
« T’inquiètes pas tu n’as pas l’air si bête et dis-toi que les filles aiment bien les grosses bites j’en sais quelque chose» en disant cela je pose ma main sur son paquet. Le jeune timide passe du rouge à l’écarlate mais sa bandaison est beaucoup moins timide, effectivement il est bien pourvu.
Je le laisse se mettre au travail. Il ne lui faut que quelques minutes pour changer la pièce. Il se redresse me regarde « voilà madame c’est fini je m’excuse pour la coupure d’eau je vais la remettre.
»
« Eh bien ! Tu es rapide tu mérites une récompense approche » je l’attire vers moi et dépose un baiser sur ses lèvres. « Vas vite remettre l’eau et reviens vérifier qu’il n’y a pas de fuite »
« Oui madame » il part en courant. Je suis toute excitée par ce jeune puceau qui ne cesse de me donner des ‘madame’. Trente secondes plus tard il est de retour il contrôle l’absence de fuite. Je lui demande de se laver les mains je dénoue ma serviette et lui tend pour qu’il s’essuie dévoilant ainsi ma nudité. »
Alan : je t’interromps « si je comprends bien, en âme charitable tu t’es mis dans la tête de venir au secours de ce puceau ? Continue, raconte ! J’en bande déjà, touche !»
Élise : « Je ne sais plus où j’en suis ? Ah oui! Il se sèche les mains les yeux fixés sur mes seins je lui att la main et la pose sur mon sexe.
« Touche un sexe de femme glisse tes doigts partout découvre »
Il s’agenouille écarte mes lèvres glisse son index le long de ma fente humide. Il incline la tête pour mieux regarder « c’est tout mouillé » me dit-il en glissant ses doigts dans mon vagin.
« Lorsqu’un homme est excité il bande, une femme elle mouille cela facilite la pénétration. Regarde en haut des lèvres tu vois ce petit capuchon avec un petit bouton qui dépasse tire le vers le haut tu verras mon petit bouton en entier c’est comme une petit bite qu’on appelle clito vas-y pose ta bouche dessus il est très sensible»
Je sens la chaleur de sa bouche qui se pose, instinctivement sa langue vient le lécher je l’encourage il se prend au jeu, mes mains maintiennent sa tête sur mon sexe. Trop excitée pour me retenir je jouis en moins de deux minutes. Je m’appuis sur la vasque il se lève me demande « ça vas pas je peux faire quelque chose » « non non ! Au contraire ça va très bien tu m’as fait jouir »
À mon tour je m’agenouille face au jouvenceau. Je remonte la fermeture éclair de son bleu tire sur le slip blanc marqué par l’humidité du gland pour en extraire son membre en érection.
Sa queue légèrement arquée vers son ventre doit bien faire plus de 18cm elle est épaisse d’au moins 4,5 de diamètre.
Le gland est légèrement décalotté, du méa suinte le liquide visqueux preuve de son excitation. Je l’essuie avec l’index et m’empresse de le gouter il est plutôt doux et agréable.
Ma main décalotte entièrement le gland que ma bouche gobe avec gourmandise, ma langue virevolte autour de la couronne avant de passer du méa au frein. Cette caresse sur les points sensibles lui fait lâcher quelques soupirs. J’absorbe la tige en totalité en lui malaxant les joyeuses et entame une pipe qui doit lui rester en souvenir. J’aspire la bite de plus en plus en gorge profonde je la suce je la lèche. Je sens les contractions annonciatrices de la jouissance. Il veut se retirer mais je le maintiens bien au fond de ma gorge. Il gémit et lâche un ouiii en même temps que je sens couler plusieurs jets d’une semence doucereuse au fond de ma gorge.
« Bon dieu ! On ne s’ennuie pas ici, Nico p’tit salopiot c’est ça ton boulot et moi je t’attends !! en bas et vite! »
(Le plombier ne voyant pas son arpette revenir est venu le chercher). Evidemment je suis nue et la situation est plutôt claire
Le jeunot a sursauté, il rentre hâtivement son organe et bredouille « oui patron pardon patron je descends »
Je regarde le patron et retient l’arpette « monsieur B ayez un peu d’indulgence pour Nico ce n’est pas de sa faute je le remerciai de son travail »
« En attendant c’est moi qui bosse et j’attends le mitigeur pour le poser en bas »
« Ecoutez, c’est de ma faute je voulais initier le gamin qui est encore puceau ! Il n’est jamais sorti avec une fille ! Laissez-le un moment avec moi que je lui apprenne. Restez si vous voulez cela ne me dérange pas. »
« Je veux bien mais j’tiens pas la chandelle, moi aussi j’ai bien travaillé»
« D’accord approchez, ouvrez l’armoire de toilette sur la droite il y a des préservatifs servez-vous » il en sort deux en donne un à Nico qui regarde interrogatif. Monsieur B retire son bleu se lave les mains et se met nu. Il dit « gamin fait comme moi »
Je l’observe il est plutôt bien bâti 1bon mètre 75, musclé peu de graisse et bien conservé pour un mec de la soixantaine passée. Son sexe plus petit que celui de son arpette est bien tendu. Je me penche pour le sucer.
Je regarde du coin de l’œil le Nico qui se déshabille. Le jeune homme de presque un mètre quatre-vingt-cinq se met nu je découvre son corps maigrichon mais musclé. Son regard bleu passe de son patron à moi.
Je suce le plombier tout heureux que je m’occupe de son tuyau
Monsieur B « ta bouche est très habile ma salope j’comprends que le gamin ait apprécié. Mais j’ai pas beaucoup de temps j’veux finir le boulot avant midi. J’peux te baiser ici, maintenant ?»
« Bien sûr je n’attends que cela »
Il enfile le caoutchouc me demande de me mettre face au lavabo et de me pencher. Il présente sa bite et m’enfile d’un coup sec. « T’es sacrément trempée cochonne tu veux t’faire baiser salope compte sur moi. » cramponné à mes hanches il s’active dans ma chatte avec violence.
Je l’observe dans le miroir Il me pistonne fort, je dois m’accrocher à la vasque pour ne pas être déséquilibrée. Son visage est l’expression même du mâle en rut baisant la femelle.
Il se tourne vers Nico « Approche gamin regarde comment il faut baiser une salope de bourgeoise t’auras d’autres occasions dans ta carrière de baiser des catins dans son genre quand les maris sont au boulot.
Il me baise longuement, je sens son pouce appuyer fermement sur ma rondelle puis pénétrer mon anus.
« Regarde petit je vais l’enculer la bourgeoise, les vrais chiennes acceptent ça, je suis sûr que c’est le cas de celle-là»
Il sort de mon sexe pose son dard sur mon œillet et le perfore d’un coup ce qui m’arrache un cri de douleur. « aie aie ! Attention tu m’encules à sec alors doucement »
Sans se soucier de ma réaction il continu sa progression jusqu’à ce que son pubis touche mes fesses. Il me ramone le conduit virilement pendant plusieurs minutes ses couilles viennent s’écraser sur mon périnée. Des ondes de plaisir me traversent à chaque coup de queue quand je sens les contractions de sa verge qui se vide je jouis du cul en poussant un long cri, lui émet un grognement. Sa queue ramollie est éjectée de mon cul il retire le préservatif et viens me présenter sa queue à sucer. Je lui suce la tige couverte de sperme.
Il me claque les fesses « t’es une bonne salope mais j’ai du boulot j’te laisse le gamin une heure déniaise le bien. Petit baise bien cette salope soit à la hauteur d’ton patron »
Le gamin « oui patron »
Monsieur B récupère ses affaires et retourne au boulot.
Nico s’approche de moi m’embrasse, sa bouche descend sur mes seins. Je tends la main pour branler la queue du puceau.
Il lèche mes tétons je le guide« tu peux les mordiller mais pas trop fort ».
Il comprend vite, je me surprends à aimer les caresses de ce grand ado. J’ai envie de plus « mignon viens me baiser maintenant » Il att le préservatif.
«Tu n’en a pas besoin pour une première fois il faut que tu ressentes toutes les sensations de ta queue au fond de moi et que tu jouisses que tu éjacules dans ma chatte comme pour me féconder pour savoir ce que l’on ressent» il me regarde et attend que je le guide.
Pour cette première je l’emmène dans la chambre d’amis afin que nous soyons plus à l’aise. Je m’allonge et l’invite à venir sur moi. Il se précipite entre mes jambes et plante de suite son chibre dans mon berlingot.
Je suis obligé de modérer ses ardeurs « va doucement tu es un homme maintenant caresse moi pour que je jouisse moi aussi. »
Il ralenti la cadence, caresse ma poitrine, m’embrasse. Son sexe fouille ma chatte il ne se contente pas de me baiser il me fait l’amour, il cherche mes réactions lorsque son braquemard se déplace dans ma caverne. Il se débrouille plutôt bien pour un novice.
Ce gamin me donne du plaisir, sa queue en moi est un vrai délice au bout de six minutes je suis traversée par un orgasme quand je sens sa queue tressauter en moi et m’arroser la matrice je crie ma jouissance alors que lui émet seulement un souffle comme râle retenu.
Il s’allonge à côté de moi « merci madame » je souris l’embrasse sur la joue puis sur le sexe. Je suce son membre avec gourmandise j’aime le mélange de nos deux sécrétions.
Le membre retrouve sa raideur je l’enjambe et m’assoie sur le pivot dressé. J’ondule des hanches, mon clitoris se frotte sur le pubis de mon jeune amant qui me caresse les seins. Je le regarde, dans ses yeux et sur ses traits je lis son plaisir et sa fierté. Je l’embrasse et l’encourage
« C’est plutôt bien, pour une première fois ! Avec ta bite tu me donnes beaucoup de plaisir. Continue je vais jouir encore. »
Je saute frénétiquement sur le braquemard qui me taraude le ventre et m’emmène vers le plaisir qui monte en moi « ouiii ! Je viens ohhhh comme c’est bon ! Vas-y toi aussi viens »
Nico se met gémir et cette fois ne retient pas son expression« oui je jouiiiiiiiiiiiis »
Je le sens se répandre en moi il a de la ressource le coquin. Après quelques baisers je me lève et l’entraine dans la salle d’eau. Il m’a tellement remplie que le sperme coule entre mes cuisses. Je saisi une serviette et essuie mes cuisses et mon entrejambe. Le gamin me regarde faire.
Il passe derrière moi empoigne mes seins et m’attire contre lui je son membre de nouveau bandé contre mes fesses (ah la force de la jeunesse !). Il m’embrasse dans le cou et me demande « dites madame je peux faire comme monsieur B»
Surprise je me retourne « tu veux m’enculer »
« Oh oui madame ! Vous avez dit que vous allez m’apprendre j’ai jamais fait ça »
Je me tourne vers le lavabo je m’appuie sur la vasque le cul tendu et le regarde dans le miroir « Tu as vu comment à fait ton patron, à ton tour de le faire. Avant tout crache un peu sur mon petit trou pour que ça glisse et vas-y »
Il crache sur ses doigts et pose la salive sur mon œillet. Je le vois reculer pour mieux regarder où placer son dard. Je sens le gland se poser sur mon anneau froncé il pousse timidement craignant peut être de me faire mal (comme j’ai crié avec son patron). J’ai très envie de me faire enculer par sa grosse bite alors je donne un coup de cul vers l’arrière et m’empale sur son chibre.
Il saisit mes seins, les malaxe et joue avec les tétons sans bouger sa queue. Dans mon intestin je sens les contractions de sa verge. Soudain il lâche mes seins s’accroche à mes hanches et me ramone le conduit. Je sens son gourdin reculer puis venir frapper le fond de mon intestin. Ses testicules cognent sur mon périnée.
Cette fois il me défonce ses coups de boutoir sont autant de coups de starter pour démarrer ma jouissance.
Je me laisse aller « ouiiii petit défonce moi, encore, encule moi bien profond, graisse moi le fion ! »
« Oh c’est bon je jouis dans ton cul madame »
Son éjaculation déclenche mon orgasme « ouiiii je sens ton jus couler en moi aahhhhh ooohh ouiiiii »
Je m’écroule sur le lavabo le temps de reprendre mes esprits.
J’entraine le gamin sous la douche. Il se dépêche pour reprendre le travail et retourne auprès de son patron. Je fini ma douche et passe une mini robe d’été que je me suis faite avec un voile de coton fleurie elle est fermée devant par quatre boutons dont le dernier se trouve juste cinq centimètres sous le pubis.
Vers onze heures je descends voir où en est le plombier. Lorsqu’il me voit il sourit « alors comment il se débrouille le gamin »
« Il est très prometteur il apprend vite il m’a baisé la chatte et enculée je peux dire qu’il dépasse déjà bien des hommes que j’ai connus. Ce n’est plus un gamin maintenant mais homme »
Monsieur B donne une petite claque affectueuse sur la tête de son arpette « tu as entendu Nico t’es un homme maintenant »
Nico « oui oui »
J’ajoute « Nico tu n’es pas bête tu comprends tu apprends vite et surtout tu dois avoir confiance en toi dans la vie comme au travail »
« Oui merci madame »
Monsieur B « c’est vrai il est loin d’être con et il apprend vite, en plus c’est un p’tit gars bien élevé»
Je demande « où en êtes-vous avec les travaux si ce sera fini ce soir ? »
« Largement, nous en avons pour une heure et ce sera fini pour nous. J’appellerai le carreleur pour lui dire qu’il peut venir reprendre le seuil de porte »
« Merci c’est gentil, s’il peut me prévenir de son passage avant ce serait bien »
« Je lui fais la commission »
Je remonte faire un peu de ménage et préparer les repas pour le midi et le soir. Vers midi, je suis en train d’installer mon couvert, le plombier m’appelle. Je descends.
« Voilà madame le boulot est terminé. Nico ! Tu mets le matos dans la fourgonnette et tu peux y aller».
« Oui patron il va poser son matériel dans le véhicule puis revient en tenues de ville.
« Patron je pars au bus je vous retrouve au chantier de Cenon à deux heures »
Le patron « soit à l’heure » il se tourne vers moi « le travail vous convient ? »
« Oui mais le chef pour ça c’est Alan il fera son tour en rentrant ce soir »
« De toute façon s’il y a un problème vous m’appelez »
Je ferme la trappe d’accès à la rue et demande au plombier de sorti par le haut. Je monte l’escalier il m’emboite le pas et profite d’une belle vue sur mes petites fesses. « Avez-vous contacté le carreleur »
« Non mais je le fais de suite »
Nous entrons dans la cuisine il prend son téléphone et passe l’appel. Il explique qu’il a terminé au carreleur qui lui répond. En me regardant « il peut passer demain en fin de matinée cela vous va » il confirme à son correspondant et raccroche. « Voilà qui est fait »
Je lui propose « vous prendrez bien un petit apéro pour la peine »
« C’est pas de refus, j’ai un peu de temps »
Je sers un pastis pour lui un whisky pour moi. Nous trinquons et discutons de tout et de rien. Je remarque qu’il me regarde avec insistance et lui fais la remarque « il y a un problème »
« Que non ! avec votre robe le soleil dans votre dos est plutôt indiscret »
« Ne dites pas que cela vous gêne après ce qui s’est passé ce matin »
Il att ma main la pose sur son bas ventre« non bien au contraire ça me donne plutôt des envies touchez »
Je sens sa queue bandée sous le bleu de travail « je ne vais pas vous laisser comme cela suivez-moi » je me dirige vers la chambre d’amis, il demande à faire un brin de toilette j’acquiesce
« Vous savez où c’est, les serviettes sont dans le meuble à tiroir, ramenez des préservatifs s’il vous plait, je vous attends dans la chambre »
J’ouvre le lit, retire ma robe et m’allonge sur l’aire de jeu et attends le bonhomme. Il arrive quelques minutes plus tard pas de doute il est en forme. Il vient me rejoindre sur le champ de bataille met sa bite sur mes lèvres « Si on commençait par une petite pipe »
Je le prends en bouche et par chance il n’a pas utilisé de savon pour se laver la queue (j’ai horreur de sucer une savonnette). Je suce le gland lèche la tige en descendant vers ses couilles poilues que je gobe à plaisir pendant que ma main le branle. Le bandeur apprécie la caresse je sens le membre se raidir encore.
« Petite salope tu es plutôt douée pour le sexe à ce que je vois » il me fouille la chatte de ses doigts je mouille abondamment.
J’ai envie de sa verge dans le con mais en même temps je veux le faire jouir avec la bouche. Je me fais violence et je continue ma turlute il souffle de plus en plus, il essaye de se maitriser. Je plante l’index de ma main gauche dans son anus le geste lui est fatale il se vide au fond de ma gorge.
« ahhh la garce t’es une redoutable vicieuse.»
Je ne lâche pas pour autant l’objet de ma convoitise que je tente de ranimer. « On va la réveiller car je veux que tu me baise la chatte et le cul. »
« Patience je n’ai plus vingt ans il me faut un peu de temps pour recharger. Tu permets que je passe un coup de fil pour prévenir ma géraldine que je ne rentre pas déjeuner ».
Il part passer son appel je l’entends prétexter un retard sur le chantier puis un deuxième appel à Nico pour décaler à quinze heures l’arrivée à Cenon.
A son retour je lui souris « hé bien beaucoup de mensonge en deux minutes coquin »
Il s’approche « Il vaut mieux un petit mensonge que certaines vérités qui font mal»
Installé entre mes cuisses il me mange l’abricot la langue me pénètre, il me suce le clito une douce chaleur gagne mon ventre ses doigts me pénètrent la chatte et le cul je suis au bord de la jouissance.
Il intensifie sa succion je vocalise de plus en plus je ne veux pas qu’il arrête ce doux supplice provoque la montée dans mes reins d’un plaisir intense je me cabre pour mieux offrir mon sexe à sa bouche un orgasme me traverse je pousse un long cri. « Merci c’était très bon »
« Toi alors quand tu jouis cela se voit et s’entend, t’as pas de problème avec les voisins. »
« C’est une des raisons pour laquelle nous avons fait une bonne isolation. Et si la fenêtre est ouverte ils sauront que je m’éclate.»
Il s’allonge sur le dos m’invite à venir sur lui l’Andromaque ma position préférée. Je chevauche cet étalon fougueux, ses coups de bite donne la cadence du trot sexuel je rebondi sur son pubis mon clito réagit à ces contacts virils. Je me penche pour lui rouler un patin il me serre de ses bras musclés ma poitrine s’écrase sur son torse. Nos langues engagent un duel langoureux nos salives se mélangent.
Il me baise avec vigueur le plaisir monte en moi « oui baise moi plus fort je vais jouir encore»
« Vas laisse toi aller tu en auras d’autres ce n’est qu’un début »
« Je me redresse et me tends, je ne suis plus qu’un cri, un corps pris de soubresauts je jouis et m’écroule sur mon amant »
Il se dégage m’embrasse, me positionne à quatre pattes pour me baiser en levrette. Le queutard glisse son phallus dans mon trou d’amour. Il me besogne longuement variant l’orientation de son dard, la cadence la force de ses coups de reins ont finalement raison de mon corps qui s’enflamme à nouveau.
« Salope tu aimes te faire baiser comme une chienne je vais encore te faire crier de plaisir petite pute »
Il ne croit pas si bien dire je me mets à crier des oui des encore et toutes ces choses que je crie lorsque je jouis. Cette fois il m’accompagne « oui c’est bon je crache la purée ma salope »
Il se pose sur mon dos m’enlace, ses mains se croisent sur mes seins il me redresse m’embrasse dans le cou au creux de l’épaule.
Il demande à boire pendant qu’il retire son préservatif je vais chercher de l’eau gazeuse à la cuisine. Au retour nous buvons assis sur le bord du lit. Il me serre contre lui avec son bras gauche me caresse doucement il me regarde « tu es vraiment exceptionnelle ton mari ne doit pas s’ennuyer avec toi. J’espère qu’il a une bonne santé »
« Ça va je ne me plains pas nous nous complétons bien »
En disant cela je pense déjà à ce soir et au récit de ma journée. Machinalement je caresse le sexe ramolli de cet homme de plus de dix ans mon ainé je sens la petite chose frémir et commencer à gonfler pour retrouver une belle érection. Je n’en reviens pas il est vert papy pour son âge.
« Alors ma jolie une petite sodomie pour finir »
Il me soulève et me retourne comme une crêpe pour me mettre en position au bord du lit. Il coiffe son engin Crache sur mon petit anneau qu’il prépare de son pouce. Il me perce le cul de sa lance, il m’embroche, il me défonce, son braquemart me fend l’anus mes chairs sont ouvertes, il me taraude l’intestin chacun de se coups m’électrise le plaisir monte inexorablement.
Je le supplie « je suis une chienne défonce moi plus fort bourre moi le cul bien profond »
Il me pilonne longuement très longuement au moins dix minutes j’ai l’impression d’être baisée par un jeune dans la fleur de l’âge. Je ne suis plus que jouissance mais il continue de me transpercer, mon cul me chauffe mais je ne veux pas interrompre ce moment magique. Je ne sais plus où je suis, je sais je jouis encore lorsqu’il donne l’estocade, dans un cri il se plante au fond de moi et éjacule enfin. Nous nous écroulons sur le lit quelques instants
Après un passage sous la douche je partage mon repas avec lui. Il me remercie pour ces moments je lui retourne le compliment. Il me demande si on peut se revoir je lui dis que non sauf si tu me le demandes. Il me regarde étonné « tu vas lui dire »
« bien sûr nous partageons tout et cela fait près de trente ans que cela dure. »
Il était 14 heures 30 quand il est parti je suis retourné à la douche et j’ai passe de la pommade sur mon petit cul tout endolori et je me suis couché et Je me suis réveillé il était seize heures »
Hé bien ma chérie quelle dure journée tu as passée, mais ce n’est pas fini regarde dans quel état tu m’as mis.
Elle m’a taillé une pipe comme elle sait si bien le faire et m’a dit « pour le reste tu veux bien attendre demain ! J’ai un peu mal au cul »
C’est ce que nous avons fait. J’ai passé le reste de la soirée à installer les meubles au sous-sol…….

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