Mon Premier Séminaire D'Entreprise (Suite Et Fin)

Le vendredi matin, le mal de crâne consécutif à la soirée bar et boîte de nuit de la veille, associé à quelques abus, rendait l'atmosphère de la conférence sur l'agriculture biodynamique quelque peu brumeuse. Peu de personnes étaient vraiment aptes à suivre la présentation avec implication. Mon copain était quant à lui toute la journée en télétravail dans l'hôtel Ibis situé à peine à cinquante mètres de l'abbaye, si bien qu’il pouvait apercevoir une partie du parc depuis son balcon. Il avait réservé une chambre jusqu'au samedi car il devait aider notre voisine pour son déménagement le dimanche à Angers.

Au repas du midi, cette fois ci Marc s'était assis entre deux salariés de l'agence Occitanie. Cherchant régulièrement son regard, lorsque je le trouvais le sien se détournait rapidement, comme s'il ne savait pas comment se comporter avec moi après ce qu'il s'était passée dans la boite de nuit. Toute l'après-midi c'était le même manège, il évitait de croiser mon regard et paraissait gêné quand je lui souriais. J’en concluais qu’il n’avait pas l’intention de réitéré les aventures de la nuit passée, et je décidais de ne plus y penser. Lorsque les organisateurs nous ont libéré un peu plus tôt que prévu, vers dix-sept heure, voyant que l’on n’était pas très concentré, ils nous donnèrent quartier libre jusqu’au lendemain.

Marc se dirigeait vers l'espace spa, composé d'une piscine à jet, d'un jacuzzi, d'un sauna, d'un hammam et même d’un salon de massage. Apparemment il avait opté pour la piscine. N’ayant pas mon maillot sur moi, et de toute manière ne voulant pas le suivre, j’ai opté pour l’option massage. Etant seule dans la salle d’attente, je fus très rapidement reçue par une femme d’environ trente-cinq ans, d’origine certainement thaïlandaise. Après avoir accroché le panneau « massage en cours » à la porte et l’avoir refermée derrière moi, elle m’a fait choisir un type de massage, le massage shiatsu, et m’a donné une petite serviette en me demandant de me mettre nue.

Je me suis donc déshabillée derrière le paravent en bois, j’ai enroulé la serviette autour de ma taille, et je me suis approchée vers la table de massage. J’ai remarqué dans les yeux de la femme une pointe d’admiration devant les lignes de ma silhouette ainsi exposée. En effet la serviette blanche était si petite qu’elle ne descendait à peine plus bas que mes fesses, cachant le strict minimum, mes seins étant eux fièrement dressés et nus. Je me suis ensuite allongée sur le ventre sur la table de massage, et la femme, après avoir éteint la lumière, ne laissant plus que deux bougies éclairer faiblement la pièce, a pu commencer son travail. Elle pratiquait d’une pression graduelle avec ses bras et ses mains sur la surface de la peau de mes épaules, de mon dos et de mes jambes, afin de permettre l’assouplissement des muscles en deçà. Les ondulations de ses doigts fins et doux sur ma peau, eurent tôt fait de m’entrainer vers un sommeil exquis. Lorsque quarante-cinq minutes plus tard la séance fut terminée, la masseuse, voyant que je dormais, sorti en refermant la porte pour me laisser me reposer paisiblement seule dans son salon. Je sortais tout doucement du sommeil quand la porte se rouvrit et se referma à nouveau. Quelqu’un vint s’assoir sur la chaise roulante à côté de la table, posa ses mains sur mes épaules, et débuta un nouveau massage. C’est lorsque je sentis les mains glisser le long de mes lombaires et remonter jusqu’à ma nuque plusieurs fois que je me rendis compte, enfin totalement réveillée, que ce n’était pas les mêmes mains que lors du précédent massage qui se baladaient sur mon dos. C’était cette fois des mains d’hommes, viriles et fermes. Très surprise mais excitée à la fois par le culot de l’homme - il n’y avait pas de masseur masculin dans ce spa - je me suis laisser faire en attendant de voir la tournure des évènements, ne sentant pas d’intention malveillante dans ses gestes. J’ai tournée sur son côté gauche, j’ai essayé d’ouvrir imperceptiblement mon œil droit afin de voir le visage de l’inconnu, mais impossible comme cela de distinguer quoi que ce soit dans la pénombre de la pièce.
Les mains de l’homme devenaient de plus en plus exploratrices, elles glissaient sur la peau de mes hanches, sautaient la serviette, et continuaient leur chemin sur l’extérieur de mes jambes. Quand elles remontèrent pour la première fois du côté intérieur de mes mollets et de mes cuisses, arrêtant leur mouvement au bord de la serviette, et donc de mes fesses, un frisson de plaisir parcouru mon corps, qui me fit tressaillir. Cela n’ayant pas échappé à mon masseur, il s’enhardi et refit plusieurs fois ce même geste, arrêtant ses mains de plus en plus prêt de mon entre-jambe, ses doigts touchant presque mes fesses. Puis laissant une de ses mains posée sur mon épaule, il osa glisser l’autre sur mes fesses par-dessus la serviette. C’est à ce moment-là, sa main sur mon épaule étant toute proche de mes yeux tout juste entre-ouverts, que j’ai reconnu la bague portée au majeur. C’était Marc qui me massait. Une excitation intense prit possession de tout mon corps. Alors quand il glissa ses mains entre mes cuisses collées, forçant le passage, sans plus réfléchir et perdant tout contrôle j’ai écarté mes jambes au maximum de ce que permettait de faire la largeur de la table, qui était très étroite. Puis il souleva lentement la serviette pour faire apparaitre mes fesses bombées, et finalement la retirera complètement. J’étais alors totalement nue, exposée, à sa merci, et il devait maintenant avoir une vue imprenable sur ma petite rondelle et ma chatte trempée. Il me laissa ainsi une minute, cherchant quelque chose sur une étagère, puis je sentis un liquide onctueux et chaud couler entre mes omoplates, descendre sur mon dos, et venir s’écouler entre mes fesses, irrigant mon anus et ruisselant le long des lèvres de mon sexe. La sensation était délicieuse. Marc continua de presser le tube d’huile jusqu’à ce qu’il fût entièrement vidé. Puis, reposant le flacon, il étala sensuellement l’huile sur tout mon corps, en se rapprochant de plus en plus de mes fesses. Il arrêta son massage, et ses mains pelotèrent alors mon cul avec ardeur, ses doigts effleurant mon sillon interfessier.
Mon souffle s’accélérait, j’avais des palpitations de plus en plus fortes, sentant les doigts de Marc s’insinuer de plus en plus loin entre mes fesses. J’avais tellement envie qu’il me tripote, qu’il me doigte, que lorsqu’enfin ses doigts touchèrent mon petit trou puis ma chatte, elle dégoulina de mouille qui se mélangea à l’huile, rendant mes lèvres si glissantes que deux de ces doigts s’enfoncèrent tout seul tout au fond de mon vagin. Cette pénétration surprise m’a fait pousser un cri de plaisir, qui fut suivi par un flot ininterrompu de gémissements en accompagnement des mouvements des doigts de Marc dans ma chatte. Alors il changea de technique, il glissa sa main droite sous mon ventre, la paume contre moi, et enfonçant son gros pouce dans mon vagin, il entreprit de caresser mon clitoris avec tous ses doigts restants. Mon point G était en feu, il brulait, des braises irradiaient leur chaleur au creux de mon ventre, qui se propageait ensuite à tout mon corps. Mon clitoris n’était pas en reste, Marc le titillait, le frottait, le faisait rouler sous ses doigts. Ces deux stimulations simultanées me faisaient monter lentement mais surement vers le septième ciel. Alors Marc décida de pénétrer doucement mon cul avec son index de sa main gauche, mais cela fut impossible tant il fut aspiré pour disparaitre d’un coup tout entier dans mon trou. Je me cambrai sous ce nouveau plaisir qui envahissait mon ventre. Il en profita pour remplacer son pouce dans mon vagin par son majeur et son annulaire. Il doigtait frénétiquement mes deux trous, ajoutant un autre doigt dans ma chatte qui le laissa entrer avec gourmandise. L’huile et ma mouille abondante aidant bien, il inséra un quatrième doigt. Jamais je n’avais été aussi ouverte. La sensation d’être remplie au maximum de mes capacités décuplait encore un peu plus mes sensations, si bien que sentant Marc commencer à pousser également son pouce, le dernier doigt qui lui restait, dans mon trou, je ne pus m’empêcher de gueuler ma jouissance qui arrivait, comme pour la faire venir plus vite :
« Ooohhh oui putain ! Ooooh putain que c’est bon… Vas-y remplis moi ! Je t’en supplie doigte moi le plus possible… Je vais venir… »
Alors Marc arriva à faire passer son pouce.
Tous ses doigts allaient et venaient dans ma chatte, me faisant presque découvrir mon premier fist. Si les dernières phalanges de chaque doigt arrivaient à passer ce serait le cas. Il retira son index de mon cul et glissa sa main gauche sous mon ventre, venant tripoter mon clitoris. Ce fut le geste libérateur : mon excitation atteignant ainsi son paroxysme, je sentis mon vagin se détendre à son maximum. Marc enfonça alors sa main un peu plus loin, et soudainement mes lèvres l’avalèrent et se refermèrent derrière elle. Elle était entièrement en moi, je n’en revenais pas, j’en avais le souffle coupé. Puis il fit vibrer sa main dans mon ventre, alternant avec des mouvements de rotation qui me faisait gémir de plaisir. Au moment où je sentis monter mon orgasme, il retira sa main, puis la rentra à nouveau d’un seul coup au fond de ma chatte, ce qui déclenchât immédiatement ma jouissance. Elle fût terrible, extraordinaire, et je ne pus m’empêcher de l’accompagner par de longs cris irréguliers et compulsifs. Mon corps ne voulait pas s’arrêter de trembler, tous mes muscles se crispaient et se décontractaient successivement. C’est seulement après trois vagues de jouissance consécutives que les battements de mon cœur ont commencé à se calmer et que ma tension a commencé à redescendre. Marc retira alors sa main qui était encore en moi, puis celle qui était sous mon ventre. Encore dans les vapes, je l’entendis griffonner quelque chose puis s’éloigner sans me dire un mot, quittant rapidement le salon de massage en refermant la porte derrière lui, me laissant seule et complétement étourdie sur la table. Reprenant doucement mes esprits, je me suis assise au bord de la table, les jambes ballantes dans le vide. C’est alors que je vis la bague posée sur un coussin, un bout de papier glissé en-dessous :
« Il faut que tu rendes la bague à Marc, il y tient… Je t’aime. G. ».
Mon cœur sursauta, ce fut un électrochoc. J’ai relu le message trois fois sans y croire. Des frissons parcouraient tout mon corps. Gabriel avait réussi à rentrer dans l’abbaye et s’était fait passer pour Marc. Le salaud ! Il m’avait bien eu. Je savais qu’il était capable de tout pour moi mais là c’était franchement incroyable. J’étais abasourdie par tant de culot. Ne prenant même pas le temps de prendre une douche et de me rhabillée, je l’ai appelé en visio :
« Putain Gabi dis-moi que c’est un coup monté ! T’as pas fait ça !?
- Ahahah ça ne t’a pas plu ? Moi j’ai adoré. Je t’ai rarement vu si excitée !
- Mais t’es un grand malade ! Putain je t’aime trop ! Mais alors je te jure que je me vengerai ! Et comment tu as eu sa bague ?
- Te venger ? J’attends de voir ça ! Ahah c’est simple j’ai son numéro depuis hier soir, et je savais que tu avais remarqué sa bague. Je lui ai demandé de me prévenir si tu allais au salon de massage, je savais que tu irais le tester. Et avant de rentrer discrètement dans l’enceinte de l’abbaye puis dans le Spa, je lui ai demandé de la cacher dans un coin des vestiaires.
- T’es incroyable ! Nan mais regarde dans quel état tu m’as mise… je suis dégoulinante d’huile, et encore plus de mouille… Ma chatte est complétement ouverte… Tu m’as fait jouir comme jamais !
- Je suis l’homme le plus heureux du monde !
- Et moi la plus heureuse de t’avoir…
- Hum je t’aime Isa.
- Je t’aime Gabi. Bon aller faut que je trouve Marc pour lui rendre sa bague du coup. Et je te préviens, toi tu t’es barré comme un voleur, mais si lui est encore dans le Spa je fais le chauffer comme une pute ! Ça lui apprendra à comploter avec toi !
- Ahahah hâte que tu me racontes ça alors !
Faisant un dernier tour sur moi-même pour bien montrer à Gabriel dans quel état il m’avait laissé, j’ai quitté la conversation vidéo. Je suis allée prendre une longue douche, puis après m’être rhabillée j’ai quitté le salon. En passant devant l’espace piscine, j’ai jeté un œil aux différentes activités, et j’ai aperçu Marc dans le jacuzzi. Alors, passant rapidement prendre mon plus beau maillot dans ma chambre, un haut bandeau rouge ouvert entre les seins et le bas assortis, j'ai décidé de l'y rejoindre. J'ai envoyé une photo de ma tenue à Gabriel avec ce commentaire :
« J’ai trouvé Marc ! Je vais le rejoindre dans le jacuzzi… »
Sa réponse ne se fit pas attendre : « Waouh t'es sublime ! Putain mais il va te sauter dessus »
« Hum non t’inquiète il y a du monde, mais je ne vais pas me gêner pour le chauffer ! »
« Le pauvre ! Mais attends, parce que s’il n’y avait eu personne tu n’aurais pas dit non à ce qu’il te saute dessus ?? »
« Ça dépend ce qu’il aurait eu comme intention… »
« Ah ! Et tu l’aurais laissé faire quoi ? »
« En vrai je pense qu’un cunni, une branlette ou une pipe je pourrai me laisser tenter, par contre je ne pourrai pas coucher sans toi. T’en pense quoi toi, il m’aurait fallu ton autorisation bien entendu dans tous les cas. Je kiffe voir que les mecs me désirent en fait… »
« Ok ! Alors moi aussi j'adore que tu fasses cet effet aux gars. J’aime le fait qu'au fond ils ne t'auront que pour du sexe pour une durée limitée, alors que moi j'aurai le privilège que tu sois toujours à moi. Et du coup ça ne me dérangerait pas que tu branle ou suce un gars sans moi si tu me le dis avant, ou encore mieux, que tu me montre ! Par contre je veux être là et te voir si jamais tu couches avec quelqu’un »
« Hum c’est bien noté, on pense et on aime la même chose c’est cool ! Et d’ailleurs je pense exactement pareil pour toi si jamais tu es tentée par une nana… Pipe et cunni pas de problème, mais pour baiser je veux être là ! »
« Tu m’excite ! le deal est validé ! Je t’aime »

Surexcitée par cette conversation, je suis allée aux vestiaires pour y déposer mes affaires, et je me suis dirigée vers le jacuzzi. Marc était entouré de deux femmes assez jolies, et de deux hommes dont un était grassouillet et l'autre bien bâti. Alors je me suis prise pour une mannequin célèbre dans une pub de parfum : j'ai descendu la dizaine de petite marche qui permettaient de rentrer dans le bain bouillonnant en me tenant les cheveux en arrière, la tête et le menton en avant, faisant ressortir au maximum ma poitrine, le toute agrémenté d'un déhanché très qui faisait balancer mon fessier de gauche à droite telle une pendule que l'on vient de remonter. Cette arrivée eu pour effet d'arrêter sur place les aiguilles de toutes les horloges, comme si j’étais la seule personne à marcher dans un musée de statue de marbre. Les yeux des deux hommes s’écarquillèrent en même temps que leurs bouches se figèrent, ouvertes sur le dernier mot qui venait d'en sortir. A ma vue, les deux femmes quant à elles avaient gonflé leur poitrine en une demie seconde, retenant leur souffle au maximum pour maintenir leurs seins dressés vers ceux de l'inconnue qui osaient les défier. Mais c'étaient bien les traits de celui qui était visé par mon arrivée qui étaient les plus marquants : Marc avait un air ébahi, presque ahuri, la langue à moitié tirée à travers ses lèvres entre-ouvertes, et un rictus d’admiration à la pommette droite. Deux secondes passèrent comme cela, le temps en suspension, puis tout le monde repris un air naturel. Alors je me suis assise à côté de Marc, qui m'a pour la première fois de la journée adressé la parole avec un « Bonsoir Isa » des plus laconique. Je voyais dans ses yeux qui me dévoraient que ce soi-disant détachement essayait en réalité de masquer ses réelles envies perverses.
Après dix minutes passées à me détendre à ses côtés dans le jacuzzi sans bouger ni parler, laissant monter entre nous une certaine tension, inopinément et sans laisser transparaître un seul mouvement visible hors de l'eau, j'ai glissé ma main sur la cuisse de Marc puis sous son short de bain, et j'ai saisi son sexe à pleine main. Son érection impressionnante trahissait son furieux désir sexuel. Avant même qu'il ait pu réagir, j'entrepris des mouvements de vas et viens doux le long de sa tige, ce qui le laissa incapable de la moindre réaction. Le contact si inattendu de ma main sur sa bite devait lui retourner la tête. Il se laissa faire, emporté par les sensations intenses que je lui procurais. Quand je sentais la tension monter dans sa tige, j'arrêtais la branlette un moment, mais en le regardant droit dans les yeux je reprenais alors de plus belle. J'ai enserré sa queue dans ma main, j'ai placé mes doigts contre son frein, et à chaque remonté je les passais sur son gland en l'enrobant. A chaque fois que je sentais son membre se tendre un peu plus, j’arrêtais tous mes mouvements pour le faire languir. Alors soudain, lâchant son sexe avant qu’il ait atteint le point de non-retour, j’ai pris sa main dans la mienne, et en le regardant droit dans les yeux, le fusillant du regard, j’ai déposé sa bague au creux de sa paume, avant de me lever et de sortir du jacuzzi en roulant ostensiblement du cul. Je senti son regard incrédule bouffer mes meules rebondies et me suivre jusqu’à ce que je disparaisse, plongeant dans la piscine d’à côté. Sa frustration était intense, si bien qu’à peine trois minutes plus tard il sorti à son tour du jacuzzi et rentra dans la piscine, en marche arrière par l’échelle. En effet son short de bain était déformé par une masse impressionnante, et je fus alors très satisfaite de ma petite vengeance. Voyant qu’il me cherchait du regard parmi la trentaine de personne qui se baignaient, j’ai nagé vers lui et arrivant à sa hauteur je lui ai lancé avec malice :
« Alors c’est bon, tu regrettes d’avoir aidé mon copain dans son complot ?
- Oh que oui, tu m’as fait connaitre la pire sensation de ma vie…En ce moment ma tête te hait affreusement en même temps que mon corps te désir furieusement… c’est terrible !
- Hummm… Mon pauvre… Bon aller ma vengeance a assez durée, plaque-toi contre le bord de la piscine, je vais m’occuper de toi ».
Je me suis alors placée face à lui, et tout en gardant juste assez de distance pour ne pas que les nageurs croient que nous étions un couple, j’ai glissé à nouveau ma main dans son maillot. J’ai saisi son énorme sexe, et j’ai entrepris de le masturber très lentement pour donner le temps à Marc de redécouvrir et de profiter de son plaisir. Une jouissance trop rapide n’aurait en effet pas estompé toute la frustration que je venais de lui faire subir. Lorsque ses réactions commencèrent à trahir la délectation des sensations qu’il ressentait, j’ai alterné des mouvements de poignet rapides et lents pour le faire tendre vers l’extase. Alors quand d'un œil implorant il me fit comprendre qu'il allait jouir, je l’ai branlé sans plus aucune retenue, me pinçant les lèvres entre mes dents pour lui montrer que j’adorai ce que je lui faisais. Puis quand j'ai senti les premières légères contractions de son sexe et la remontée de ses couilles annonçant l’atteinte du point de non-retour, j’ai accéléré une dernière fois le rythme de mon poignet, épousant sa bite avec ma main. Alors son membre subit une contraction terrible et j’eu du mal à le garder dans ma paume pour accompagner son orgasme. Son jus jailli de son énorme gland, passant entre mes doigts, et fut tout de suite emporté par les remous du jet qui sortait du mur dans l’eau à un mètre de nous. Une fois son abondante éjaculation terminée et sa jouissance dissipée, nous regardâmes un peu inquiet le chemin que parcourait son fluide dans l’eau, alors qu’il se rapprochait dangereusement de trois femmes qui discutaient accoudées sur le rebord de la piscine, l’eau léchant leurs nombrils. Par miracle aucun incident arriva avant que sa semence ne soit complétement dissoute dans l’eau. Je me suis alors tournée vers Marc et je lui ai murmuré :
« J’espère qu’elles prennent la pilule, on ne sait jamais... » en lui faisant un clin d’œil, et nous éclatâmes de rire.

Après être sortie du Spa, je suis montée dans ma chambre pour me doucher à nouveau et me changer. Marc fit de même un peu plus tard, mais fut déçu quand il vit que je ne n’étais plus dans la chambre. Lors du repas du soir, il m’a cherché dans le parc mais ne m’a trouvé nulle part. Assez fatigué il décida de se coucher plus tôt que d’habitude, et fut de nouveau désappointé de voir que je n’étais pas dans la chambre. Alors qu’il avait très envie de jouer avec moi, je m’étais évaporée, le laissant seul. Il attendait impatiemment que je pointe mon nez depuis une petite heure, allongé sur son lit et buvant bière sur bière, lorsque n’arrivant plus à penser à autre chose, il décida de sortir se changer les idées. Torse nu et en short il marcha cinq minutes dans le parc, puis, regardant en direction de l’hôtel où couchait Gabriel, il vit au dernier étage une fenêtre où deux ombres s’embrassaient passionnément et se pelotaient avec ferveur, ce qui le ramena alors soudainement à l’implacable vérité : il n’était qu’un plan cul dans cette histoire. D’ailleurs bien qu’il ait pu goûter à tous les plaisirs du sexe avec moi, jamais je ne l’avais embrassé. C’était peut-être là toute la différence. En allant se coucher pour de bon cette fois, finalement il se dit qu’il était tout de même chanceux de pouvoir partager ce genre d’expériences avec moi et Gabriel.

Dans la chambre de l’hôtel, les deux ombres que Marc avait vues venaient maintenant de se jeter sur le lit. Gabriel, après s’être déshabillé en hâte, m’avait attrapé par la taille et poussé vers le matelas, puis s’était mis à califourchon au-dessus de moi pour me bouffer les lèvres, le cou et les seins, en me bloquant les bras au-dessus de ma tête. Il prit ensuite mon col entre ses mains et arracha au sens propre ma chemisette. Les boutons volèrent un à un et s’éparpillèrent partout sur le sol dans un concert de cliquetis. Il jeta ma chemise en morceaux par terre et s’attaqua férocement à mon mini-short en lin. Les boutons, bien plus solides, lui résistèrent cette fois ci, mais il y mit une telle ardeur qu’ils cédèrent finalement tous, et mon short craqua littéralement sous la fureur des gestes de Gabriel. J’étais donc à présent en sous-vêtement, complétement soumise à la folie de mon copain, et je savais que les pauvres deux bouts de tissus qui m’habillaient encore n’allaient pas faire long feu. Effectivement, à peine mon short rejoignait-il le cadavre de ma chemisette qui gisait sur le sol, Gabriel bondit sur mon soutien-gorge et arracha sa partie centrale avec les dents, libérant mes deux gros seins de leur entrave. Puis il se dirigea vers mon string qui subit à son tour exactement le même sort. Ce n’est qu’une fois qu’il me vit enfin entièrement nue devant lui, mon corps entier dévoilé et à sa merci, que sa respiration saccadée commença à s’apaiser doucement. Etant assis à mes pieds, il me contemplait alors d’un regard passionné et émerveillé. L’intensité des émotions lisibles dans ses yeux me faisait fondre. Puis, comme soulagé, il vint tendrement s’allonger sur moi, posant sa tête entre mes seins, une main contre ma joue et l’autre sur ma hanche. Une dizaine de minutes s’écoulèrent ainsi, nos deux corps nus l’un contre l’autre profitant de ce moment de tendresse et de douceur, de complicité ultime. Puis lentement, je sentis son sexe grossir, jusqu’à devenir une véritable bûche qui pesait sur mon ventre. Gabriel m’embrassa longuement, et tout en faisant rouler sa langue contre la mienne, il dirigeât sans aucune aide son sexe devant le mien. Alors, m’embrassant de plus belle, prenant mon visage entre ses deux mains, il fit pénétrer son membre au fond de moi. Ses vas et viens étaient légers, délicats, il prenait tout son temps pour faire monter mon plaisir. Il me faisait l’amour avec tellement de sensibilité, tellement de douceur, que des larmes perlaient le long de mes joues, ne pouvant retenir mes émotions. Les minutes que durait cette étreinte me paraissaient être des heures de bonheur. Puis Gabriel fit glisser son sexe hors du mien, se déplaça sur le côté, et me tourna pour me positionner dos à lui, prenant la position de la petite cuillère. Alors il me prit dans ses bras et me serra fort contre lui en me pénétrant à nouveau. Nous ne faisions plus qu’un, je le sentais plus proche de moi que jamais, notre ébat n’était plus sexuel mais fusionnel. Et lorsque mon orgasme explosa, je ne pus le différencier de celui que ressenti Gabriel au même moment, nos cris et toutes nos émotions personnelles entremêlées les unes aux autres dans un bouquet unique d’amour partagé. Nous nous endormîmes comme cela, nos fluides mélangés entre nos corps mêlés.

La journée du samedi était la dernière journée de formation, consacrée aux nouveaux débouchés des filières agricoles. C’est pour celle-ci que l’entreprise de Marc - habituelle partenaire de la mienne - avait été conviée afin de traiter de la filière chanvre. Vers onze heures, Marc monta sur l’estrade pour débuter sa présentation. Au tout début, quand il ouvrit son ordinateur, je le vis rougir comme une pivoine, puis boire les cinquante centilitres de sa bouteille d'eau d'une traite. J'en ai conclu que ma petite surprise avait fait son effet. En rentrant de l’hôtel de Gabriel ce matin, j’étais en effet passée me changer dans notre chambre, et voyant que Marc était sous la douche, j’en avais profité pour remplacer son fond d'écran habituel par une photo de moi à quatre pattes sur la plage, topless, le bas de maillot très échancré qui ne cachait rien de mon cul et qui laissait même entrevoir mon pubis rasé. Je ne sais pas ce que j’avais cette semaine, mais j’adorais faire la garce. Deux heures plus tard Marc finissait sa présentation, et je trouvais qu’il s’était plutôt bien débrouillé vu dans quel état l’avait mis ma photo.

Nous nous dirigions tous vers les tables de restauration, et c’était cela qu’attendait Gabriel pour lancer les hostilités. Il m’avait en effet demandé ce matin au réveil d’insérer un œuf-vibrant connecté dans mon vagin, le Lovense Lush 3, et m’avait donné le pari de le garder toute la journée. Je portais une longue robe fleurie car les jeans avaient tendance à me serrer l’entre-jambe, rendant l’expérience moins agréable. Gabi pouvait voir une partie du domaine de l'abbaye du balcon de sa chambre au dernier étage de l’hôtel, qui surplombait le parc. Il distinguait ainsi les nombreuses tables disposées en rectangle, sans pour autant pouvoir définir à quelle place je me trouvais. Dès qu’il vit que l’on prenait place à table, il commença à s’amuser à piloter l’œuf quand bon lui semblait, contrôlant l’intensité, la puissance ainsi que la fréquence des vibrations. Au début du repas j’arrivais assez bien à me contrôler, et je ne ressentais que peu ses effets. Mais plus le temps passait, plus les sollicitations répétées de l’œuf devenaient indomptables, et je sentais alors que mon corps réagissait sans mon accord. A la fin du plat de résistance, Marc, assis à deux rangées de moi, commençait à me dévisager d’un air dubitatif, voyant que je me tortillais de plus en plus bizarrement sur ma chaise. J’ai reçu un sms de sa part :
« Des fourmis te grimpent dessus ?? »
« Ahahah non, si seulement… »
« Bah alors tu fais quoi à gesticuler comme ça ? »
« Demandes à Gabi… »
« Humm qu’est-ce qu’il t’a encore fait comme coup ahah ? »
« Disons que ma chatte n’est pas disponible en ce moment si tu vois ce que je veux dire… »
« Il est sous la table !? Le fou ! »
« Ah nan ! Ça il l’a déjà fait mardi ahahah. Ce matin il m’a mis un œuf vibrant. Et là il le contrôle avec son téléphone depuis sa chambre d’hôtel »
« Oh putain ! J’adore l’idée ! Vous êtes vraiment mes idoles ! ».
Comme mes sensations devenaient de plus en plus intenses et que j’avais de plus en plus de mal à masquer mon plaisir, tirant sur ma jupe à la froisser et me griffant les cuisses pour m’empêcher de crier, je voulus retirer l’œuf de son antre. Finalement, mes doigts à peine posés dessus, je me suis retenue, un pari étant un pari. J’ai alors écrit un message à Gabi :
« Arrête un moment je t’en supplie… On est encore à table, je ne me contrôle plus, tout le monde va comprendre… Déjà là si je ne suis pas cramée c’est un miracle…Marc l’a déjà remarqué, alors d’autres ne vont pas tarder c’est sûr… »
« Hum bon ok, je veux bien faire une trêve jusqu’à la fin du dessert. Mais pas question de l’arrêter complétement, je mets juste les vibrations au minimum. A toi de te contenir jusqu’à la fin du repas »
« Marché conclu ! ».
Je profitais de ce moment de répit pour faire semblant de renverser mon verre d’eau par mégarde, et j’en profitais pour glisser six serviettes en papier entre ma robe et mon string, afin d’éviter que ma mouille ne fasse une tâche qui serait visible au moment de sortir de table. J’ai bien fait car quand je les retirais pour les glisser discrètement sur les autres serviettes usagées, elles étaient trempées. Gabriel devait veiller au grain derrière sa fenêtre car une fois toutes les assiettes vides, au moment où tout le monde se leva, je sentis l’œuf vibrer comme jamais en moi. Je fus scotchée sur place, ne pouvant plus bouger tellement mes jambes étaient tétanisées sous la puissance des pulsations qui traversaient mon bas-ventre. Mes yeux croisèrent ceux de Marc et il dut y lire toute ma détresse puisque, me prenant par le bras, il m’entraina à l’écart de la cour du château, vers le verger, en même temps que les vibrations s’atténuaient enfin. Une fois à l’abri des regards, cachés par de larges pommiers, je lui dis avec le souffle court :
« Oh putain merci Marc ! Franchement j’étais clouée sur place, je ne savais plus quoi faire. Je ne pouvais plus réfléchir tellement le plaisir avait pris le dessus sur le reste.
- Pas de problème, je ne pouvais quand même pas te laisser jouir au milieu de tous tes collègues.
- Ouf, oui ! Mais maintenant qu’on est là, plus la peine que je résiste. Désolé hein, mais je vais me laisser complètement aller, j’en peux plus, je veux jouir !
- Ahah alors là ne sois pas désolé, j’adore ça ! Dis-moi ce que je peux faire pour t’aider.
- Rien, à part m’aider à retirer mon string qui me rentre dans le cul, je serai plus libre ».
Alors Marc m’aida à l’enlever, le faisant passer sous l’une puis sous l’autre de mes bottines. A présent nue sous ma robe, j’ai envoyé une photo de mon string trempé dans ma main à Gabi :
« Je suis dans le verger, vas y finis moi… Je suis à ta merci… ».
Quand mon copain reçu mon message accompagné de la photo, il voulu en voir plus. Il sorti précipitamment de sa chambre et sonna à toutes les portes de son étage jusqu’à trouver des clients qui possédaient une paire de jumelles. Alors il retourna à sa fenêtre et ajusta les jumelles dans la direction du verger. Effectivement il me discernait correctement à présent à côté de Marc, mais les branches des arbres masquaient mes jambes. Il ne pouvait voir que mon buste et mon visage à travers les feuillages. Gabriel jouait avec moi, adaptant les vibrations de l’œuf en fonction des mimiques de mon visage. Je sentais les vibrations se propager de plus en plus loin dans mon ventre, imposant à tous mes muscles de se contracter. Alors Gabi vit ma tête dodeliner et mes jambes fléchir, me faisant tomber à genoux sur le sol, tout juste rattrapée par Marc qui maintint mon visage dans ses mains et entre ses cuisses :
« Ahhhhh ouiiii putain ! Oh Marc ! Soulève ma jupe ! Vite ! Viiiiite ! » Arrivai-je à dire avant qu’une vague n’explosa en moi, libérant un torrent qui submergea mes jambes recroquevillées, inondant le sol. Gabriel vit à travers ses jumelles Marc relever ma jupe au-dessus de mes hanches juste avant qu’un impressionnant flot de mouille gicle de mon entre-jambe en trois longs jets. Mon corps entier convulsa, complétement dépassé par les assauts orgasmiques issus de ma chatte en furie. Tous les muscles de mon vagin se contractèrent alors une dernière fois, tellement férocement que l’œuf fut expulsé hors de mon trou et rebondit par terre dans la flaque qui s’était formée sous moi, et je ne pus m’empêcher de laisser échapper un long cri de jouissance qui s’évapora lentement entre les pommiers.
Une fois tous mes sens revenus à leur état normal, Marc m’aida à me relever et à réajuster ma jupe qu’il avait encore en partie en main. Je pris en photo l’œuf-vibrant au milieu de la flaque laissée sur le sol et l’envoya à Gabi :
« Pari perdu, t’as gagné, l’œuf est sorti tout seul… Mais plus besoin que le jardinier n’arrose ici grâce à toi... ».

Les conférences reprenant, nous avons tout juste eu le temps de sortir du verger et de nous faufiler vers les chaises devant l’estrade. En milieu d’après-midi, Gabriel m’annonça qu’il partait et me souhaita une bonne fin de séminaire. Il devait en effet rentrer à notre appartement car il avait promis à notre voisine de palier, une charmante jeune femme de vingt-six ans qui venait de larguer son compagnon, de l’aider pour son déménagement du lendemain. A la fin des présentations de la journée, une grande soirée avec un orchestre était organisée dans le parc pour fêter la fin du séminaire. Je partageais un dernier moment convivial entre collègues avant de reprendre le travail dès le lundi suivant. A une heure tardive je suis montée me coucher, bientôt rejointe par Marc. Fatiguée et ne voulait faire quoi que ce soit, j’avais tiré le rideau pour l’inviter à ne rien entreprendre. Quand morphée commença à me prendre dans ses bras, j’entendis à travers la brume qui envahissait ma tête Marc se masturber dans le lit d’à côté. Il devait certainement repenser au coup de la photo en fond d’écran de son ordinateur et à mon orgasme dans le verger.

Le dimanche, jour du départ de tous les salariés et invités, après une grasse matinée collective - même les plus matinaux n’émergeant que vers onze heures du matin - nous étions tous conviés à participer au nettoyage et au rangement de l’abbaye, ce qui prit une bonne partie de la journée. Puis vers seize heures, le directeur nous fit son traditionnel discours de fin de séminaire, faisant le bilan de la semaine et souhaitant à l’ensemble du personnel la meilleure réussite possible. Au moment de quitter les lieux à dix-sept heures, essayant de démarrer ma voiture, le moteur vrombit un instant puis plus rien. Impossible de le redémarrer. Un collègue proposa ses pinces crocodiles pour aider ma batterie avec celle de sa voiture, mais nous constatâmes que le problème ne venait pas de là. J’ai alors contacté mon assurance qui m’a dit qu’elle allait prendre en charge ma voiture et le trajet en train pour rentrer. La chargée de clientèle m’a recontactée quelques instants plus tard pour m’annoncer que l’itinéraire en train était impossible aujourd’hui, le dernier reliant Concarneau à Angers étant partis il y a une heure. Elle allait me commander un taxi, mais je devrai participer à la moitié du coût de la course, soit plus de cent cinquante euros. Et le taxi ne serait là que dans une heure et demie. Au bord des larmes, détestant les contraintes imprévues, j’entendis quelqu’un m’appelé derrière moi. Marc, au volant de sa voiture, s’était arrêté à ma hauteur :
« Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Un problème ?
- Oui un gros, je suis en panne et l’assurance m’a dit qu’il n’y avait plus de train, que le taxi pouvait venir qu’à dix-huit heures trente et que ça me couterait cent cinquante euros. C’est la merde !
- Tu habites où ? Moi je vais à Bourges, je peux peut-être t’avancer un peu ?
- A Angers.
- Ah mais nan ?! Mais c’est pile poil ! J’y suis passé à l’aller pour venir ici ! C’est exactement sur ma route ! On fait cinquante-cinquante pour l’essence et je te dépose chez toi sans problème !
- C’est pas vrai !? Merci beaucoup ! Putain la chance, heureusement que t’étais pas encore partis ahah. J’appelle mon assurance pour décommander le taxi et je monte ».

Marc conduisait depuis une heure et demie lorsque l’on s’arrêta à une aire d’autoroute pour faire une pause et changer de conducteur. J’ai profité d’aller aux toilettes pour appeler Gabriel :
« On arrivera vers vingt-et-une heure. Tu penses que tu auras finis d’aider Jade pour son déménagement ?
- Qui ça on ? Oui je pense qu’on aura terminé, enfin si elle arrête de me faire du rentre dedans toutes les cinq minutes.
- Ah oui je ne t’ai pas dit ! Ma voiture est en panne je n’ai pas pu démarrer à l’abbaye, et coup de bol Angers est sur la route de Marc, il habite Bourges. Du coup c’est lui qui me ramène. Et Jade te chauffe ? Sérieux ?
- Merde alors ! La loose ! Mais c’est très sympa de la part de Marc, t’as du cul ! Invite-le à boire un verre ce soir pour le remercier, ça peut être sympa. Et oui, enfin elle très tactile quoi.
- Oui t’as raison ! Je lui demanderai. Et mon pauvre… Comme si ça te dérangeait ? Moi tu vois la main de Marc était posée sur ma cuisse pendant tout le trajet jusqu’à la pause là, et j’en fais pas tout un plat. Il n’y a que quand il passait les vitesses qu’il l’enlevait, lui répondis-je narquoise.
- Ah ouai il fait ça !? Bon alors je ne vais peut-être plus autant repousser les assauts de Jade alors…
- Pffff même pas cap’… Tu me kiffes trop !
- Héhéhé… »
Gabriel raccrocha alors sans plus de commentaires, laissant son ricanement mystérieux en suspens, ce qui fit naitre un doute en moi et une certaine pointe de jalousie.

Trente minutes plus tard, alors que j’étais au volant et qu’il restait un peu plus d’une heure de route, mon portable vibra dans la poche droite de ma jupe en jean, sous la main de Marc qui avait repris ces habitudes de la première partie du trajet. Je lui ai demandé de le sortir et de me dire de qui le message était. Comme j’étais assise ma jupe était pliée, rendant l’ouverture de la poche difficilement accessible. Alors Marc dû passer sa main sous ma jupe, entre mes jambes, pour pousser le téléphone par le bas vers le haut. Le contact de sa main si proche de mon intimité me fit frémir. Une fois mon portable en main, il me commenta la notification du message :
« C’est un MMS de ton copain, je fais quoi ?
- Ouvre le, le schéma de déverrouillage c’est un G.
- Ahah très original ! Tiens voilà, la photo s’ouvre. »
C’était un selfie pris par Gabi où on le voyait de face montrant une pancarte noire de taille A4 - trouvée dans un vieux carton - qui pendait au cou de Jade. Cette dernière prenait une posture coquine et était uniquement en sous-vêtements. Elle était vraiment pas mal foutue la garce : blonde avec un visage d’ange, de petits seins mais assez mignons, une taille très fine qui faisait ressortir son superbe fessier, et des jambes sportives et élancées. Il était inscrit en rose sur le panneau : « A prendre ou à lécher ». Gabriel avait mis en commentaire de la photo : « Sacré dilemme… ».
Des milliers de picotements parcoururent mon corps quand Marc me montra le tout. Il me regarda interrogateur, ne sachant pas quelle attitude tenir. Je lui dis alors de répondre ceci, essayant de prendre Gabriel au dépourvu :
« Et alors tu choisis quoi ? de la prendre ou de la lécher ? »
Sauf que sa répartie fut fulgurante :
« Une occasion pareille ça ne se lèche pas passer… Du coup je vais la prendre ! »
« Ahahah espèce d’enfoiré ! T’as pas intérêt ! ».
Les cinq minutes qui passèrent avant de recevoir sa réponse me parurent une éternité. Je ne tenais plus en place derrière le volant, tiraillée entre le stress et l’excitation de la situation. Marc le voyait bien et caressait ma cuisse sans retenue, comme pour me calmer, ce qui n’arrangeait en fait rien du tout.
Sa réponse se fit sous la forme d’une nouvelle photo, et lorsque Marc me la montra, elle me fit l’effet d’une bombe. Mon sang ne fit qu’un tour, mon cœur faillit lâcher, et dans le même temps je sentis ma mouille inonder la dentelle de mon string, à quelques centimètres seulement des doigts de Marc toujours contre ma cuisse. Cette fois ci c’était Jade qui avait pris la photo, cadrée de profil sur ses cuisses grandes ouvertes, ses mollets reposant sur les épaules de Gabriel, son string autour de ses chevilles. Il avait son visage entre ses jambes et on pouvait clairement voir sa langue tirée et posée au niveau du clito de Jade, dont une main agrippait les cheveux de Gabi. Le message qui accompagnait la photo était le suivant : « Ne t’inquiète pas ! finalement j’ai préféré lécher l’occasion de côté ! ».
Je suis restée un moment sous le choc de leur audace, ne sachant quoi répondre. Essayant de me concentrer sur la conduite, je me demandais s’ils avaient uniquement décidé de prendre la photo pour me tester et me chauffer, ou s’ils étaient allés jusqu’au bout de l’acte. Ces pensées me troublaient, j’étais à la fois jalouse de Jade, et à la fois terriblement excitée de savoir que Gabriel était peut-être en train de la faire jouir sous sa langue. N’en pouvant plus de ne pas savoir, j’ai demandé à Marc de leur répondre cela, essayant de savoir ce qu’ils comptaient faire, ou avaient fait :
« Je te préviens Jade, si Gabi te fait jouir, tu me devras un orgasme ! »
« Humm t’es sûre de toi… ? »
« Bah oui ahah ! »
Encore une fois je ne m’attendais pas à cette issue : je reçus pour toute réponse une photo en gros plan de Jade à califourchon sur le visage de Gabriel. On voyait nettement que la bouche de mon copain débordait de mouille, des filets coulant sur ses joues, et que quelques-uns de ses cheveux parsemaient la main de Jade. Elle avait donc joui, les arrachant sous la puissance de son orgasme. Je n’en revenais pas qu’ils étaient allés au bout de leur idée. J’étais terriblement excitée. Quelques minutes plus tard je reçu un nouveau message :
« Bon, je crois bien que je te dois un orgasme… ».
Ne sachant pas si elle rigolait ou pas, je ne répondis pas, mais ce sms avait fini par briser les dernières barrières qui séparaient encore ma raison de mes fantasmes. Pendant que j’imaginais ce que pouvait donner un cunnilingus réalisé par Jade, je sentais que Marc avait également été très excité par cette situation, sa main ne tripotant plus seulement mes cuisses. Je conduisais donc il restait assez sage pour éviter un accident, mais je sentais clairement ses doigts glisser de temps à autre sur la dentelle humide de mon string, essayant quelques fois de passer en dessous. Alors j’ai commencé à imaginer la petite vengeance que j’allais réserver à Gabriel.

Ainsi, quinze minutes avant d’arriver à mon appartement, j’ai simulé une envie très pressante et j’en ai profitée, accroupie entre deux portières alors que Marc était resté assis à la place passagère, pour envoyer un sms à Gabi :
« Va sur le parking de la gare, celui tout au bout de la rue, avec les grands arbres. Cache-toi où tu peux à proximité de la place où on se gare à chaque fois. Dépêche-toi, tu auras une surprise ».
Dix minutes plus tard, arrivant proximité de la gare, sans prévenir Marc j’ai bifurqué vers le parking.
« Qu’est-ce que tu fais ? Tu m’invite plus boire un verre ?
- Si, mais pas tout de suite.
- Je ne comprends pas.
- Tais toi ! »
L’autorité dans ma voix me surprit moi-même encore plus que Marc. Je me suis garée sur la place soixante-neuf, devenue notre emplacement fétiche, puis jetant un œil sur mon téléphone que j’avais cette fois gardée précieusement hors de portée de Marc, je lus le message de Gabi : « Je suis planqué à dix mètres de notre place comme tu m’as dit, derrière trois gros arbres ».
J’ai regardé les alentours à travers le pare-brise. Je savais que mon copain était tout proche, mais il était invisible depuis sa cachette, la pénombre qui prenait possession des lieux l’aidant encore plus. J’ai allumé l’éclairage d’ambiance intérieur de la voiture pour que Gabriel puisse voir distinctement ce qui allait se passer dans l’habitacle. Puis j’ai détaché ma ceinture et je me suis penchée vers Marc pour lui faire la bise, comme pour lui dire au revoir, en m’appuyant contre sa cuisse. Alors, laissant ma joue collée contre la sienne, j’ai glissé lentement ma main vers son entre-jambe. J’ai commencé à déposer de légers bisous un peu partout sur sa joue, me rapprochant de son oreille, pour la mordiller tendrement. Tout en déboutonnant le jean de Marc d’une main experte, libérant son sexe déjà érigé tel un énorme menhir, je lui ai murmuré à l’oreille un simple « merci beaucoup ». Puis sans lui laisser le temps de répondre, j’ai plongé vers sa bite dressée, à laquelle j’ai adressé avec appétit :
« Humm coucou toi ! Toujours aussi belle et épaisse à ce que je vois… Je vais te bouffer ! ».
Et je l’englouti d’une seule traite, la suça passionnément, méthodiquement. Gabriel, voyant la scène qui se déroulait juste devant lui, était tellement excité qu’il avait sorti son sexe à travers la braguette de son jean pour se masturber. Il pouvait me voir penchée vers l’entre-jambes de Marc, ma tête faisant des mouvements de haut en bas, mes cheveux dépassant à peine du tableau de bord à chaque remontée. Il imaginait la pipe que je pratiquais à Marc plus qu’il ne la voyait. Il me vit me redresser, observer Marc avec gourmandise, essuyant du revers de la main toute la bave qui coulait de mes lèvres. Il remarqua que c’était maintenant mon bras qui s’afférait, s’employant à branler la bite que j’avais prise en main. Gabriel me vit alors me rapprocher tout près du visage de Marc, comme si j’allais l’embrasser, mais je ne fis que coller mon front contre son front, fermant les yeux, lui montrant que ce moment était entièrement consacré à lui. Puis il vit Marc se raidir, les bras tendus et les mains crispées sur les accoudoirs à coté de lui. A ce moment-là je me suis détachée du visage de Marc et j’ai repris ma pipe, gobant son gland puis le sexe entier. Il était très large, et je dus m’employer, retenant quelques haut-le-cœur, pour faire glisser sa tige dans ma gorge. Ainsi figée en moi, je fis coulisser ma gorge autour d’elle, allant jusqu’à pouvoir lécher ses couilles avec ma langue quand je fus tout en bas. Alors j’entrepris de petits mais rapides vas et viens, laissant le plus longtemps possible son sexe au fond de ma bouche. Au moment où la tête de Marc se balança en arrière et ses yeux se fermèrent, Gabriel me vit reprendre ma respiration puis vit mon chignon disparaitre une dernière fois derrière le tableau de bord. Il comprit que Marc jouissait dans ma bouche. Trente longues secondes plus tard, il me vit me relever, les joues gonflées, regarder Marc et ouvrir la bouche lentement pour lui montrer sa semence qui la remplissait. Le jus de Marc dégoulina alors entre mes lèvres, sur mon menton, puis tomba dans mon décolleté, sur et entre mes seins. A ce moment-là Gabriel éjacula à son tour, éclaboussant le tronc de l’arbre le plus proche de lui. J’ai ensuite refermé la bouche, ouvert la portière côté conducteur et j’ai recraché le reste du sperme sur l’asphalte du parking. J’ai regardé dans la direction où devait se trouver Gabriel, fit un clin d’œil au vide devant moi en prenant un air coquin, puis je me suis tournée vers Marc et lui ai dit :
« Voilà mon petit cadeau, maintenant tu peux venir prendre un verre à la maison si tu veux.
- Après ce que tu viens de m’offrir je ne peux rien te refuser ».
Lorsque je redémarrais, Gabi était déjà parti, courant à travers le bois qui bordait le parking pour rejoindre avant nous la maison qui se trouvait à cinq cent mètres de la gare.

J’ai sonné sur le palier de notre appartement, et Gabi a ouvert la porte. Je précédais Marc, et Gabi, s’esquivant pour nous laisser entrer, vit les larges tâches blanchâtres sur mes seins et mon haut que j’avais fait exprès de ne pas nettoyer. Il nous dit alors :
« Ah oui, on s’est bien amusé dans la voiture à ce que je vois.
- Il ne fallait pas nous chauffer avec Jade si tu ne voulais pas que j’arrive dans cet état, répondis sur un ton provocateur.
- Oh mais je n’ai jamais dit que je ne le voulais pas, me répondit-il avec un clin d’œil complice. Marc, je te présente Jade, notre voisine.
- Ah tu manges avec nous ? ais-je demandé.
- Oui, Gabriel m’a invité.
- Cool ! On va bien se marrer ! Me suis-je exclamée ».
A table devant des plateaux de sushis que Gabi avait commandés, nous nous remémorions nos aventures de la semaine entre Marc, Gabi et moi. Nous étions complétement sans filtre devant Jade, qui avait l’air de beaucoup apprécier car elle nous posait plein de questions. Les verres de saké s’enchainaient, si bien que nous fûmes rapidement tous pompettes. Les esprits se réchauffaient et les corps se rapprochaient, nous devenions tous très tactiles et les vêtements commençaient à tomber un à un au fur et à mesure que les défis lancés étaient acceptés. Comprenant tous que la soirée se dirigeait vers une partie de jambes en l’air à quatre, nous avons à la fin du repas, d’un commun accord, décidé d’aller faire collectivement un brin de toilette dans douche à l’italienne de notre salle de bain. Même si elle était plutôt grande, à quatre nous étions assez serrés, et nous nous retrouvions nus collés les uns aux autres. A chaque mouvement que je faisais ma peau caressait celle de mes voisins, tantôt Gabi, tantôt Marc, et même Jade. Ces contacts nous électrisaient. Chacun savonnait le corps d’un autre, le couvrant de mousse, ce qui permettait d’explorer le moindre recoin des intimités de chacun. Gabriel tripotait avidement le petit abricot de Jade, le savonnant bien plus de fois que nécessaire, la faisant gémir. De mon côté alors que je lavais rapidement le dos de Marc, je pris beaucoup plus de temps à lui masser les fesses, puis à lui savonner la raie, jusqu’à lui titiller l’anus. Il n’eu à mon grand étonnement pas de mouvement de recul, et je vis même son sexe se rigidifier encore davantage sous ce contact. Comme Gabriel, il devait apprécier les massages prostatiques. Je mis cela dans un coin de ma tête et je sorti de la douche après que l’on se soit tous rincé.

Je les ai invités à s’asseoir totalement nu sur le canapé, et nous avons repris nos discutions animées par des shots de saké. Au détour d’une conversation Jade nous apprit qu’elle n’avait encore jamais regardé de vidéo porno. L’occasion étant trop belle, j’ai pris un ordinateur et j’ai ouvert Pornhub. Jade a choisi une vidéo romantique, où un couple faisait tendrement l’amour dans une chambre à la lumière tamisée. Apparemment cela l’excitait beaucoup car je pus apercevoir sa petite chatte suinter de mouille sur le canapé. Voyant que tout le monde était très réceptif, Gabriel eu l’idée de lancer un nouveau défi : choisir une vidéo au hasard sur tout le site et reproduire exactement ce que les acteurs feraient. Cela nous plu et nous nous lançâmes après que les gars aient enfilé chacun une capote. C’est Marc qui commença, et il tomba sur une vidéo de pipe en gros plan. Il choisit Jade comme suceuse. Alors cette dernière vint s’asseoir à genoux devant Marc, et sans le quitter des yeux commença à lécher son sexe sur toute sa longueur. Elle descendait sur ses couilles, les prenait en bouche, et poussait des soupirs de contentement. Jade savait sucer et ça se voyait, même moi j’étais admirative. Elle pompait cette bite avec un superbe entrain, l’aspirant, la léchant goulument. Puis sentant la sève de Marc monter, elle s’arrêta et se releva, voulant préserver sa jouissance pour d’autres activités.
A mon tour j’ai fait dérouler les vidéos de la page principale, et je suis tombée sur une scène de cunnilingus entre un vieux prof et une jeune étudiante. Gabriel s’était levé pour me le procurer, mais Jade l’arrêta :
« Attends, je dois un orgasme à ta copine depuis cette après-midi, non ?
- Ah oui exact ! Isa t’es partante ?
- Euh, j’avoue que ça sera ma première expérience avec une femme, mais ça m’excite un peu ! Répondis-je mi-sceptique mi-enthousiaste à cette idée. »
Alors, assise sur le bord du canapé, j’ai ouvert grand les cuisses devant le visage de Jade qui se rapprochait. Elle me sourit, et passant sa langue sur ses lèvres comme elle l’aurait fait avant d’entamer un plat gastronomique, elle déposa des baiser sur l’intérieur de mes cuisses, jusqu’à embrasser ma vulve. Avec deux de ses doigts elle souleva le capuchon de mon clitoris, puis prenant mon petit bijou entre ses doigts, elle le massa délicatement. Elle l’entoura ensuite de ses lèvres, et le suçota lentement. Puis d’un seul coup elle me lécha entièrement toute la chatte, donnant de grands coups de langue, avant de revenir téter mon clitoris. Elle y mit un tel cœur que je craquai très rapidement, peut être en un record de temps. Mon orgasme fut titanesque, mes jambes emprisonnant le visage de Jade entre-elles. Je suis sûre que même Gabi n’avait jamais réussi à me faire jouir si vite avec sa langue.
C’était justement au tour de Gabi de jouer. Quand il tomba sur une vidéo mettant en scène un plan à trois avec une fille complétement soumise, nous nous sommes tous regardés perplexes, jaugeant les envies de chacun. Jade nous dit alors :
« Personnellement ça ne me tente pas de prendre le rôle de l’actrice de cette vidéo, je serai spectatrice, ou accessoiriste.
- Moi je crois que ça pourrait vraiment me plaire, si les gars vous y aller doucement au début, dis-je avec conviction.
- T’en fais pas, on sera à ton écoute, me promit Gabi.
- On prendra bien soin de tes p’tits trous, fit quant à lui Marc avec un clin d’œil. »
Copiant alors l’action des premières minutes de la vidéo, je me suis dirigée vers le lit double de la chambre en roulant ostensiblement du cul. Je me suis assise sur le rebord du lit, et j’ai attendu que mon copain et mon amant me présentent leur pine. Alors leurs deux tiges brandies devant mes yeux, je les ai sucés alternativement. Ils prirent ensuite en même temps chacun une grosse mèche de mes cheveux dans une de leurs mains, et ils m’obligèrent à accélérer le mouvement petit à petit, baisant littéralement ma bouche. Puis comme sur le film, Gabriel se plaça dans mon dos et me tira en arrière pour m’allonger sur lui, ma tête contre ses pectoraux. Alors tirant mes cheveux, il colla sa bouche à mon oreille, et m’intima d’écarter grand les cuisses pour offrir ma chatte déjà bien ouverte au gros sexe de Marc qui se présentait. Au moment où son gland écarta mes lèvres et pénétra mes chairs, une onde de chaleur parcouru tout mon corps. Ça m’excitait terriblement, je ne pensais pas qu’être aussi soumise pouvait être si enivrant et exaltant. A partir de ce moment là nous ne nous sommes plus occupés de suivre la vidéo, les gars faisant maintenant de moi ce que bon leur semblait. Marc me pilonnait, et je mouillais tellement que ses vas et viens furieux étaient rythmés par le bruit des clapotis de mon jus quand la base de sa bite frappait mon sexe. Jade s’était allongée à côté de nous, dans la position du 69, présentant sa moule à la bouche de Gabriel, et regardant mon coït avec Marc de très près. J’étais toujours allongée sur le corps de mon copain, et mes jambes tremblaient sous le plaisir qui montait, empêchant Marc de me prendre vraiment fort. Alors j’ai crié à Gabi :
« Maintiens moi ! Bloque mes jambes avec les tiennes pour ne plus qu’elles bougent ! »
Me prenant au mot, Gabi enroula ses jambes autour de mes cuisses et les écarta au maximum, les maintenant fermement. Ainsi, c’est lui qui m’offrait à Marc, l’invitant à me baiser sauvagement. Je sentais sa trique très dure entre mes fesses. Alors j’entrepris de petits mouvements de bassin pour la faire glisser dans ma raie, essayant de l’inciter à me prendre le cul. Gabriel comprit le message, et saisissant tant bien que mal vu notre position sa queue dans sa main, il plaça son gland à l’entrée de mon trou, et poussa lentement jusqu’à ce que mon cul l’avale entièrement. C’était la deuxième double pénétration de ma vie, la deuxième en même pas une semaine. Alors sous les coups de reins conjoins de mes deux amants, je sentais progressivement naitre au creux de mon ventre un ouragan de bonheur :
« Oooooh putain les gars ! J’aime sentir vos couilles frapper mon cul !!
- Tais toi ! Marc met lui des fessées, elle doit crier et gindre, pas parler ! Hurla Gabriel.
- Oh oui, je vais m’en donner à cœur joie pour faire rougir le magnifique petit cul de ta meuf ! Répondit Marc.
- Ahhhhh ohhhh…. C’est trop bon ce que vous me faites !!
- Mais tu vas la fermer Isa ! Tiens tu pourras plus l’ouvrir si je te sers le cou comme ça hein !? cria Gabi dans mon oreille en posant une main sur mon cou pour le tenir et le serrer ».
Tendis que j’étais prise comme une chienne par ces deux monstres déchainés comme jamais, Gabi était retourné s’occuper également de Jade. J’avais de la chance, c’était un homme vraiment multitâche. Il mordillait les petites lèvres de Jade, lui dévorait son abricot, lui aspirait son clito. Elle jouissait, sa respiration devenant saccadée et ses gémissements devenant des rugissements de plaisir.
De mon côté, la tempête dans mon ventre faisait rage, mais quelque chose l’empêchait de tout dévaster. Alors me débattant comme une furie pour échapper à l’emprise de Gabi, je réussis à me redresser et à faire sortir les deux pieux de mes trous :
« Putain elles me soulent vos capotes !! Je veux vous sentir plus que ça ! Je les enlève ! Vous essayerez de ne pas tout lâcher dans ma chatte et mon cul puis voilà ».
Alors Gabriel m’attrapa et me maintint à nouveau en arrière, présentant mon anus à son membre et mon sexe à la bite de Marc. Au moment où ils me pénétraient de manière synchronisée, des frissons intenses parcoururent tous mes muscles :
« Ahhh mais oui putain c’est beaucoup mieux ! C’est trop bon de sentir vos bites nues dans mes…. Arrgggg ! ».
Pour me faire taire Gabriel venait d’enfoncer trois doigts dans ma bouche, au fond de ma gorge. Ils me culbutèrent avec hargne, mes seins se balançaient sur ma poitrine comme de vulgaires cloches que l’on sonne pour paques. Puis enfin, le cyclone qui tournoyait dans mon ventre emporta tout sur son passage, ma chatte et mon cul se dilatèrent, mes muscles se contractèrent, mon visage se défigura, et un voile noir occulta ma vision et mes pensées pendant quelques secondes. Ce fut le plus grand orgasme que je connus jusqu’à maintenant. Alors j’entendis les râles de plaisirs de Gabriel et Marc se joindre, les contractions de leur sexe faisant monter rapidement leur sève. Gabriel, pris par surprise par sa jouissance, oublia de se retirer de mon cul, et sa bite y déversa alors tout son jus. Marc quant à lui se retira mais un peu trop tard, une partie de sa semence se répandant déjà en moi, le reste fut expulsé en plusieurs jets qui s’écrasèrent sur mon ventre et ma chatte ouverte.
Nous restâmes un moment les uns collés aux autres le temps de retrouver un rythme cardiaque normal. Puis nous nous levâmes et allâmes directement sous la douche. On pouvait me suivre à la trace tant les jus de Gabi et de Marc qui remplissaient mon cul et ma chatte dégoulinaient le long de mes jambes. Après nous être rhabillés, nous nous séparâmes. En refermant la porte derrière Marc et Jade, je me rendis compte que je sentais encore la queue des gars dans mes trous. Cette sensation m’électrisa.

Après une courte nuit, le lundi matin Gabriel et moi étions dans notre appartement d’Angers en télétravail, reprenant le cours normal de nos activités. La semaine passée avait été incroyable, pleine d’expériences et de découvertes libidinales, érotiques et libertines. Nous nous étions lâchés sans rien calculer. Je préparais le repas du midi avec Gabi, lorsque je reçu un message sur mon téléphone. Marc venait de m’envoyer une photo de mon string avec en commentaire :
« Tu as oublié de récupérer quelque chose ! ».
J’ai alors retiré mon petit top et j’ai enfilé le soutien-gorge qui était assorti au string - je ne portai que très rarement de soutif quand j’étais seule avec mon copain - puis j’ai demandé à Gabi de me prendre en photo dans une position assez suggestive. Il me demanda de m’asseoir sur les genoux sur le parquet et de coincer mes mains entre les cuisses, ce qui faisait que mes seins étaient comprimés entre mes bras. Gabriel resta debout et il prit la photo en plongée, cadrant uniquement sur ma poitrine, laissant juste apercevoir en arrière-plan mon bas-ventre et mon nombril. Je l’ai ensuite envoyé à Marc en lui répondant :
« Oups… Bon bah garde le, c’est cadeau ! Et si tu souhaites un jour avoir en ta possession l’ensemble complet, il faudra de nouveau le mériter… ».

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