Collection Agent Secret. Madame Marion, Commandant Marion. Mission En France. Début De La Saison Ii (4/7)

Voilà, la saison II est prête, je suis content de vous la faire lire.
Espérant que vous aimez vous aussi.

Mais oui, c’est…
Mince son nom, vous savez celui que l’on appelait l’ennemi public numéro un avec son frère.
Mais aidez-moi, vous savez celui qui avait rejoint nos ennemis pendant la guerre que notre monde a menés contre ces salopards.
La Courneuve, ils habitaient dans une cité de cette ville de la région parisienne.
J’avais reçu l’information qu’ils étaient morts unis dans un combat contre nos propres troupes.
Jean et Louis Klein, voilà, il est vrai que sur les photos qui sont dans mes dossiers, ils étaient glabres alors que devant moi, il a la barbe de ces combattants qui ont décidé de nous emmerder.
Le président m’a-t-il caché que sous couvert de drogue, c’est ce genre de personnage qu’il espérait que je les découvre et que je les élimine.
J’ai une mémoire d’éléphant, les mots de notre président sont imprimés dans mon cerveau.

« Marion, vous allez vous retrouver dans un marigot impossible, si vous sentez ou voyez quelque chose qui peut servir le pays, frappez sans attendre mon ordre. »

Cette dernière phrase prononcée au moment où l’on se quittait devait être reliée à la présence de ce terrorisme sur notre sol.
Un doute m’assaille, j’ai choisi pour réussir ma mission à Paris de passer par une solution secondaire passant par Calais et je tombe sur une chose énorme, l’un des frères Klein est toujours vivant.
À quel jumeau ai-je affaire ?
Gilles ça me suffit, permis de , vous vous souvenez, OSS 117 !
Naïm qui vient de partir après avoir pris un gros billet pris dans le tiroir du bureau qui est dans la pièce où il m’a emmené pourrait parler et même si je me sortais de cette situation ma mission se trouverait compromise par des témoignages dont le sien.
Je décide de suivre son ordre, je baisse mon pantalon.
Il vient vers moi sortant sa queue directement.


Mon pognon, je lui demande et il m’envoie promener où je lui réclame.
Il est français et les hommes qui vont aux putes ou qui commandent une pute savent que ces dames travaillent après paiement.

- Monnaie.
- 300 !
- Non, 500.

Le fumier il a essayé de me blouser, mais je touche mon fric que je glisse dans mon sac à dos au chaud près de mon fidèle poignard.
Je balise une seconde à son évocation, il est là pour me protéger contre de petits truands trafiquants de drogue, mais là j’ai un adversaire d’un autre calibre.

- Qu’as-tu dans ton sac ?
- Toute ma fortune, je vais rentrer ce soir dans la jungle après ma prestation avec vous et je peux être pris dans une rafle.
Sinon, j’ai des tampons si vous voulez les voir.
- C’est bon ça c’est une affaire de bonne femme, vient là.

Ouf, il a peur des règles des femmes.
Ça joue les gros bras en se faisant filmer, décapitant des hommes qu’ils capturaient dans le dessert et a peur de nos règles.
C’est à pouffer de rire, mais il faut éviter de le vexer, j’ai envie de retrouver ma tête d’avant ma mission avec tous ce qu’elle comporte de famille principalement.
Il me prend par les cheveux me violentant un peu et me fait coucher sur la table qui est là.

- Hic !

Hic car une fois qu’il m’a courbé, sa verge que j’ai vue quand il est venu vers moi en la sortant se retrouvant dans mon anus.
Il me baise à sec.
Un simple Hic ! plus de surprise que le mal qu’il me procure.
Me faire enculer à sec, je finis par prendre ça comme un compliment à mon fessier rebondi que j’entretiens tous les jours soit en faisant du jogging soit sur les tapis roulants programmé fourni par l’administration dans notre service sous le parking où Louis gare la voiture attendant mon bon vouloir.
Il me lime comme s’il avait un train à prendre et me remplit l’anus de grandes giclées de sperme chaud.

- Tu veux que je te suce pour te refaire bander et que tu baises ma chatte.

- Va te mettre sur ce divan et ferme ta gueule, j’ai du travail.
Seule mes femmes restées là-bas ont le droit d’avoir ma queue dans leur chatte afin de procréer et avoir des s qui continueront notre combat.
Toi t’es une pute et les putes, je les encule.
Va t’asseoir et ferme ta gueule.

J’ouvre mon sac et j’en sors un livre pris dans les réserves à matériel de notre service.
Bien sûr il est en arabe levantin parlé dans mon pays la Syrie.
Je suis sûr que le salopard qui travaille sur son ordinateur serait incapable de le lire à la façon dont il parle simplement l’Arabe.
Sait-il que cette langue se lit de droite à gauche alors que le Français c’est de gauche à droite ?
Je sais que je me pose une question sans réponse.

- Viens là.

Ça fait deux heures qu’il est sur son ordinateur.
Je pose mon livre et je m’approche.
J’avais enlevé mon manteau blanc et mon jean après qu’il m’avait eu sodomisé.
Je suis juste avec un débardeur mettant mes seins en valeur.
Il me couche sur son bureau pouvant voir son ordinateur.
Hélas il l’a éteint.
Très prudent le type.
Il innove un peu car il bande déjà.
Les sucettes j’en ai fait des dizaines dans la jungle depuis que je joue le rôle d’une femme syrienne cherchant ses s et son mari.
Non, il crache dans sa main, se caresse la verge et me la fourre comme la première fois avec un peu moins de surprise étant prévenue que les putes pour les baiser il les encule.
Un vrai lapin, si j’étais une vraie pute, 500 € ça serait du fric vite gagné.
Là où je suis frustrée, c’est que dans ces moments hors du temps et du contexte familial, j’aime jouir comme j’ai pu le faire avec Boby et le commandant du sous-marin.
Mais suis-je là pour ma jouissance ou pour traiter les problèmes de la France avec un grand A ?
Pardon un grand F.
Il décharge se rassoit et appuis sur le bouton démarrant son ordi.

La photo à l’écran c’est lui avec la tête coupée déjà vue sur une vidéo que nous avons analysée dans mes services.

- Barre-toi, j’ai encore du travail.
Je pense que nous nous voyons pour la seule et dernière fois, Allah à de grands projets pour moi.

Que veut dire cette phrase, dommage que trop de monde à commencer par Naïm soit au courant de ma présence ici sinon un geste vers mon sac résoudrait le problème.
Quel con, la première des choses à faire quand on est le personnage en cavale qu’il est c’est de contrôler qui m’approche.
Je me dépêche de quitter la villa et rapidement rejoindre Younes et ses s.
Heureusement que Younès a refusé de coucher avec moi, il aurait pataugé dans le sperme du fumier qui vient de me sodomiser deux fois dans la nuit.
La journée suivante, je vais me laver au point d’eau.
J’ai peu de pudeur et je me lave à poil.
J’ai la chance qu’une grande partie des mâles de la jungle m’ait déjà baisée et qu’ils m’ont déjà vue en petite tenue.
Il suffirait de compter les billets que je planque entre deux planches formant notre masure pour me rendre compte la salope que je suis capable d’être pour protéger la France.
Je sens une présence derrière moi, c’est Hamed qui a des velléités de me baiser.
Je le rembarre lui promettant une petite gâterie lorsque je viendrais chercher les cadeaux à mettre au pied du sapin.
À dix heures direction la ville, je rentre au café de la poste à Calais.
Je m’assieds à une table à côté d’un jeune homme étant la seule à le connaître.
J’ai mis mon bracelet en cuir marqué Paris.
Je me lève, vais vers les toilettes et j’attends en faisant celle qui se lave les mains.
Alexandre m’a suivi et va aux toilettes.
Tire la chasse et vient comme moi se laver les mains.

- Bonjour commandant Marion, vous avez besoin de moi.
- Dans le coffre de ta voiture tu as le sac que je t’ai demandé d’avoir en permanence.

- Oui commandant.

Tout en parlant je surveille la descente menant aux toilettes pour éviter que l’on nous entende.

- Quatorze heures ici, tu le placeras dans ce faux plafond des toilettes des messieurs et je passerais le chercher.
- Ce sera fait commandant, autre chose ?
- Non, demain vous aurez une surprise, du moins je l’espère.
- Un cadeau pour Noël commandant.
- En quelque sorte, vous verrez.

Je remonte et je retourne d’où je suis venue.
À quatorze heures je vois Alexandre entrer avec un sac et ressortir quelques minutes après les mains dans les poches.
À mon tour je vais prendre un café et me rendre au lieu d’aisance.
Je vais dans la toilette homme, je monte sur la cuvette, je sors les effets qui y sont et les mets dans mon sac à dos avant de remettre le sac dans le faux plafond.
Quand je ressors un mec trente ans attend.

- Attifa, que fais-tu là, chez les hommes.
Tu as cinq minutes, cinquante c’est bien ton tarif.

Cinquante c’est bien mon tarif, il me fait entrer dans les toilettes referme la porte derrière nous et après que j’ai empoché le pognon me met sa verge dans la chatte.
J’ai mes mains posées sur la cuvette, heureusement ici les toilettes sont parfaitement entretenues.
Que faut-il accepter pour sauver le pays, du moins j’ai envie de le croire surtout quand la verge en moi me fait partir à en hurler ?
Heureusement j’ai de l’entraînement et ce sont des grognements roques qui sortent.
Ce soir un certain Jean ou Louis Klein aura un rendez-vous de Noël avec la petite Attifa, pardon avec le commandant Marion…

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