Les Fantasmes De Sandrine 12

• 12 – LA PUNITION
Suite à la remarque que j'ai faite lors de la correction de Rachel, mon Maître lui demande de me sortir de la pièce. La soumise, rayonnante de plaisir en remarquant ma jalousie, prend un malin plaisir à cette action. Elle prend ma laisse et me tire vers le fond de la pièce. Je la suis sans grand enthousiasme. La porte pivote. Le local est sombre. Elle me dit :
• Entre et attend !
J'hésite, mais Rachel passe derrière et me pousse sans aucun ménagement. La porte claque derrière moi. Je suis dans le noir le plus total. Je ne sais pas comment est cette pièce. J'attends debout craintive sans bouger. C'est après un long moment que le verrou de la porte claque. La porte s'entrebâille. Aveuglée par la lumière de la pièce, je cligne des yeux. Une silhouette se découpe dans la lumière. La voix de Rachel sonne à mes oreilles :
• Dehors, soumise Sandrine !
J'hésite : soit la suivre et être à sa merci ou bien rester dans ce cachot noir ! Je me dirige vers la sortie. Rachel saisit ma laisse et me tire avec rudesse. Je la suis. Le salon est totalement vide. Je suis Rachel. Nous empruntons un couloir que je n'avais pas remarqué. Nous avançons seulement à la lueur des torches. Un escalier nous conduit en sous-sol. Nous descendons vers les caves. Je suis difficilement. Rachel doit être habituée à ce parcours. J'ai de la crainte, car je ne sais pas où elle me conduit. Tout autour c’est le silence et nos pas résonnent sur les murs vides. Je commence à grelotter de froid. Je ne suis pas en tenue pour explorer les caves de cette demeure. L' l’humidité est perceptible. Une lourde porte barre le passage. Rachel cogne contre le battant. La porte s'ouvre. Une petite pièce avec une grille rouillée qui grince en s’ouvrant, dévoile le lieu : une grande pièce sombre. J'entends des murmures, mais pas de mots. Rachel me pousse dans le dos et me dit :
• Avance soumise Sandrine !
Dans le doute, la crainte et la peur au ventre j'avance.

Une main saisit ma laisse. Une voix me rassure immédiatement, celle de mon Maître, JP. Par une légère traction, JP m'indique l'ordre d'avancer. Je place mes mains dans le dos. Avec délicatesse, JP me demande d'écarter mes pieds. Mon sexe est bien visible de tous. Ma poitrine, soulevée par le bustier serré, témoigne de mon angoisse en se soulevant rapidement à chaque respiration. JP prend la parole et, d'une voix solennelle, déclare :
• Voici Sandrine, ma nouvelle soumise. Elle est débutante et vous voudrez bien être indulgent avec elle. Mais comme vous l'avez constaté, elle n'est pas trop obéissante et son dressage ne fait que commencer. Aussi je souhaite que vous m'aidiez, ce soir, à parfaire son éducation !
Puis se tournant vers moi, il me dit :
• Présente-toi, Sandrine !
L'annonce de JP me fait sursauter. Cette fois, je suis au pied du mur. Ce n'est pas la première fois que JP me demande de me présenter. Mais cette mise à nue, cette sorte de mise en valeur de la soumise que je suis me transporte. La honte, la crainte et la peur des regards, des jugements m'envahissent. Tout cela me génère une boule dans le ventre, plus exactement dans le bas-ventre. Une excitation sourde dans mon sexe. Mais je sais que je suis ici comme la soumise de Maître JP. Je me dois d'obéir à ses ordres. Je dois afficher mon statut de soumise, d'esclave. Jusqu'à présent, je ne l'avais fait que devant une assistance masculine réduite. Ce soir, c'est devant un groupe plus important de Maîtres et Maîtresses et surtout devant d'autres esclaves et soumis. Si très souvent, j'avais fantasmé d'être un objet sexuel, je l'ai été avec mon rapt. Mais, j'étais obligée de faire des choses avec ces hommes. Tandis que là, je viens de mon propre chef, de ma propre volonté. Je me livre à une assistance, consentante, libre de toutes contraintes. J'avoue que j'ai une trouille bleue. Mais je vois le regard de JP. Il attend. Je sais que je n'ai pas le choix, mais je sais aussi qu'il me protège.
Je me lance dans ma présentation, la voix hésitante, chevrotante.
• Je suis la soumise de Maître JP… Je réponds au nom est Sandrine…
Je reprends ma respiration. Une goutte de sueur coule entre mes omoplates et me glace.
• Je mesure 1,75 m. et je pèse 64 kilos…
Un silence lourd étouffe tout commentaire.
• Les mensurations de mon tour de poitrine sont de 90 cm avec des bonnets C… Pour mon tour de taille, 65 cm et pour mes hanches 89cm…
Je reste là statique. Tous les regards sont concentrés sur moi. JP me rappelle à l'ordre :
• Continue !
Les yeux dans le vague, je me cambre, faisant saillir mes seins, ressortir mes fesses. Je m'expose à tous. Je me compare à une bête de concours sur un champ de foire que des maquignons jaugent. Mon Maître me contraint à poursuivre :
• Alors lance-toi, Sandrine !
Je me cambre encore plus, gonfle ma poitrine et me lance :
• Mes seins sont très sensibles et réagissent à la moindre sollicitation ! Si mon Maître m'y autorise, je peux jouir juste avec des caresses… Mais mon Maître aime aussi les maltraiter !
J'empaume mes globes jumeaux et pincent légèrement mes tétons entre mes pouces et mes index. Mes tétons se tendent et se dressent au milieu de mes aréoles sombres. Sous mes yeux baissés, je devine les regards des hommes envieux et des femmes jalouses. Et puis brusquement, je me jette à l'eau. Je me lâche complètement. Mes mains descendent le long de mes cuisses et glissent dans mon entrejambe. De mes doigts, j'ouvre mon sexe. Mon Maître corrige ma présentation :
• Sandrine, allonge toi sur le dos, nos amis verront mieux ce que tu leur montre !
Je m'accroupis puis bascule sur le dos. Je place mes pieds chaussés de mes escarpins au ras de mes fesses et soulève mes reins. Toute l'assistance a une vue dégagée sur mon ventre offert. Et je continue ma description, avec cette honte qui m'excite :
• Mon sexe a été épilé intégralement ! Il est donc toujours parfaitement lisse !
Modifiant légèrement la position de mes doigts, je fais saillir mon clitoris.
L'excitation est forte et il pointe comme une petite bite. Mon index frôle l'appendice sensible.
• Mon clitoris est sensible, très sensible comme vous pouvez le constater… J'aime que mon Maître s'amuse avec lui, le caresse, le pince… Mon Maître le de temps à autre… Mais j'avoue ne pas trop supporter la douleur à cet endroit, au grand dam de mon Maître…
JP me tance légèrement :
• Sandrine, plus d'explications !
Je reprends :
• J'aime faire l'amour… J'aime me faire baiser comme une chienne !
En tant que femme mariée, avec des s, un travail, une position respectable dans la société qui m'emploie, je devrais rougir de honte. Mais non, bien au contraire, je sens mon sexe s'humidifier de mon exhibition. JP m'encourage doucement :
• Bien Sandrine… Continue…
Et là, je perds pied. Je continue cette présentation honteuse de mon corps, de cette femelle lubrique, de cette putain que je suis ! Je me retourne. Je me place à genoux. Je les écarte largement. Je pose mes épaules au sol et cambre mon cul. Je pose mes mains sur mes fesses rondes et les ouvrent dévoilant mon anneau froncé à tous. Mon délire verbal se poursuit :
• Mon cul est disponible ! J'aime qu'il soit pris et j'aime le donner ! J'aime être enculée ! Mon Maître souhaite que je sois dilatée et veux que je porte continuellement, un rosebud de six centimètres de diamètre… Je veux bien, mais j'espère que mon Maître acceptera de me faire porter un rosebud de 3 centimètres pendant quelques temps pour m'habi…
Je cambre encore plus, laisse mes fesses libres, et continue ma présentation :
• Mes fesses aiment être fessées, fouettées au martinet, à la ceinture, au ceinturon de cuir ! Elles n'ont jamais connu le fouet, mais j'espère que mon Maître me fera le plaisir de m'y éduquer !
Je me relève. Je pivote sur mes talons. Je crois le regard de mon Maître. Il me sourit. Je le lui rends, heureuse qu'il soit content de moi, que lui ait fait honneur.
Des chuchotements me parviennent. Je crois que ma présentation a plus ! JP m'ordonne :
• Reste ainsi, au milieu de cette pièce !
Je me positionne bien, en soumise obéissante, la tête haute mais le regard baissé, les pieds écartés, les bras croisés dans le dos, cambrée faisant jaillir mes seins et mes fesses, mon corps disponible, offert, à la disposition de tous.
J'attends calmement, les yeux clos imaginant le plaisir de mon Maître. Soudain, je sursaute. Une main me flatte les fesses, une autre s'égare sur mes seins. Plus rien ! Et soudain de nouveau une main part à la découverte de mon corps et s'insinue entre mes cuisses. Des doigts trouvent mon clitoris et le manipule savamment. Je ne cherche pas à ouvrir les yeux, je profite des caresses. Je suis presque certaine que ces doigts sont féminins. Ils connaissent trop bien l'anatomie féminine. En bonne soumise, je laisse les doigts jouer avec mon corps. Je suis docile, obéissante. La situation m'excite au plus haut point. C'est la première fois que je suis offerte, mise à disposition d'une assemblée de personnes. Et puis plus rien de nouveau. Mon Maître ma parle :
• Viens Sandrine !
Une traction sur ma laisse, j'avance. Je regarde le sol. Nous changeons de pièce. Le sol est pavé.
• Avance encore !
Je suis au milieu de la pièce. Mon Maître me pose des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles. Je vais donc être immobilisée. Un mouvement auprès de moi me fait légèrement ouvrir les yeux. Un homme attend avec une torche. L'éclairage est glauque. J'essaie d'observer cet homme à la lueur tremblotante de la torche. La soixantaine environ, un physique imposant, à vue de nez, il mesure au moins 1,90m et pèse environ 80 kilos sans graisse, des traits de visage assez fins, il apparait comme un homme dur. Autour c’est le silence et des pas résonnent dans la salle vide. Je tremble de froid. Cet homme me guide, face à un chevalet. Il m'oblige à placer mes cuisses dans des gouttières verticales. Rapidement, des sangles munies de bandes velcro m'immobilisent les jambes. D'une légère poussée au creux des reins, l'homme m'oblige à me pencher en avant et je me retrouve allongée sur un bâti de bois. Une nouvelle sangle me colle contre le bois. Mes seins pendent de chaque côté de l'armature. Mon cou a pris place dans une échancrure. L'homme me prend les poignets et me les placent dans d'autres échancrures. Une pièce de bois bouge et me voilà prisonnière. Je suis immobilisée dans un carcan. L'homme vient face à moi et m'adresse pour la première fois la parole :
• Bonsoir Sandrine…
Hésitante, je lui réponds :
• Bon… Bonsoir Monsieur !
• Je ne savais pas en venant ce soir au château que je devrais corriger une soumise. Je n'ai pas apporté mon matériel… Alors tu ne m'en voudras pas si j'utilise les seuls instruments que j'ai !
Devant mes yeux, il agit ses mains. Mais je les regarde avec effroi. Ce ne sont pas des mains, mais des battoirs ! Elles sont gigantesques. Il vient dans mon dos et les deux battoirs empaument mes fesses. La chaleur de la paume réchauffe toutes mes fesses.
• Bien, Sandrine, je vais te fesser à mains nues… Tu devras compter chaque coup ! OK ?
• Oui, Monsieur !
• Au fait, à ton avis, combien de coups mérite ton incartade ?
• Je ne sais pas, Monsieur…
• Propose un chiffre !
• Dix ?
• Ok pour dix, mais sur chaque fesse !
La première claque me fait sursauter par sa soudaineté et sa violence. Je sens la trace de la main sur ma fesse. Mais je n'ai pas le temps de m'apitoyer sur la douleur ressentie, que l'autre fesse subit la même claque. Je sers les dents. Calmement, l'homme me claque le cul sans précipitation. La douleur commence à se faire sentir. Je suis certain que mon cul a pris une jolie couleur entre le rose vif et le rouge sang. Soudain comme d'habitude, le plaisir sourde dans mon ventre. La boule se durcit et grossit. Je ne maîtrise rien. Et puis il déferle par vagues successives. Je jouis de cette correction. Mon sexe s'humidifie et commence à inonder ma chatte. Je compte sans m'en rendre compte. J'arrive à dix non sans un certain soulagement. L'homme cesse la correction. Il revient face à moi. J'ai fermé les yeux pour mieux me concentrer sur ma correction. Des larmes ont perlé aux coins de mes yeux. J'ai le courage de parler :
• Merci Monsieur !
• Très bien Sandrine !
Ses deux mains se posent sur mes globes rougis et les écartent sans ménagement. Mon anus est exposé à la vue de tout le groupe.
• Regardez, mesdames, messieurs, cette petite cochonne a joui de cette correction !
En effet je sens ma mouille qui se refroidit sur l'intérieur de mes cuisses. La bande élastique de mes bas est elle aussi trempée.
• Tu es bien une jolie salope, Sandrine ! JP tu as une chance inouïe de posséder une telle soumise ! Garde-la bien sinon, beaucoup auront envie de te la piquer !!!
Il part d'un grand éclat de rire. Il lâche mes fesses et se déplace dans la pièce. Mais soudain un bruit caractéristique me fait reprendre conscience. Le bruit d'une fermeture éclair déchire le silence. J'ouvre les yeux et je me trouve avec un sexe d'une taille plus qu'honorable en face de ma bouche. Je n'ai pas le temps de dire quoi que ce soit que le gland s'appuie sur mes lèvres et pousse pour les ouvrir. Je n'ai pas le choix. Je desserre les mâchoires et laisse la libre entrée de ma bouche à ce mandrin. Il entre en moi sans aucun ménagement. Je ne peux pas bouger et l'homme se masturbe dans ma bouche plutôt que je lui pratique une fellation. Quelques dizaines de mouvement de va et vient plus tard, sa queue sursaute dans ma cavité buccale, prémices de son éjaculation. Mais l'homme se retire brusquement. Il se vide sur moi, étalant copieusement son sperme sur tout mon visage. Mes yeux, mon nez, ma bouche, mes joues, mon menton sont enduits, badigeonnés de son jus. Il me remercie :
• Merci Sandrine ! Je te laisse entre de bonnes mains…
Que va-t-il m'arriver ? Une langue me nettoie le visage. Qui peut bien me faire cela ? Quelques secondes plus tard, une langue force ma bouche. J'ouvre les yeux. Horreur, c'est cette Rachel qui me lèche. Je refuse le baiser. Rachel n'hésite pas une seconde :
• Maître JP, votre soumise refuse que je la nettoie !
Des pas résonnent sur le carrelage. Mon Maître est là tout près. Je l'ai reconnu au parfum subtil de son eau de toilette. Je la connais bien, c'est moi qui lui aie offerte pour son anniversaire. Ses mains saisissent mes tétons entre pouce et index. Je sais ce qui va suivre. Il presse fort, très fort avec comme commentaire :
• Sandrine, tu ne vas pas me faire honte une nouvelle fois ?
• Non Maître !
Rachel reprend sa tâche. Sa langue perfore mes lèvres et joue avec ma langue un peu inerte. Je découvre le goût du sperme de l'homme qui m'a infligé ma correction à mains nues. Le nettoyage dure cinq à six minutes pendant lesquelles, Rachel en profite pour baiser ma bouche. L'homme revient face à moi et saisit mes cheveux à pleine main en tirant vers le haut. Je croise son regard :
• Je veux que tu te souviennes de moi ! Je m'appelle Maître Luc !
Je ne peux que répondre :
• Merci Maître Luc !
• Il n'y a pas de quoi ! Si JP le souhaite, je suis prêt à recommencer quand il le voudra !
Mon Maître me libère de mon carcan. Il me conduit de nouveau au centre de la pièce. Il demande à l'assistance :
• Au suivant !
Un fou rire prend la salle. De nouveau des pas glissent sur le carrelage. Je regarde mon nouveau tourmenteur. C'est un jeune homme qui pourrait presque être mon fils. Une main forte saisit ma laisse. Je me retrouve de nouveau sur le chevalet carcan. Avant d'être obligée, je m'installe. Les sangles m'immobilisent. La deuxième partie du carcan bloque mes mains et mon cou. Comme son prédécesseur, il vient face à moi. Il me prend le menton et me relève la tête :
• Comme Luc, je n'ai pas mon matériel ! Donc je vais me servir de ma ceinture. Elle est en cuir de Cordoue. Elle fait cinq centimètres de large et un demi-millimètre d'épaisseur. Elle est souple et très douce…
Un frisson parcourt mon corps.
• Alors, annonce le montant de ta correction ?
• Di… Dix ?
• Je n'ai pas bien saisi le nombre ! Je vais choisir pour toi ! 20 coups de ceinture ! Sur chaque fesse ! Es-tu d'accord ?
Que voulez-vous que je dise ? Je n'ai pas le choix et je ne peux qu'accepter :
• Bien Monsieur !
Un premier coup cingle mon cul :
• Appelle-moi Maître Xavier !
• Bien Maître Xavier !
• Et tu compteras les coups ?
• Oui Maître Xavier !
• Tu comprends vite !
La fessée débute. Le premier coup de ceinture claque. La douleur est forte. La lanière s'est enroulée autour de mes fesses. La brulure est intense. Les coups pleuvent avec une régularité de métronome. La chaleur de mes fesses m'indique que mon fessier rosit. Mais le plaisir vient aussi. Toujours cette boule au creux de mon ventre. Elle presse mon sexe de l'intérieur. Le claquement de la ceinture sur ma peau m'excite. Maître Xavier me parle :
• Tu vas enfin savoir ce qu'est une vraie correction ! Tu vas goûter au feu du cuir sur ta peau de blonde !
Il s'approche de moi. Il caresse tendrement mes rondeurs, s'attarde sur son intimité, ivre d'émotion. Je suis toujours stupéfaite des effets de la fessée. Mon sillon d'amour est offert et brillant aux regards de l'assistance. Il passe la ceinture entre mes cuisses remontant délicatement vers mes reins. Je vibre et me contracte sous ces caresses. Mais la ceinture reprend sa danse. Elle frappe mes fesses, le haut de mes cuisses, mes hanches plus intensément. Les coups cessent et une main fraiche vient caresser les marques qui ornent mes rondeurs. Puis la fessée reprend sa course aérienne aux chutes aléatoires, plus dures. Je serre les dents, ne voulant pas lui faire le plaisir de crier ma douleur. Les coups partent plus fort. Vu les brulures de mes fesses, mon derrière a surement pris des couleurs et les marques désirées par mon tourmenteur. Il passe sa main sur mes reins. Il me force à me cambrer encore plus, de sorte que mon derrière ressorte et bombe encore plus. Il s'éloigne un peu de moi. Du coin de l'œil, je constate qu'il plie la ceinture par la moitié. Il recommence à la correction avec des coups forts. Il distribue les coups sur toute la surface de mon arrière-train. Mon cul accepte les coups et doit être strié de marques rouges sombres. Après 20 coups forts, Maître Xavier arrête. Il s'approche de moi. Il me caresse les fesses qui me brûlent. Il se penche vers moi et me chuchote à l'oreille :
• Tu es une bonne soumise !
Ses doigts investissent ma chatte. Le plaisir me submerge brusquement et je ne peux retenir un cri de jouissance, de plaisir. Ce qui me vaut une salve d'applaudissements. Maître Xavier vient en face de moi. Le zip de sa braguette me prévient : je vais être obligée de le sucer ! Mais un ordre claque :
• Rachel, vient me branler !
• Oui Maître Xavier !
Cette espèce de pimbêche se fait un plaisir. Elle saisit à pleine main le chibre et le branle face à mon visage. Je ne peux me soustraire à ce qui va immanquablement arriver. Il ne faut pas longtemps à Maître Xavier pour jouir. Il se vide à longs jets sur mon visage. J'en ai partout. Maître Xavier ordonne encore :
• Rachel, nettoie cette salope !
Trop heureuse de m'humilier, Rachel me lèche le visage. Puis elle me viole la bouche et me fait déguster le sperme frais. Quelques minutes plus tard, mon Maître vient me libérer de mon inconfortable position. Un moment de calme me permet de reprendre mon souffle. Mais le repos est de courte durée. Mon Maître me guide au milieu de la pièce. Je regarde devant moi. Une grande glace me fait face. Le tableau que j'offre commence à être très érotique. Mes seins tendus pointent sous mon excitation. Je baisse les yeux et constate que le pantalon moulant de JP est déformé au niveau de son entrejambe. Sa queue réagit à la vue de sa soumise. C'est la voix de mon Maître qui sonne dans la pièce. :
• Comme vous l'avez constaté, mes chers amis, ce soir, je vous offre Sandrine… Elle a fauté… Elle accepte la correction qu'elle mérite… N'est-ce pas Sandrine ?
• Oui Maître, je mérite une correction de votre part et de celles de vos amis !
• Bien, puisque tu en es d'accord, je vais t'offrir à une personne très expérimentée… Claude, je te l'offre !
"Je t' l'offre", cette expression claque à mon oreille comme un coup de fouet. Des applaudissements retentissent. Je prends une grande bouffée d'air. Ma poitrine se gonfle, offrant mes seins tendus aux yeux concupiscant de l'assistance. J'entends des murmures, des chuchotis, des bruits de verres qui tintent, les déclics caractéristiques d'appareil photo. Je suis un peu perdue au milieu de tous ces bruits, nue, offerte. Le temps s'écoule sans que rien ne se passe. Puis JP me prend un poignet et le tire vers le haut. Le mousqueton est crocheté à une barre horizontale retenue en son milieu à une corde. Mon autre poignet subit le même sort. Je me retrouve les bras en l'air, écartés. Aux deux extrémités de la barre, des poignées me permettent de me tenir. Mes chevilles sont, elles-aussi, attachées écartées à une barre, elle-même fixées à des boucles scellées au sol. JP se retourne et saisit une corde. Mes bras sont brutalement tirés vers le haut. Je suis complètement écartelée. Une certaine crainte, même peur m'envahit. JP le constate et pour me rassurer, me prend par les épaules et me chuchote qu'il est là et maitrise la situation. Je le sais et j'ai confiance en lui. JP m'embrasse dans le cou et me murmure
• Je t'aime !
Il retourne dans l'assistance. Un mouvement devant moi me fait lever les yeux. J’aperçois une belle blonde, très classe, assez jeune, environ la trentaine. Elle me regarde sans vergogne, comme le ferait un maquignon sur une place de marché un jour de foire. Elle insiste, me détaille. Je suis troublée, mais surtout agacée ! Mon Maître, qui connait mon aversion pour la gente féminine dans le BDSM, me livre aux mains d'une dominatrice ! Qu'allait-elle donc me faire subir ? Je suis gênée. Je me sens rosir sous son regard inquisiteur. Elle voit ma gêne, mais continue néanmoins à me mater ouvertement. La honte d'être jauger comme un morceau de viande à l'étalage me fait baisser le regard. Cette belle femme m’intrigue. Petit à petit, j'essaie de la regarder entre mes cils. Elle est réellement séduisante, plus jeune que moi. Je suis un peu jalouse d'elle. C'est une belle blonde aux yeux verts, le port altier, une silhouette avenante, une belle poitrine moulée dans un haut de stretch noir. Elle est très fine et élancée. Ses jambes longues sont moulées dans un legging satiné noir et elle est chaussée de hautes bottes noires à talons hauts. Elle me trouble vraiment. Je suis nue en face d'elle, à sa merci. La belle blonde s'approche de moi. Nos regards se croisent et elle me sourit. Dans ma tête, c'est la panique absolue ! Elle voit mon trouble. Son regard planté dans le mien, elle me dit d’une voix très douce et harmonieuse :
• Vous n’avez pas à être gênée, vous savez, nous sommes entre nous, ici !
Je ne sais quoi dire complètement paralysée. Si j'étais libre de mes mouvements, je me serais enfuie à toutes jambes, mais je suis immobilisée et offerte. Je n’ose pas bouger.
• Vous êtes mignonne, dit-elle avec un réel accent de sincérité.
Hormis mon Maître et mon mari, personne n’a jamais porté un regard aussi perçant sur moi. Elle continue de me détaille sans aucune retenue. Je me lance. Je me décide de soutenir son regard. Nous sommes sensiblement de la même taille. Un sourire éclaire son visage régulier. Elle porte une main sur mon sein.
• Ils sont très beaux, tes seins… Vraiment parfaits, fermes et de belle tenue…
Elle saisit le téton entre son pouce et son index et le fait rouler. Une sensation délicieuse me fait fondre. Mais soudain, le roulis tendre se fait dur. C'est maintenant un pincement que mon téton subit. Une douce chaleur m’envahit. Mes pulsions un temps, annihilées par ma honte remontent lentement. Elle est toute proche de moi. Je perçois son souffle léger. Sa main continue de martyriser mon téton. Elle me sourit, ses beaux yeux bleus me fascinent. Elle me demande :
• Est-ce-que je peux?
Je suis interloquée. Je suis une soumise et je n'ai pas l'habitude que l'on me demande mon autorisation.
• Pardon ?
• Veux-tu que je te domine ?
• Euh… ! Mon Maître souhaite me faire payer ma rebuffade envers une autre soumise, Soumise Rachel !
• Et ?
• Vous avez tous les droits sur moi, mon Maître vous a donné l'autorisation de me corriger…
Le ton change brusquement.
• Réponds à ma question !
Je lui réponds d'une toute petite voix pratiquement inaudible…
• … oui…
Je ferme les yeux, savourant mieux ainsi, la douleur qui irradie mon sein. J'aime cette douleur qui monte lentement.
Soudain, une bouche chaude se pose sur mon sein. Deux mains empaument mes globes jumeaux délicatement. La bouche redouble d'effort et se positionne sur mon téton droit. Mon petit bout de chair rose est tout dur, droit, gonflé. Je ressens un plaisir très agréable. Je culpabilise intérieurement de mon état d'excitation. Mon corps est à la portée des mains de cette jeune femme. Une main délaisse mon sein. Elle ne résiste pas à la tentation. Elle se faufile entre mes cuisses. Avec une dextérité étonnante, elle débusque mon clitoris, pourtant bien caché entre mes lèvres. Une véritable décharge électrique secoue mon corps et mon bassin se projette en avant à la quête d'une caresse plus forte. Cette femme s'amuse avec moi. Elle malaxe mon clitoris. Je ne me sens plus. Mon sexe, déjà humide des deux corrections précédentes, se met à couler abondement. La main me flatte l'entrejambe. Je bascule mon bassin en avant, projetant mon sexe plus en avant. Gonflés d'excitation, mes deux seins me font un mal de chien. Mes tétons turgescents ne peuvent pas cacher le plaisir qui envahit mon corps. Il n'y a qu'une femme pour caresser ainsi, pour connaître les secrets intimes d'une femme, pour savoir si bien trouver comment faire jouir une femme. Je frissonne de crainte et aussi d’appréhension. Mais le désir est fort et j'attends avec une certaine impatience la suite des évènements. Je garde les yeux clos pour profiter de cet instant de bonheur. Dans ma tête, le plaisir vient. Ma vie est bien d'être soumise. Je ne suis plus moi, je ne suis qu'une sensation immense. Je crois que je vais jouir sans tarder d'une manière violente. C'est la première fois qu'une femme me domine et je fonds comme glace au soleil. Cette main me fouille va me faire jouir. Perdue dans mon délire de plaisirs, je gémis doucement. Mon clitoris est électrisé et irradie mon sexe tout entier. Elle peut me faire subir les pires humiliations. Je ne réagis plus, je me laisse explorer, vaincue et heureuse, je lui appartiens. Soudain, la main me lâche. Plus rien, plus de main à me fouiller ! La frustration est immense. Moi qui étais au bord d'un orgasme prometteur, je ne peux retenir une supplication :
• S'il vous plait ne me laissez pas ainsi !
Une voix chaude de la femme me répond :
• Chut ! Tu ne dois parler que si on te le demande !
Soudain mes bras ne sont plus tirés vers le haut. Je me laisse tomber un peu en arrière. Un bruit de poulie qui grince occupe toute la pièce. Mes jambes se lèvent et son écartelées. Mon sexe est offert à la vue de tous. Je garde les yeux clos de honte. Ma chatte humide ressent la fraîcheur de la pièce. Une douce caresse est prodiguée sur mon sexe. C'est une langue : féminine ou masculine ? Je ne peux pas le deviner pour l'instant. Mais cette langue me fouille plus profond. Elle entre, sort de ma chatte. Puis elle délaisse mon antre trempée de ma cyprine, remonte sur mon sexe et délivre mon clitoris de son capuchon. Mon bouton d'amour est gonflé, sensible en diable. La langue joue avec lui, sans pitié. Une vague de plaisir arrive dans mon ventre. Elle arrive par vagues successives. Je me sens humide, chaude très excitée. Je vais jouir dans quelques secondes. Juste au moment où ma jouissance va déferlée, la langue s'arrête. J'en suis sûre maintenant, il n'y a qu'une femme qui peut me procurer une telle caresse. De nouveau, la poulie grince. Mes jambes retrouvent le sol. Mais quelques secondes seulement, car mes bras se tendent. Mes pieds perdent le contact avec le sol. Je suis suspendue entre le sol et le plafond de cette cave. La douce et chaleureuse de la jeune femme me chuchote à l'oreille :
• Il est l’heure maintenant d'expier tes fautes… Ton Maître m’a laissé le choix, fessée à mains nues ou bien le martinet… Qu'en penses-tu ?
J'hésite. Je viens de déguster une fessée à mains nues de la part de Maître Luc et mes fesses s'en souviennent peu. J'ai bien supporté celle-ci. J’ai envie de goûter au martinet magné par une maîtresse. Cela fait partie de mes fantasmes, même si j’ai peur d’avoir mal. C'est la première fois qu'une femme va me corriger. Elle ne doit pas être très forte, alors je me lance :
• Je choisis le martinet, maîtresse…
• Bien, soumise Sandrine. Mon prénom est Sylvie…
• Je veux être corrigée au martinet, Maîtresse Sylvie…
• 50 coups de martinet !
Aie ! Cela va chauffer mes rondeurs arrières. Une pensée me traverse l'esprit : Je ne vais pas pouvoir m'asseoir lundi au bureau.
Suspendue, elle me fait tourner. Je me retrouve dos à elle, face au mur, jambes écartées et reins cambrés. Ma position fait que je tends mes fesses. Elle est contente et me lance :
• C'est bien, ainsi je pourrais te punir comme il faut !
Le premier coup claque sur mon cul rond. Je laisse échapper un "ouf !" de douleur. Mais je pousse la plaisanterie à jouer avec elle :
• Maîtresse, dois-je compter les coups ?
Surprise, elle ne peut retenir un rire cristallin :
• Oui tu compteras tous les coups ! Et à chaque fois que tu crieras, le coup ne comptera pas !
Les coups recommencent. Je compte :
• Une, deux, trois …
Je ne pipe pas mot de douleur. Je ne me rétracte pas devant les lanières de cuir magnées avec dextérité. C'est une femme, elle connait les endroits qui sont plus sensibles. Elle vise sous mes fesses, à la hauteur du pli de la fesse. Cela brûle. Je dois avoir la peau boursoufflée par bandes. Elle prend son élan et avec toutes ses forces, elle atteint les fesses, juste en leur milieu. Une douleur énorme se développe dans la chair de mes fesses. J'essaie de ne pas crier, malgré mon envie de résister. Un après l'autre les coups forts, lents, espacés se succèdent pour que je les sente bien. Au quinzième coup, je ne peux plus me retenir. Mes fesses me brûlent. Je ne maitrise pas le cri qui sort de ma gorge. Je crie de nouveau à quatre reprises. J'ai droit à cinq coups supplémentaires. Soudain, la correction arrête alors que j'annonce:
• Trente !
Ma tortionnaire me fait pivoter. Avec la main gauche, elle me caresse les fesses. Sa main douce court sur ma peau cuisante, allégeant ainsi la douleur. La caresse continue sur mes fesses le haut de mes cuisses. La douceur me procure un plaisir surprenant. Je suis face à elle:
• Les vingt derniers, je vais fait plus fort ! Compte toujours !
Au moment où je m'y attends le moins, le martinet cingle brutalement ma chatte. Je crie :
• Tren… Trente et un !
Les lanières ont épousées mon sexe béant. C'est la première fois que je suis fouettée aussi fort à cet endroit précis. Je ressens chaque coup de plus en plus fort. Mes lèvres, son clitoris découvert ne sont pas épargnés. C'est une véritable pluie de coups forts sur mon entrejambe. Mes parties intimes sont offertes de par ma position écartelée. Je serre les dents. Je me mords la lèvre. Je comprends pourquoi j'ai mérité cette correction. J'ai désobéis à mon Maître. Je ne lui tiendrais aucune rancune. Mon sexe est en feu. En feu de par la cuisson des coups des lanières de cuir, en feu car je suis excitée comme rarement je l'ai été. Enfin, la punition se termine :
• Cinquante !
• Merci Maîtresse !
Les derniers coups appliqués plus fermement me font comprendre que le martinet est une vraie punition. Mon Maître vient me caresser les fesses et la chatte. Sa main est douce, mais le frottement irradie une douleur diffuse mêlée de plaisir. Je mouille beaucoup. JP me le fait remarquer :
• Tu mouilles vraiment beaucoup !
Je lui parle doucement :
• Pour une première fois avec une femme, c'était un coup de maître ! Mais cette correction n’était pas vraiment une punition !
Mon maître me dévisage avec surprise :
• Comment cela ?
• J'y ai pris un plaisir violent et délicieux !
Un sourire éclaire son visage. Je ne sais si ma remarque l'étonne ou le satisfait. Mais il dépose sur mes lèvres un baiser amoureux. Je suis sûr qu'il est heureux. La femme s'approche de moi :
• Tu es une vraie soumise ! Félicitations !
Je me cambre pour lui montrer ma fierté face son compliment. Elle se penche vers moi, me dépose un baiser sur mes lèvres et crie à la cantonade :
• Mon cher JP, le jour où tu en auras assez de cette soumise, je veux bien te l'acheter !!
L'assistance rigole de bon cœur ! JP vient me libérer. Mes pieds retrouvent le sol. Je titube. Mes bras sont encore tendus en l'air. JP me soutiens. Mes bras tombent et mes poignets retrouvent leur liberté de mouvement. Impossible de savoir combien de temps a duré ce supplice. Je pose ma joue dans le creux de l'épaule de mon Maître. La main de JP me caresse le visage avec douceur et passion. J'entends de vagues murmures réconfortants. Je n'en comprends pas le sens. JP me berce doucement et la douleur qui me brûle encore les fesses prend soudain beaucoup moins d'importance. Une cape recouvre mes épaules elle a beau être douce, le frottement sur la peau de mes fesses réveille la douleur. JP me conduit avec précaution dans les couloirs. Je l'entends demander à quelqu'un de lui ouvrir une porte. Quelques minutes plus tard, JP m'allonge avec mille précautions sur les sièges arrière de son Porsche Cayenne. Il me couvre et plie sa veste et me cale la tête. Il se penche sur moi tout en frôlant ma poitrine d'interminables et tendres caresses. JP me chuchote à l'oreille :
• Je t'aime, Ma soumise !!
Cette déclaration me prend totalement au dépourvu. Je n'y avais pas pensé mais c'est bien ce que j'ai ressenti pour lui depuis plusieurs jours. J'ai voulu dire "je t'aime" à mon tour, mais toutes ces émotions ont brisé ma voix. Je balbutie quelques mots incompréhensibles. JP couvre mes lèvres des siennes et sa langue remplit ma bouche me transmettant sa chaleur… Quelques minutes plus tard, la voiture s'ébranle doucement. Je suis incapable de me souvenir comment j'ai franchi cet échelon de soumission. Je suis comme dans un rêve, sur un nuage de coton. Mon Maître m'a tenu la main et m'a guidé dans la bonne direction. Je l'ai suivi aveuglément. Je souviens vaguement de cette soirée. Je m'assoupis et plonge dans un sommeil réparateur. JP m'a couché sans que je reprenne connaissance. Il a été particulièrement doux et prévenant avec moi tout le reste du week-end.

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