Une Deuxième Visite À La Ferme Pendant Le Confinement

C’est encore très frais dans ma mémoire, nous somme le 20 avril vers 9 :00 du matin lorsque mon GSM sonne. Je décroche. Je ne reconnais pas tout de suite la voix de mon interlocuteur qui se présente comme étant Carl de la ferme. Ok je resitue très vite car cela ne fait pas une semaine que je me suis fait prendre par ce gars et son mec.
Je lui demande ce qui me vaut son appel car j’ai encore assez de farine, ce que je lui dis d’emblée.
Il me répond qu’il se doute bien que j’en ai encore assez mais il veut me rappeler mon engagement de la semaine dernière où j’avais donné ma parole de revenir.
Ah on voit que c’est un fermier, tout comme les bouchers, une parole est une parole.
Oui dans ma tête c’était clair et quand je prends un engagement je le respecte mais je ne pensais pas que moins d’une semaine après il m’aurait recontacté.
Il me dit que son compagnon et lui n’ont plus jutés depuis le 15.04. Je le vois venir avec ses gros sabots. Je lui dis « et alors »…
Il me répond qu’ils me veulent rapidement, c’est-à-dire dans le ¼ d’heure max pour se vider les couilles. Pfff je n’ai vraiment pas la tête à ça. Je n’ai pas envie d’y aller.
Il insiste. Que dire, refuser mais alors il va me téléphoner tous les jours ou accepter de jouer le vide couille et après lui dire que c’est moi qui reprendrai contact et uniquement si j’en ai envie.
Après insistance de sa part, J’opte finalement pour la deuxième option. Je vais me forcer et dire que j’accepte. Je précise directement que c’est la dernière fois et que si j’en ai encore envie plus tard je reprendrai contact.
Il est ravi et me dit qu’ils m’attendent avec impatience. Je lui réponds que j’enfile vite un short, une t-shirt et que j’arrive. Cette fois je vais aller en voiture, plus vite je serai là plus vite ce sera fini. C’est dire mon état d’esprit.
Avant de démarrer j’enfile quand même mon triple anneau pénien en caoutchouc Me voilà en route.

A peine 5 min après de porte à porte. A vélo c’est 15 minutes.
La porte de la cours est fermée, je klaxonne deux fois. Elle s’ouvre, c’est Marc (le black) qui est là, il est déjà nu. J’entre dans la cour et me parque près de la bâtisse. Marc referme alors le portail en bois.
Je sors de la voiture et le voilà qui est déjà près de moi. Immédiatement il m’ordonne d’une manière autoritaire de me mettre à poil. « A poil pute ! »
Le ton est donné. Bon allez je m’exécute. J’enlève mon t-shirt et mon short et garde mes espadrilles. Je suis quand même dans la cour qui est caillouteuse et je n’ai pas envie de me faire mal aux pieds.
Je balance mes fringues sur le siège de la voiture et referme la porte.
Carl arrive alors, il est également nu, et me dit qu’il est super content que je sois venu et si vite.
Les deux m’invitent alors à les suivre. Tiens on ne va pas dans le bâtiment principal, soit.
On se dirige vers une des granges. Je demande où nous allons. Marc répond qu’ils m’emmènent dans la grange. Ça change et je trouve l’idée assez excitante. Carl ouvre alors la grande porte coulissante.
Première réaction, c’est en effet une grange, de la paille partout et à quelques mètres dans l’axe de la porte un immense matelas gonflable posé sur un lit de paille.
Je ne pus m’empêcher de dire que je trouve l’idée assez excitante.
On s’approche du matelas et dessus sont posés des godes et une grande bouteille d’huile.
Carl m’ordonne alors de me mettre sur le matelas et me demande de faire un show de pute avec ce qui se trouve sur le matelas.
L’excitation m’envahit, m’exhiber devant ces deux mecs afin de les exciter à mort me donne des frissons dans le ventre.
Je suis à genoux, genoux écartés la bite pendante, j’ouvre la bouteille d’huile et directement je retourne le flacon et m’asperge généreusement en partant du coup. Je balance de gros jets devant, derrière.
Je sens cette huile couler sur mon corps, mes seins, mon pubis, ma raie,…
Je suis tout gras, luisant comme un vert et baignant dans une flaque d’huile.

Je commence alors à bien étaler sur l’entièreté de mon corps. Je suis déjà bien dur, je me masturbe bien, je me caresse les tétons, j’étale cette huile dans des mouvements sensuels. Je glisse ma main en dessous de mes couilles pour atteindre mon trou que je badigeonne également.
Je me mets à genoux écarte mes fesses dans leur directions en me doigtant, je saisi un des godes et me l’enfonce d’abord lentement puis profondément, j’en prends un plus gros et fait de même.
Mon trou se dilate, c’est bon, je prends le dernier qui est très gros et m’assied dessus. Il entre profondément en moi. Je me branle de plus belle.
Je suis excité à mort et finalement alors que je n’avais pas envie d’y aller je me plais à jouer la pute.
Marc et Carl sont raides et gonflés à bloc à me regarder et à commenter mon show.
Soudain j’entends Marc dire « ça va les gars, ça vous plait » ?
? De qui parle-t-il ? Je me retourne et voit sortir de derrière des ballots de paille 4 mecs. Ils sont grands, ronds, et tiennent leurs grosses bites en main.
Je m’arrête aussitôt et rétorque « c’est quoi ce bordel ? J’étais d’accord pour vous satisfaire comme la semaine passée mais je n’ai pas signé pour ça !! »
De plus je suis venu sur insistance de Carl. Si j’avais su cela ne serait certainement pas venu. Je n’aime pas être pris au dépourvu.
Marc enchaine et répond qu’ils m’avaient trouvé tellement bon qu’il ne pouvait pas faire autrement que de me partager avec leurs amis.
Je savais que Marc et Carl étaient testés et donc clean, par contre ces 4 mecs, aucune idée.
Je ne peux que dire « et les gars avec capote alors ! » Carl répond immédiatement qu’il n’en n’est pas question car ils sont également testés et avec capotes aucun plaisir.
Un des mecs s’approcha alors de moi, bite à la main et m’ordonna de le pomper.
Je sens l’odeur de sa bite perverse, j’hésite, il m’agrippe alors la tête et me dit « pompe salope ».
Vu mon gabarit, face à tous ses mecs, si je refuse ils me prendront de force.
En plus impossible de fuir, la porte de la cours est fermée.
C’est ça qu’ils veulent, m’humilier encore une fois (même si j’ai aimé), j’ai des réserve mais soit.
Je bouffe littéralement la bite de ce gros porc, je tète, je lèche ses grosses couilles, je remonte sur son gland, je le suce. Il mouille bien, je sens quelqu’un monter sur le matelas, je ne me retourne pas, trop occupé à pomper ce vicieux.
Soudain une bite me rentre dans le cul sans ménagement, le gars s’agrippe à mes hanches et commence à me labourer avec vigueur. Sous les coups de buttoirs ma bite et mes couilles balancent tel un métronome.
Il a une voix très grave, il pousse des râles, presque des cris de guerre viking. Parfois il ressort complètement pour m’empaler aussitôt après en tenant sa bite comme une lance.
C’est violent. Je pompe toujours l’autre tout en gémissant sous ce labourage. J’entends par moment lorsque je prête attention les voix de Marc et Carl qui encouragent leurs copains à me défoncer la rondelle.
J’ai du mal à tenir la bite en bouche, tellement il me balance d’avant en arrière.
Il sort, je l’entends crier et je sens des jets de foutre sur ma raie du cul. Il a bien déchargé, un autre approche, avec ses mains, il racle le sperme du précédent et ramène le tout à mon anus qu’il doigte
Maintenant il est occupé avec sa bite sur ma raie, comme s’il raclait d’avantage de jus pour l’amener à l’entrée de mon trou du cul. Oui c’est bien ce qu’il fait. Il utilise le foutre du premier comme lubrifiant.
Putain je trouve ça excitant. Soudain celui que je suce se retire et dit à celui jouant avec le sperme et sa bite sur ma rondelle de reculer : « retire toi je vais décharger ! » Il s’approche et enfonce d’une traite sa queue au plus profond de moi tout en poussant un cri de guerre. Il lâche une quantité impressionnante de jus au plus profond de moi je sens ses décharges. Ça ne fait que flop flop flop dans mon cul. Il me saisit bien les hanches pour être sûr de m’imprégner au plus profond de mon intimité.
Il refait quelques mouvements de vas et vient et se retire.
Bon ça en fait déjà deux, il en reste 4. Oui les deux invités qui n’ont pas encore déchargé ainsi que Marc et Carl.
Les deux autres me retournent sur le dos. Marc et Carl me tiennent les jambes écartées et le troisième me pénètre, il s’en donne à cœur joie.
Il me masse tellement bien la prostate avec sa longue queue que je ne peux me retenir. Je dis au gars, dans un long gémissement, arrête je vais jouiiiiir, il donna alors encore deux bons coups de bite et je déchargeai sur mon ventre.
Cela lui a fait de l’effet car au moment où j’éjaculais, il poussait des râles de porc en me jutant à son tour profondément dedans.
Il se retire et je sens ce foutre, que je ne peux contenir, car mon cul est bien dilaté, couler hors de moi.
Le dernier plus sensuel, quoi que difficile de parler de sensualité compte tenu le spectacle s’assis sur le matelas et me tira vers lui pour que je m’empale face à lui en croisant mes jambes derrière son dos.
Je me redresse et viens m’assoir à califourchon sur sa bite. La mienne toute molle est tout contre son ventre bedonnant. Ah je suis bien à fond sur sa bite il bouge d’avant en arrière et je suis le mouvement. Il est très doux, ça change des trois autres.
Il prit alors ma tête pour m’embrasser sur la bouche. J’ouvris bien grand et nos langues commencèrent à s’entremêler pleine de bave. Je l’embrassais comme j’embrasse ma femme. Régulièrement il me balançait un flot de salive dans la bouche que j’avalais systématiquement pour montrer ma soumission et mon appartenance.
Il est doux et ça fait du bien après les trois autres. Après au moins 20 minutes, tout en m’embrassant il gémit et je sens sa bite se contracter à plusieurs reprises en moi. Il décharge.
Ça doit être un bon juteur car je ses bien ses spasmes.
Il continue à m’embrasser et reste bien ancré en moi le temps que sa bite commence à ramollir. Ça dure quelques minutes. Il me laisse alors retomber en arrière sur le matelas et se retire
Tout ce foutre qui coule hors de moi m’excite au plus haut point.
Marc et Carl se sont branlé pendant toutes la séance et s’approchent à présent ensemble de moi en m’ordonnant d’ouvrir la bouche.
J’ouvris donc bien grand en sortant la langue. J’en profite pour titiller du bout de la langue leurs glands gonflés à bloc.
Ils déchargeaient quasi simultanément, un ou deux jets sur mon front / mon nez, et le reste dans ma bouche.
Afin de montrer que je suis une pute je joue un peu avec tout ce jus en bouche avant d’avaler en plusieurs fois car leurs deux semences est bien épaisses. J’ouvre ensuite la bouche pour leur montrer que j’ai tout bouffé.
Je racle le reste sur mon visage avec mes doigts pour n’en gaspiller aucune goutte et les reléche.
Je m’allonge sur le matelas exténué.
Marc s’approche de moi et à son tour m’embrasse à pleine langue, Carl quant à lui me pompe.
Ça dure un bon 5 minutes ma bite toute molle commence à nouveau à se raidir dans cette bouche experte.
il me pompe tout en me masturbant. Il retire sa bouche et s’acharne littéralement sur ma bite avec de forts mouvements en m’ordonnant de juter.
Il crache sur ma bite pour lubrifier, me rebranle, J’ai un peu mal et en même temps c’est terriblement excitant. Je creuse les reins pour bien montrer que j’apprécie. Ça y est je viens oui c’est bon, ahhh je décharge peu mais j’ai un orgasme terrible.
Marc se retire de ma bouche et dit à Carl qu’il a envie de me prendre, il est de nouveau en érection après notre long baiser.
Carl se met alors à califourchon sur moi, je vois son dos, et il écarte mes jambes en l’air pour m’offrir à Marc.
J’ai tellement de foutre dans le cul, il est tellement dilaté que Marc avec sa bite de black n’éprouve aucune résistance pour s’enfoncer dans mes entrailles.
Et c’est reparti il me lime comme un excité, je n’entends que flop flop flop et ses râles. Il accélère encore. Je dois avouer que je ne sais plus très bien ou je suis ni combien de temps il m’a labouré.
Toujours est-il qu’il a encore jouit une fois.
Il se retire ainsi que Carl. Je suis out !
Après ce genre de trip je suis toujours rempli de honte et me sens si sale mais je n’arrive pas à refuser.
Je sens toujours l’excitation m’envahir et elle me fait toujours céder. C’est tellement bon de donner du plaisir.
Je me relève comme un zombie et retourne à ma voiture, j’enfile mon short et mon t-shirt. Juste une envie rentrer et me doucher. Carl va ouvrir le portail, je ne dis rien et repars.
Je rentre chez moi.

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