Rien Ne Vaut L'Expérience

"Pourquoi ne viendriez-vous pas passer quelques jours de vacances avec moi ?" La proposition émanait de Magali à l'intention de ses deux petites filles, Louise et Rachel, âgées respectivement de 19 ans et 22 ans. Magali, veuve depuis deux ans, avait bénéficié d'un copieux capital qui lui avait permis d'acheter une maison avec piscine au bord de la mer. Mais elle s'y ennuyait l'été venu et quand Louise et Rachel acceptèrent sa suggestion avec enthousiasme, elle en fut ravie. Delphine, la mère des deux jeunes filles, donna son aval, avec pour consigne à la grand-mère "de les surveiller de près car elles ont le diable au corps". Magali acquiesça, tout en se disant qu'elle se garderait bien de jouer les garde chiourmes. Ses petites filles l'adoraient parce qu'elle ne faisait pas son âge (60 ans mais on lui en donnait dix de moins, tant elle s'entretenait physiquement), parce qu'elle était moderne dans ses pensées comme dans ses actes, parce qu'elle leur ferait moins la morale que leur propre mère.

Louise et Rachel n'étaient pas soeurs pour rien. Grandes et minces, le cheveu châtain porté souvent en queue de cheval, bonnes élèves (l'une était en classe prépa, l'autre étudiante à science po), toutes deux dépucelées à 17 ans par le même homme (un ancien amant de leur mère), elles étaient venues au bord de la mer avec pour seuls objectifs les trois b : (se) baigner, bronzer et baiser. Elles étaient convaincues que Magali n'y ferait pas obstacle.

Dès le jour de leur arrivée, le temps était resplendissant et Magali leur dit :
- On ne perd pas de temps, on va à la plage mais protégez votre peau, vous êtres blanches comme des cachets de Doliprane.
A l'inverse, Magali affichait déjà un bronzage avancé. Sa robe à dos nu ne révélait aucune trace de soutif et les deux filles en conclurent que leur grand-mère se dorait seins nus, ce qui n'était pas vraiment pour les étonner.
De fait, sur la plage, Magali n'avait rien de la mamie coincée.

Nantie d'un corps plutôt menu, quoique très féminin, elle osait un bikini ne couvrant que le strict minimum. Du reste, elle ne s'embarrassait pas du haut et exhibait tranquillement ses seins en poire, ce qui incita ses deux petites filles à faire de même. Elles constatèrent que le slip de Magali faisait à peu près la moitié en surface du leur, ce qui les décida à revoir la question du maillot dès que possible. Et force leur fut de remarquer que leur grand-mère, malgré les défauts naturels de son corps de sexagénaire, supportait largement la comparaison physique avec des femmes bien plus jeunes étalant leurs bourrelets sur le sable. Du reste, le regard de leurs maris ne laissait pas place au doute : c'est le corps de Magali qu'ils reluquaient.

Le soir, Louise et Rachel avaient pris des couleurs malgré la protection. Magali les entraina dans une boite de nuit où elles firent quelques connaissances mais presque tous des "gros lourds" qui n'excitèrent guère leur libido.
- Si c'est ça les vacances, ça ne va pas être folichon, déclara Louise le lendemain matin au petit-déjeuner devant sa soeur et sa grand-mère.
- Allons allons, ne soyez pas défaitistes, votre séjour ne fait que commencer. Si je comprends bien, vous voulez rencontrer des garçons. Normal, c'est de votre âge.
- Ne crois pas qu'on cherche à se caser, c'est pas le lieu ni le moment, rétorqua Rachel. On veut juste faire des rencontres intéressantes.
- Des rencontres intéressantes ? Vous voulez parler ou... vous voulez baiser ?
La réplique de Magali surprit ses deux petites filles. Elles la savaient très libre mais pas au point de tenir un langage aussi cru.
- Ben... euh... les deux mon capitaine, concéda Rachel.
- Bon alors, il faut revoir nos plans. D'abord, on ne va plus aller sur la même plage, beaucoup trop familiale. J'ai mes habitudes sur une autre, beaucoup plus sympa. Mais on s'y met à poil. Il va falloir laisser votre maillot de bain dans la valise.

- A poil ? C'est une plage naturiste ?
- Affirmative. Et des rencontres "intéressantes", vous en aurez. Avec le corps que vous avez, je vous garantis que vous allez vite trouver de quoi vous satisfaire. Bon, ne vous attendez pas à rencontrer beaucoup de mecs de votre âge. Sur ces plages, c'est plutôt le genre mûr, voire très mûr comme moi. Mais les hommes que je connais savent parler aux femmes et surtout leur donner ce qu'elles attendent.

Louise et Rachel se regardèrent. Elles savaient très bien de quoi parlait Magali. Dépucelées et initiées par un homme d'expérience, elles avaient pu faire la différence avec les garçons qui les avaient sautées depuis. Mais enfin, ôter leur slip sur une plage, elles ne l'avaient jamais fait. Cela demandait un minimum de réflexion et Magali perçut leur hésitation :
- Décidément, vous êtes très prudes dans votre génération. C'est quand même un comble qu'à 60 balais, je n'hésite pas à montrer mes fesses alors que les vôtres, en plus, sont plus belles que les miennes.
Les deux jeunes filles se sentirent un peu bêtes. Aussi, leur réponse fut sans ambiguïté :
- Bon d'accord, on te suit demain.

***********
Avant de partir à la plage, Rachel et Louise avaient voulu en savoir plus long sur leur grand-mère. Avait-elle été toujours aussi libre d'esprit ? Quelle était vraiment sa "vie d'avant" ? Elles n'avaient pas employé l'expression "vie sexuelle" mais c'était sous-jacent.
- C'est vrai que ma génération a bénéficié pleinement de la libération des moeurs, leur avait-elle répondu. Avec votre grand-père, on a vécu une vie assez classique jusqu'à ce que votre mère atteigne sa majorité et quitte le foyer familial. Après, je l'avoue, on s'est un peu lâchés. Notre vie sexuelle ronronnait, on avait envie de connaitre autre chose. On est devenus un peu libertins.
- Tu veux dire... que vous avez participé à des partouzes ?
- Si on veut, oui. Disons de la sexualité en petit comité avec des gens de notre âge.
Au début, c'était très jouissif, en tout cas pour moi. Mais on s'en est lassé et surtout, votre grand-père est tombé malade. On est redevenus sages par obligation. Mais après sa mort dont j'ai eu du mal à me remettre, j'ai repris goût à la vie, sauf que je n'avais plus 40 ans. Mais à ma grande surprise, j'ai recommencé à plaire.
- Tu veux dire... que tu as un amant ?
- Ah non, pas d'amant. Pas envie de recommencer une vie de couple, j'aime ma liberté. Par contre, de temps à autre, des galipettes avec un homme bien membré, j'adore ça.
- Mamie ! Tu es immorale !
- Pourquoi ? Parce que j'aime la bite ? Ne jouez pas les prudes. Votre mère m'a assez dit que vous étiez portées sur la chose... En somme, vous tenez de moi.
Les deux soeurs pouffèrent de rire. Oui, elles tenaient de leur grand-mère, c'était l'évidence. Mais elles ne le savaient pas. Ce séjour promettait d'être chaud.

*********
Le trio arriva à la plage à une heure où elle était encore peu peuplée. Les deux jeunes filles éprouvèrent ainsi moins de réticence à ôter leur slip à l'air libre tandis que leur grand-mère dévoilait un bronzage intégral sans la moindre gêne. Il fallut quelques minutes à Rachel et Louise pour s'adapter mais la présence de plusieurs femmes entièrement nues dans leur voisinage finit par les relaxer, d'autant que personne ne semblait faire attention à leur nudité. Au bout d'une heure, elles évoluaient dans le plus simple appareil comme des pros du naturisme. Elles n'avaient jamais vu autant de bites, de chattes et de seins de leur jeune vie et c'était déjà une première révélation. Magali les entraina vers un petit groupe d'habitués dont elle faisait visiblement partie. C'étaient essentiellement des personnes d'un certain âge à la peau couleur caramel, généralement des couples, et les deux soeurs eurent droit à de multiples bises de bienvenue. Magali les présenta aussi à deux hommes apparemment solitaires, plus jeunes et mieux bâtis, prénommés Cédric et William, qui leur adressèrent risettes et courbettes.

- Enfin, la moyenne d'âge baisse ici, dit l'un d'eux.

Elles durent satisfaire la curiosité de cet aréopage dénudé avant qu'il ne sacrifie au rite de la pétanque sur sable dur, car on était à marée basse. Puis elles allèrent consommer leur pique-nique que Magali avait préparé. En déjeunant, répondant à la demande, elle informa ses deux petites filles du pedigree de ses amis nudistes, et singulièrement des deux hommes seuls :
- Cédric est gendarme, William ambulancier, mais je vous préviens, ce sont des chiens. Gare à vos fesses.
- Pas grave, j'aime bien les chiens, répondit Rachel en gloussant.

Comme sa soeur, les deux gaillards lui avait tapé dans l'oeil. Toutes deux n'avaient jamais vu des hommes aussi bien bronzés. Et un regard furtif derrière leurs lunettes de soleil les avait édifié sur les arguments des deux mâles. Ils avaient ce qu'il fallait au bon endroit. Le mot "queue" était vraiment adapté. Plus tard, pendant qu'elles rôtissaient au soleil, elles virent leur grand-mère en conversation avec les deux hommes. Parlaient-ils d'elles ? C'était bien possible car parfois, les regards se tournaient dans leur direction. Mais elles n'entendaient rien. De fait, elles étaient bien le sujet de cette discussion, qu'on pourrait résumer ainsi :
Les hommes à Magali : "elles sont mignonnes, tes petites filles. Adorables même."
Magali : "Attention, hein ? C'est moi qui en ai la garde, leur mère, ma fille, me les a confiées".
Les hommes : "Elles sont majeures, non ?"
Magali : "Oui et je vous vois venir. Je vous préviens, si vous voulez coucher avec elles, hors de question de leur forcer la main, je ne le permettrai pas".
Les hommes : "Promis. D'ailleurs, avec les nanas d'aujourd'hui, on se méfie. Elles ont vite fait de crier au viol".
Magali : "Rassurez-vous, ce n'est pas leur genre. Elles ont déjà vu le loup."
Les hommes : "Ah bon, tu crois qu'on a notre chance ?"
Magali : "Débrouillez-vous pour les séduire. Mais si vous y parvenez, par pitié, ne faites pas le coup du cinq minutes douche comprise. Elles méritent mieux que ça. Elles ont encore besoin d'être éduquées.
Les hommes : "Tu peux nous faire confiance. Ce sont deux très jolis petits lots qu'on n'a pas envie d'expédier. Donc, d'après toi, elles sont open ?"
Magali : "Je pense, oui. Elles sont venues pour baiser, en tout cas, mais pas ment avec des mecs de votre âge."
Les hommes : "Eh bien, on va leur montrer la différence"...

**********
L'après-midi se déroula dans la bonne humeur. Rachel et Louise se laissèrent tranquillement séduire par le gendarme et l'ambulancier. Ce que voyant, Magali les invita le soir même chez elle pour un buffet de salades, en compagnie d'un autre homme un peu plus âgé, bien de sa personne, que les deux jeunes filles avaient découvert dans une situation particulière. Magali et lui étaient visiblement proches, à en juger par les petits baisers qu'ils s'échangeaient. A un moment, ils s'étaient entourés du pare-vent comme un enclos. Par curiosité, Louise s'était approchée et avait découvert une scène inattendue. Elle s'était ensuite précipitée vers sa soeur :
- Tu sais quoi ? J'ai vu mamie en train de tailler une pipe à son copain, là derrière le pare-vent.
- Nooon ! Tu déconnes !
- Mais si, va voir toi-même.
Rachel se pencha à son tour et constata le fait. Magali leva les yeux vers elle sans s'interrompre tandis que l'homme, béat, les mains sous la nuque, profitait du moment. La voyeuse se retira et, totalement émoustillée, dit à sa soeur :
- Dis donc, mamie, elle sait y faire. Le mec est aux anges. Je ne sais pas toi mais moi, je commence vraiment à avoir très chaud.
Et c'est ainsi que le trio se retrouva le soir même avec trois hommes, au bord de la piscine de la résidence secondaire de Magali, pour un lunch dans la douceur du soir.

*******
La soirée commença comme toutes les soirées du genre, par des rires, des plaisanteries et des vannes. A la nuit tombée, Magali et son chevalier servant prénommé Jean-Claude s'isolèrent sur une espèce de canapé de jardin au bord de la piscine pour se bécoter. Il avait ouvert sa robe pour caresser ses seins nus, entamant ainsi de longs préliminaires à l'accouplement qui suivrait plus tard, quand elle serait bien humide et lui bien dur. Ils entrecoupaient leurs baisers de mots doux pour s'exciter et se fichaient pas mal de ce qui pouvait se passer autour d'eux. Magali avait libéré le pénis de Jean-Claude et lui administrait une fellation qui était la suite de celle de la plage, qu'elle avait interrompue pour lui permettre de conserver son sperme. Mais elle dosait sa succion car elle entendait bien être pénétrée plus tard.

Quand elle leva les yeux, elle s'aperçut que ses petites filles n'étaient plus au bord de la piscine. Ni les deux hommes. Rajusté, le couple entra dans la maison et se dirigea au bruit vers les chambres. Dans l'une d'elles, dont la porte était ouverte, Magali ne put que constater l'évidence. Rachel et Louise baisaient l'une avec le gendarme, l'autre avec l'ambulancier. La première, posée sur ses pieds, faisait danser son cul sur la bite gendarmesque tandis que la seconde se faisait prendre par derrière à quelques centimètres de sa soeur, dans une promiscuité érotique qui choqua Magali. "Quand même, ils auraient pu prendre chacun une chambre", se dit-elle in petto.

La main de Jean-Claude se glissa entre ses fesses nues pour atteindre la fente bien humide. Le spectacle de ses petites filles en pleine fornication avait visiblement accentué son appétit de pénis.
- Regarde comme elles prennent du plaisir, c'est pas beau ? lui dit Jean-Claude.
Oui, on pouvait le voir comme ça, en effet. Rachel, toujours empalée, s'était maintenant retournée et offrait l'image de sa croupe parfaite au gendarme qui l'empoignait en accompagnant ses mouvements rotatoires. Elle rayonnait, lâchant parfois un petit cri de satisfaction, comme si la bite avait atteint un point particulièrement sensible. Quant à sa soeur, toujours besognée en levrette, elle venait vigoureusement à la rencontre de l'ambulancier qui, à l'évidence, n'en revenait pas de son bonheur.

- Louise, att lui les couilles !
Magali n'avait pas pu résister. Elle avait envie de participer aux ébats de ses petites filles en leur faisant partager sa science. Louise la regarda dans un état second mais obéit en glissant sa main entre ses cuisses pour aller chercher les bourses ballottantes de son baiseur.
- N'y va pas trop fort, caresse-les, flatte-les, ordonna Magali.
Rachel s'était interrompue pour observer sa soeur et se détacha du gendarme dont la bite impressionna Magali par son volume. Elle s'adressa à sa petite fille :
- Tu l'as bien sucé, Cédric ? Une queue pareille, ça mérite le respect. Suce-le un peu.
Rachel s'exécuta avec zèle, prouvant qu'elle n'était pas maladroite dans l'exercice.
- Les couilles maintenant ! dit Magali.
La jeune fille obéit, engloutissant presque les deux glandes ce qui fit gémir le gendarme.
- Lèche lui l'anus, relève lui les jambes !
Rachel se retourna vers sa grand-mère, interdite car ça, elle ne l'avait jamais fait.
- Alors, qu'est-ce que tu attends ? Tu ne sais pas que les hommes adorent ça ? Fais-le.

Cette fois, c'est Louise qui s'interrompit pour observer le manège du couple proche. Sa soeur léchait sans barguigner le petit trou du gendarme, le nez dans ses couilles.
- Maintenant, baisez-les mais échangez vos filles !
Subjugués, les deux hommes suivirent la consigne. Alignées côte à côte en travers du lit, cuisses grandes ouvertes, Rachel et Louise furent pénétrées en même temps, respectivement par l'ambulancier et le gendarme qui les pilonnaient avec l'ardeur des biens échauffés. La chambre s'emplit des brames des deux jeunes filles, surexcitées par la situation. Elles ne virent même pas leur grand-mère qui, de l'autre côté du lit, se faisait prendre en levrette par Jean-Claude, comme pour les surveiller tout en forniquant. Elle ne parlait plus, trop occupée par le plaisir que lui donnait son amant, mais gémissait elle aussi, mêlant sa voix rauque à celle aiguë de ses petites filles. Quand celles-ci changèrent de position, ce fut pour la découvrir en train de chevaucher Jean-Claude dans la longueur du lit, se prélassant sur sa bite, lentement mais en profondeur, décidée à faire durer le plaisir. Jamais elles n'auraient imaginé voir leur grand-mère en train de faire l'amour, qui plus est dans le même lit qu'elles. Heureusement que leur mère ne voyait pas ça !

********

La suite fut un gros chahut sur le plumard qui aboutit à l'orgasme bruyant des deux soeurs et à l'éjaculation massive de leurs amants. Seule Magali continuait à se prélasser sur la bite du sien, sous l'oeil attentif de ses deux petites filles. Puis l'homme, visiblement à cran, la bascula pour lui infliger une série d'aller retours, ses reins encerclés, et Magali atteignit à son tour le plaisir en se cambrant et en couinant tandis que son amant giclait quelques gouttes d'un sperme nettement moins copieux que les deux autres protagonistes.
Rachel et Louise embrassèrent leur grand-mère sur les joues et la première lui dit :
- Ben dis donc, quelle cochonne tu es !
- Et vous donc ! Baiser côte à côte, quand même...
- Tu peux parler ! Rien ne t'obligeait à nous rejoindre.
- C'était plus fort que moi. J'avais envie de vous voir à l'oeuvre. C'est bien mais vous pouvez encore mieux faire.
- Alors tu vas continuer à nous en apprendre pendant ces vacances ?
Magali ne répondit que par un clin d'oeil. Avec les jeunes d'aujourd'hui, mieux valait faire attention. Demain serait un autre jour. Elle se leva et prit la direction de la douche en compagnie de Jean-Claude. Quant elle en sortit, la porte de la chambre était fermée. Les quatre étaient restés à l'intérieur. Elle comprit que ses deux petites filles avaient décidé de ranimer la flamme de leurs amants. "Ils les ont voulues, ils les ont eues mais elles vont les rincer", se dit-elle en souriant. Et elle s'en fut dans son lit à elle pour une nuit réparatrice, tandis que Jean-Claude rentrait chez lui...

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