Virginie, La Femme De Ma Vie

Bonjour, c’est encore Bob. Comment allez-vous ? Vous vous souvenez du premier gang-bang
de ma copine ? celui où elle se fit partouzée un mercredi après-midi je crois chez elle,
chez sa mère alors que je n’étais même pas là. Bien, sans revenir dessus, je voudrais en
faire mon point d’appui pour vous parler un peu plus de ma chérie, Virginie, et vous
dire, malgré les aléas de notre histoire, combien c’est une fille formidable.

Voilà, je reprends un peu l’histoire. Virginie, donc, alors, qu’elle était en deuxième
année de BTS (moi en fac, dans une autre université), s’est faite gang-banguer par trois
garçons de sa classe, venus chez elle, presque sans prévenir. Une drôle d’histoire je
vous assure qui au début fait froid dans le dos. Mais bon.

Virginie m’ayant dit que l’un d’eux, sitôt rentré chez elle l’avait prise dans ses bras,
soulevée et emmenée dans le lit de sa mère et les deux autres ayant suivi, elle se
retrouva vite dévêtue, non sans avoir peu protesté avant. En fait, sa protestation était
un jeu et la belle se retrouva vite dévêtue, se laissant faire jusqu’à ce que l’un d’eux
lui retira sa petite culotte et la balança dans la chambre. Les gars se masturbaient
debout devant elle, à genoux devant eux. Ils étaient nus également de la tête aux pieds
et chacun, l’un après l’autre porta son sexe à la bouche de ma chérie qui comme par magie
ouvrit délicatement cet antre que ses hôtes convoitaient à ce moment-là.

C’est ainsi que ma belle suça ainsi un court instant ces trois vaillants jeunes hommes du
même âge qu’elle. Les gars entrainèrent chacun leur sexe avec vigueur dans la bouche de
ma chérie, faisant des va-et-vient aussi amples qui le pouvaient. Certains même ne la
ménagea pas en tentant, à deux, de faire rentrer leur gland dans la bouche de ma copine.
Très vite, ils répandirent de longs jets de sperme sur le doux visage de ma chérie, ce
qui la rendait plus belle encore et plus désirable.

Virginie avait en effet sa façon à
elle d’ouvrir la bouche, de fermer ses yeux avec douceur et de recevoir, la bouche
entrouverte, cette multitude de jets. On eut dit à chaque fois qu’elle était en trans
mais quand Bob la questionna après-coup, savoir ce que cela lui fit de recevoir tant de
foutre sur le visage, elle lui expliqua qu’elle fermait les yeux pour mieux se sentir
désirée et préférait ne pas voir ce qui se passait autour d’elle pour mieux imaginer ce
final qu’elle m’avoua avoir attendu si souvent dans ses rêves.


Bob demanda à Virginie si cela la faisait jouir de recevoir tant de foutre sur le visage.
La belle lui expliqua que non pas vraiment, du moins au sens où il l’entendait lui,
c’est-à-dire sexuellement. Virginie était de ces femmes qui ont pour habitude de prendre
beaucoup de plaisir sexuellement. La jouissance des hommes sur son visage était pour elle
comme une apothéose. Alors oui, même si elle n’en jouissait pas comme elle pouvait en
jouir vaginalement ou par stimulation de son petit bouton, elle apprécia fortement cette
pratique qui, au début avec Bob, la surprenait ; car je dois vous le dire, c’est bien
avec Bob qu’elle connut sa première éjaculation faciale, du moins croit-il.

De fil en aiguille, Virginie en était venu à cette pratique d’abord pour faire plaisir à
son homme et par curiosité aussi, en duo tous les deux, d’abord à Senlis, chez sa mère,
dans sa chambre de jeune fille, puis ailleurs, dans la campagne, en forêt parfois, et à
Vincennes. Puis, il eut Jules, le second sans doute à jouir presque facialement sur le
visage de ma belle. A défaut de faciale, elle m’eut dit que Jules avait seulement joui
dans ses mains jointes, à elle, devant son visage et que c’est là qu’elle eut l’idée
saugrenue de tremper ses lèvres et sa langue dans la semence qu’elle venait de recueillir
dans le creux ses mains.


Puis il y eut les films X, pornographiques, visualisées ensemble, chez sa mère, quand
cette dernière n’était encore rentrée du travail ou absente pour la journée pour toute
autre raison. Bob le savait bien : sa chérie, c’était une perle, aimant le sexe malgré
ses airs de Sainte-nitouche. En ce temps-là, il n’imaginait pas cependant que sa chérie,
sa dulciné se transformerait en une femme presque facile, avide de sexe.
Et pourtant, Virginie n’était pas une femme facile car elle n’avait que trop peu
d’attitudes déplacées envers les hommes. En vérité, elle ne les draguait pas et n’étaient
jamais vulgaire ni avec eux ni avec autrui. Mais, en le sachant bien toutefois, elle
usait de son charme et aimait cela pour être courtisée, adulée par la gente masculine.

Bob ne le comprit ou ne le vit que trop tard. Beaucoup d’hommes, trop d’hommes avaient vu
ce que Virginie était, avant Bob : une femme à très haut potentiel, chaude comme la
braise, avec beaucoup de sex-appeal et un charme fou. Voilà pour le moment le peu que je
puis vous dire de plus de ma chérie. Sans doute, vous raconterai-je un peu plus de la vie
de Bob et de Virginie. On va dire que cela est suffisant pour aujourd’hui. Ce qui est
sûr, c’est qu’il y a bien d’autres anecdotes à vous raconter, et des plus torrides.
Alors, à bientôt.

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