Devant Mon Mari

Nous avons commencé de débarrasser la table après le dîner, et Robert a proposé de laver la vaisselle, mais il était l'invité et je ne voulais pas passer pour une vulgaire impolie. 
Comme d’habitude, Kevin, mon mari, est allé se vautrer dans le canapé devant la télé et m’a laissée œuvrer. 
Robert est un voisin qui a sympathisé avec mon mari et qui vient chez nous les soirs de match.
C’est la première fois que Robert mange à table avec nous avant le match.
D’habitude, je leur prépare des sandwichs, les deux gars mangent et s'enivrent en regardant le match, et je dois quand même rester une bonne hôtesse.
"Poussez-vous, vous allez casser ma vaisselle, je m’en occupe !" 
Je repousse Robert hors de l’évier. Il est costaud et ne bouge pas facilement. Ses épaules sont musclées. 
Nous nous voyons souvent et j’avais déjà remarqué sa carrure, mais c'est différent de poser ma main sur lui. 
"Vous pouvez sécher la vaisselle si vous voulez vous rendre utile !"
Je lui jette un torchon. Nous avons tous un peu bu et j'ai déjà surpris Robert en train de jeter un coup d'œil quand il pense que je ne fais pas attention à lui. J'aime taquiner les hommes qui m’envisagent. 
Même si j'approche de la quarantaine, et que Robert en a facilement une quinzaine de plus, je sais que je ne le laisse pas indifférent. Mes leggins honnêtement remplis attirent sa main.
Robert m'a caressé le cul en passant et j'ai giflé la main impertinente. "Non, pas de familiarités entre nous !"
Kevin l’a vu mais ça l’a juste fait rigoler. "Ouais, bonne chance si tu veux lui mettre la main dessus. Fais-moi confiance !"
Je me renfrogne. Il n’a pas besoin de dire ça au voisin. Je suis excitée aussi souvent que lui, la plupart du temps, mais après toutes ces années de mariage, et avec un mari qui se laisse aller, notre vie sexuelle n'est plus ce qu'elle a été. 
Nous avons toujours des rapports sexuels réguliers, même si c’est un peu trop rapide pour moi la plupart du temps.


D’abord, quand on s’est connus, il n’était pas gras du bide comme aujourd’hui. Il pourrait faire des efforts, s’entretenir. Comme Robert. Quand j’ai posé ma main sur lui, tout à l’heure, j’ai bien senti sa musculature.
Voilà un homme qui fait envie ! Ah, merde, non, il ne me fait pas envie ! Je ne peux pas envisager une chose pareille !
Un voisin, copain avec mon mari, un vieux, non, pouah, quelle horreur !
"Tu n’as pas besoin de dire des choses méchantes sur moi. Rends-toi utile au lieu de te vautrer comme une larve. Va promener le chien avant que le match ne commence. Tiens, voilà ton verre, va le boire dehors !" 
Je lui ai versé un plein verre d’une boisson forte et je l'ai envoyé promener le chien, en espérant que plus vite il sera saoul, plus vite je pourrai aller me coucher.

Je me suis installée devant l’évier pour laver la vaisselle, et j’ai donné à Robert les couverts pour les sécher et les remettre en place. Il y a beaucoup de place pour passer entre l'évier et la table mais Robert m’a frôlée chaque fois pour déposer la vaisselle ou les couverts dans le placard. 
Au début, j'ai bien essayé de m’esquiver, mais quelques gorgées d’alcool supplémentaires m’ont convaincue d’être moins intransigeante.
J'ai commencé à apprécier les sensations que me procuraient le contact de la musculature de Robert contre mon dos, et de sa grosse main sur ma hanche me poussant d’un côté à l’autre. 
Cramponnée à l'évier, j'ai finalement cambré mes reins pour repousser mes fesses contre lui. 
Je ne pensais pas lui envoyer une invitation, mais c'est comme ça que Robert l’a reçu. Il s'est arrêté derrière moi, il a posé ses grosses pattes sur mes hanches, puis il m’a enlacée en m'embrassant dans le cou. 
J'avais l'impression d’être toute frêle et toute légère serrée dans ses bras puissants et chauds.
Il a empaumé mon sein et j’ai commencé à respirer plus lourdement. 
Il a poussé son bassin contre moi et j’ai bien senti son impérieux désir pressé contre mes fesses.

Il a commencé à se frotter contre moi sur un rythme lent et stimulant. 
J'ai accepté ses avances. J’ai penché ma tête sur le côté pour laisser plus d’espace à sa bouche dans mon cou.
Sa main s’est faufilée dans le décolleté de ma chemise. Le contact de sa paume sur mon sein, peau contre peau, m’a procurée comme une décharge électrique et m'a rendue la conscience.

"Qu'est-ce que nous sommes en train de faire?" M'écriais-je en le repoussant pour tenter de me tourner vers lui. 
"Nous devons cesser cela tout de suite, et nous comporter comme des gens bien, OK ? Cela fait presque 15 minutes, Kevin sera bientôt de retour. Nous devons juste finir la vaisselle." 
Mais Robert n'était pas d'accord. Il me tenait entre ses grosses pattes, et il me bloquait contre l’évier.
Il essayait de m'embrasser. Je me suis penchée en arrière pour tenter de lui échapper, mais l’instant d’après, j'avais sa langue dans ma bouche. Se faire baiser debout contre l'évier comme une adolescente, très peu pour moi. 
Dans un ultime effort pour faire cesser cela, j’ai réussi à me retourner vers l’évier.

J’ai ouvert les yeux. Au-dessus de l’évier, de l’autre côté de la fenêtre, Kevin nous regardait, les yeux écarquillés.
Je me suis détournée de Robert en agissant rapidement, comme si je lavais un autre plat, mais en tremblant si fort que je l'ai laissé tomber dans l'évier. C'était bruyant, j'ai jeté un coup d'œil mais Kevin n’était plus à la fenêtre.
J’ai entendu claquer la porte d’entrée et Kevin a demandé si tout allait bien et s’il pouvait profiter du spectacle.
"Alors, Robert, tout se passe bien? Ai-je raté quelque chose d’important ?" Kevin était parfaitement détendu. 
J'essayais vainement d'avoir l'air de faire la vaisselle mais mon cerveau refusait toute pensée cohérente.
Robert était toujours serré contre mon corps que ses mains exploraient en détail. 
Je me tournais pour regarder Kevin mais Robert en profita pour me prendre la bouche.

J’étais dans un tel état d’excitation que je ne parvenais plus à reprendre le contrôle des évènements.
Et Kevin m’a assommée en déclarant tranquillement :
"Tu devrais emmener Bérengère dans la chambre. Ici, on peut vous voir depuis la rue !" 

Kevin et Robert étaient complices, ils voulaient me baiser comme une salope !
"Elle est facile, ta meuf, mec. Je lui ai juste mis la main au cul, elle a démarré au quart de tour. Une vraie pétasse. Son corps est pas mal conservé, et elle embrasse comme une mante religieuse. T’as du bol, Kevin. Je pense maintenant que j’aimerais essayer Bérengère dans un plumard. Ce serait cool, mec, si tu venais nous regarder. Ce serait comme mater un porno avec ta femme dans le rôle de la vedette."
Kevin avait l'air emballé et Robert recommençait à m’embrasser dans le cou. 
J'ai perdu pied, j’ai cessé toute vaine résistance, et j'ai fermé les yeux, docile et émoustillée.

Je ne pouvais pas croire ce qui m’arrivait. Devant mon mari, un type m’embrassait et me tripotait, et Kevin trouvait ça parfaitement normal. Depuis longtemps, il me parlait d’échangisme, de sexe à plusieurs, de conneries.
Moi, comme une imbécile, j’avais accepté, croyant qu’il bluffait ou qu’il plaisantait. Le con, il m’avait prise au mot et j’étais en train de me débattre dans les bras d’un mec qui fourrait ses mains partout sur moi.
Un gaillard d’homme avec sa langue dans ma bouche, avec qui je luttais pour empêcher ses mains d’aller dans ma culotte et dans mon soutien-gorge. Et comme il était plus fort que moi, j’empêchais pas grand-chose.
J’étais toute dépenaillée, la chemise ouverte, mes leggings glissaient sous mes fesses.
J’ai craqué : "Robert, pouvons-nous aller dans la chambre? Je n'ai pas besoin de me montrer en spectacle !" 
Je ne parvenais pas à croire que je disais ça à un voisin, juste devant Kevin, pendant qu’il frottait sa bite contre ma hanche. Robert m'a libérée, j'ai escaladé les escaliers en direction de notre chambre, suivie par les deux salopards.


Arrivés dans la chambre, Robert s’est immédiatement déshabillé pendant que Kevin allait s’asseoir sur la chaise près du lit. La bite de Robert était longue et fine, mais dans ma situation, c'était bien suffisant pour me rassasier. 
Je le désirais tellement et je devais le goûter. Robert a sourit lorsque je me suis agenouillée de moi-même devant lui.
Je me suis sentie si bonne et si honteuse en même temps en ouvrant la bouche pour le sucer. 
Je ne me souvenais même pas de la dernière fois que j'avais fait une pipe à Kevin.
"Putain, Kevin, je pense que tu as trouvé une perle rare. Cette salope est vraiment bonne !"
Je ne sais pas pourquoi, le rire de Kevin ne m’a pas surprise. 
"Ne reste pas les bras ballants, mec, viens jusqu’à nous pour déshabiller Bérengère. Sois sympa, fais ça pour moi, n'est-ce pas? J'ai hâte de voir ses trésors qu'elle me cache !" 
Kevin est venu derrière moi, s’est baissé et m’a déshabillée. Dès que j’ai senti les mains de Kevin sur moi, j'ai sucé Robert encore plus vite, plus fort, plus profond, comme si j’avais peur de ne pas en avoir assez. 
J'ai adoré avoir les mains de mon mari sur moi, pendant que je suçais la bite d'un autre homme. 
Quand Kevin a retiré mon leggins, il a enfoncé ses doigts dans ma chatte et je suis venue immédiatement.
C’était délicieux, inattendu, je ne me rappelle pas avoir joui aussi rapidement depuis très longtemps.
Robert a apprécié. "Super, mec, je pense qu'elle est vraiment très bonne !"

Je me suis relevée et je me suis allongée sur le lit. "Allez, viens, Robert, viens ici et baise-moi, je suis prête !" 
Mon besoin était à son comble, j’étais en attente de cette bite magnifique qui allait m’envahir, chaque seconde passée en espérant que Robert grimpe sur moi me paraissait des heures. 
J'étais tellement prête pour lui, il s'est glissé à l'intérieur de ma chatte sans effort.
Il a soulevé ma jambe et l’a posée sur son épaule. 
Kevin s’est allongé sur le lit tout à côté de nous pour regarder sa bite me travailler.
Je le sentais profondément en moi, Kevin n'avait jamais été aussi loin. 
J'étais tellement mouillée et excitée, j’ai joui presque instantanément. 
Robert me martelait fort et vite, nos chairs claquaient et ma chatte faisait des bruits comiques. 
Haletante, geignante et gémissante, je souffrais d’autant de bonheur et de plaisir.
Nous étions en train de baiser comme des bêtes et j’avais complètement oublié Kevin.
J’ai enchaîné une série d’orgasmes qui m’ont laissée pantelante lorsque Robert est venu en moi.

J'ai regardé le visage de Kevin, son regard choqué m'a fait mal.
Mais je me sentais tellement assouvie avec cette nouvelle bite que ça n'a pas duré. 
Lorsque Robert s’est retiré de moi, il a regardé Kevin et lui a demandé "Alors, Kevin, le spectacle t’as plu, hein?" 
Kevin a juste secoué la tête, il ne pouvait plus parler. 
"Si tu veux faire un tour, Bérengère est toute chaude !"
Robert a écarté mes cuisses comme une invitation pour Kevin.
Kevin a souri et s’est soulevé, mais j’ai resserré mes genoux. 
Je ne me sentais pas capable d’accueillir mon mari après m’être fait baisée par un autre homme devant lui. 
"Tu vas devoir faire en sorte qu’elle se sente bien, tu comprends? Tu n’as jamais fantasmé de manger tout ces jus qui sortent de sa chatte ? Prends ta chance et viens lui faire minette !" 
L’idée me plaisait et je n’ai pas pu retenir un gémissement.
"Écoute-la, elle brûle d’impatience, déshabille-toi et viens ici, Kevin." 

Je ne pouvais pas croire que Kevin obéissait à toutes les injonctions de Robert !
Je ne pouvais pas croire que Kevin allait poser sa bouche sur ma chatte après tout ce que je venais de faire. 
Kevin s’est déshabillé et j'écartais mes jambes pour l’inviter à venir lécher ma chatte dégoulinante de sperme

Kevin embrassait avec ferveur l'intérieur de mes cuisses, se frayant un chemin vers ma chatte en attente, mais Robert l'arrêta : "Peut-être que tu préférerais goûter un échantillon de ma saveur avant de lécher ses jus mélangés ?" 
Kevin s'est figé, son visage reflétait une intense réflexion, son regard allait de ma chatte à la bite de Robert.
Brièvement, j’ai pensé : "Ouais, bonne chance si tu veux qu’il suce ta bite. Fais-moi confiance !"

Lorsque Robert a ordonné : "Viens ici, Kevin !" 
Robert a attrapé la tête de Kevin et l'a guidé vers la propre bite dégoulinante de sperme. 
Le visage de Kevin s’est pétrifié et j'ai commencé à trembler d’impatience à l'idée qu'il suce la bite de Robert. 
Lorsque Kevin a ouvert la bouche sur la bite de Robert, j'ai savouré un orgasme joyeux. 

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