Sous Le Bureau

Kevin a réajusté sa cravate une fois de plus, a résisté à l'envie de regarder la
réceptionniste, puis a frappé avec autant de confiance qu'il le pouvait sur la solide
porte.

"Entrez !" lui parvint une voix lointaine étouffée par l’épaisse porte. Kevin tourna
nerveusement la poignée de la porte.

Le bureau était luxueusement meublé, une épaisse moquette, une grande baie vitrée donnant
sur un ravin boisé, une table de conférence en verre avec des chaises confortables
autour. 
Un immense bureau en bois de style ancien occupait toute une partie de la grande pièce.
Sur ce bureau, trônait deux écrans d'ordinateur et plusieurs piles de dossiers bien
rangés. 
Une plaque en cuivre indiquait "Cathy SOYERS, PDG".

Derrière le bureau était assise une grande femme élégante, entre deux âges, d’allure
austère. 
Tout en elle indiquait le côté solennel et imposant, son costume strict, ses cheveux
attachés, ses fines lunettes rondes.
Les lèvres pincées dans une expression de concentration intense, assise bien droite
derrière le bureau, tapant sur le clavier.  "Oui ?" Demanda brusquement Cathy, sans lever
les yeux de son travail. 

"Mme Soyers? Je suis Kevin Kobe. L'Université m’envoie ..." Il avait envie de se racler
la gorge. "Je suis affecté comme stagiaire pour ... euh ... le programme de placement ...
l'école de commerce ..."

Cathy cessa de taper sur son clavier et leva les yeux pour dévisager le jeune homme qui
se tenait gauchement au milieu de la pièce. Son regard noir et perçant scruta le jeune
homme des pieds à la tête et, les yeux dans les yeux :
"Personne ne vous a appris à fermer une porte ?" la voix a claqué, sèchement.

Kevin commençait à s'approcher du bureau, a hésité, a fait demi-tour pour refermer la
porte, puis a réfléchi que c’était une mauvaise étiquette de tourner le dos à son
interlocutrice, lui a refait face, est allé refermer la porte en marche arrière, à tâtons
.

..

Kevin fouillait dans son dossier : "Euh ... Excusez-moi, Mme Soyers, je suis Kevin
Kobe." 
Ses doigts tremblants trouvèrent ce qu'il cherchait. "J'ai une lettre de mon professeur
qui ..."

Les yeux de Cathy le parcoururent de nouveau de haut en bas, d’un air dégoûté, puis
retournèrent sur l’écran d'ordinateur. "Mon nouveau stagiaire ?" dit-elle d'un air
las. "Très bien !"

Kevin essaya un sourire charmeur. "Je suis en fin d’études ... compatibilité … euh ...
comptabilité !"
Cathy ne fit aucun commentaire et recommença à taper. 
Après une hésitation, il déposa nerveusement son dossier sur le bureau encombré. 
"C'est vraiment un très grand honneur de réaliser ce stage chez vous, et surtout,
directement en tant qu'assistant du PDG." Réalisant qu'il parlait trop et trop vite,
Kevin essayait de reprendre son sang-froid.

"Ouais, ouais !" a déclaré Cathy, indifférente , bien qu'elle ait laissé son regard
méprisant se diriger vers lui une fois de plus. "Venez par ici, jeune homme. Parlons de
vos devoirs." Crispé, Kevin s'approcha.

Kevin avait entendu les rumeurs habituelles à l’université sur cette entreprise, mais ne
pouvait croire à ces histoires de cadres ayant des "besoins spéciaux".
Directement et avec arrogance, Cathy lui a expliqué quelles allaient être ses obligations
cet été-là.

Le choc froid de l'étonnement initial a fait place à une panique confuse, puis à une
bravade désespérée.

"Non, pas question !" jeta-t-il, en l'interrompant.  Cathy fronça les sourcils, pinça ses
lèvres en signe d’agacement. 
Kevin a fait un pas en arrière, confiant, sur de l’avoir refroidie. "Jamais ! Vous
m’entendez ! Pas question !" 

Dans les yeux de Cathy, la colère a fait place à une frivolité humiliante. 
"Ouais ? Tu n'as pas besoin de ce boulot, pas vrai ?" 
Elle examina ses ongles soigneusement entretenus, puis pencha sa lourde poitrine sur le
bureau.
 
"Bien, l’université recevra une belle lettre disant que tu as été rejeté de ton stage
pour ... insubordination ... manque de professionnalisme !" Sa voix devint dure,
glaçante. "Ça te semble bien? Une bonne note de stage, je suppose. Et comment se présente
cet examen de fin d’études ?"

Le cerveau de Kevin s’est liquéfié instantanément. Toutes ces années d’études foutues.
Perdues.
Tous ces efforts, tous ces investissements, pour rien. Les larmes lui montèrent aux yeux.

"Ou peut-être .." a déclaré Cathy d’un ton condescendant, "peut-être pourrais-tu prendre
en charge mes besoins, faire du bon travail en tant que stagiaire, et ton avenir
professionnel sera beaucoup plus radieux. Oui ?" 
Elle regardait Kevin tranquillement, sûre de sa force et d’avoir dompté le rebelle.
Il avait l'impression que ses jambes allaient faiblir. Après un moment d’hésitation,
Kevin hocha simplement la tête.

"Bien !" a déclaré sa patronne avec dédain, retournant à son travail. Un long moment
s'est écoulé.
Kevin se tenait planté là, maladroitement, écoutant le claquement rapide des touches. 
Puis: "Alors ... euh … Qu'est-ce qui … !?"

"Sous le bureau" a dit sèchement Cathy, sans le regarder. 
Kevin déglutit, puis contourna le grand bureau en tremblant. 
Sa patronne portait une ample jupe en lin qui s’arrêtait légèrement au-dessus du genou et
moulait étroitement ses hanches arrondies. 
Elle recula sa chaise de bureau pour qu’il découvre un espace caverneux sous le bureau.
C’était un espace suffisamment grand pour qu'il puisse s'y accroupir.
Un mélange troublant de ridicule et de crainte lui serrant le cœur, Kevin effleura les
jambes gainées de nylon pour ramper dans l'obscurité du compartiment odorant.

Cathy avança sa chaise, manquant de peu d’écraser la main de Kevin et retourna à son
labeur. 
Après quelques instants, cependant, elle fit une pause et remonta doucement sa jupe sur
ses cuisses.
 
En dessous, dans la pénombre, il a découvert des bas s’arrêtant à mi-cuisses, retenus par
des jarretelles, une culotte en satin blanc, avec un renflement impressionnant et
incontestable à l'avant. 
Il réalisa soudain qu'il pouvait distinguer l'odeur épicée de sa chatte, mélangée à une
étrange note musquée.

Avalant péniblement sa salive, Kevin tendit lentement la main vers le sexe offert. 
Le clitoris de Cathy était chaud et épais, et il a commencé à durcir au moment où il a
posé sa main dessus. Palpitant de manière rigide dans sa prise réticente, il se dressait
en douceur entre ses deux grandes lèvres dodues et gonflées, sa tête rose en forme de
prune semblant étrangement féminine. 
Dans la faible luminosité, cela ressemblait à un cyclope menaçant.

Kevin a repoussé sa répulsion, essayant de garder son esprit concentré sur ses futures
perspectives d'emploi. 
Il tendit son cou vers l’avant et prit délicatement le bout spongieux du sexe de Cathy
entre ses lèvres. 
"Allez ! Vas-y !" l’ordre est venu d'en haut. Soudain, sa patronne a poussé ses hanches
vers l'avant, enfonçant avec impatience la viande épaisse dans sa bouche.

"Hum_pff !" gargouilla Kevin, la bouche remplie par ce poteau gonflé. La chaise de bureau
grinçait sous le balancement de Cathy d'avant en arrière, fourrant sa longueur jusque
dans sa gorge serrée. 
Alors qu'il pantelait, privé d’air, il entendit Cathy exiger: "Allez, dépêche-toi !" 
Kevin recula et s'écarta du sexe bâillonnant de sa patronne, pour reprendre un peu d’air
en toussant bruyamment. 
"Suce, putain, suce mieux !" reprit la voix impérieuse de Cathy.

Reprenant son souffle, les yeux pleins de larmes de colère et de honte, Kevin reprit la
grosse bite de Cathy en main. 
La chair rigide et spongieuse palpitait fortement dans sa main lorsqu'il la pressait.
 
Puis, à contrecœur, il reprit sa patronne en bouche. 
Kevin s'installait dans un rythme, laissant coulisser la bite de haut en bas dans sa
bouche en suçant profondément.
Cathy semblait se détendre sur sa chaise et laissait Kevin la servir. 
Parfois, elle poussait brutalement ses hanches en avant, enfonçant son pieu de chair
jusqu’au fond de sa gorge. 
Kevin s'étouffait et bâillonnait, se cognait la tête contre la poutre maîtresse qui
soutenait le plateau du bureau.
Cathy riait en l’entendant gargouiller. Puis, le cliquetis du clavier reprenait.

Kevin ne savait pas depuis combien de temps il était agenouillé sous le bureau de sa
patronne, la suçant intensément.
L’air dans ce compartiment devint rapidement étouffant, son nez se remplissait d'un
mélange d'odeurs, surtout celle plus forte du jus saumâtre et dégoulinant de Cathy. 
Le temps était rythmé par le cliquetis de la dactylographie, le chuintement de sa bouche
gourmande qui pompait la bite et le mouvement imprévu et violent de ses hanches, .

Puis, Cathy s'est appuyée contre le dossier de sa chaise. Pendant un instant, Kevin crut
qu'elle allait se lever, mais le sexe de sa patronne gonfla dans sa bouche, devenant plus
épais et plus raide. 
Sa bouche se remplit d'un musc légèrement âcre tandis qu'un mince filet de crème coulait
de la bite palpitante. 
Kevin paniqua, comprenant qu’elle voulait éjaculer dans sa bouche, ne sachant plus quoi
faire, et essaya de se retirer. 
Avant qu'il ne puisse terminer son retrait, sa patronne laissa échapper un cri étouffé et
d’une violente poussée, lui poignarda sa bite dans la gorge. 
Kevin suffoquait tandis que le membre éjaculait en envoyant une longue et grosse giclée
de sperme directement dans son ventre. La nuque appuyée contre la poutre maîtresse du
lourd bureau, la bite de sa patronne plantée dans sa gorge, Kevin battait l'air en
essayant de ne pas mourir étouffé, incapable de se dégager.
La trique de chair chevillée dans sa gorge déversait, jet après jet, des flots sans fin
de sperme onctueux.

Kevin gargouillait, mais ne pouvant s’échapper, était contraint de gober tout ce que sa
patronne lui sécrétait.
La bite de Cathy continuait de tirer sa charge épaisse et gluante, et sa crème chaude
remplissait la gorge de Kevin, l’obligeant à déglutir encore et encore. Il essayait
frénétiquement d’avaler le plus rapidement possible le sperme de Cathy, et son estomac
gonflé commençait à protester contre la surcharge abondante de foutre qui s'y déversait.

Finalement, le flux a cessé. Cathy a reculé la chaise grinçante, retirant sa bite en
détumescence de la bouche de Kevin.
Un long fil de sperme reliait encore la pointe de sa bite à la bouche de Kevin.

"Viens ici, et nettoie tes saloperies ! Pourceau !"
Kevin s’avança à quatre pattes pour sucer et lécher la bite pendante afin de la laisser
toute propre.

Elle rangea soigneusement le paquet dans sa culotte et se recula du bureau. "Tu peux
sortir maintenant."

Kevin sortit de sous le bureau, grimaçant à cause de ses genoux endoloris. 
Cathy était adossée sur sa chaise, le regard narquois. 
"Je suppose que tu compris le mécanisme ! T’avais jamais fait ça avant ?"

Kevin se remettait péniblement sur ses pieds. 
La lourde et chaude charge de sperme que Cathy avait envoyée dans son ventre ballottait
férocement.
La ceinture de son pantalon le serrait douloureusement à la taille. 
Il a essayé de dire quelque chose, mais un énorme rot s’est échappé de ses lèvres
mouillées.

Cathy a rigolé : "Petit pourceau, tu t’es gavé !"

Kevin pouvait sentir son visage rougir, mais son estomac plein de sperme se sentait
beaucoup mieux. 
Sa bouche était gluante de sa crème sirupeuse. 

"D’abord, on s’excuse, jeune homme, quand on sait se comporter en présence d’une dame !"
La patronne ricanait devant l’embarras du garçon, puis elle retrouva son calme. 
Cathy lui fit un signe de la main, comme on chasse un importun, et Kevin fit lentement le
tour du bureau. 
Il a résisté à l'envie de soutenir son estomac gonflé avec sa main.

"Alors, euh..." marmonna Kevin, luttant contre l’envie de roter. "Que ..."

"Retourne vers la réceptionniste, elle te trouvera un bureau ou quelque chose à faire !"
Cathy a refait son geste de la main, en désignant la porte et en reprenant son travail. 
"Ce sera tout pour aujourd'hui !"

Kevin a mis sa main sur la poignée de porte.

"Oh !" ajouta sa nouvelle patronne :
"Tu passeras ici tous les matins pour me présenter tes civilités et … Mes félicitations
pour ton stage, mon chéri !"

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