Un Drôle De Jeu

Robert ployait sous le poids de son pote Marc.
"Tu t’es cuité, et maintenant je dois traîner ton cul jusqu’à l'étage !" se lamentait-il
à l’adresse de son pote défoncé.

Robert avançait lentement dans le couloir. Il a pensé déposer l’autre poivrot dans la
chambre d'amis, pour ne pas réveiller la femme de Marc, qui était couchée depuis
plusieurs heures.

Après avoir dépassé la salle de bain, il ouvrit la première porte. 
"Dieu merci, la chambre d'amis !"
Il laissa tomber Marc sur le lit et lui ôta ses chaussures. 
Il hésita un peu à le déshabiller pour qu’il passe une meilleure nuit, puis il sortit en
haussant les épaules.
"M’en fiche de ce pochard, qu’il se débrouille !"

Dans le couloir, il remarqua une porte entrouverte, plus loin dans le couloir. 
Un rayon de lumière éclairait le pas de la porte en projetant une ombre sur le tapis.

Il s’approcha de la porte entrebâillée. Sa conscience, gravement affaiblie par les bières
ingurgitées, ne l’a pas alerté.
Il ouvrit un peu plus la porte pour regarder à l'intérieur de la pièce.

Le seul son que percevait Robert, c’était son cœur qui battait fort dans sa poitrine.
Robert avait l’impression que ce bruit résonnait dans toute la maison silencieuse. 

La lampe de chevet posée sur la table de nuit éclairait doucement la pièce.
Un grand lit occupait l’espace. Sur le lit, Bérengère, la femme de Marc.
Elle semblait dormir. Difficile d’en être sûr. Elle était entièrement nue.
Entièrement découverte, couchée sur les couvertures, le lit n’avait pas été ouvert.

Des sangles aux poignets et aux chevilles, reliées aux quatre pieds du lit, la
maintenaient en place. 
Même si elle était réveillée, Bérengère ne l'aurait pas vu avec le bandeau noir qui
couvrait ses yeux.

Robert s’est approché pour reluquer la petite chatte scintillante et les tétons gonflés.


Immédiatement, le comportement étrange de Marc tout au long de la soirée prenait du
sens. 
Marc avait quitté la table de poker plusieurs fois pour "prendre une bière", "faire
pleurer le colosse" ou même simplement pour "vérifier un truc". 

C'était donc ça, leur petit jeu. Bérengère patientait en haut, attachée et aveuglée,
disponible.
Il passait la baiser de temps en temps, pendant que ses potes l’attendaient en bas.
Avec la porte entrebâillée, histoire d’augmenter le risque de se faire surprendre.
Où peut-être même, qu’un mec se trompe de porte … Et la baise … Salope !

Robert n'était pas surpris que Marc soit assez tordu pour imaginer un truc pareil, mais
Bérengère ...
Le prototype de la fille respectable, conservatrice, catho et tout et tout … Merde
alors !

Robert vérifia discrètement que Bérengère dormait. Il se tenait près du lit et admirait
son corps. 
Ses seins, sa taille, son ventre, sa chatte, ses cuisses, tout ce qu’il ne voyait pas
habituellement.
Il faisait l’inventaire, le tour du propriétaire. La chatte aux lèvres humides attirait
son regard.
Ses grandes lèvres chatoyantes, entourées de quelques poils blonds, étaient légèrement
entrouvertes.

Sans penser à mal, machinalement, Robert posa sa main sur le sein de Bérengère. 
Elle ne bougea pas jusqu'à ce qu'il lui pince le mamelon. Bérengère tressaillit.
Robert se figea. Bérengère orientait son visage vers lui. 

Il positionna doucement un doigt entre les lèvres de sa chatte. Pas de réaction, il le
glissa dans l’orifice offert.
"Tu es de retour !" ronronna-t-elle doucement, toujours à moitié endormie.

Robert se figea un court instant.
"Hum" grogna-t-il doucement en glissant un deuxième doigt dans la chatte humide.

"Tes copains sont tous rentrés chez eux ?" demanda-t-elle.
"Hum" marmonna-t-il à nouveau.

"C'est dommage, j’espérais un peu qu'on se fasse attr !"

La chatte humide de Bérengère n’offrait pas de résistance à ses deux doigts, alors Robert
en a ajouté un troisième.
"Oh, oui, maintenant c'est bon !"

L’œil de Robert fut attiré par le jouet vibrant rose, posé sur le lit à côté de
Bérengère. 
Il le prit et écarta les lèvres de sa chatte. Il le mit en marche en le plongeant en
elle. 
Bérengère a laissé échapper un gémissement rauque.

"Tu recommences à me taquiner ! Je pensais que tu allais enfin finir de me baiser !"

Robert a augmenté le tempo du vibrateur pendant qu'il réfléchissait à quoi faire. 
Aucune chance que Marc se réveille et vienne les déranger.
Comment pouvait-il arriver à ses fins sans qu'elle comprenne que ce n'était pas Marc ? 

Une pipe, ça ne marcherait pas. Elle serait sûrement capable de reconnaître la bite de
son mari dans sa bouche.
Robert caressait son mamelon d’une main, masturbait sa chatte de l’autre en réfléchissant
intensément.
Enfin, réfléchir, avec tout l’alcool ingurgité ! Il ne pouvait pas tout simplement partir
sans la baiser !

Une occasion pareille ne se représenterait pas ! Et puis, Marc n’était pas un si bon
copain que ça !
Et puis, la petite Bérengère était drôlement bandante ! C’est décidé, faut la baiser !

Il sortit le vibrateur de la petite chatte et dégrafa son pantalon. 
Son sexe jaillit, enfin libéré de son pantalon. Il se dirigea vers le pied du lit et
s’installa entre les jambes de Bérengère. 

Il pouvait sentir le parfum de la douce chatte en approchant son visage du paradis. 
Il écarta les grandes lèvres avec ses pouces et commença à lécher doucement sa fente. 
Il est remonté ensuite, sucer le clitoris, tandis que Bérengère susurrait son
approbation, et l’exhortait à continuer.

Il s’allongea sur elle en positionnant sa bite face à son ouverture.
 
Sans précaution, d’un mouvement rapide, il enfonça en elle. Bérengère hoqueta lorsqu'il
la pénétra d’une seule poussée.
Il la baisa durement avec de longues poussées profondes. Bérengère soulevait son cul du
lit pour répondre à ses coups.

Robert grognait en augmentant son rythme. Il martelait la petite chatte aussi
profondément qu’il le pouvait.
Bérengère l’encourageait, de la voix et du geste, l’assurant de l’imminence de son
plaisir.

Robert serrait les dents en sentant le corps de Bérengère se tendre.
Il ralentit son rythme, pour durer encore un peu, mais ne put s’empêcher de commenter :
"Putain, Bérengère, ce que t’es bonne !"

Robert sentit tout à coup le corps de Bérengère se figer : "Marc ?" elle a demandé
Robert s'arrêta, son sexe se tissant, toujours un peu en elle.
"S'il te plaît, dis-moi que c'est toi, Marc ?"

Robert commençait lentement à se retirer.
"Qu'est-ce que tu fais ? Non, ne t’en vas pas ! Attends … Ne jouis pas en moi, c’est tout
… Viens !"

Le sexe de Robert se raidit à nouveau lorsqu'il revint en elle. 
Il l’a baisée encore plus fougueusement en pensant quelle salope c’était ...

Bérengère lâchait prise de toutes ses inhibitions, et son corps commencer lentement à
exulter.
"Ne t'arrête pas, je jouis!" elle a gémi, et tout son corps fut pris de tremblements.
Robert continuait de la baiser en essayant de retenir son propre plaisir.

Après un dernier gémissement, le corps de Bérengère s’est détendu. 
Robert s’est retiré rapidement et a positionné sa bite devant sa bouche. 

Elle a bien essayé de résister, mais Robert la maintenait fermement en éjaculant tout son
sperme dans sa bouche.
Elle s’est soumise docilement, passant sa langue autour du gland lorsqu'il mollissait
dans sa bouche. 

Dès qu'il a fini de jouir, il dégrafa le bandeau.


Il baissa les yeux pour regarder Bérengère dans les yeux. 
Robert descendit du lit et attrapa ses vêtements.

Bérengère le regardait : "Tu t’en vas !"
"Je ne peux pas te laisser ligotée ?"

Elle lui sourit : "Ne me détache pas, ou Marc saura que quelqu'un est venu ici. Vas-y, ce
sera notre petit secret !"
En mettant ses vêtements, il la regardait sur le lit. Elle le regardait,
silencieuse. Elle gisait là, la respiration lourde. 
En quittant la pièce, il se retourna, un dernier regard. Souriante, elle léchait le
sperme de ses lèvres.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!