Un Jeu De Société Qui Dé, Partie 7 : Triple Pénétration

Ceci est une histoire réelle. J'ai juste changé les noms, résumé certaines choses et
complété les moments où mes souvenirs manquaient.


C'est un jeu qui ressemble au Monopoly, où il s'agit d'acheter des propriétés, avec des
gages permettant de payer les amendes. Noham, le beau métis baraqué, et Constance, la
brunette intello qui se révèle tout le contraire de la fille coincée qu'elle semblait
être, dominent le jeu et possèdent le plus de propriétés. C'est donc souvent eux qui
décident des gages. La tension a monté progressivement, et il a fini par faire chaud,
très chaud. Au départ, je pensais avoir à faire à un jeu de strip poker, mais il semble
qu'on s'éloigne vite du trip "strip poker" ou "action ou vérité" avec des gages vaguement
coquins. Là, tout le monde est entièrement nu. Je suis tombée sur la case "action
communautaire". A quelle sauce vais-je être mangée ? J'ai bien vite la réponse : "Julie,
mets-toi à quatre pattes et maintient cette position. Pendant cinq minutes, Messieurs
Noham, Hugo et Thomas vont faire ce que bon leur semble avec ton corps. Attention,
conformément aux préférences de Julie : pas de pénétration anale, pas d'uro, pas de forte
douleur."

Wahou. C'est le gage le plus chaud pour l'instante, et il est pour ma pomme.


Je me mets à quatre pattes, et j'attends. Je sens que les trois mecs m'envisagent, je
suis en situation de passivité totale, et ça m'excite terriblement. J'entends quelqu'un
déchirer un emballage de préservatif. Ma chatte ruisselle. Je tremble. Des mains se
posent sur mes cuisses, sur mes fesses. Devant moi, Hugo att mes seins. Je vois son
sexe se balancer sous mes yeux. Six mains parcourent mon corps, certaines caressantes,
d'autres empoignant mes seins, mes cuisses, mes hanches. Quelqu'un écarte mes fesses en
silence. Je sens un doigt s'enfoncer doucement dans ma chatte humide.

Est-ce Thomas, le
copain de Clara ? Non, c'est Noham, le beau métis - Car Thomas vient de se mettre sur le
dos, à côté de moi, et me dirige afin de se positionner sous moi. Je suis donc à quatre
pattes, au-dessus de Thomas, et je laisse mes lèvres courir sur ses pectoraux puissants.
Noham, derrière moi, a décidé de me bouffer le minou. Bonne idée, très bonne idée. Oh que
oui ! J'en soupire d'aise et prodigue des petits baisers à Thomas pendant que quelqu'un
(qui ? lequel des trois ? Je ne le sais même pas) me malaxe les seins. La langue de Noham
s'attarde sur mon clitoris, tout mon corps est parcouru de caresses et j'ai l'impression
que je pourrais jouir dans la seconde. Thomas m'embrasse langoureusement et nos langues
et nos salives se mélange un long moment, quand je sens qu'on me tire par le menton.
C'est Hugo qui, tenant sa verge d'une main et mon menton de l'autre me fait comprendre
que je suis censée m'occuper de sa bite. J'engouffre donc l'engin dans ma bouche et
prodigue à l'étudiant maigrichon une fellation appuyée, tout en caressant la base de sa
verge de la main droite. Toute la scène est toujours plongée dans le silence, entrecoupé
de quelques bruits de succion, et je jette un œil rapide vers les deux filles qui nous
matent. Constance semble très excitée et recommence à se toucher.


Noham, derrière moi, a arrêté de me lécher et att à présent mes mains pour les
plaquer dans mon dos. Cette sensation de ne plus pouvoir faire ce que je veux de mes
mains, cette sensation d'être dominée, accroit encore mon excitation, et Thomas en
profite pour passer une main derrière ma nuque comme pour me faire avaler son sexe plus
profondément. A ce moment, je sens que Thomas introduit son sexe (recouvert d'un
préservatif) dans mon vagin. C'est la première fois de ma vie que deux sexes me pénètrent
simultanément.
Thomas tente de s'introduire plus loin dans ma bouche mais je résiste à
son mouvement, de sorte qu'il comprenne bien que je ne le laisserai pas m'enfoncer son
sexe dans ma bouche comme dans une "gorge profonde" (on n'est pas dans un film porno, je
ne sais pas faire ça - et en plus Thomas ne me plait pas, il devrait déjà s'estimer
heureux que je le prenne dans ma bouche !). Et on continue un moment comme ça, Thomas
effectue des vas-et-viens lents et précis dans ma chatte, pendant que je suce Hugo au
même rythme. On a relâché mes mains je sens à présent le torse de Noham contre mon dos,
et ses mains qui me malaxent les seins sans ménagement, en pinçant les têtons d'abord
doucement, puis un peu plus fort. J'ai le feu, je vais jouir.


Hélas, le beau métis lâche mes seins et se redresse. Thomas continue à aller et venir en
moi avec la régularité d'un métronome (ce gars est une machine, j'ai l'impression qu'il
pourrait me faire l'amour pendant des heures, au même rythme) et, profitant du retrait de
Noham, il se met à son tour à me caresser les seins (oui, j'ai toujours eu du succès avec
mes boobs - c'est juste la première fois que plusieurs mecs en profitent en même temps).
C'est pas du tout le même type de caresse que Noham, qui est toujours à la limite du
sadisme, non. Thomas les soupèse, les caresse en entier, et en titille le bout avec sa
langue. Le plaisir qui monte m'a fait diminuer le rythme de la pipe que je prodigue à
Hugo - à présent, je me rends compte qu'il fait la moitié du travail en faisant aller et
venir son sexe dans ma bouche lui-même. Pas question de se laisser aller comme ça, je
reprends vite les choses en main et accélère le mouvement de ma bouche, faisant jouer ma
langue autour de son gland et lui caressant la base du sexe en même temps. Ça me rappelle
quand j'étais encore très jeune et que je regardais des vidéos ou que je lisais des
conseils sur les forums pour savoir comment il fallait sucer au mieux le mec que je
n'avais alors pas encore.
A quel point j'étais inquiète de faire ça mal, convaincue que
j'étais que la fellation est le plus sûr moyen de rendre un mec fou au lit ! Je me
rappelle comment j'ai mis ces connaissances en pratique, encore mineure, avec mon premier
mec. J'étais comme quand on passe le permis de conduire, à bien penser à tout ! Et tout
tenait dans ces trois commandements : faire des mouvements les plus amples possibles,
sans jamais mettre les dents ; bien caresser le sexe avec la langue, pas seulement avec
les lèvres ; caresser avec la main la partie du sexe qu'on ne pouvait faire tenir dans la
bouche. Il y a juste une chose qu'il m'était compliquée de faire : tolérer que le mec
éjacule dans ma bouche. Je l'ai fait de temps en temps, mais faut vraiment que je kiffe
le mec, parce que je trouve ça vraiment dégueulasse !


Bref, il me fallait tenir mon rang, et sucer Hugo convenablement. Je reprenais un rythme
de succion quand, soudain, je ressentis un contact froid contre mes fesses. C'était un
gel : Noham venait de verser du lubrifiant sur la raie de mes fesses, et bien vite je
sentais un doigt se poser sur mon anus, et entreprendre de le pénétrer. L'idée s'imposa à
moi comme une évidence inévitable : Noham allait me sodomiser.


Thomas continuait ses mouvements de va-et-vient dans ma chatte, en même temps qu'il me
caressait les seins. Je m'efforçais de sucer Hugo mais la morsure du désir, alliée à un
peu de peur, me faisait progressivement perdre le contrôle et je crois que ma respiration
s'intensifiait et que, bien malgré moi, j'émettais des soupirs de plus en plus fort. Le
lubrifiant était glacial au contact de mon cul, et Noham avait enfoncé un doigt dans mon
anus et il le faisait aller et venir méthodiquement pour que le gel fasse son office.
Pourtant, le gage mentionnait bien en toutes lettres "pas de pénétration anale".

Quelqu'un allait-il intervenir ? Je ne sais pas quelle impression je donnais aux deux
autres filles mais, en levant les yeux vers eux, je pus constater que Clara semblait
hypnotisée par le spectacle, pendant que Constance, elle, se masturbait frénétiquement en
matant ce gang bang dont j'étais l'héroïne centrale ; elle caressait son clitoris tout en
insérant deux doigt de son autre main dans son vagin. Noham avait retiré son doigt. Je
fermai les yeux au moment où je sentis le gland contre mon anus, trop serré, qui ne le
laissa pas passer. Thomas continuait à me pilonner la chatte et je crois me souvenir qu'à
ce moment, délaissant mes deux seins, il attrapa mes fesses afin d'ouvrir mieux mon cul à
la grosse queue de Noham. J'étais dans un tel état d'excitation que j'avais à nouveau
cessé de sucer Hugo qui, du coup, pris les choses en main lui-même en regroupant mes
cheveux à l'arrière de mon crâne, qu'il maintenait fermement, puis en faisant lui-même
aller et venir ma tête. Ma bouche allait et venait autour de sa queue, dans un bruit de
succion. Noham décida alors, à nouveau, de maintenir mes deux bras derrière moi, et quand
la grosse bite du beau métis pénétra enfin mon anus, s'enfonçant largement dans mon cul,
l'idée que j'étais ainsi entravée, sodomisée, pénétrée, contrainte de sucer, l'idée que
mes trois orifices étaient pénétrés simultanément par trois mecs qui allaient prendre du
plaisir ensemble avec moi, avec mon corps, sans que je puisse faire un geste ni prononcer
un mot, que j'étais comme un objet sexuel en train de les exciter à fond, et dont ils
étaient en train de faire ce qu'il voulait, tout ça me plaça au bord de la jouissance.
J'étais en sueur, je haletais, je grognais. La queue de Noham était énorme et me donnait
l'impression de m'ouvrir en deux.


J'étais sur le point d'hurler de plaisir quand Hugo éjacula brutalement dans ma bouche.
Visiblement, le spectacle ne l'avait pas laissé indifférent. La surprise, la sensation
chaude sur ma langue, le mauvais goût de son sperme, cela me donna un haut le cœur et
j'essayai d'ôter l'engin de ma bouche, mais Thomas me tenait toujours fermement la tête
et redoublait le mouvement de sa main sur mon crâne d'un mouvement de son bassin, me
faisant bien comprendre qu'il comptait tout cracher dans ma bouche, et qu'il était hors
de question que j'interrompe sont orgasme. C'est donc toujours logé dans ma cavité
buccale que sa bite envoya une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième décharge
de semence, pendant que Thomas grognait par à-coup.


Rassasié, Hugo continua pourtant quelques mouvements de va-et-vient dans bouche, et quand
il arrêta je le repoussai afin de pouvoir recracher le sperme au plus vite. Je lui
lançais un regard noir, et il sembla un peu déçu. Il aurait peut-être préféré que j'avale
? Dans ses rêves ! Je n'en voulais pas à Noham de m'avoir enculée par surprise, parce
qu'il me faisait vibrer comme jamais. Mais Hugo, il ne me plaisait sur aucun plan ; il
avait déjà eu la chance de baiser une déesse de beauté (oui, à ce moment-là, j'étais une
déesse de beauté et du sexe, puisque je plaisais à tous les mâles de la pièce et que je
les comblais !) et ça ne risquait pas de recommencer, alors il ne fallait pas qu'il
. Thomas, un peu gêné mais manifestement content de sa situation, le sexe en main,
alla s'asseoir sur le canapé, à côté de Clara. Thomas continuait à aller et venir. Noham
était également au fond de moi, et commençait de petits mouvements lents de vas-et-viens.
Mais à cause d'Hugo, mon excitation était retombée, et il fallut les caresses des deux
mâles pour remonter mon enthousiasme. Thomas me tripotait à nouveau les seins, et Noham
laissait ses mains parcourir mon dos, ma nuque, ma gorge, sans que je sache s'il allait
me masser ou m'. Il approcha sa bouche de mon oreille, me susurra des mots
salaces que je n'entendis pas, puis me mordilla le lobe de l'oreille en faisant presque
sortir sa queue de mon postérieur. Puis, en même temps qu'il inséra à nouveau son sexe
profondément dans mes fesses, il s'allongea entièrement sur moi, et je sentis tout son
poids contre mon dos. Du coup, j'étais moi-même plaqué contre Thomas, pressé entre les
torses des deux hommes. Pressé comme une crêpe. Ou comme une tranche de jambon dans un
sandwich. Thomas sembla un moment embêté de ne plus avoir accès à mes seins, qui étaient
à présents pressé contre ses abdominaux. Il m'embrassa profondément tout en continuant
ses mouvements. Les mouvements des deux gars qui me pénétraient étaient maintenant
synchronisés : quand l'un avait sa bite à fond dans l'un de mes orifices, l'autre était
presque dehors et quand il s'enfonçait à nouveau c'était l'autre qui faisait le mouvement
inverse.


Mon orgasme me prit complètement au dépourvu, comme par surprise. Je criais. Pas de beaux
soupirs comme dans les films X, je criais comme une chienne, comme un animal qu'on
égorge, je ne sais pas. Le plaisir était intense, mon corps était en feu, mon abandon
était total. Il me semble que ça dura un temps infini. La double pénétration continuait
comme si de rien n'était. Les deux gars me prenaient la chatte et le cul, de plus en plus
vite. Je hurlais, je pleurais, j'étais dans un état second, je n'avais jamais ressenti
ça. Thomas accéléra encore ses mouvements, et je sentis à l'expression de son visage
qu'il était en train d'éjaculer (dans le préservatif qu'il avait enfilé avant de me
prendre). Hugo n'accéléra pas vraiment la cadence, mais son pilonnage devient de plus en
plus intense et, lui aussi, le dernier, il jouit en moi en poussant des grognements. Lui
n'avait pas mis de préservatif, le salaud, et quand il se retira je me sentis pleine de
son sperme.


La nuit avait été tellement intense, le plaisir tellement fort, que je crois que tout
alla très vite ensuite. Je pense que quelques minutes plus tard, j'étais endormie sur une
couverture, du sperme dégoulinant de mon cul, du sperme dans la bouche, sans aucune forme
de honte mais avec au contraire le sentiment d'un bonheur complet. Les lumières
s'éteignirent et tout le monde se mit à dormir. Pendant la nuit, quelques heures plus
tard je fus réveillée par les bruits caractéristiques des couples qui baisent :
craquements du canapé, choc des corps, et les bruits de plaisir. Dans la pénombre, je vis
que Constance se faisait prendre en sandwich par Thomas et Hugo. Elle avait les yeux
fermés, elle était concentrée et lançait des exclamations comme "Oh oui, c'est bon ! Oh
oui, t'arrête pas !". Thomas était sous-elle, de toute évidence dans sa chatte (comme
avec moi), et c'est Hugo qui était derrière et qui la prenait en levrette. Il était sans
doute en train de la sodomiser et il avait une expression ravie sur son visage. Cette
nuit-là, Hugo s'en souviendrais longtemps manifestement ! Il avait l'air fier comme un
coq d'enculer la petite intello, et se disait sans doute qu'il ne fallait pas qu'il
jouisse tout de suite. Je m'aperçus que, à l'autre bout de la pièce, Noham était assis
sur un fauteuil et que Clara à genoux entre ses jambes, le suçait avec une application un
peu laborieuse.


Je laissais ce petit monde à ses occupations, moi j'étais déjà comblée et épuisée.
Constance se fit tringler pendant au moins trois quart d'heure (il faut croire que Hugo
améliorait son endurance) et ses deux amants changèrent de position à plusieurs reprises.
Noham, de son côté, ne se satisfit pas de la seule bouche de Clara et, après lui avoir
ramoné la chatte, c'est au moment où il l'avait retournée sur le ventre et où il commença
à la sodomiser que le cri perçant de la jeune fille me tira de mon sommeil. Noham
essayait de convaincre Clara de se détendre, mais Thomas lui dit de lâcher l'affaire.
Pour ma part, je crois que la seule phrase que j'aie prononcée à ce moment fut quelque
chose comme "taisez-vous, laissez-moi dormir !" Finalement, c'est Constance, de sa
bouche, qui vint satisfaire le beau métis, après avoir laissé les deux autres jouir en
elle.

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