Salope Le Temps D'Un Été

Je m’appelle Lucie. Cette histoire se passe lorsque j’avais 17 ans. J’étais très complice
avec ma mère qui n’hésitait pas de me parler de sexe. C’est elle qui à mes 16 ans m’a
fait prendre la pilule. Elle engagea une conversation qui me paru surréaliste. Pas de la
teneur de la discussion mais de l’avoir avec ma mère comme si c’était une copine. Nous
venions de faire les soldes et déjeunions toutes les deux.
- Chérie, où en sont tes amours.
- Mais maman.
- Allez, nous sommes toutes les deux, tu peux tout me dire.
- Bon, j’ai un copain depuis 1 mois.
- Tu as couché avec lui ?
- Mais non, je ne suis pas assez amoureuse.
- Je vais te dire quelque chose. Contrairement à ce que tu as pu entendre, il ne
faut pas ment être amoureuse. Il faut le faire avec un mec qui te fait envie. Tu
sais, celui qui prendra ta virginité, ne sera pas l’homme de ta vie. Alors, ça pourrait
être lui ?
Plus détendu, je me suis plus confiée.
- Je ne sais pas, je ne pense pas en fait. Il n’est pas assez mature.
- Il est surtout patient. A vos âges, les garçons ne pensent qu’à coucher. Donc,
vous jouez encore à touche pipi.
- Si tu veux savoir, je l’ai déjà sucé et il a mit sa main dans ma culotte.
- Il t’a fait jouir.
- J’ai senti une agréable sensation.
- Et toi, tu l’as fait éjaculer.
- Oui, dans sa capote.
- Tu sais, les hommes aiment jouir dans la bouche d’une fille et si tu es comme ta
mère, tu adoreras avaler leur sperme. Je peux t’assurer que c’est un plaisir partagé.
- Tu l’as fait souvent ?
- Oui, j’aime le faire.
- Avec papa ?
- Joker mais tu gardes ça pour toi.
Je compris, ce jour-là, que ma mère avait des aventures extra-conjugales. Si comme moi,
elle avait des doutes sur la fidélité de mon père, ce n’était que justice.
Après plusieurs jours de discussion des fois houleuses entre mon père et ma mère, il céda
et m’autorisa à partir en vacances avec mes 3 copines, une semaine, en club, en Espagne.


Puisque ma mère m’avait dit que les sentiments et le sexe n’étaient pas liés, j’avais
décidé de perdre ma virginité cet été. De toutes mes copines, j’étais la seule pucelle et
je voulais connaitre le plaisir qu’elles n’hésitent pas à évoquer quand nous étions entre
nous.
Au club, je partageais ma chambre avec Elodie tandis que Chloé et Justine avaient celles
d’à côté. Lorsque j’ai défait ma valise, j’ai découvert que ma mère y avait glissé une
boite de capotes. Les premiers jours, c’était plage, bronzette et quelques activités du
club. Tous les soirs, nous allions à la discothèque du club. Nous nous faisions draguer
mais seule Chloé a trompé son mec avec un espagnol. J’avais, de mon côté, jeté mon dévolu
sur un GO, bien plus âgé que moi et très beau. Il devait avoir les filles qu’il voulait
dans son lit et ne s’intéressait pas à moi, surement trop jeune pour lui. Pourtant je lui
faisais du rentre dedans. J’ai pris mon courage à deux mains et l’ai abordé. Je lui ai
tout de suite dit que j’étais vierge et que je voulais qu’il soit mon professeur. Tout à
coup, il parut beaucoup plus intéressé. A la fin de la soirée, au lieu d’aller me coucher
dans ma chambre, je l’ai suivi dans la sienne.
Dans ces bras, j’ai ressenti des sensations agréables dans mon bas ventre. Après notre
premier baiser, j’ai dégrafé son pantalon et pris son sexe dans ma main. Après quelques
caresses, il bandait dur. Il avait un plus gros sexe que mon copain. Il m’avait déjà
retiré mon tee-shirt et caressé mes seins nus. Puis, il a appuyé sur mes épaules pour que
je m’agenouille et le suce. C’était effectivement plus agréable qu’avec une capote. Il
m’expliquait comment faire pour le prendre le plus possible dans ma bouche. J’ai presque
réussi à le prendre en entier mais un haut le cœur m’en empêcha. J’ai senti les spasmes
de son sexe annonçant une éjaculation.
Je lui ai tenu les fesses pour le garder dans ma
bouche et le laissa se vider dans ma gorge. J’ai avalé et comme pensait ma mère, j’ai
adoré ça. A ma grande surprise, il bandait encore. Il me retira jupe et culotte et
m’allongea sur le lit. Sa langue et son doigt sur et dans mon sexe fut une véritable
déferlante de plaisir. Debout, en me regardant, il enfila une capote et j’écarta mes
jambes. Il s’allongea sur moi et mit son sexe au contact du mien. Il m’avait si bien
préparé que je mouillais beaucoup et la délicate introduction fut sans douleur. Seule un
picotement lors de la rupture de l’hymen. J’étais bien dans ses bras et le plaisir vint
assez rapidement. Ce soir-là, il se contenta de me prendre en missionnaire et éjacula sur
mon ventre et mes seins. J’ai pris une douche et suis rentrée me coucher. J’étais sereine
et fière de moi, j’avais franchi le pas.
Je le croisais dans la journée et n’était même pas jalouse lorsque je voyais une fille
accrochée à son bras. La deuxième nuit, après les préliminaires, il m’a baisé en levrette
et dans la position de la cuillère. Ce soir-là, il a aussi joui dans ma bouche mais après
m’avoir baisé pendant longtemps. J’ai eu, je crois, mon premier orgasme. Durant la
semaine, mes jouissances étaient de plus en plus fortes.
Le dernier soir fut une sorte d’apothéose. Il s’était fait draguer par une jolie fille
d’environ 25 ans. Il ne s’est même pas posé la question de savoir si ça me posait un
problème et nous a entrainé tous les trois dans sa chambre. La fille n’a pas perdu de
temps et s’est jeté sur sa bite pour le sucer. Elle m’a tiré par la main et nous avons
partagé sa queue. Il alternait entre une bouche et l’autre. Puis, la fille m’a allongé et
m’a déshabillée. Elle m’a embrassé et s’est occupé de mes seins et de mon sexe. Pendant
ce temps, il lui faisait un cunnilingus. C’était la première fois que j’ai embrassé et
couché avec une fille.
Ce n’était pas du tout désagréable et elle réussit à me faire
jouir. Notre GO a commencé par me baiser. La fille m’embrassait, titillait mon clitoris
et de temps en temps le suçait avant de m’introduire à nouveau son sexe. Puis, il a
changé de capote pour baiser la fille. Je n’ai même pas pu m’occuper de la fille car je
trouvais beau de les voir baiser. Surtout que pendant qu’il la prenait en levrette, je
distinguais nettement un doigt de la fille s’introduire dans son anus. Le doigt fut
rejoint par un deuxième. Elle attrapa ensuite le sexe de l’homme pour l’introduire dans
son cul. J’ai donc appris un nouveau terme en espagnol « follame el culo » (baise mon
cul). Elle réclamait plus de violence et prenait un vrai pied. Elle se pénétrer la chatte
avec deux doigts et a jouit en gueulant son plaisir. Il a joui dans sa bouche et elle m’a
fait partager le sperme en m’embrassant. Je suis rentrée me coucher pendant qu’elle
tentait de le remettre en forme.
Dans l’avion, j’étais à côté de Chloé. Je lui ai détaillé mon aventure car comme les
autres copines, elle savait que j’avais couché avec le GO. C’est alors que je lui ai
raconté la dernière nuit et la surprise de voir l’autre fille jouir autant d’une
pénétration anale. Elle me fit une confidence. L’espagnol avait qui elle avait couché,
partageait un logement avec un copain. Elle m’avoua qu’un soir, elle se laissa tentée de
baiser avec les deux. Dans l’excitation, bien aidé par un lubrifiant, elle s’était fait
prendre en double pénétration. Elle n’avait jamais connu une telle jouissance et avait
passé les 2 dernières nuits à baiser avec les deux, chacun leur tour ou les deux
ensembles. Elle me dit qu’elle avait même une préférence pour la sodomie.
En ce qui me concerne maintenant, j’adore le sexe et cela me manque assez rapidement.
Malgré cette abstinence, J’ai quitté mon petit ami.

De retour chez nous, nous sortions régulièrement avec notre petit groupe. Avant d’aller
en boite, tous ensemble, j’avais embrassé le seul célibataire de la bande. J’ai beau
essayé de l’entrainer sur la piste de danse, il resta assis à me regarder. J’étais vêtue
d’un tee-shirt blanc, sans rien dessous, une mini-jupe bleue assez ample et des baskets
en toile blanches. Je me dandinais sur la piste et ne m’occupais plus de mon petit ami,
si on peut l’appeler comme ça. Un jeune homme d’une vingtaine d’année s’approcha de moi.
Il se positionna derrière moi et m’attrapa par les hanches en se collant à moi. En
dansant, il m’avait éloigné du bord de la piste de danse pour se retrouver au milieu, là
où il y a le plus de monde. Toujours aussi collé, je me suis frottée contre lui sentant
ainsi une certaine raideur dans son pantalon de toile. Comme il sentit que je n’étais pas
farouche, il remonta une main le long de mon corps pour atteindre un sein. Au milieu de
cette foule, personne ne s’intéressait à nous. J’attrapa sa main et la dirigea pour la
passer sous mon tee-shirt. Il caressa le sein que je lui offrais, à même la peu. De
l’autre main, il entoura mon ventre pour coller un peu plus son corps au mien. J’étais
excitée et n’avais aucune envi de freiner ses ardeurs. J’ai d’ailleurs penché ma tête en
arrière pour lui offrir mes lèvres. Lors du baiser qui suivi, j’ai senti sa main passer
sous ma jupe. Il me proposa de sortir prendre l’air. J’ai accepté sans avoir à réfléchir
et le suivi en essayant d’éviter mon « petit ami ». Dehors, il m’adossa à une voiture et
m’embrassa. Ses mains s’étaient égarées sous mon tee-shirt et sous ma jupe. J’avais une
envi irrésistible qu’il me baise. Je me suis accroupi et une fois son sexe sorti, je l’ai
léché tout le long de ce membre avant de l’emboucher. Il me redressa et j’ai entendu le
bip de la voiture. Il ouvrit la portière et m’allongea sur la banquette arrière. Pendant
qu’il se couvrait d’une capote, j’ai retiré ma culotte. Il s’est allongé sur moi et n’eut
aucun mal à me pénétrer tant j’étais mouillée. J’ai écarté les jambes et les ai entourés
autour de sa taille pour le sentir encore plus profondément. J’exprimais sans retenue
mon plaisir. Sentant l’approche de son éjaculation, je l’ai fait pivoter et après avoir
retiré la capote, je l’ai branlé et sucé jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. J’ai
évidemment avalé sa semence. Sur ce coup-là, j’avais été une vraie salope et la nuit
n’était pas fini. En remettant ma culotte, je vis mon « petit ami » partir avec sa moto.
J’avais prévu de m’offrir à lui pour la nuit, tant. Je retournais dans la boite. Mon
baiseur, ayant obtenu ce qu’il voulait ne s’intéressait plus à moi. Ni moi d’ailleurs. Je
ne suis pas restée très longtemps sans avoir autour de moi des prétendants. Aucun n’était
vraiment à mon gout alors je me suis déplacé. Dans ce coin de la salle, la moyenne d’âge
en avait pris un coup. Je me suis assise au bar à côté d’un mec qui devait frôler les 35
ans. Sur ces chaises de bar, ma jupe découvrait encore plus mes jambes tandis que mes
seins pointaient toujours et donc visible sous mon teeshirt. Bien sûr, il m’offrit un
verre et m’expliqua qu’il enterrait la vie de garçon d’un copain. Il était déjà tard, 2-3
heures du matin. Je n’ai pas tourné autour du pot et ½ heure plus tard, j’étais dans son
lit. Il m’a bien baisé et pendant longtemps. Lorsqu’il me prit en levrette, j’ai laissé
son doigt s’introduire entre mes fesses. Quelle sensation d’être prise ainsi. Par contre,
j’ai refusé qu’il me sodomise. Il m’a ramené chez moi vers 5 heures du mat. Dans mon lit,
je me suis repassé le déroulement de la soirée en me caressant et j’ai presque regretté
d’avoir refusé la sodomie.
Dès qu’il faisait beau, nous allions avec toute la bande dans une base de loisirs. Je
n’ai plus revue mon « petit ami » de toutes les vacances. Je ne sais plus comment je me
suis retrouvé dans la chambre de Chloé avec son copain ni comment je me suis retrouvé nue
entre les bras de Chloé. Nous nous sommes embrassées, léchées, doigtées pendant que son
copain admirait le spectacle. Lorsqu’elle me tendit un tube de lubrifiant, mes doigts ont
investis son cul. Elle ne me laissa pas en plan et après avoir abondamment lubrifié ses
doigts et mon anus arriva à y introduire deux doigts. Tout comme elle, j’ai joui de cette
pénétration. Elle appela son copain et lui demanda de venir baiser sa copine, moi. J’ai
joui une première fois dès qu’il m’a pénétré. On s’embrassait, il donnait de grand coup
de bite pendant que Chloé après avoir abandonné mes seins était sous lui à lécher mon
anus. De temps en temps, elle le suçait avant de l’introduire à nouveau entre mes jambes
écartées. Comme une évidence, elle le présenta à mon autre orifice. En ¼ de seconde, je
décidai que je n’étais pas prête.
- Non Chloé, je ne veux pas.
En enfonçant un peu le sexe de son copain.
- Tu es sur ? il est doué tu sais.
- Non, je ne veux pas.
Son copain se leva, ôta sa capote et sodomisa Chloé sans ménagement. A sa façon de faire,
je ne regrettais pas d’avoir refusé mais il aurait été surement plus doux avec moi. Tous
les trois assis sur le lit, j’appris que le plan était de me faire connaître la sodomie
si j’acceptais.
La rentrée en fac approchant, nous sommes beaucoup moins sorties et je n’ai pas eu
d’autres aventures.

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