Saisir L'Occasion De Réaliser Un Vieux Fantasme

Ce fantasme a été à l'origine inspiré et écrit pour une femme qui, bien qu'en couple et à
la vie sexuelle débridée, prend beaucoup de plaisir à connaître les situations (et les
positions) dans lesquelles les autres aimeraient la voir. C'est la première fois où j'ai
certainement mis en scène quelque chose qu'elle n'a encore jamais fait. Pour savoir
jusqu'où il faut aller pour ça, je vous laisse découvrir cette petite histoire dont je
posterais la deuxième partie si la première est publiée.

C'est l'été. La journée a été très chaude, en tout cas du point de vue température...
pour l'instant.
La soirée a été tranquille. Vous recevez un ami pour quelques jours, mais traverser plus
de la moitié de la France plus le délicieux repas et les quelques verres descendus pour
célébrer son arrivée ont fini de l'achever. Rien de grave, son séjour ne fait que
commencer de toute façon.

Vous êtes tous les deux sur le canapé en train de mater un de ces films de série Z qui
vous font bien marrer le plus souvent. Aujourd'hui, tu n'accroches pas au film.
L'histoire n'est pas géniale et c'est vraiment à défaut, sur un coup de tête que vous
l'avez mis faute d'avoir envie d'aller vous coucher vous aussi. Avec ce genre de film,
c'est tout ou rien. Soit c'est tellement grotesque que ça en devient marrant, soit ça
vous laisse indifférent.

Il est à moitié assis-allongé avec les pieds posés sur la table basse, et toi allongée
sur le côté sur le canapé, te servant d'une de ses cuisses comme oreiller. Une de tes
mains caresse nonchalamment sa jambe, alors que ton esprit divague et que tu fais à peine
attention à l'écran.

Vous n'avez rien fait de sexuel aujourd'hui, et c'est bien rare. Est-ce pour ça que ton
esprit commence à penser à ce qui se trouve à quelques centimètres de ta tête sous cette
mince couche de tissu ?
Comme la plupart des mecs, il garde les jambes légèrement entre-ouvertes quand il est
assis, et ta main s'égare de plus en plus sur l'intérieur de sa cuisse que le dessus de
sa jambe.


Quand ta main se glisse à l'intérieur de la jambe de son short et vient effleurer ses
couilles du bout des doigts, il se rend compte que ce n'est pas sur le film que se centre
ton attention.
Ta main de plus en plus aventureuse ressort du bas de son short et remonte le long de son
ventre ferme et légèrement poilu que tu caresses de haut en bas. Chaque fois que ta main
arrive en bas, à la bordure de son short, elle fait descendre l'élastique. Le bout de sa
queue finit par dépasser du short et sa vue t'appelle.

Tu embrasses ce petit bout de queue et joues à lui donner des petits coups de langue pour
le faire durcir. Ça doit fonctionner puisque soit sa queue grossit soit c'est le short
qui rétrécit.
Quand sa queue a bien gonflé, qu'elle est si dure que quand tu donnes un coup de langue,
elle tressaute en soulevant le short, et que son short est clairement trop petit pour la
contenir. Tu la libères.
La chaleur entre tes cuisses gagne en intensité quand tu te retrouves avec cette barre de
chair dure et lisse sous les yeux. Ça commence à devenir moite là en bas.
Quitte à avoir la queue à l'air, il se soulève un petit coup pour se débarrasser de son
short et se mettre à l'aise. Si votre pote se réveille et descend, c'est un sacré
spectacle qu'il va avoir sous les yeux, mais au moins tu peux librement faire glisser ta
main sur sa queue... Et puis ça ne serait pas la première fois pour vous et cette idée
n'est pas pour te déplaire.

Ta main monte et descend sur sa queue lisse et ses couilles glabres rasées il y a peu,
c'est plus une caresse qu'une branlette, pour le moment. Ta main s'arrête sur ses
couilles et la base de sa queue, et se resserre alors que tu la redresses à la verticale
pour l'admirer dans toute sa splendeur.

Dans cette position avec ce chibre dressé vers le ciel, elle a l'air aussi grande que ton
visage et tu dois lever les yeux pour en mater le gland d'où tu vois perler une goutte de
précum.
Tu es de plus en plus excitée. Ta bouche salive à l'idée de goûter cette bite que
tu connais pourtant si bien. Même toi tu ne sais pas vraiment ce que tu as ce soir. Le
désir te prend aux tripes.

Tellement de choses jouent à cet instant. Le plaisir visuel évidemment, comment rester
insensible devant cette grosse bite avec ses veines et son gland violacé. Tactile, c'est
toujours impressionnant ce petit miracle de la nature à la fois si doux et si dur sous
tes doigts, et un plaisir mémoriel, tu la connais cette queue. Les souvenirs, dont
certains sont suffisamment hot pour tremper ton entrejambe sans même avoir à te toucher,
sont innombrables depuis toutes ces années où vous êtes ensemble et ne vous privez de
rien sexuellement. Tu sais comment elle peut te faire crier et jouir comme une folle
quand celui à qui elle appartient est motivé. Ton bas-ventre se contracte de plaisir à
ces souvenirs.

Tu la rabaisses vers son ventre et goûtes son précum de la pointe de ta langue. Mmmh.
Tu pourrais te contenter de la prendre, ta bouche et la pomper un bon coup, mais tu joues
avec, tu l'aimes cette queue.
Tu l'embrasses passionnément, presses tes lèvres autour, fais rouler ta langue dessus le
long de sa hampe et sur son gland. Tu frottes son gland sur tes lèvres, en suçotes le
bout sans jamais la prendre vraiment dans ta bouche. Tu pourrais avoir l'air de jouer
avec maladroitement, mais les vrais savent que c'est largement aussi bon qu'une gorge
profonde de sentir une femme jouer passionnément avec une bite.

Pendant que tu embrasses sa queue comme si elle était l'amour de ta vie, il profite que
tu sois allongée quasiment sur le ventre pour tendre une main jusqu'à tes fesses qu'il
presse. Un frisson de plaisir suit le contact de sa main quand elle passe sur ton dos, et
ça ne fait que commencer.

Un doigt se glisse sous la ficelle de ton string qu'il fait passer sur le côté, caresse
ton petit trou, s'enfonce encore plus profondément entre tes cuisses jusqu'à atteindre ce
qui à cet instant est devenu ton petit paradis tropical brûlant et humide.


Tu sens son majeur passer sur les lèvres humides de ta chatte. Lui aussi, il sait te
caresser sensuellement, et les sensations, bien que parmi les plus douces sont tout aussi
agréables que quand il te défonce à grands coups de boutoir.

Ton bassin s'agite quand son doigt passe sur ton clito et fait des cercles dessus, d'une
pression juste comme il faut, et tes cuisses sont involontairement tentées de se refermer
sur sa main.
Quand son doigt s'infiltre en toi, entre les lèvres de ton sexe, tu prends vraiment sa
queue en bouche pour retenir un gémissement et, cédant à l'excitation, la tètes pour de
bon, appréciant son gland glissant sur ta langue et entre tes lèvres.

Son doigt bien aidé par ta mouille s'agite de plus en plus en plus en toi et tu gémis
même avec un bon morceau de sa queue dans la bouche. Décidément, ton corps a l'air bien
plus sensible que d'habitude ce soir.

Ce n'est rien comparé au petit cri que tu pousses quand sa main sort d'entre tes cuisses
et vient claquer une fesse puis l'autre, une fois, deux fois. Tes fesses commencent à
prendre la même teinte que tes joues rougies d'excitation.

Si vous continuez comme ça, vous allez réveiller votre pote, mais c'est bien la dernière
de vos préoccupations à cet instant.
C'est différent de sucer sur le côté. Tu as un peu la même vu qu'il aurait s'il avait la
tête à quelques millimètres de sa bite. Lui ne voit que tes cheveux et toi tu ne la vois
pas d'en dessous. Tu tournes la tête pour que justement il puisse profiter de la vue de
sa queue entre tes lèvres, qui déforme un peu ta joue quand elle se presse contre
l'intérieur, avant que guidé par ta main, tu ne viennes tapoter son gland sur ta petite
langue gourmande et mouillée.

Toi aussi, tu veux que l'on s'occupe de ton petit abricot. Quelle idée tu as de te mettre
debout sur le canapé pour que ton sexe trempé se retrouve à la haute de son visage.
Ce
n'est pourtant pas la position plus pratique et naturelle.

Te voilà debout sur le canapé qui heureusement est assez ferme pour un être un minimum
stable. Le visage baissé, une main dans ses cheveux pour guider sa tête, l'autre entre
tes cuisses ouvrant ta chatte pour donner un meilleur accès a ton clito, sa langue avide
vient très vite trouver ce petit bouton où tu as tant envie de la sentir.

Tu es tellement excitée. Très vite, ton bassin s'agite sous la de ses baisers et
coups de langue sur ton intimité alors qu'il mange ta petite chatte comme s'il n'y avait
pas goûté depuis trois semaines. Tu sens sa langue passer sur tes petites lèvres, venir
frétiller sur ton clitoris gonflé. Sa langue pointait et pénétrait les premiers
centimètres de ta chatte. Tes jambes fléchissent, alors qu'une main entre tes cuisses, il
glisse deux doigts en toi à la verticale et commence à te doigter, comme il faut en même
temps que ses lèvres suçotent ton clitoris gonflé de désir. Seules tes mains agrippées à
sa tête et l'une des siennes sur ton cul t'empêchent de chavirer.

Il te faut toute ta volonté pour repousser sa bouche si agile bien que tu saches que
c'est pour jouir encore plus fort après, mais tes jambes commencent à te lâcher, et ça
serait dommage d'en rester là. Tu redescends sur lui, sur les genoux, assise sur lui, tu
sens sa grosse bosse toujours dure appuyée sur ta chatte trempée. Le fait que sa queue ne
soit plus pendant quelques instants le centre d'attention n'a clairement pas suffi à
faire redescendre la pression de toute évidence. En bougeant un peu le bassin, tu sens sa
bite se caler et frotter entre les lèvres de ton sexe. Sa salive et ta mouille suffisent
à la lubrifier. Très vite, tu te soulèves, la redresses d'une main et laisses le poids de
ton corps t'empaler dessus.
Les préliminaires ont bien fait le boulot. Tu la sens te remplir juste comme il faut. A
la fois elle t'écartèle et c'est comme si sa place avait toujours été là et que tu te
sentais enfin entière.

Tu resterais bien là avec tes jambes autour de lui, tes bras autour de son cou et sa
queue brûlante en toi, mais Monsieur a d'autres idées.
Ton corps brûlant collé contre le sien, ses mains fermement agrippées à tes fesses te
tirent vers le haut puis te laissent redescendre sur sa queue qui commence à coulisser en
toi. Tes tétons qui ont toujours l'air d'être durs, ont l'air de l'être autant que la
pierre maintenant et exacerbent ta sensibilité alors qu'ils frottent contre son torse au
rythme de ta chevauchée. C'est toi qui es sur lui et qui devrais donner le rythme, mais
il t'agrippe si fermement en donnant l'impulsion qu'on dirait qu'il bouge ton bassin pour
te pénétrer encore et encore. Il est si viril. C'est comme si tu étais sur un de ces
manèges de petits chevaux qui montent et qui descendent sauf que là, il y aurait un gros
gode de chair sur la selle.

Entre ses râles de plaisir et tes petits cris de jouissance au rythme où il s'enfonce en
toi, vous n'êtes plus vraiment discrets. Et en même temps, est-ce que vous ne l'avez
jamais vraiment été ? C'est tout juste si, sans vraiment y penser, tes lèvres se
referment sur son épaule pour tes cris alors que tu presses sa tête contre le
creux de ton cou. Dans le feu de l'action, on a tendance à oublier le reste du monde. Il
n'y a plus que deux corps qui bougent à l'unisson, du frottement et cette délicieuse
chaleur qui semble encore gagner en intensité dans ton bas-ventre.

Il te demande si tu te sens de te tourner pour qu'il puisse mater ton petit cul monté et
descendre sur sa queue. Les muscles de tes cuisses sont encore tendus, pourtant tu te
mets debout, te penches en avant et recules jusqu'à ce que sa queue qu'il maintenait en
direction de ta fente te pénètre de nouveau.

C'est tout juste si tes mains se tiennent à ses cuisses.
Ce qu'il y a de bien dans cette position, c'est que, alors ton cul s'avance et sa queue
sort, il peut jouer du bassin à son tour pour te pénétrer. Il y a des moments où tu as
juste à faire sortir un peu sa queue pour que son bassin s'agite et que sa bite te lime
vigoureusement. Tu ne peux plus te retenir de crier sous ses coups de queue déchaînés
entre tes cuisses.

A un moment, dans le feu de l'action, tu tournes la tête et tu as la surprise de voir
votre pote dans l'escalier qui donne sur le salon. Muet comme une tombe, il vous mate
alors qu'une de ses mains masse le paquet difficilement contenu dans son caleçon.

Tu ne dis rien. De toute façon c'est difficile de faire des phrases quand on a une queue
qui nous pilonne la chatte à vigoureux coups de bassin. Tu bascules en arrière. Ton dos
contre les pectoraux de ton mec, la sueur de l'effort et du plaisir coule entre tes
seins. La bouche contre l'oreille de ton mec, tu lui murmures que vous n'êtes plus seuls
et tu lui demandes s'il est d'accord pour que votre pote se joigne à la fête.
Ce ne sera pas votre première partie à trois, la seule règle pour ce plaisir occasionnel
étant que vous soyez, évidemment, tous les deux d'accord.
Toujours empalé sur sa queue, tu te redresses un peu et regardant plus franchement en
direction de l'escalier, invite votre pote à vous rejoindre en lui faisant signe de
l'index et disant.

— _ Tu ne crois pas que tu vas t'en sortir juste en matant.

Vous n'avez jamais rien fait de sexuel tous les trois. Vous ne considérez pas tous vos
amis comme d'éventuels participants, mais puisque vous êtes tous les trois, là, excités
comme des dingues et que l'occasion se présente. Vous vous connaissez tous suffisamment
bien pour savoir que personne dans cette pièce ne peut être considéré comme prude même
s'il a moins d'expérience que vous.

Ses sourcils se haussent de surprise. Ne réussissant sans doute pas à déglutir pour
prononcer un mot, il pointe son index sur sa poitrine l'air de dire « qui ? Moi ? »,
comme s'il y avait quelqu'un d'autre dans la maison.

On pourrait croire que n'importe qui n'attendrait que cette invitation pour sauter sur
l'occasion. Pourtant il semble hésiter un instant avant de finir de descendre l'escalier
et s'approcher de vous. Pendant ce temps-là, vos deux corps, toujours reliés par cette
queue toujours en toi, bougent doucement. Ce serait dommage que quelqu'un ramollisse
maintenant et que l'excitation retombe alors qu'elle s'apprête à grimper encore d'un
cran.

Il est debout en face de vous deux, ses mains tentent vaguement de cacher la monstrueuse
érection que votre spectacle a fait naître chez lui. Cet apparent accès de timidité,
t'excite et l’excitation aidant, tu t'adaptes rapidement à la situation et prends les
choses en main. Une main de chaque côté du caleçon, un vigoureux coup vers le bas et sa
tige est libérée. Montant et descendant langoureusement toujours sur la queue de ton mec,
tu observes cette nouvelle bite que tu n'avais jamais vue, et que tu ne pensais jamais
voir en fait.

Elle est plus pâle et un peu moins épaisse que celle qui fouille ta chatte au même
moment, mais elle est un peu plus longue aussi, et son gland rosé a l'air bien
appétissant à cet instant.
Ce n'est plus le moment de jouer les timides. Ta main dominante se referme autour et
commence à la branler. Tu souris de satisfaction en voyant son visage se crisper, et son
dos s'arc-boutre de plaisir alors que tu l'as à peine touché.

C'est bien, non seulement tu vas avoir le droit à un supplément de plaisir, mais en plus
vous n'avez, maintenant, vraiment plus besoin de faire attention aux bruits que vous
faites.
La main de ton mec appuie sur ton dos pour t'encourager à te pencher en avant.

— _ Vas-y chérie, goûte-la.

Obéissante, parce que ça t'arrange bien. Ta bouche se penche vers cette nouvelle queue,
tu la goûtes du bout de la langue, puis du bout des lèvres avant de la prendre en bouche
et commencer à la sucer pour de bon.

Sucer en même temps que tu te fais prendre la chatte, voilà un plaisir imprévu ce soir.
Imprévu, mais tellement bon. Si bon que lorsque ton mec met un petit coup d'accélération,
tu ne peux t'empêcher d'arrêter de sucer pour crier ton plaisir. Votre pote les mains le
long du corps se contente d'apprécier la petite gâterie et le spectacle. Seuls son visage
et son corps montrent le plaisir qu'il prend. Tu l'encourages à être un peu moins passif
en prenant une de ses mains pour la poser sur ta tête, ne serait-ce que pour te tenir les
cheveux au moins.

À un moment, tu t'arrêtes. Tu en prends plein de tous les côtés et c'est incroyablement
bon, mais tes jambes sont à deux doigts de te lâcher pour de bon.
En le tenant par la queue, tu diriges votre pote, sur le côté, vers le canapé, pour qu'il
s'asseye. Tu te mets à genoux entre ses cuisses.
Du moins, tu partais pour te mettre à genoux, mais ton mec te manipule pour te faire te
mettre à quatre pattes. Tu te dis qu'il a l'intention de continuer à s'occuper de ta
chatte, mais tu sens sa bouche sur ton petit trou et sa langue qui vient jouer avec ton
anus. Ça chatouille et te donne de nouveaux frissons de plaisir. Tu as du mal à te
concentrer sur tous les fronts différents alors tu branles maladroitement votre pote
pendant que tu profites un peu de sa langue qui fouille ton petit trou qui se contracte
et se décontracte sous ses coups de langue. Il ne serait pas en train de te préparer pour
une petite sodomie quand même. Toi qui trouves que c'est un miracle que personne n'ait
encore explosé de jouissance. Et bien si, quand tu ne sens plus sa bouche et que quelques
secondes plus tard, c'est la boule gluante de son gland que tu sens frotter contre ton
anus, il semblerait que ce soit bien ce dont Monsieur a envie.

Tu tournes la tête vers lui, il t'interroge du regard, tu lui réponds d'un sourire. Son
gland se presse contre la corolle de ton petit trou et appuie doucement dessus. Tu sens
la pression sur ton anus augmenter et se relâcher au rythme de ses appuis. Tu essayes de
te concentrer sur la queue de votre pote. Rien de ce qui arrive maintenant n'était ne
serait-ce que fantasmé, mais maintenant que vous y êtes, autant montrer tous tes talents,
question de fierté. Tu le reprends en bouche et t'appliques à le sucer comme tu sais si
bien le faire. Ta bouche s'arrête autour de sa bite et tu gémis quand le gland de ton mec
te pénètre enfin. Maintenant qu'il est dedans, le plus dur est passé. D'un mouvement
lent, mais continu, il pousse sa queue en toi et tu la sens se faire une place bien au
chaud dans ton cul. Il te connaît, une fois que ses couilles viennent toucher ta chatte,
il s'arrête un moment pour laisser à ton cul le temps de s'habi à cet invité, bien
connu, mais pas moins imposant pour autant.

Ça tire sur ton cul. Ta chatte peut enfin souffler un moment, mais n'en reste pas moins
excitée pour autant. Tu as du mal à te concentrer sur ta pipe et donner le meilleur de ta
performance avec cette queue qui après avoir bien ramoné ta chatte semble décidée à faire
un sort à ton petit trou, maintenant plus si petit que ça.

Aaah, c'est impossible de se concentrer sous ses assauts. Une fois de plus, au bord de la
jouissance, tu interromps ta pipe de compét'. Tu glisses une main sous toi jusqu'à tes
cuisses et branles vivement ton clitoris alors que tu sens que les coups de pines que tu
prends dans le cul sont en train de te faire jouir. Toi qui as toujours adoré jouir avec
une bite dans le cul.

Ton orgasme a tellement attendu, et puis cette bite qui te lime le cul et ta main qui
s'agite sur ton clito. Ce n'est pas au rideau que tu grimpes, mais sur le toit. Ta
jouissance est d'une intensité monstrueuse et d'une telle violence. Le big bang, c'était
un pétard mouillé comparé à ce qui te prend à l'instant où tu jouis. Tes yeux, ta bouche,
tes joues sont contractés sous l'effort, tout le reste de ton corps semble à la fois
tétanisé et pris des spasmes de plaisir. Ton bas-ventre se contracte encore et encore
alors qu'un voile blanc submerge ton cerveau. Même la bite que tu tiens dans une main
disparaît un instant et celle dans ton cul n'existe plus que par sa capacité à empêcher
ton anus de se contracter autant qu'il le devrait. Tu ne sens quasiment pas la main de
ton mec te caresser les fesses et le bas du dos. Tu cries : « aaah, aaaah, putain, aaaah,
aaah, aaah, putain »

Il se passe bien deux, trois minutes avant que tu reprennes ton souffle, épuisée,
comblée, des étoiles plein les yeux alors que ton cerveau est submergé sous les hormones
du plaisir.
Il n'y aurait que toi, tu pourrais t'arrêter là et dormir huit heures d'affilée pour
récupérer, mais tu as toujours deux mecs tendus et excités comme s'ils avaient passé un
mois en solitaire dans la forêt. Ton cœur a beau sembler battre dans ta chatte, la même
fierté qui te donnait envie de montrer tous tes talents de suceuse un peu plus tôt
encourage et ta main à reprendre ta branlette et ton corps à faire des petits va-et-vient
sur cette queue toujours casée au fond de ton cul pour lui montrer qu'elle peut
reprendre.

Tu es en nage comme si tu venais de faire un sprint, des mèches de cheveux collent sur
ton front alors que tu reprends la queue de votre pote en bouche, décidément il est
inépuisable, et que les allers-retours reprennent gentiment dans ton cul.

Quelques minutes passent. Ton mec se penche sur toi, sans que son bassin ne s'arrête
vraiment, ramène tes cheveux sur le côté pour avoir une meilleure vue sur la pipe que tu
es en train de faire. Dans cette position, il te pénètre quasiment à la verticale. Son
autre main en profite pour attr un sein et jouer un peu avec son mamelon dur et très
sensible avec le pouce. Il finit par te demander si tu veux baiser cette autre queue.

Tu hésites un moment pendant que tu continues à sucer. C'est que tu as déjà pris bien
plus cher ce soir que tu n'aurais osé l'espérer. Tu finis par lâcher la queue, regardes
votre pote qui évidemment ne dit pas non, puis tourne la tête vers ton homme et la hoches
le sourire aux lèvres pour lui signifier que tu n'as pas encore tout donné.

Il libère ton cul brûlant, palpitant. Tu t'appuies sur les genoux de votre pote pour te
redresser. Oulalah, comme après toutes séances de sport improvisées, tu vas morfler
demain. Un petit peu de salives sur la main, la main sur la chatte pour pallier à un
petit assèchement parce que hein ta capacité à mouiller n'est pas inépuisable, moins que
ton excitation en tout cas. Votre pote, comme ton homme plus tôt dans la soirée, est
quasiment allongé, avec les fesses quasiment dans le vide, sur le canapé quand tu
l'enjambes et, face à lui, fait doucement glisser sa queue entre les lèvres de son sexe.

Tu prends ton temps pour la faire glisser en toi. Tu as beau avoir encore envie, tu es
quand même beaucoup moins affamée que plus tôt dans la soirée.
Heureusement, la queue de votre pote étant un peu moins épaisse que celle de ton mec,
elle t'écartèle moins, même si comme elle est plus longue, elle va plus loin en toi quand
ses couilles touchent tes fesses.

Ton mec profite un peu de la vue en se branlant doucement, parce que son plaisir à lui
aussi a déjà été bien entamé et l'éjac ne doit plus être si loin. Tu te cambres bien sur
cette bite que tu sens en toi pour la première fois. C'est un peu moins fatigant de la
faire glisser en toi à l'horizontale que de te soulever pour t'empaler dessus encore et
encore. Tes cuisses fournissent moins d'efforts de cette façon.

Maintenant que ta chatte est à nouveau gentiment travaillée, tu es surprise de sentir à
quel point tu es encore autant excitée après tout ça. Si votre nouveau, très intime, ami
résistait plutôt bien à la succion de ta bouche et ta petite langue, il suffit de voir
son visage pour comprendre que ton bassin qui bouge et le fait pénétrer dans ton
délicieux fourreau le met à rude épreuve.

Il n’a encore rien vu quand ton homme en voyant ce spectacle a une nouvelle idée.
L'occasion est trop belle.

— _ On est bien dans cette petite chatte hein ? demande-t-il.
— Oh ouais, réussit à répondre votre pote. J'étais loin d'imaginer à quel point tu es un
petit veinard.
— Cela te dirait de vérifier si la dame peut nous accueillir tous les deux ? Ça fait un
moment qu'elle a envie de s'en prendre deux en même temps. N'est-ce pas chérie ? Tu as
envie ?
— Aah, mmmh. D'accord, mais dépêchez-vous, réussis-tu as gémir. Vous allez me les
gars.

Ta chatte se contracte à l'idée de prendre deux bites pour la première fois. Malgré toi,
un peu d'appréhension t'envahit même si l'idée t'excite à mort. Tu t'efforces d'inspirer
et d'expirer doucement, de te détendre autant que possible parce qu'il va falloir au
moins ça pour que cette nouvelle expérience intense ait une chance d'aboutir.

Tu te colles à votre pote et essaies de cambrer encore un peu plus le cul pour faciliter
l'accès à cette deuxième bite. Votre pote sursaute un peu quand il sent une autre queue
contre la sienne qui essaie de se frayer un chemin dans un espace qui a déjà l'air d'être
trop petit pour sa queue à lui.

Un filet de salive vient rajouter un peu de lubrifiant. La bordure entre ton cul et ta
chatte se retrouve monstrueusement étirée quand, sous la pression de cette deuxième
queue, elle s'écarte suffisamment pour la laissée glisser.

Aaaaaaaah. Déjà certaines queues que tu as eu l'occasion d'essayer t'ouvraient énormément
et te donnaient l'impression d'essayer de faire rentrer un truc bien trop gros dans un
truc bien trop petit. Avec les doubles pénétrations, le contact de deux queues ou d'une
queue et d'un gode t'écartelait, mais on restait toujours à un trou pour un élément et le
frottement de chaque côté de la mince paroi séparant ton cul de ta chatte créait
tellement de sensations que ça restait très agréable.

Tu pensais savoir ce que ça voulait dire d'être écartelé par une queue, mais ce n'était
rien comparé a la pression, l'étirement de ton sexe alors que deux bites essaient de
bouger en lui. Ta chatte est étirée à ce qui semble être son point de rupture même si les
capacités de dilatation féminine sont impressionnantes. Ils vont t'ouvrir en deux ces
cons. Ta première sodomie remonte à loin, mais tu as le vague sentiment que c'est la même
sensation puissance dix.

Et, même si ça reste incroyablement intense, comme avec la sodomie, ton corps et sa
capacité d'étirement et d'adaptation te surprennent. Tu ne pourrais pas jouir là. C'est
trop intense et tu as déjà eu le droit à un monstrueux orgasme il n'y a pas peu, mais la
douleur se mélange au plaisir et peu à peu la balance penche de plus en plus vers le
plaisir.

Tu n'arrêtes pas de crier alors que ça bouge à des rythmes différents à l'intérieur de
toi, et quand ces deux queues l'une sur l'autre glissent et se retrouvent à t'écarter sur
les côtés, ça ne s'arrange pas. Les sensations sont incroyables et l'instant est trop
intense pour que tu puisses définir précisément ce que tu ressens à cet instant.

Quand il vous signale qu'il ne va pas pouvoir tenir plus longtemps et ne va pas tarder à
juter, votre pote met fin à ce supplice, délicieux supplice ? Peut-être avec un peu plus
de temps et de préparation. Il va te falloir un moment pour digérer cette expérience. Ton
mec admet que lui aussi n'est pas loin de sa limite. Il sort et tu fais sortir la queue
de votre pote en te laissant basculer sur le côté et te retrouvant sur le dos sur le
canapé.

Ton corps, pas loin d'être épuisé pour de bon, glisse sur le sol et tu te retrouves
assise le cul par terre. Le carrelage devrait être froid, mais après cette expérience
c'est presque une bénédiction pour ta chatte.

Te voilà là sur le sol, en nage et les deux orifices brûlants, avec un mec de chaque côté
de toi en train de se branler d'une main vive pour finalement passer la ligne rouge et
jouir à leur tour. Tu trouves tout juste l'énergie de sortir la langue et d'attendre
qu'ils t'arrosent de leur foutre chaud et gluant. Tes yeux vont d'une queue à l'autre.
Qui viendra en premier. C'est ton mec. C'est un peu normal vu que votre pote a rejoint la
partie plus tard.

Ses abdos se dessinent plus précisément quand ils se contractent et qu'il râle de plaisir
alors que son bassin se tend en avant et que sa queue crache un, deux, trois jets de
sperme qui atterrissent sur ta joue, tes lèvres et le dernier dans ton cou. Normalement,
le sperme est brûlant, mais tu as tellement chaud que tu as l'air d'être à la même
température.

Puis quasiment tout de suite après, c'est votre pote qui te fait don de son offrande
brûlante. Toi qui adores voir les hommes jouir, voilà une nouvelle image à intégrer dans
tes souvenirs. Il vise un peu trop haut et son premier jet vient frapper ton front. Tu ne
peux t'empêcher de glousser et de sourire. Les deux jets suivants viennent frapper ta
joue et commencent à couler doucement. Un dernier petit jet pour la forme atteint tout
juste ton épaule.

Tu es sur les rotules et tes deux chevaliers baiseurs aussi maintenant qu'ils ont fini de
jouer avec leurs épées. Aucun de vous n'est certainement encore en mesure de comprendre
ce qui vient juste de se passer. Vous êtes tous les trois biens trop shootés par la
dopamine, les endorphines, l'ocytocine et compagnie qui vont vous faire planer sur un
petit nuage encore un moment.

Toi tu ne bouges plus. Tu n'es même pas certaine que tu pourrais si tu voulais te relever
à cet instant. Votre pote se laisse à nouveau tomber sur le canapé et ton mec se dirige
vers la salle de bain histoire de ramener de quoi te faire un petit coup de propre après
tous ces efforts et ses offrandes collantes.

Une fois propre, en tout cas bien plus que quelques minutes plus tôt. Les deux hommes ont
renfilé leur short et caleçon. Toi tu restes toute nue. Ton esprit se révulse rien qu'a
l'idée du contact de ton string sur ta chatte un peu douloureuse après tout ce qu'elle
vient de prendre et de toute façon tu as déjà fait du bronzage intégral chez votre ami.
Tu réussis à te traîner jusqu'à la salle de bain pour te débarrasser d'une monstrueuse
envie d'uriner. Vous sortez une couverture du coffre sous le canapé que vous installer
par terre et vous faites un petit gueuleton froid avec des trucs récupérés dans le frigo
et des litres d'eau fraîche histoire de reprendre des forces et de vous reposer un peu.
Ce petit casse-croûte se fait un peu dans le silence, mais ce n'est pas un silence gêné,
plutôt le silence de trois personnes exténuées, encore sous le coup de l'expérience
intense et particulière qu'ils viennent de partager et qui ne savent pas trop ce qu'ils
pourraient en dire pour le moment.

Quelle soirée.

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