La Découverte De Florence 5/9

Florence
Cet écrit a été effectué à quatre mains, n’ayant pas les mêmes talents d’écriture de
jean, c’est lui qui a transcris mon récit, tout en étant très fidèle à mes récits.
Pendant de longues années, Jacques m’a reprochée d’être coincée, n’aimant pas les
situations coquines, et même me reprochant de ne pas être assez sexy ; je dois
reconnaitre, avec du recul, qu’il avait sans aucun doute raison. J’ai plusieurs fois
pensé qu’il m’avait trompée, mais sans aucune preuve.
Cependant son attitude avec Nicole, lors d’une soirée, bien arrosée, à la maison a
réveillé mes soupçons, ceux-ci se confirmant par la suite. Jean et Nicole sont libertins,
je le savais et c’est ce soir-là qu’avec l’aide de Jean, j’ai osé m’offrir ; j’ai eu
alors le premier rapport avec lui, devant mon mari, à la fois médusé, mais aussi très
excité. Pour la première fois, j’appartenais à un autre homme, même un peu plus car je
découvrais un plaisir inconnu.
par la suite, avec leur aide, j’ai évolué, me libérant petit à petit, je suis devenue
leur maitresse, me livrant sans retenue pour eux, ce qui libéra totalement ma libido ; un
peu plus tard, sachant que jacques ne se gênait pas pour conquérir ses amies, j’ai envié
Nini qui avec ou sans son mari candauliste, pouvait avoir des amants ; ma détermination
était là : moi aussi profiter de leur sortie en club pour m’éclater. Même si je n’avais
que jean comme véritable amant, j’ai pu alors me faire prendre, par des inconnus, avec à
chaque fois des jouissances nouvelles ; jean m’a fait découvrir des sites, où les couples
avouaient leur fantasmes, ce qui petit à petit m’a ouvert de nouveaux horizons.
Nini m’avait très souvent, à ma demande, raconté ses aventures et un soir, alors que nous
étions seules, elle m’avait dit avoir eu le fils de jean comme amant ; m’exprimant alors
le plaisir de se faire prendre par un jeune et fougueux mâle, tout en sachant que c’était
une situation un peu délicate, bien que qu’il n’y eût pas e, celui-ci n’étant pas
son fils et de plus majeur ; elle y avait pris beaucoup de plaisir.

Par la suite, ils
avaient craqué pour Florian et sa belle-fille et celui-ci était devenu un partenaire de
jeux coquins ; par la même occasion, elle m’avait révélé que Jean était bi, ce que
j’avais pu constater et qu’il ne lui déplaisait pas de se faire prendre, soit par un
homme, soit par elle, avec l’aide d’un gode ; me précisant d’ailleurs que si cela me
tentait, elle serait d’accord pour me le prêter.
J’avoue que sur le moment, le fait m’a un peu choqué, puis j’ai réalisé que je faisais la
même chose avec elle ; ce jour-là les choses en sont restés là, prises à nouveaux par nos
relations qui nous unissaient ; elle savait me faire jouir ; avec elle, j’avais découvert
que cela pouvait aller jusqu’à une émission puissante de cyprine, en un mot, avec elle,
j’étais femme fontaine. Plusieurs nuits, j’ai repensé à notre conversation, mes rêves se
portant parfois sur un bel homme, bien constitué, manifestement bien pourvu par la nature
en train soit de me prendre, soit de se faire prendre par une femme. Rapidement j’ai mis
un visage sur ce rêve : j’avais envie moi aussi de prendre jean, même si je n’osais pas
provoquer cette situation.
Elle m’avait aussi avoué qu’elle avait participé, par deux fois, à un gand bang, une
réunion de plusieurs hommes, rien que pour elle et que même si certains la considéraient
comme une salope, pour elle le plaisir avait été grandiose. J’avoue que son enthousiasme
m’a fait mouiller et j’ai sollicité qu’elle me détaille son plaisir. À la fin de ses
explications, ma chatte était engluée de cyprine et dans la tête, j’avais pris la
décision de participer à une telle réunion, ce que je lui ai avoué aussitôt ; après une
petite réflexion, elle m’a dit que cela était possible, mais avec la présence de jean par
sécurité pour elle. Ce qui je le reconnais m’a mis en confiance.
Alors que jacques se rendait à l’exposition rétro mobile, il a été convenu que je passe
les deux jours avec Nicole et Jean.
Bien entendu, nous en avons profité. Dans la soirée,
alors que je leur avais appartenu déjà deux fois, Jean me fécondant, Nini s’abreuvant à
ma chatte, Jean, sans aucun doute au courant de nos conversations, a demandé à sa femme
de sortir ses jouets et entre autres sa culotte, supportant un gode de belle dimension ;
celle-ci s’est empressée de la porter et pour la première fois, elle m’a possédée, me
pourfendant aussi bien la chatte, que mon petit trou, alors que Jean me présentait sa
bite à sucer. Si l’engin était artificiel, elle a su le mener aussi bien qu’un homme,
m’amenant ainsi à une jouissance, inconnue et réelle ; alors qu’elle se retirait de mon
con après une très forte jouissance de ma part, Jean a voulu à son tour me prendre et
pour se faire, il m’a positionnée en levrette, s’enfonçant sans coup frémir dans ma
grotte déjà dévastée par sa femme
Soudain, alors qu’immobile au plus profond de mon antre, je l’ai senti se raidir et un oh
oui est sorti de ses lèvres ; très rapidement, j’ai ressenti les a-coups de sa
possession, alors qu’en réalité, il était immobile en moi ; me retournant j’ai compris
pourquoi : Nicole le sodomisait, manifestement pour son plus grand plaisir ; pour moi, à
chaque fois qu’elle le percutait, je le ressentais au plus profond, sa queue venant alors
au contact de fond de ma matrice ; la queue dans mon ventre me semblait plus grosse que
d’habitude, peut être un fantasme dans ma tête, ou alors un plaisir pour lui qui lui
donnait des dimensions supérieures ; toujours est-il , que sous les assauts conjoints de
mes deux amants, je n’ai pas tardé à leur prouver mon plaisir, alors que lui se répandait
dans ma chatte .
Alors qu’il se retirait de mon ventre, s’allongeant pour récupérer, Nini m’a proposé de
prendre sa place. J’avoue que le fait de pouvoir à mon tour le posséder, lui qui de très
nombreuses fois avait envahi tous mes trous ne me déplaisait pas ; lui qui m’avait soumis
et offert à des inconnus, j’allais pouvoir, à nouveau, m’enfoncer dans ses entrailles.

Quand il a vu nini m’harnacher le gode, il m’a embrassé puis avant de s’offrir, il m’a
dit « cela fait longtemps que j’ai envie de toi ainsi, fais-moi jouir, défonces moi
comme je t’ai pourfendu ; avec moi, ton petit trou a perdu sa virginité, alors prends
moi à ton tour, je t’appartiens »
Nini me prenant le gode et le dirige vers le cul, bien dilaté de jean ; j’ai envie de le
posséder d’une traite , comme il me la déjà fait et d’une poussée, je m’enfonce en lui ;
un cri prouve que je viens de le perforer et sans en tenir compte, je commence à le
sodomiser, prenant un immense plaisir ; lui aussi manifestement car non seulement il
m’encourage, mais il recule son fessier, venant un peu plus enfoncer le gode dans ses
entrailles.je suis très excitée par la situation, je le pilonne, il ne peut que subir
la tige qui se fraie son chemin, le chemin vers son plaisir.
« Regarde, il bande tellement il aime ça »
c’est nini qui vient de le constater et elle qui le branle pendant que je le sodomise ;
il ne me faut pas longtemps pour le faire juter, un torrent de semence s’écrase sur le
lit en giclées épaisses et fournies traduisant ainsi le plaisir qu’il a eu. Avant que je
me retire, nini infiltre trois doigts dans ma chatte, me fistant profondément,
s’enfonçant entre mes chairs , le plus profondément, tourbillonnant entre mes lèvres ,
jusqu’à ma jouissance A l’avenir je sais qu’à nouveau, il sera notre petite femme ,
comme nous le sommes pour lui. Ce n’était que le début de ce trio.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!