En Voiture 3

Dans la voiture, Bruno me secouait avec énergie. Il avait déjà pris possession presque sans autorisation de mon vagin. C’était encore un samedi matin, le premier ou le deuxième après qu’il m’ait exhibé pour la première fois son sexe tendu dans la voiture.

Bruno était un gars gentil, doux et attentionné. Il avait 35 ans, bien plus que moi. Je n’avais jamais couché avec un homme aussi vieux que lui je veux dire de plusieurs années de plus que moi. Son sexe était plus gros que celui de mon copain. Plus court mais plus gros. Difficile à dire exactement.

Dans la voiture, il s’insinua avec son sexe dans ma caverne aux merveilles. Nous étions lui et moi d’abord l’un près de l’autre, chacun assis à sa place, moi devant le volant et lui juste à côté. Pour faciliter les choses, il avait eu l’idée de détacher chacune de nos bandoulières de sécurité puis de basculer le dossier de nos sièges en arrière. En moins de deux, je me suis retrouvée sur lui, face à la vitre pare-brise, côté passager. Son sexe venait en moi et j’aimais ça. Je ne pensais plus qu’à moi, au plaisir qu’il me donnait, au plaisir que j’attendais. Car depuis le premier jour, Bruno me draguait et me trouvait belle et me complimentait.
Dès la semaine suivante, je me fis encore plus belle pour lui. Je mis jupe, pas collants ; jambes épilées. Je trouvais dans mes affaires un chemisier blanc qui m’allait bien. Je portais une tenue classique mais sexy de type jupe tailleur. Aussi je me maquillais. Bob, on copain, le voyait bien, mais il ne disait rien. Alors j’ai continué.

Dans la voiture, alors que je conduisais, Bruno me demanda de suivre une petite route de campagne, qui nous menait de Senlis dans un endroit tranquille en lisière de forêt. Au début, il me fit m’arrêter sur le petit parking en terre battue juste pour voir et me montrer les rouages du moteur. Devant le moteur, capot ouvert, il profita d’être près de moi, pour me prendre par la taille et tenter de m’embrasser.

C’est alors que je l’ai repoussé en lui disant mien que je n’étais pas libre.
Dans la voiture, il continua à me séduire du moins à me montrer qu’il avait envie de moi. Au fil de la discussion, il exhiba son sexe, le sortit carrément de son pantalon (que les hommes sont audacieux !).
Sa parole résonna en moi comme un choc me disant en s’adressant à moi : « Viens ! j’ai envie que tu me suces ! ».
D’abord, j’ai esquivé, lui disant que je ne voulais pas à cause de mon copain mais plus je lui disais et plus il insistait. Aussi devant l’envie, la situation (nous étions tous les deux dans l’habitacle, au milieu d’une foret), je pris alors son sexe sans m’efforcer, dans ma bouche pour le sucer un peu. Il me faisait envie, je le reconnais.
Je croyais que Bruno allait s’arrêter là mais il voulait jouir. Je lui ai dit que je ne voulais pas avaler. C’est alors qu’il me sauta comme je vous l’ai dit au début de ce récit, moi sur lui face à la vitre. Nos deux corps ne faisaient qu’un. C’était la première fois que je trompais mon homme.
Bises. Virginie.