Ma Belle-Soeur Dominatrice ??

Je vais vous raconter mon histoire, j’étais en couple avec Elodie depuis 1 an. Une femme de 45 ans un peu costaud, elle mesure 1.65 m blonde et chausse du 39 ou 40 en fonction des chaussures. Elle est parfaitement au courant de mon attirance pour les pieds des femmes et aussi par les femmes dominatrices. Le problème c’est qu’elle n’aime pas vraiment ça. Et moi par contre j’adore, j’aime les femmes qui me prennent pour leur paillasson quand elle rentre après une journée de travail, qu’elle m’oblige à nettoyer ces chaussures avec ma langue pour ensuite terminer par ces pieds. Et surtout qu’elle n’hésite pas à m’envoyer un bon coup de pieds dans les couilles quand le travail est mal fait.
Après 1 an je commence donc à m’écarte d’elle et elle s’en rend bien compte. Un matin d’été vers 8h j’entends frapper à la porte. J’ouvre et là je vois la sœur de ma copine Isa. Elle est plus jeune 40 ans moi costaud et aussi plus sexy. Elle est vêtue d’une robe noire façon tunique et à ces pieds une veille paire de tong noire avec un cœur en métal accroché juste au-dessus de ces orteils. Par contre je me rends compte que ces pieds et ces claquette sont couvert d’une poussière rouge.
« Salut Isa , qu’est-ce qui t’amène ta sœur travail jusque ce soir »
« Oui je sais mais c’est toi que je voulais voir tu me paie un café »
« Oui vas-y entre »
Elle entre mais le problème c’est qu’habillé comme ça avec ces tongs elle est très sexe et moi je suis en caleçon mais impossible de ne pas regarder ces pieds alors je commence à sentir mon sexe durcir. Elle s’assoie à la table croise les jambes et s’amuse à faire claquer ça claquette contre son talon. Je me dépêche de nous servir 2 cafés pour m’assoir très vite et lui cacher cette bosse au niveau de mon caleçon.
« Nico ma sœur m’a dit que vous 2 c’était plus trop ça et elle sent que ça va bientôt se terminer. »
« Oui c’est tout à fait ça, mais tu sais c’est quand même un peu plus compliqué »
« Elle m’a expliqué un peu mais j’ai du mal à la comprendre, moi j’aimerai bien avoir un copain qui joue les esclaves pour moi.

»
« A oui elle t’a vraiment tout expliquer, donc si je comprends bien tu es au courant du moindre de mes phantasmes alors tu peux me comprendre. Comment veux-tu que je sois heureux, la seule chose qui me plais c’est de jouer les esclaves pour une femme mais elle déteste ça, alors que veux-tu faire, pour moi personnellement ça signifie que l’on n’est pas fait pour vivre ensemble. »
« Oui je sais, comment faire ? »
« Laisse tomber Isa, c’est mort les seules fois ou elle joue les dominatrices tu sens que ça ne lui plait pas alors »
« Elle est vraiment conne, moi je donnerai n’importe quoi pour avoir un mec à ma botte ou plutôt à mes tongs regarde ça en plus j’ai les pieds plein de poussière ça c’est les travaux devant chez moi. »
« Quand tu dis ça ton regard change et s’assombri, tu ferais une bonne dominatrice à mon avis et les ouvriers qui te font chier devant chez toi serai de bonnes victimes »
« C’est sûr que ça me plairez bien. Tu sais quoi la dernière fois je leurs ai fait un café et j’avais cracher dedans. C’est étrange voir ces hommes boire ce café ça m’a … »
Là sans réfléchir je lui tends ma tasse.
« Isa crache dans ma tasse s’il te plait. »
Elle me regarde l’air étonné puis sourie. Elle s’approche et crache, moi je la regarde dans les yeux et je bois mon café au gout de salive.
« C’est tout je ne sens que le café, pour faire ça ce n’est pas la peine de faire quelque chose, écoute pour être sûr de bien faire crache directement dans ma bouche s’il te plait et vas-y fait toi plaisir aussi. »
J’ouvre la bouche, elle me regarde dans les yeux avec un regard froid. Je pense qu’elle va se sauver et quitter la maison en me traitant de fou.
Mais non elle me crache une fois dans la bouche, puis une seconde fois , j’avale ou plutôt je savoure en la défiant du regard .Puis elle me gifle violemment et cette fois me crache en plein visage. Je m’essuis et je baisse mon caleçon pour lui montrer mon sexe en érection.

« tu me fais bander Isa, si tu n’apprécies pas ce que tu vois n’hésite pas et met moi un bon coup de pied dans les couilles».
Elle décroise les jambes et m’envoie un coup de pieds dans les couilles pour la faire rager je me retiens de crier et fait mine de ne rien sentir.
« C’est tout, ça un coup de pied non, une caresse. »
Pris de rage elle me frappe à plusieurs reprises et là je l’entends crier.
« Putain je me suis fait mal, le cœur en métal de mes chaussures est venu me défoncer mes orteils, ce n’est pas avec ces claquettes que je vais te faire mal ».
« Attend Isa , tu t’y prend pas tout à fait bien , laisse-moi te montrer ce que tu peux faire et surtout ne retiens pas tes coups , je veux que tu y prennes du plaisir comme moi. »
J’att sa cheville et je viens poser sa tong pleine de poussière sur mon visage.
« Allez frappe je suis sûr que je ne vais rien sentir et même pas bouger »
Elle recul son pied pour prendre de l’élan et m’envoie la semelle de sa tong en plein visage, son coup me fait reculer la tête mais sans plus, est-ce qu’elle a retenu son coup ? . Elle essai de nouveau cette fois le coup est plus fort mais je suis toujours assis devant elle. Pour l’agacer un peu j’enlève mon teeshirt, elle pose alors son pied sur mon épaule.
« Alors déjà fatigué maitresse »
« Tu vas voir espèce de sous merde ce que je vais te mettre. »
Elle se penche att de la main droite sa tong repose son pied sur mon épaule et commence à m’infliger une série de claques avec sa chaussure. Le claquement de sa tong sur ma joue résonne dans toute la maison et là je vois de nouveau son regard s’assombrir. Elle replis sa jambe, je vois alors la plante de son pied mais surtout son talon m’arriver en pleine tête, cette fois le choc est violent et je suis projeter à terre allongé sur le dos. Elle se lève jette sa claquette sur mon torse pour venir se rechausser et par la même occasion se mettre debout sur mon corps et là elle s’amuse à s’essuyer ces chaussures sur ma peau comme sur un paillasson.
10 minutes plus tard elle descend et vient entourer ma tête de ces 2 pieds. J’ai une vue de premiers choix sur sa culotte blanche, elle pose alors son pied droit sur mon visage et s’amuse avec ma tête comme avec un ballon de foot. Elle s’arrête et pose son pied juste sur mon torse.
« Excuse moi j’y suis aller un peu fort là, tu as du avoir mal non ? »
« J’ai surtout mal à ma queue, j’ai l’impression qu’elle va exploser jamais une femme ne m’avait donner autant de plaisir, merci maitresse. »
« Moi aussi, j’ai ma culotte toute mouillée je crois, mais j’ai honte d’avoir agi comme ça »
« Honte de quoi de m’avoir donné du plaisir et d’en avoir pris, attend essai ça »
Je prends sa tong et la pose sur ma gorge.
« Vas-y appuie et regarde-moi suffoquer sous ta chaussure »
Elle sourit et appuie, je comprends qu’elle y prend du plaisir quand elle s’appuie sur le bord de la table pour mettre tout son poids sur ma gorge me privant d’air quelque seconde puis redescend.
« Je peux vous nettoyer vos claquettes et vos pieds maitresse »
« Avec quoi ? »
« Ma langue bien sur mettez-vous à l’aise sur votre chaise et posez vos pieds ici , voilà comme ça »
Je l’assois sur une chaise et pose ces pieds sur une à côté et là je commence à lécher les semelles de ces tongs. Ensuite je lui retire une par une pour nettoyer la semelle intérieure et enfin j’attaque ces pieds. Je suce chacun de ces orteils pour mieux passer ma langue entre chacun d’eux, après la plante de son pied droit je m’amuse même à frotter mes dents, je la vois sourire. Arrive le talon que j’essaie de mettre entièrement dans la bouche mais sans résultat alors je termine aussi avec mes dents pour lui enlever ces peaux mortes. Je l’entends soupirer de plus en plus fort. Elle pose son pied droit sur la table dans cette position ces jambes sont écartée un maximum et là je vois que sa petite culotte blanche est toute mouillée. Elle passe sa main sur sa culotte pour la soulever et là elle commence à se toucher, au début je continu à lui manger ces pieds.
A un moment je m’enfonce pied le plus profond possible dans ma bouche. Je vais même jusqu’à lui ronger les ongles. Et puis je craque.
« Vous voulez que ma langue vous aide maitresse »
« Non continu à me sucer les orteils j’adore ça, et passe bien ta langue entre chaque orteils »
Ensuite tous s’est passé vite je l’ai entendu jouir comme jamais je n’avais entendu une femme jouir.
Elle me caresse le visage avec son pied droit et me sourit.
« Et toi alors vas-y soulage toi ».
Je commence alors à me masturber tout en lui léchant ces orteils, ça n’a pas duré 2 min avant que j’éjacule et pas un petit peu. J’essui alors tout ce sperme à terre Quand.
« Ma sœur termine à quelle heure ? »
« Elle ne sera pas là avant 20h, pourquoi ?, tu voulais lui parler »
« Non, le truc c’est que je dois repasser chez moi pour changer de chaussures aujourd’hui j’ai plein de truc à faire une vrai journée de folie, je vais courir pendant des heures et tu as vu cette chaleur , mes pieds vont souffrir . »
« Dommage que ce soir je ne puisse pas m’en occuper. »
« Justement je serais bien repassé vers 18h pour que tu puisse t’en occuper, en plus ils vont être plein de poussière avec ces travaux devant chez »
« Ok maitresse, mais j’ai une condition »
Elle se lève de sa chaise et me pousse au sol avec un coup de pied et vient m’écraser la tête contre le sol.
« Je te rappel que ce n’est pas toi qui poses des conditions ici »
« Oui maitresse mais c’est plutôt une proposition de jeu »
« Vas-y je t’écoute »
Et là elle prend appuie sur la table pour venir poser son autre pied sur mon torse.
« Ce soir pour encore mieux réussir le nettoyage de vos pieds, j’ai une solution, je garde avec moi vos tongs et vous repartez chez vous pieds nus. Comme ça ce soir c’est sûr que j’aurais du boulot pour les nettoyer. »
« Ce n’est pas bête, je pourrais mettre mes veilles baskets sans lacet, elles puent la transpiration mais ce soir tu vas t’occuper de mes pieds et en plus je suis curieuse de voir la tête des ouvriers quand ils vont me voir arriver pieds nus dans le chantier devant chez moi. Ok tu peux me les garder »
Elle saute à terre ramasse ces claquettes me les enfoncent dans la bouche.
« A ce soir 18h et garde les bien dans ta bouche, comme ça tu resteras avec le gout de mes pieds bien en tête mais je te préviens entre la poussière la transpiration et surement les chewing gum coller à la semelle tu vas avoir du taff. »
Elle me marche dessus pour accéder à la porte et sort. J’ai encore du mal à comprendre ce qu’il est arrivé, si je n’avais pas ces claquettes dans ma bouche je n’y croirais pas. Tiens un message sur mon téléphone. C’est elle qui m’envoie des photos, la premières ce pieds recouvert de poussière , la seconde une veille paire de basket sans lacets. On peut voir des traces marron la marque de chacun de ces orteils sur la semelle intérieur. Suivi d’une vidéo ? Là c’est elle qui ce films, on la vois cracher un chewing gum dans une de ces chaussures et ensuite elle enfiles les deux. Ça se termine par un plan de son visage avec un énorme sourire et un clin d’œil. Vivement ce soir qu’elle passe cette porte mais ça c’est une autre histoire.

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