Nous Innovons

Je m'appelle Katy et je vais vous conter notre expérience de samedi dernier.
Je vous ai présenté notre couple dans un récit précédent intitulé « Nouvelles Technologies - Risques et Opportunités » ?
Au déjeuner, j'ai dis à Bertrand, mon mari, que j’avais envie d'aller faire du shopping dans l'après midi. Il ne vient quasiment jamais avec moi pour faire du lèche vitrine, il m'a donc surprise en me demandant :
-Tu veux que je vienne avec toi ?
-Bien sûr, j'en serais ravie.
J'avais prévue d'y aller en tenue décontractée, mais du coup, je prend une douche, je me maquille, je mets un pull léger et moulant sans soutien gorge, un jean ultra moulant que je n’avais jamais osé porter, un petit blouson de cuir noir et des bottines en cuir à bout pointu avec talons aiguille de dix centimètres.
Je rejoins ensuite Bertrand au salon pour lui dire que je suis prête.
Lorsqu'il me voit arriver, il me sourit d'un air entendu, me reluque de la tête aux pieds et porte une attention toute particulière à mon entrejambe.
En effet, la couture de mon jean s'enfonce significativement entre les grandes lèvres de mon minou. Cette couture appuie fortement au bon endroit. Je réponds à son sourire et lui dis:
-On y va ?
-C'est parti.
Nous nous rendons dans la galerie marchande qui se trouve à quelques kilomètres de la maison, elle est immense et m'offre un choix de boutiques bien plus grand que n'importe où ailleurs près de chez nous. Nous ne parlons presque pas durant le trajet, mais Bertrand me dit quand même :
-Tu es très belle ma Chérie.
-Merci. Tu aimes ?
-Ta tenue ?
-Oui.
-Pas mal du tout. Il est nouveau ton jean ?
-Oui. Je ne l'avais pas encore mis, il est un peu trop moulant.
-Mais pas du tout.
-Coquin. Et les talons, ça va il sont à ton goût ?
-Parfaits.
Bertrand est fan des talons aiguille. Il m'a toujours demandé d'en porter lorsque nous sortons.

Il m'a toujours dit que cela allongeait la ligne de la femme, et faisait avantageusement ressortir ses fesses et sa poitrine. Après m'être plusieurs fois observée dans le miroir ainsi chaussée, je suis bien obligée d'admettre qu'il a raison. J'en porte donc très régulièrement pour sortir avec lui.
Mon jean me presse assez fort le clitoris et ça m'excite déjà un peu. Je ne sais pas ce que ça va donner en marchant.
Nous déambulons maintenant dans le centre commercial main dans la main, et mes talons qui claquent légèrement attirent l'attention de certains mâles qui en profitent pour me lorgner. Certains mâtent mon cul, d'autres louchent sur ma fente. Ce n'est pas désagréable.
La couture du jean qui me frotte le petit bouton non plus.
Bertrand me demande.
-Tu veux t'acheter quoi ?
-Oh, rien de particulier en fait. J'avais juste envie de faire les boutiques. Mais comme tu es venu avec moi, je vais en profiter pour acheter des tenues sexy. Intéressé ?
-Ma foi, oui.
-Tiens, viens là, on va aller voir les chaussures.
Après dix minutes et quelques essayage, je choisis une paire de cuissardes en cuir fin noir gainant et qui me monte dix centimètres au dessus du genou, avec talons aiguille de onze centimètres bien entendu.
-J'adore, mais tu vas porter ça quand ?
-Quand je serai avec toi, pour sortir au resto ou rester à la maison.
Nous continuons les emplettes dans un magasin de vêtements pour femmes avec une petite robe rouge décolletée devant et derrière. Je passe aux cabines d'essayage. Bertrand reste à côté avec mon sac à main et regarde par le léger entrebâillement du rideau de la cabine. Je me déshabille et mon Chéri ne peut que se rendre compte que je ne porte pas de sous-vêtements. Il en profite évidement pour me reluquer sous toutes les coutures, de mes seins fermes à mes fesses rebondies et ma petite toison brune et bien taillée. Il sort son smartphone et se met à me filmer nue dans la cabine d'essayage, je fais un petit tour sur moi même avant de passer la robe.
, Depuis que je me fais épiler la raie des fesses et les grandes lèvres, mon homme est aux anges. Moi aussi du reste, je n'ai jamais eu droit à tant de cunnilingus. La petite robe est effectivement très petite. Elle ne descend pas plus bas que quelques centimètres au dessous de mes fesses, elle est ouverte dans mon dos jusqu’au creux des reins et mes seins sont dégagés sur un bon tiers au milieu. Bertrand cesse de me filmer. Je lui demande :
-Qu'est-ce que tu en penses ?
-T'es carrément canon là dedans.
-Tu m'étonnes. Mais j'hésite.
-C'est toi qui vois. C'est pour toi.
-Écoutes, ce sera comme pour les cuissardes, ce sera que pour toi. Je la prends.
Là, Bertrand tend la main vers mon postérieur et me caresse une fesse par dessous la robe.
-La longueur est impeccable. Je suis d'accord, on la prend.
Je me rhabille pendant que Bertrand va payer.
Nous continuons à flâner, mais maintenant, Bertrand ne cesse plus de glisser sa main sur mes fesses et de me peloter les seins. Il est excité. Je suis satisfaite.
Je l’emmène jusqu'à une boutique de lingerie érotique située au bout de l'allée à l'étage du dessus pour quelques achats supplémentaires,
-J'achèterai bien une nouvelle guêpière, qu'est-ce que tu en penses ?
-Avec joie, je t'en prie.
Je fouine un peu et en trouve un modèle qui laisse les seins nus, en faux cuir, avec un lacet dans le dos et des crochets devant. Bertrand me tend un top tout en dentelle noire transparente et près du corps.
-Essaie ça s'il te plaît.
-D'accord mais tu ne viens pas me voir essayer, ce sera la surprise plus tard si je le prend.
-OK.
J'emporte le tout dans la cabine d'essayage. J'enfile d'abord la guêpière. Je la serre bien.
Avec ça, ma taille est bien fine et mes seins ont l'air d'obus. Je passe le top par dessus, on voit très bien au travers. Je pense à Bertrand qui va bander comme un taureau quand il me verra avec ça. J'imagine son sexe tendu.
Je ne peux pas me retenir d'astiquer mon bouton pour me calmer. J'ai envie de me faire remplir par cette queue que j'aime tellement. Je finis par me calmer, je retire le top et la guêpière et je renfile le top. Je fourre mon petit pull dans mon sac, je remets mon blouson et rejoins Bertrand.
-Mon Chéri, je vais prendre des bas et quelques string. Il y a la librairie un peu plus loin, tu peux aller t'acheter des livres en m'attendant si tu veux (Bertrand lit beaucoup), je te rejoins.
-Si tu veux. Tu a gardé ce que je t'ai choisi sur toi.
-Oui. Et je vais acheter des bas résilles.
Mon Chéri est surpris.
-Je croyais que tu trouvais que ça faisait pute ?
Je lui glisse à l'oreille :
-C'est vrai, mais c'est pour toi, parce que je veux être ta petite salope.
Bertrand me sourit et dépose un baiser sur mes lèvres, puis file vers la librairie.
Je prend cinq paires de bas toutes différentes. Puis je m'attarde dans le rayon des sex-toys.
J'ai lu un article dans une revue féminine sur un jouet vibrant qui s'appelle « Lush 2 ». On glisse la plus grosse partie dans le vagin, et l'autre, on la pose sur le clitoris. On commande les vibrations avec une application sur un smartphone. Bertrand devrait aimer. Nous n'avons jamais utilisé de sex-toys
Je choisis quelques autres articles et vais payer, non sans demander à la vendeuse de couper l'étiquette de mon top en dentelle.
Tous ces achats et ma tenue me donnent des idées lubriques. J'ai les joues et ma petite chatte en feu.
Je rejoins Bertrand qui est encore en train de se choisir des bouquins.
-Ah ! Te voilà ma Chérie. C'est bon, j'ai trouvé ce que je voulais.
-Tant mieux.
Je lui dépose un bisou sur la joue en me frottant un peu contre lui. Il me prend par la taille pour me serrer contre lui, mais sa main descend rapidement sur mes fesses. Puis nous réglons pour les livres.
-Tu veux encore acheter autre chose ? Me demande-t-il.
-Non, il faut rentrer.
Tu n'as pas oublié que nous avons des invités ce soir ?
-Ah ! Si, j'avais oublié.
Nous reprenons donc le chemin de la voiture. Une fois installée sur mon siège, j'écarte les pans de mon blouson pour donner vue sur ma poitrine à mon Chéri. La ceinture de sécurité glissée entre mes deux hémisphères tend bien la dentelle transparente sur mes seins qui pointent fermement.
-Tu trouves que ça rend bien ? Lui dis-je.
-Absolument !
Bertrand ne peux s'empêcher de m'attr les nichons à pleine main et me roule une pelle avec fougue. Je le repousse gentiment après quelques secondes,
-Il faut y aller. On n'est pas en avance et j''ai trop envie de baiser.
-Moi aussi.
-J'ai la minette trempée.
Bertrand met le contact et démarre.
-C'est vrai ?
-Oui, regardes ! Mon pantalon commence à être mouillé.
J'écarte les jambes pour lui montrer.
-Dégrafes ton jean s'il te plaît., faut que je touche.
-Je vais être encore plus excitée.
-C'est pas grave, je te prends dès qu'on arrive. Allez vas-y.
Je m’exécute, déboutonne et dézippe mon pantalon. Bertrand glisse aussitôt sa main sur mon pubis jusqu'à ma fente glissante et me fourre un doigt dans la chatte. C'est bon, mais j'ai peur.
-C'est dangereux en conduisant !
-T'as raison. Ça tourne beaucoup. Masturbes toi !
-Je fais jamais ça.
-Et c'est bien dommage, moi ça m'excite que tu te touches devant moi.
Je lui cède et commence à travailler mon bouton avec mes doigts.
-Fais voir comment ça t'excite !
Je met ma main sur son sexe qu'il porte à droite. C'est effectivement bien gonflé et bien dur.
-Je t'excite bien mon cochon.
-Oui, vas y. Branles toi la chatte à fond. Mets tes doigts.
Je soulève les fesses et descends mon pantalon pour pouvoir manœuvrer à l'intérieur de mon minou.
J’entreprends alors un labourage de mon vagin avec deux doigts, puis trois et enfin, ce sont quatre doigts qui vont et viennent à toute allure. Ma chatte fait un bruit de succion et dégouline sur le siège. De mon autre main, je me pince les tétons l'un après l'autre. J'ai les yeux clos et la bouche ouverte. Je vais bientôt jouir. Je ne peux m'empêcher de gémir de plus en plus fort. Ça y est, je viens.
-C'est bien ma Chérie. Caresses moi la queue maintenant.
J'att fermement son sexe dur à travers son pantalon en continuant de caresser ma petite chatte.Je le branle lentement alors que nous approchons de chez nous.
A peine la voiture garée, je remonte vite fait mon jean et nous sortons d'un pas précipité vers la maison. Bertrand ouvre la porte fébrilement. Puis il m'att sitôt à l'intérieur par la taille, claque la porte et m'embrasse goulûment. Il m’entraîne dans la salle à manger et me retourne sur la table. Il baisse mon jean, puis le sien. Il m’att par les hanches et guide son sexe turgescent vers mon fourreau brûlant qui le happe complètement. Mes seins sont écrasés sur la table et je me cramponne des deux mains de chaque côté de celle-ci tandis qu'il me secoue à grand coup de reins. Ma chatte gonflée et remplie par ce sexe vigoureux me fait du bien pendant que le bas ventre de mon amant claque mes fesses relevées grâce à mes hauts talons.
On est tellement excités tous les deux, qu'en moins d'une minute nous jouissons l'un après l'autre.
Bertrand continue de se vider lentement et totalement en moi, en me caressant les hanches et les fesses. Puis, il se retire et son sperme s'écoule de ma chatte dilatée dans mon jean lorsque je me redresse. Nous nous embrassons tendrement tandis qu'il me tient dans ses bras. Je reprend mon souffle un instant.
-Il faut que je termine de préparer le repas. Gilles et Véronique arrivent dans une heure et demie.
Nous remontons alors tous les deux notre pantalon respectif.
-C'était bon et très excitant ma Chérie. J'ai adoré cet après midi.
-Moi aussi. Mais la journée n'est pas terminée tu sais. Vas chercher les sacs dans la voiture s'il te plaît.
En revenant de la voiture, Bertrand dépose les sacs de courses sur la table.
Je fouille dans l'un d'eux et lui tend le vibromasseur.
-Qu'est-ce que c'est ?
-Un jouet pour toi. Vas y, déballes le et regardes comment ça marche. Je vais à la cuisine.

Au bout de trois quart d'heure, je rejoins Bertrand au salon et lui demande :
-Alors, tu maîtrise le sujet ?
-Parfaitement, je crois.
Il me donne la boite et me dis :
-Je vais prendre une douche et me changer.
-Moi aussi. Tu dresseras la table après, s'il te plaît.
-Pas de souci.

Sous la douche de ma salle de bain, je réfléchis à ce que je vais porter pour la soirée.
Arrivée dans la chambre je met la nouvelle guêpière et j'enfile des bas en voile noirs, des escarpins en cuir de la même couleur, une jupe droite marron et un chemisier blanc opaque. Je ne veux pas que nos invités voient ma poitrine au travers. Je retourne dans la salle de bain, me sèche les cheveux et me maquille.
Une fois terminé tout ça, je déballe le vibromasseur, je lis la notice, le nettoie à l'eau savonneuse et, comme je n'ai pas de lubrifiant, je le mouille de ma salive avant de l'insérer en moi. J'enfile un string qui cale bien la petite extrémité vibrante sur mon bouton d'amour.
Enfin prête, je descend jeter un œil sur mon plat au four. C'est impeccable.

Bertrand porte un jean et une chemise blanche entrouverte sur son torse légèrement velu. J'adore quand il porte des chemises ouvertes.
Il a dressé le couvert.

-Tu sais, j'ai mis la guêpière neuve et ...
-Le jouet vibrant ?
-Exact ! On peut le tester avant qu'ils arrivent.
-Si tu veux.

Bertrand prend son smartphone, ouvre l'application et pousse un peu le bouton virtuel de réglage sur l'écran.
-Alors ? Me demande-t-il.
-Ça fonctionne.
-C'est comment ?
-Agréable, mais ça va m'échauffer rapidement.
-On entend rien.
-Non, mais je le sens vibrer.
On sonne à la porte. Bertrand arrête mon nouveau jouet et je vais ouvrir.

Véronique et Gilles sont pile à l'heure. Gilles me tend un bouquet de roses jaunes magnifiques.
-Merci, c'est gentil.
Nous nous embrassons à tour de rôles et nous nous passons au salon. Je mets les fleurs dans un vase.
Bertrand sert le champagne.
Nous parlons de tout et de rien.
Gilles est un homme qui sort toujours en costume. Il est quelconque physiquement, mais très loquace et souvent très intéressant.
Véronique est une femme blonde magnifique de un mètre soixante dix, élancée et toujours élégante. Elle porte une robe bleue près du corps qui la met encore plus en valeur, et des escarpins de la même couleur. Elle possède une garde robes énorme. Sa petite poitrine est rehaussée par un soutien gorge push-up qui lui donne une allure parfaite.
J'ai bien vu que Bertrand ne peut pas s'empêcher de la détailler du regard. Au moins jusqu'à ce que nous nous asseyons.
Nous continuons de bavarder jusqu'à ce qu'à un moment, je sente mon bas ventre se mettre à vibrer. Je ne peux retenir un léger sursaut et mes cuisses se serrent l'une contre l'autre de manière tout à fait involontaire, dans un reflex. Les vibrations sont tellement plus intenses que lors de notre essai.
Bertrand continue de parler comme si de rien était. Il sort sa main de sa poche en laissant ce truc vibrer à fond, dans, et sur mon sexe.
Je ne sais plus comment me retenir de me trémousser dans mon fauteuil.
Je le regarde intensément jusqu'à ce qu'il me regarde à son tour. Je lui lance une grimace discrète pour lui faire comprendre qu'il doit arrêter.
Mais il se remet à discuter avec Véronique.
Il finit par stopper l'engin après un temps qui me paraît excessivement long.
Je souffle un peu. J'ai les joues en feux et le sexe aussi. Je mouille déjà.
J'en profite pour m'échapper à la cuisine et signifie à nos invités qu'ils pourront passer à table d'ici cinq minutes.
A peine arrivée dans la cuisine, l'engin repart de plus belle. Je me tord, me plie et ne peux m'empêcher de glisser la main entre mes cuisses pour la plaquer fortement sur mon sexe. Mon string est mouillé. Je suis bouillante et mon autre main att mon sein, en pince le téton, c'est délirant les sensation procurées par ce machin.
L'appareil s'arrête enfin, et ils arrivent tous les trois dans la salle à manger ouverte sur la cuisine.
Ils s'installent à table et je lance un signe à Bertrand pour qu'il ne recommence pas. Il me répond d'un sourire malicieux.
Pendant tout le repas, il continue à jouer régulièrement avec la commande du vibromasseur, et à plusieurs reprises lorsque je suis en train de parler. Ce qui a pour effet de me couper la parole. Tant est si bien qu'à un moment donné, Véronique me demande si je vais bien. Je la rassure en lui répondant que j'ai simplement quelques bouffées de chaleur.
-Je comprend. Me dit-elle d'un air entendu.
Elle doit pensée que la ménopause me guette. Ce n'est pas encore le cas, mais du coup je suis un peu gênée. Je n'ai pas envie d'aborder ce sujet, je sais qu'elle en connaît déjà les symptômes. Elle me l'a confiée.
Du coup, je m’éclipse aux toilettes entre deux plats. Je me suis sentie trop gênée. J'en profite pour enlever le vibromasseur, faire pipi et nettoyer ma minette de toute la cyprine qui à coulée dans mon string que je met au sale.
Le repas se termine tranquillement avec un digestif. Bertrand s'est rendu compte que je n'étais plus munie de mon jouet en essayant de le faire vibrer. Nos amis finissent par nous quitter.
A peine ceux-ci partis, Bertrand me prend dans ses bras, m'embrasse dans le cou, lèche mes lobes d'oreilles et me souffle :
-Je suis excité à mort, ma Chérie.
-Moi aussi. J'ai du me débarrasser du vibromasseur, ça devenait insoutenable.
-Je sais. Mais c'était un peu le but du jeu, non ?
-Oui, bien sûr. Mais j'avais tellement envie de baiser qu'il fallait que ça s'arrête.
-Tu as encore envie que je te baise ?
-Oui mon Chéri. Veux tu que je mette les cuissardes pour faire l'amour.
-Oui, si tu veux.
Je vais donc dans la chambre pour troquer les escarpins contre les cuissardes, j'en fais de même pour les bas. J'enlève également ma jupe qui sera trop serrée pour être à l'aise, déboutonne deux boutons de mon chemisier pour élargir mon décolleté et rejoins Bertrand au salon.
Je déambule tranquillement devant lui, je fais le tour de la table basse.
-Tu aimes mes cuissardes et mes bas résille ?
-J'adore ma Chérie. Ça m’émoustille encore plus. Enlève ta chemise s'il te plaît.
J'enlève les deux derniers boutons, l'ôte tout doucement, sensuellement j'espère, et je la laisse tomber à mes pieds. Puis, je m'assois à côté de lui dans le grand canapé. Il passe son bras autour de mon cou et m'embrasse. De sa main libre il m’att un sein qu'il serre dans sa main. Il malaxe, tire sur le téton, le pince un peu. Je commence de nouveau à mouiller. Je commence à défaire son ceinturon, mais il m'en empêche.
-Attends. J'ai envie de manger ta petite chatte d'abord.
Il me relève face à lui. J'ai une jambe de chaque côté des siennes. Il saisit ma cheville droite et dépose mon pied sur la banquette. Il glisse son visage entre mes cuisses et commence à laper ma fente. Il embrasse ma petite toison, et glisse à nouveau sa langue dans mon sillon. Puis, il s'attarde sur mon bouton qu'il agace d'abord lentement, avant d'accélérer la cadence et d'augmenter la pression. Je rejette la tête en arrière, les yeux clos, je profite de l'instant présent. Il alterne avec la langue, les attentions sur mes petites lèvres et mon bouton, tandis que de ses mains il me caresse les fesses et les seins. Après un bon moment de cet exercice, il vient toucher ma fente de ses doigts. Ils les fait glisser entre mes lèvres en poursuivant son travail avec sa langue sur mon bouton.
Mes grandes lèvres son toutes gonflées. Je sens ma chatte se dilater, prête à l'accueillir. Et il enfonce lentement deux doigts dans mon ventre. Je gémit doucement de bonheur. Ses doigts vont et viennent lentement pendant qu'il titille mon bouton et le pince avec ses lèvres.
Il poursuit son action avec la bouche et commence, de l'index et du majeur enfoncés à fond, à masser mon point G. Assez rapidement, ma chatte vient à dégouliner sur sa main. En quelques minutes, j'atteins l'orgasme.
Lentement, il retire ses doigts et cesse de me lécher, pour que je reprenne mon souffle. Il caresse mes seins et me dit :
-Mets toi à genou sur la table et relève bien ton cul vers moi.
Ce que je fais.
Il est à genoux sur le sol derrière moi, me tenant fermement par le dessus des cuisses. J'ai les jambes un peu écartées et mes deux orifices exposés juste sous ses yeux. Il me lèche maintenant du clitoris à l'anus avec beaucoup d'application. Il enfonce sa langue tour à tour dans mon vagin et mon anus.
C'est un vrai régal, pour lui comme pour moi.
Après quelques minutes, il cesse et recule son visage d'entre mes fesses.
-T'es bonne ma petite salope. Tu as envie de me sucer ?
-Oui, j'en meurs d'envie.
-Restes à genou.
Il ôte ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon avant de faire le tour de la table pour se présenter devant mon visage, sexe tendu.
-Vas y, suces moi.
Je me mets à l'ouvrage sans les mains pour ne pas tomber. Je commence en lui léchant les couilles. Puis je remonte sur la tige bien ferme en le regardant bien dans les yeux. Je lèche son gland du bout de la langue, ce qui à pour effet de lui faire remuer la queue. Enfin, j'avale son membre viril et entame un va et vient goulu.
Il glisse, pendant ce temps, sa main entre mes fesses jusqu'à ma fente gluante. Méthodiquement, il récupère ma cyprine pour me l'étaler sur l'anus. Je continue de le pomper et lui m'écarte gentiment le petit trou. Il me masse l'anus, enfonçant progressivement son majeur, un peu plus à chaque manœuvre. Au bout d'un moment, il finit par me le branler, et c'est bon. Je le pompe toujours.
On s'agite de plus en plus et deux doigts sont maintenant en train de me masturber le trou du cul.
Je me met à jouir intensément, mais il ne s’arrête pas pour autant. Il me baise la bouche en tenant ma tête par les cheveux de sa main libre. Il me baise par deux trous durant plusieurs minutes et je jouis à nouveau.
Il me libère la bouche et le cul, me redresse et m'embrasse. Puis, il s'allonge le dos sur la table et me dit :
-Viens t'accroupir au dessus de moi, que je te vois bien.
Je passe une jambe de chaque côté de ses hanches et j'approche ma vulve de son sexe. Mes petites lèvres pendent entre les grandes. Il joue un peu avec. Je saisis sa bite bien raide et la guide vers mon vagin. Je descend doucement la croupe et il s’immisce lentement en moi. Il me remplit bien. Puis je m'active alors qu'il att mes seins à pleines mains et commence à les massacrer.
-Hmm, c'est bon. Dis que tu aimes baiser ma petite chatte.
-Oui j'aime ta chatte. J'aime tout lui faire.
-Et mon cul ?
-Magnifique. Encore plus quand il est pris entre tes bas et ta guêpière bien serrée, et qu'il bouge comme maintenant.
-Tu aimes mes cuissardes ?
-J'adore, c'est hyper sexy, excitant.
Il se redresse pour me sucer les tétons, j'entre profite pour descendre me poser sur son pubis et je fais venir mon bassin d'avant en arrière. Je sens l'orgasme venir petit à petit. Il s'en rend compte lui aussi et me pince les mamelons. Ça y est, je jouis, mes jambes se mettent à trembler, je m'acharne alors sur son sexe avec le mien. Je crie mon bonheur.
Mes jambes lâchent. Je suis obligée de me mettre à genoux sur la table et j'allonge le haut de mon corps sur son torse.
Au bout d'une petite minute, il se redresse, se relève en me portant, une main sous chacune de mes fesses. Il se met debout et me plaque dos au mur. Nous nous embrassons, je passe mes jambes autour de ses reins et il entame un ramonage vigoureux de ma chatte. Nous transpirons tous les deux de plus en plus. Il m’emmène sur la table de la salle à manger, toujours embrochée sur sa queue, m'allonge sur celle-ci qui n'est pas encore totalement débarrassée. Il pose mes fesses tout au bord de la table et me relève les jambes, se saisit de mes cuissardes par les talons aiguille et m'écarte en grand. Il m'entreprend à grand coups de reins. Je me tiens au bords de la table qui remue avec nous. Il cogne le fond de ma chatte avec son gland à chaque cycle. Je sens qu'il va jouir. Ses coups sont de plus en plus violents. Il se répand en moi, son sexe s'échappe et un petit jet de sperme retombe sur ma toison. La tête en arrière et les yeux clos, il reprend lentement son souffle :
-C'est bon de te baiser, mon Amour. Me lance-t-il à voix basse.
-Oui c'est bon Mon Chéri.
Il me prend dans ses bras et me porte jusque dans notre chambre, me dépose sur le lit.
Il ôte ma guêpière, mes cuissardes et enfin mes bas. Il se couche derrière moi après avoir éteint la lumière. Je m'endors dans ses bras réconfortants.

A bientôt.
Katy

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